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 ◮ THE ONE THAT GOT AWAY

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MessageSujet: ◮ THE ONE THAT GOT AWAY   ◮ THE ONE THAT GOT AWAY EmptyLun 2 Jan - 12:56








harlen davis chamberlain

Gandhi said that whatever you do in life will be insignificant. But it's very important that you do it. I tend to agree with the first part.


nom : Chamberlain prénom : Harlen Davis. âge : 30 ans. origines : anglaises &&' française statut civil : fiancé. occupation : il gère un portefeuille d'actions (plusieurs millions de dollars) mais déteste ça. Son truc, c'est boire beaucoup, fumer beaucoup, faire croire qu'il aime sa fiancée et détester ses parents. Avec passion.. avatar : Jude Law crédits : bonnequestion | tumblr. scénario : nope.

living young and wild and free

t'arrives d'où : De la cité des Dieux, mon second prénom c'est Apollon 8) pourquoi thub : et pourquoi pas ? Ce forum est super beau I love you. des avis : ◮ THE ONE THAT GOT AWAY 483891 . des questions : Hey baby, wanna smush ?. > règlement lu : bien sur :lonie: > dernier mot : Jack ... Jack ... Les secours sont là, Jack .... JACK *-*

Bonjour, moi c'est Cécile/Crookshanks, j'ai 17 ans et trois quart (très important les trois quarts (a)) et je suis en terminale L. J'adore écrire (sérieusement ? genre si vous n'aviez pas encore compris ce que je fais sur le forum Arrow) lire, chanter, faire du théâtre. Je suis une fan de Jude Law, Katy Perry, Hugh Grant et évidemment tout ce qui touche à Harry Potter. THUB est vraiment un beau forum et je suis ravie de m'être inscrite (:




Dernière édition par Harlen Chamberlain le Lun 2 Jan - 13:09, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: ◮ THE ONE THAT GOT AWAY   ◮ THE ONE THAT GOT AWAY EmptyLun 2 Jan - 12:57


leave your story behind and be the present.
Il pleuvait. Évidemment, pensa Harlen. Il pleuvait toujours dans les mauvaises comédies romantiques. Maudissant le sort qui avait transformé sa vie en film à l'eau de rose pour midinettes en chaleur, il courba le dos et ramena le haut de son manteau pour protéger ses cheveux. Mouiller un Louis Vuitton, il voulait bien. Mais abimer son beau visage, jamais. Courant sous l'averse, il arriva enfin sous le large porche de la villa des Hoover. C'était une grande maison blanche aux volets bleus, qui possédait une piscine intérieure et un terrain de tennis. La réplique presque exacte de la sienne, en réalité. Remettant ses habits en place, il toussota, passa une main dans ses cheveux puis se décida à sonner, espérant de tout cœur que Jaymes lui ouvrirait. Malheureusement, il fut accueillit par le père de ce dernier, un homme strict au regard sévère et distant. En reconnaissant Harlen, il fit la grimace « Je croyais vous avoir dit de ne plus vous approcher de mon fils. Vous l'avez perverti, mais il est enfin revenu sur le droit chemin. ». Une vague de rage envahit le blond qui dut se retenir d'envoyer son poing dans la figure de son interlocuteur. De quel droit qualifiait-il leur histoire de «perversion»? Ignorant avec déplaisir l'idée de passer à tabac cet imbécile – Jaymes n'apprécierait pas – il brandit un carton qu'il avait gardé contre lui et mentit « Je suis venu lui rendre ses affaires. » voyant que l'homme tendait les doigts pour prendre les objets, il ajouta « en main propre. Puis-je lui parler? Il ne veut pas répondre à mes coups de téléphone, ou à mes e-mails, ou à mes lettres. Et il m'évite. S'il vous plaît ... ». Son ton se fit suppliant et Monsieur Hoover dut sentir l'urgence dans sa voix, puisqu'il haussa les épaules « De toute façon, il m'a juré que vous n'étiez plus rien pour lui. Allez le voir dans sa chambre, je crois qu'il est en plein essayage. Vous savez, pour le mariage. ». Un clin d'œil et un coup de poignard bien placé. Harlen déglutit et partit dans la direction que lui avait indiqué le père de son ancien amant. Posant une oreille sur la porte de la salle, il n'entendit personne d'autre que Jay et se décida enfin à entrer sans toquer. Jaymes, qui portait une chemise à moitié boutonnée et un pantalon de costume noir se leva aussitôt en le voyant « Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda t-il avec agacement. Le blond fit la grimace et lui tendit le carton « Je voulais te rendre tes affaires. Puisque tu as décidé de m'effacer définitivement de ta vie, je vais faire la même chose dans la mienne. Faire comme si tu ne m'avais pas promis qu'on s'aimerait toujours, par exemple. » il se retourna pour partir mais la voix de Jaymes le retint. Elle était pleine de regrets mal dissimulés « Ce qu'on a fait … C'était contre-nature. Et puis, personne ne l'aurait accepté. Si tu es intelligent, tu feras la même chose que moi et tu tourneras la page. ». Harlen lui jeta un regard plein de pitié « Ton père a fait du bon travail avec toi, si tu en es venu à croire ses mensonges. Ce n'est pas parce que nous sommes deux hommes que notre relation était une erreur. J'espère que tu seras heureux, en tout cas, à prétendre être quelqu'un que tu n'es pas. Et je te souhaite bien du plaisir, puisque ton seul but dans la vie se résume à faire ce que ton père veut que tu fasses et à devenir ce qu'il veut que tu deviennes. ». Ignorant son coeur qui poussait des cris d'agonie, il fit une fausse révérence et partit sur un « Adieu, tu es absolument éblouissant dans cette tenue. » sec et amer.
△△△
C'est terrible comme une simple histoire d'amour qui finit mal peut détruire toute votre vie. Ça faisait déjà quatre ans, mais Harlen avait été incapable d'entrer dans une relation stable, se méfiant des hommes et des sentiments. Doucement mais sûrement, il repoussait les derniers amis qu'il lui restait par quelques phrases cruelles et bien placée. Il s'était éloigné de sa famille aussi, une famille incapable de le supporter et de le consoler, une famille qui ne retenait même plus les sourires triomphants et les « je te l'avais bien dis. ». Peut-être qu'au final, ils avaient eu raison songea amèrement le jeune homme alors qu'il se penchait pour prendre de l'héroïne et accueillir avec soulagement la drogue dans son système. Aussitôt, elle fit son effet, et il se sentit planer et s'éloigner de son corps. Il n'éprouvait plus de plaisir qu'à ça : le sexe, et la drogue. Tout le reste n'avait aucun goût, et il mangeait de mauvaise grâce, ne dormait que très peu, buvait de l'alcool plus que de raison et ne sortait plus de son appartement. Il était devenu maigre et d'une blancheur de cadavre. Pourtant, il ne pouvait blâmer Jaymes, cette part d'autodestruction, il l'avait toujours eu en lui, et c'était volontairement qu'il l'avait laissé prendre le dessus sur son corps et son esprit malade. Il soupira, alors que la porte s'ouvrait d'un coup. Une jeune fille, Marie, sa meilleure amie, ou du moins ex-meilleure amie, avant qu'il la vire de chez lui parce qu'elle insupportait avec ses conseils à la con, se tenait dans l'encadrement. Elle avait l'air furieuse, et légèrement échevelée. « Comment tu peux te faire ça ? Comment tu peux me faire ça ? » s'écria t-elle alors que sa voix se brisait sous le poids de la colère et de la tristesse. Il l'ignora et attrapa son verre de cognac pour en boire une gorgée. Seulement, faîtes confiance à Marie pour vous cassez les couilles. Elle envoya valdinguer le verre à l'autre bout de la salle, et il l'entendit s'écraser par terre. Enfin, Harlen se résolut à lever les yeux pour croiser son regard mouillé de larmes « Ne ramènes pas tout à toi. Mes problèmes sont les miens, casses-toi de mon appartement ou j'appelle les flics. ». Elle renifla, méprisante « Et tu crois qu'ils vont arrêter qui ? T'as de la poudre blanche partout sur le visage et ta pupille est complétement dilatée ». Enervée au possible, elle renversa la table basse de Harlen et donna un coup de pied dans la chaine hifi qui balançait à pleins tubes une musique tapageuse. Et le calme fut. Elle se tourna à nouveau vers lui, plus tranquille « Ecoute, Harlie. Je t'ai aidé une fois, j'ai du te ramasser à la petite cuillère il y a quatre ans quand Jaymes a dit oui à Norah et qu'il t'a largué... ». Le jeune homme fronça les sourcils et la coupa « Ne prononces pas le nom de ce salopard. » « Je le prononcerai si je veux ! Tu as vu dans quel état tu es ? Tu fais une dépression, Harlen. Et si tu ne me laisses pas te sauver, personne ne le fera à ma place. S'il te plaît ... » elle sanglotait, maintenant, et il se détesta de provoquer ses larmes. En fait, le blond se détestait pour à peu près tout. Il se leva et passa un bras sur ses épaules « Excuses moi, Marie, ne pleures pas ... Tu sais que je n'aime pas te voir pleurer .... ». Le regard humide, elle leva ses yeux avec un air de chien battu et s'enquit « Laisse moi te sauver... Je ne me supporterais pas si tu mourrais ... ». Un instant, il fut tenté d'accepter. Mais le visage de son père lui revint un mémoire. Un visage déçu, un visage qui disait "J'aurais préféré ne pas t'avoir comme fils". Alors, il fit comme avec tout le monde, et il la repoussa violemment, en criant « QUAND COMPRENDRAS-TU QUE JE NE VEUX PAS ÊTRE SAUVE ? Barres toi de ma vie. Tu es comme les autres, tellement ... Pathétique. ». Elle ne prit même pas la peine de relever et partit en courant, et il se retrouva seul. S'apercevant de ce qu'il venait de faire, il frappa le mur de son poing et jura alors qu'il se cassait un doigt. La main en sang, il se rendit dans la salle de bain et prit un flacon de pilules anti-douleurs, et une boite de somnifères. Sans hésiter un instant, il avala les deux culs secs, et tomba à genoux en pleurant pitoyablement.
△△△
« Tu sais, tu n'es pas obligé de faire ça. » Les yeux fermés, face au vent, Harlen se laissa un instant surprendre par une telle remarque. Tiré de sa contemplation aveugle et silencieuse, il se tourna vers elle. Elle souriait, mais abordait tout de même une petite expression anxieuse qu'il lui connaissait bien. « Je n'ai pas le choix, tu sais » constata t-il tristement. « Tu pourrais t'enfuir. Tu pourrais partir avec moi, j'ai assez d'argent pour nous deux. Harlen, je suis ta meilleure amie … Je veux que tu sois heureux. Ces fiançailles … C'est pour faire plaisir à ton père. Tu fais la même erreur que Jaymes. » il la coupa sèchement « Une erreur ? Tu es sûre ? Parce que de ce que j'ai entendu, il a l'air bien plus heureux que moi. ». Quelques minutes plus tard, il descendit du yacht sur lequel ils s'étaient installés le temps d'une après midi pour s'offrir une visite du lac de Côme. Un instant, Marie ouvrit la bouche avec l'air manifestement ravie, et s'enquit « Est-ce que c'est à Laglio qu'il y a la villa de Georges Clooney ? ». Il hocha la tête, lui fit un sourire à cinquante trois dents avant de lever la main et de s'écrier « Tiens, salut Georges ! ». Aussitôt, elle se retourna, puis lui lança un regard meurtrier en s'apercevant de la supercherie « Goujat. » grommela t-elle entre ses dents. Harlen soupira, et rit un peu. Dans quelques heures, il serait fiancé. À une femme. Sans plus réfléchir, il chercha des yeux un quelconque éphèbe avec qui il pourrait passer ses dernières heures de célibat, mais son inquisition ne se montra pas fructueuse. Autant s'en débarrasser au plus vite. Il se dirigea vers la villa des Langton avec l'impression d'aller à l’abattoir. Cette fille, il la détestait déjà. Tout comme ses futurs beaux-parents. Il ne savait même plus pourquoi il faisait cela, en définitive. Alors qu'il s'apprêtait à repartir en courant, la porte s'ouvrit à la volée et un homme vieux, mais au sourire éclatant et chaleureux l'accueillit « Ah ! Mon gendre ! Enfin, futur gendre, ne nous avançons pas trop, n'est-ce pas ? » il fit un clin d'oeil. « Entre, entre dans la maison. J'appelle Sylvia. Elle mourrait d'envie de faire ta connaissance. » se sentant tiré en avant, il pénétra dans la large entrée décorée à la parisienne, et prit son courage à deux mains. Essayant d'avoir l'air enthousiaste, il s'extirpa un sourire douloureux alors qu'il entendait des pas précipités dans les escaliers. Sylvia – sa future fiancée – faillit le renverser alors qu'elle s'était déjà cramponné à son bras. Elle était brune, avec un visage d'ange, des manières de fillettes et des habits d'adolescente. Elle devait avoir dix ans de moins que lui, sinon plus, et cette pensée lui arracha une grimace. « Tu es mieux que je l'avais espéré » commenta t-elle en le regardant comme une bête féroce. Doucement, elle fit le tour de Harlen et il eut l'impression d'être une œuvre d'art observée par une dizaine d'amateurs qui ne laissaient échapper aucun détail, et auxquels sa vue plaisait, s'il en croyait leurs yeux admiratifs. « Tu es même très séduisant » reprit Sylvia « Et tu as bon goût, ton costume est Armani si je ne m'abuses ? » il acquiesça et elle eut l'air satisfaite « Bon, je consens à ces fiançailles. Par contre, mon chéri, je te préviens, si j'apprends que tu me trompes je fais de ta vie un enfer. Et je te penderais par les couilles. » il déglutit et acquiesça à nouveau « Maintenant qu'on a mis ces petites choses au clair, tu peux faire ta demande. ». Bon, ça c'était fait, pensa t-il, alors qu'il se laissait tomber sur un genou et scellait son destin à la jeune Sylvia pour le restant de ses jours.
△△△
« Alors c'est ici que tu habites ? » s'enquit Sylvia en descendant de la voiture. Elle jetait un regard méprisant et dédaigneux à la ville d'Arrowsic et Harlen bénit le ciel d'avoir choisit cette ville là il y a quelques années. Tout pour l'emmerder. « Oui, je suis certain que tu vas beaucoup te plaire ici » dit-il d'une voix hypocrite. Elle lui envoya un sourire éclatant de mauvaise foi « J'en suis sûre aussi, mon chéri, notre cocon d'amour. » avant d'entrer dans la maison qui les attendait et de claquer la porte violemment. Harlen soupira, pas mécontent de s'être débarrassé d'elle quelques instants, mais surtout plein d'appréhension à l'idée de partager cet endroit qu'il avait toujours aimé avec cette peste qu'il connaissait à peine. Déchargeant la première valise, il l'amena à grande difficulté dans la maison et se fit apostropher par une Sylvia très désagréable « Où est le Jacuzzi ? J'ai besoin de me détendre. » « Il n'y a pas de jacuzzi ici. » « Et la piscine ? » « Tu peux toujours aller à la municipale .. » « Et le terrain de tennis ? Le patio ? Le golf ? Le lac ? Le yacht ? » « Il n'y en a pas. Mais tu peux faire des origamis si tu veux, j'ai acheté un très bon livre dessus l'autre jour. » elle poussa un cri de rage et partit s'enfermer dans la salle de bain. Il eut un air satisfait, et alla chercher leurs autres bagages. « Bienvenue à la maison » chuchota t-il dans sa barbe en attrapant son chat qui était venu se frotter contre sa jambe.





Dernière édition par Harlen Chamberlain le Lun 2 Jan - 13:00, édité 1 fois
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Aaron Lawford
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MessageSujet: Re: ◮ THE ONE THAT GOT AWAY   ◮ THE ONE THAT GOT AWAY EmptyLun 2 Jan - 12:59

REBIENVENUE HEIN. I love you Et je te redis pas ce que j'avais dit auparavant, du genre Jude Law waw, le titre waw, la citation waw. tongue ◮ THE ONE THAT GOT AWAY 577704309 Bon courage pour la fiche! ◮ THE ONE THAT GOT AWAY 556141
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MessageSujet: Re: ◮ THE ONE THAT GOT AWAY   ◮ THE ONE THAT GOT AWAY EmptyLun 2 Jan - 13:10

MERCI ◮ THE ONE THAT GOT AWAY 86663 ◮ THE ONE THAT GOT AWAY 1688888084 ◮ THE ONE THAT GOT AWAY 63951
Putain ton avatar I love you
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MessageSujet: Re: ◮ THE ONE THAT GOT AWAY   ◮ THE ONE THAT GOT AWAY EmptyLun 2 Jan - 13:12

    J'revalide ! I love you
    (et comme dit à Jaymes, le rp est cool. *-*)
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MessageSujet: Re: ◮ THE ONE THAT GOT AWAY   ◮ THE ONE THAT GOT AWAY Empty

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