Sulivan Jackson Médérick .......................................................................................................
NOM(S):Sulivan. PRÉNOM(S):Jackson MédérickAGE: 28 ansORIGINE:américaineSTATUT CIVIL:célibataireMÉTIER OU ÉTUDES: a commencé des études en médecine mais s'est arrêté en cours de route avant de devenir le propriétaire d'un petit bar.GROUPE:adult's world.AVATAR: Jake Gyllenhaal.
JUST GONNA STAY HERE.
Chapitre 1.
Je pourrais très bien commencer par ces débuts typiques, tout droit sortis de la petite maison dans la prairie, avec ces journées idylliques et, ensoleillées où le plaisir d'avoir un nouvel habitant dans le village, se fait ressentir. Ou bien je pourrais vous dire que la vie, n'a été qu'une sale garce avec moi, ne m'offrant que des obstacles à franchir. Mais dans les deux cas j'aurais été dans le faux. En réalité, ma naissance n'a rien de très passionnante, une journée banale, d'une femme sur le point d'accoucher, alors je vous passerai les détails, pour vous dire simplement, que mon enfance, n'a rien de très palpitante non plus, en réalité j'ai toujours habité dans une petite ville tout ce qu'il y a de plus banale, une ville nommée Madison dans le Maine, j'ai grandi entouré dans un monde de commerçant, apprenant très vite à me débrouiller seul, sans pour autant manquer d'amour. Le problème d'avoir des parents commerçants, c'est qu'ils sont très rarement présents et, lorsque vous êtes enfants, autant vous dire que cela vous marque, vous devez murir plus vite que la moyenne. Dans mon cas cependant, je ne me plaindrais pas puisque cela m'a été dans l'ensemble bénéfique. J'ai donc grandi et, fait mes études, paumé au milieu du Maine dans cette petite ville, j'ai toujours été habitué à cette ambiance et, c'est finalement sans grand dépaysement que je me suis retrouvé à Arrowisc, des années plus tard. Mon enfance, tout comme mon adolescence ont été plutôt normales et, comme tout le monde j'ai grandit arrivant au lycée, ayant mes premiers béguins, dans l'espoir de réussir dans mes études, des études que je voulais en médecine. Et du jour au lendemain, c'est arrivé, sans vraiment que je m'en aperçoive, comme on se lèverait pour prendre son petit déjeuner.
Chapitre 2.
Parce qu'il arrive un moment où il est temps de grandir, parce qu'on ne peut rester un éternel adolescent, parce que je pourrais trouver un millier d’autres raisons à vous exposer, mais que cela prendrait bien trop de temps, j'ai quitté le domicile familial. Non pas que je l'ai fait tel un voleur, en dérobant une chose précieuse qui se trouvait être de l'amour et, sans laisser de mot. Non je suis sorti de manière on ne peut plus normale, puisque cela était pour mes études. Je venais d'avoir mon Bac et déjà mes parents me prêtaient un avenir brillant, pour eux je devais devenir ce remarquable chirurgiens que mes études assuraient. Je n’avais rien contre cette idée, de se plonger corps et, âmes dans les études, j’avais toujours été un bâtant, je savais que la vie n’était pas facile et, que je devais me donner toutes les chances d’accéder à mes rêves. Ne pensez pas que mes parents étaient de ceux qui poussent leurs enfants à réaliser des rêves, qu’ils auraient aimé réaliser d’eux-mêmes. Mes parents n’étaient en rien des gens comme ça, ils étaient simplement des parents aimant et, fiers que leur unique fils rentre en faculté de médecine. Moi-même je n’étais pas peu fier, j’allais enfin pouvoir apprendre ce que j’avais toujours voulu apprendre et, ainsi pouvoir aider des gens à la fin de mes études. J’avais la tête bien encrée sur les épaules, les cours n'étaient pas gratuits, le logement non plus et, je devais quitter une ville minuscule pour l’une des villes les plus importantes des Etats-Unis. Mes parents entant que commerçant dans la petite ville de Madison, gagnaient certes leur vie, mais si je voulais étudier à New-York comme convenu, je devais trouver un travail, afin de pouvoir me payer un logement. J’étais préparé à l’idée, que jongler entre les cours et, le travail serait loin d’être simple surtout lorsqu’on faisait médecine, mais la motivation ne me manquait pas, j’étais déterminé et, ne savait pas encore ce qui allait m’attendre.
Après plusieurs essaies infructueux dans le milieu du travail et, quelques entretiens d’embauches tout aussi peu réussis, je trouvai enfin un boulot de vendeur dans une petite boutique de prêt à porter féminin. Ce fut également le début des ennuis. Il est vrai que j'avais toujours été sceptique à l’idée de devoir travailler dans un magasin de prêt-à-porter qui plus est féminin, mais ce scepticisme était uniquement dû à cette fierté que bien souvent les hommes possèdent. Je devais cependant admettre qu’il était un petit travail fort pratique puisque, je pouvais librement étudier lorsque j’étais à la caisse, rare privilège que les petites boutiques accordées, puisque bien souvent elles étaient destinées à une certaine catégorie de personne et, par conséquent n’étaient jamais bondées de monde. C’est ici que je la vis pour la première fois, celle qui fit basculer ma vie. Ne vous embarquez pas dans un scénario romantique, où l’on peut y trouver un coup de foudre, il n’y avait rien de romantique à cette rencontre, enfin il n’y avait jamais rien eu de romantique avec cette femme. Elle venait souvent à la boutique, Cheryl m’avait-elle dit qu’elle s’appelait, un jour. Elle devait avoir dans les quarante ans, enfin plus proche de la cinquantaine que de la trentaine si vous voulez mon avis, bien qu’elle affirmait, à qui voulait l’entendre, le contraire. Ce n’était pas une femme particulièrement belle, mais elle était élégante et, raffinée cependant, sa classe et, son charisme ne l’empêchait pas de dire ce qu’elle pensait lorsqu’elle le pensait. Elle n’avait en rien sa langue dans sa poche et, c’est ainsi que du jour au lendemain, elle m’accosta, sans réellement prévenir et, me proposa d’aller au restaurant. Je ne m’y attendais pas le moins du monde, pourtant ma collègue m’avait bien prévenu que cette cliente me faisait de l’œil, mais je ne l’avais pas cru. Cheryl me demanda une première fois, je devais approcher des vingt ans, alors qu’elle avait bien plus que le double en âge. Je la trouvais sympathique, mais elle était une cliente et, elle était loin d’être mon genre, c’est ainsi que je me vis refuser une première fois cette demande. Je n’étais pas offensé, seulement comme toujours, j’avais la tête bien encrée sur mes épaules et, je savais qu’il était plus que déraisonnable d’accepter cette invitation, qui de toute manière ne pouvait avoir lieu vu son train de vie, qui n’avait rien a voir avec le mien. Je n’étais pas à la hauteur de cette femme. Deux mois s’écoulèrent, entre sa première demande et, la seconde. Entre temps, mon quotidien avait changé, j’avais dû déménager dans un nouvel appartement, qui était plus cher que le précédent et, sans colocataire, la facture s’avérait être salée. J’avais du mal à boucler mes fins de mois et, j’avais même dû accepter un nouvel emploi pour pouvoir continuer mes études, études auxquelles j’arrivais exténué, lorsque j’arrivais à temps pour suivre le cours. C’est là qu’elle sut saisir l’occasion, elle avait bien compris qui j’étais à m’observer et, sûrement qu’elle s’était un peu renseigné également, elle avait compris mes difficulté à gagner de l’argent, alors elle me proposa une seconde fois de sortir avec elle, mais cette fois-ci c’était différent puisqu’elle mettait en jeu une somme d’argent, qui n’avait rien de négligeable. J’étais quelqu’un de fier et, même si je tenais à m’en sortir seul, je ne souhaitais pas me vendre pour pouvoir arriver à étudier. Je refusai une seconde fois, qui serait cependant, mon dernier refus envers cette femme. Plusieurs fois alors, elle me fit remarquer que son offre tenait toujours et, que je devais la saisir avant qu’elle ne change d’avis. Sa technique fût très efficace puisqu’un jour, alors qu’elle n’était pas passé dans la boutique, je pris son numéro dans le répertoire téléphonique, afin de l’appeler quand je serais arrivé chez moi, j’en avais assez de jongler avec ces différents travailles, je n’arrivais plus à gérer mes études et, j’étais sur le point de redoubler ma première année de médecine. Désespéré, je l’appelai.
Elle fut la première d’une longue série, j’étais à ses ordres pour une soirée, je devais être à son écoute, je devais lui parler, lui changer les idées, faire d’elle une reine d’un soir. Elle ne demandait finalement rien de plus qu’un ami à qui parler, ce que j’assimilai très vite. Seulement la couleur de son argent, me monta vite à la tête et, je compris alors que je pouvais faire un réel profit en réitérant l’expérience. Au début elle était ma seule cliente cependant, elle m’avoua que d’autres femmes étaient prêtes à payer, pour avoir un aussi charmant cavalier que je l’étais, à leurs côtés. Bientôt ce n’était plus un service que je rendais pour une femme afin de gagner un peu d’argent et, éviter d’avoir deux travailles, non c’était devenu mon travail. Je me retrouvais avec une dizaine de cliente, qui paillaient toutes très généreusement le service que je leur rendais, j’étais devenu Escort-boy et, je gagnais bien plus que raison. Je n’avais pas besoin d’autant d’argent, mais cela était tellement agréable, mais aussi très utile pour avoir quelques conquêtes. Ce nouveau travail n’était pas de la prostitution, non je ne vendais pas mon corps, juste ma présence. Seulement la situation était devenue telle, que je n’étais plus vraiment moi-même. J’emmenais toujours ces dames, mais j’en voulais toujours plus, j’en étais presque devenu un goujat avec les quelques petites amies que j’avais eu. Je ne vivais plus que pour l’argent que je convoitais. A tel point que les sommes ne me suffisaient plus, comme une drogue j’étais accro au pouvoir que l’argent me donnait, j’en oubliai alors petit à petit les études. Je n’aurais jamais pus m’imaginer tomber aussi bas, mais un soir je franchis la ligne et, alors que j’avais un peu trop bu lors d’un rendez-vous avec une cliente, elle promit de m’offrir plus, si je lui offrais quelques extras. C’était l’alcool qui parlait pour moi ce soir, lorsque j’acceptai le compromis. Voir à quel point il était facile de gagner autant, rien qu’en vendant sont corps, ne réussit qu’à me faire tourner la tête un peu plus. J’étais désormais en troisième année de médecine et, je ne faisais plus rien j’étais sur le point de me faire renvoyer de la faculté, lorsque je décidai de prendre les devants et, de démissionner. Je me retrouvais à vingt-deux ans dans un immense appartement à New-York et, un compte bien remplit en échange d’un service qui n’était plus vraiment un simple service, mais un business, que j’entretenais. Quand certains touchaient à la drogue, moi c’était l’argent qui m’avait fait plonger dans la spiral de la prostitution de luxe. J’étais toujours un Escort boy, mais lorsque vous me demandiez plus, j’exhaussais les vœux. C’est ainsi que je rencontrai mon sauveur. Lui aussi possédait de l’argent mais, contrairement à certaines de mes clientes, il était encore très jeune pas plus de trente je pense. Il s’appelait Dorian et, si je n’avais pas été hétéro, je crois bien que je lui aurais sauté dessus immédiatement en le voyant. Il était de ces hommes qui font tourner les têtes de tout le monde, il pouvait avoir qui il désirait, pourtant c’était moi qu’il désirait. Il avait avoué m’avoir repéré durant une soirée où j’accompagnais une cliente, il n’avait pas eu de mal à se procurer mon numéro et, voulait lui aussi m’engager pour un soir. Un soir de trop, j’avais finalement fini par accepter de diner avec lui, alors que j’avais plusieurs fois dis non, parce que je n’étais pas un Pd, lui avais-je craché au visage, il savait cependant, que l’argent était mon seul ami. Ce soir-là avais été plutôt agréable jusqu’à ce que nous montions dans la chambre, tous les deux enivrés, plus réellement conscient de nos actes. Il commença à m’embrasser, à avoir quelques gestes tendres et, je pris subitement conscient de ce que nous étions sur le point de faire et, alors que je ne m’y attendais pas, je fondis en larmes, tétanisé impossible de bouger un seul muscle. Il comprit alors que jamais il n’aurait ce qu’il espérait de moi, mais fut finalement soulagé. Ses sentiments pour moi étaient sincères et, je compris bien plus tard, qu'il ne se serait jamais remis de m'avoir fait souffrir, si jamais nous ne nous serions pas contentés de simples baisers. Dorian, m'a permis de remonter la pente doucement...
Chapitre 3.
Durant cette soirée, nous sommes restés dans la chambre d'hôtel, l'un contre l'autre, je l'autorisai à avoir des gestes tendres envers moi, trop déstabilisé par cette subite prise de confiance, habituellement je n'aurais jamais laissé un homme m'approcher d'aussi près. Les circonstances étaient cependant, tellement particulières, que je ne me rendais pas tellement compte de ce que nous faisions, tous les deux allongés, dans ce lit, une lumière tamisée pour seul éclairage. Nous avons échangé longuement sur nos différentes vies, en y repensant, c'était surtout moi qui vidais mon sac et, cela faisait du bien d'avoir enfin quelqu'un à qui se confier. Moi qui avais décidé de porter ce terrible poids sur mes épaules, de ne jamais demander de l'aide à mes parents, pour ne pas les ennuyer. C'est Dorian qui me fit comprendre que j'avais le droit à l'erreur et, que mes parents étaient là pour me soutenir. Je me souviens que cet homme parlait peu, mais lorsqu'il se décidait à ouvrir la bouche, on l'écoutait. Il m'avait avoué, avoir perdu ses parents très tôt et, qu'il aurait souhaité pouvoir leur parler de nouveau, comme je pouvais parler aux miens. Cette révélation m'avait fait un choc, un choc positif du moins.
Durant les mois qui suivirent, je me liai d'amitié avec Dorian, c'est lui qui me permit de me remettre en question mais, également de m'éloigner de ce milieu, de cet argent qui me rendait fou. C'est également lui qui me conseilla de dépenser tout l'argent que je possédais sur mon compte, dans un projet qui me tenait à cœur. C'est ainsi qu'après deux mois de réflexion et, discussion très étendus avec mon unique ami, je pris la décision de déménager, afin de retrouver une vie normale. Si la vie peut-être considérée un jour comme normal. C'est ainsi que je me suis retrouvé à Arrowisc, presque du jour au lendemain. C'est ainsi que j'ai quitté la fac de médecine, pour me retrouver gérant de mon propre petit bistrot, un bar de quartier, où les gens se retrouve pour discuter des derniers évènements de la ville. Ici personne ne sait pour mon ancienne vie et, c'est mieux ainsi, car si cela était le cas, plus personne ne me regarderait de la même manière. Les habitants sont charmants, mais je me protège plus que de raison, pour garder un bon contacte avec eux. Ici une seule personne est au courant de mon passé plutôt houleux. Mon colocataire et, meilleur ami.
Je dois tout de même avouer, que malgré ma mauvaise passe à New-York, mes adieux à la grosse pomme et, plus particulièrement à Dorian furent difficiles. Il était un ami très proche et, même si je ne partageais pas les mêmes sentiments que lui, je ne pourrais jamais l'oublier, aussi bien lui, que l'aide qu'il m'a offerte. Sans lui je n'aurais jamais renoué contacte avec mes parents, je ne leur aurais jamais avoué tous mes problèmes et, encore moins la cause de ces problèmes. Une erreur qui m'aurait été fatale, puisque sans eux, je ne serais sans doute pas redevenu l'homme que j'étais.
WALKING IN THE DARK.
Salut chers membres, je m'appelle Améthyste et, peut-être me connaissez-vous sous le pseudonyme de Midnight Poison, puisque c'est ainsi que je me surnomme dans le monde du graphisme. Mes amis me surnomme plus souvent Amy, wiwi ou cactus je vous laisse le choix. Sachez que j'ai 18 ans et, toutes mes dents ! Interne dans le lycée où j'étudie, je suis en terminale L et, suis peinée de voir que le header du forum ne s'affiche pas (méchant ordi), cependant je constate que les couleurs et, le css du forum me font rêver et, je suis persuadée qu'il en sera de même pour le design. Quelques petits détails en vrac, je suis à fond sur Jake Gyllenhaal en ce moment, ça se voit pas du tout, je suis un petit peu perverse mais, ne prenez pas peur juste ce qu'il faut ne vous en faites pas ! J'adore chanter c'est ma passion et, si j'ai mon bac je me dirige vers des études de graphiste. A la maison je possède 5 animaux de compagnie (mes 4 chats et, ma petite sœur...). A par ça ma couleur préférée c'est le rose et, je déteste les carottes cuites. Sinon j'aurais très bien pus vous dire que mon père caché est Matt Damon et, que je suis mariée à Jared Padalecki, mais qu'en ce moment je le trompe avec James Franco, mais je me retiendrais de vous faire part des petits détails sordides de ma vie. Enjoy !
Dernière édition par Jack M. Sulivan le Mer 23 Mar - 16:14, édité 22 fois
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Mer 9 Mar - 18:09
Midnight Poison, ce pseudo me dit quelque chose Purée ton prénom est beau Cactus ! Comment c'est trop chou comme surnom ! Je te rassure, aujourd'hui je ne vois pas non plus le header, juste le début d'une tête rousse, mais habituellement, ça marche Oh des études de graphisme, je trouve ça tellement bien Tu me feras rencontrer ton dernier animal ? ça doit pas être facile à dompter ! N'empêche, j'ai bien ri quand j'ai vu: cinq animaux: quatre chats et ma petite sœur. Ah, ta vie amoureuse est trépidante, dis-moi Sur ce, bienvenue
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Mer 9 Mar - 18:10
Citation :
Sinon j'aurais très bien pus vous dire que mon père caché est Matt Damon et, que je suis mariée à Jared Padalecki, mais qu'en ce moment je le trompe avec James Franco
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Mer 9 Mar - 18:20
Oh des membres survoltés j'aime ça ! Je sens que je vais me plaire parmi vous Merci pour votre accueille !
Chaz: Je veux bien te voir aussi souvent que tu le souhaites, du moment que tu payes !
Abbey: Tu ne peux pas savoir à quel point c'est dur d'avoir une petit sœur de compagnie, elle n'obéit jamais et, après j'ai personne pour me rapporter le journal ça va pas du tout ! Sinon je suis sur prd et, bazzart et, je possède mon propre forum donc c'est possible que mon surnom te dise quelque chose à moins que tu confonde avec le parfum
Sheila: C'est pas négociable James il est à moi ! Même gay je le prendrais =)
Mon dieu extirpez moi de là je commence déjà à flooder
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Mer 9 Mar - 18:24
Jack M. Sulivan a écrit:
Oh des membres survoltés j'aime ça ! Je sens que je vais me plaire parmi vous Merci pour votre accueille !
Abbey: Tu ne peux pas savoir à quel point c'est dur d'avoir une petit sœur de compagnie, elle n'obéit jamais et, après j'ai personne pour me rapporter le journal ça va pas du tout ! Sinon je suis sur prd et, bazzart et, je possède mon propre forum donc c'est possible que mon surnom te dise quelque chose à moins que tu confonde avec le parfum
Mon dieu extirpez moi de là je commence déjà à flooder
(Je suis toujours Abbey :65:) Ah, et bien tant mieux. Évidemment que tu vas te plaire, on est trop parfaits :65:
Je crois que ton pseudo me dit quelque chose sur Bazzart et PRD
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Mer 9 Mar - 20:09
Jay: J'adore ton avatar (merde c'est vrai que je fais un hétéro pour une fois)
Chaz: Rrro maudis ordis de l'internat je vois pas correctement sur l'écran, mais j'irais revoir sur mon ordi ce weekend parce que ça m'intrigue, ce que je vois d'eux c'est mignon en effet x)
Sheila: Bon je veux bien partager mais je le veux les weekend et, le mardi !
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Mer 9 Mar - 20:22
« Forever young, I wanna be forever young (...) » Et puis JAKE, tu veux que je meurs là, maintenant, tout de suite ?! Aha Bienvenue par ici beau brun, je peux espérer un lien ?
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Jeu 10 Mar - 18:00
Celestine L. Collin a écrit:
« Forever young, I wanna be forever young (...) » Et puis JAKE, tu veux que je meurs là, maintenant, tout de suite ?! Aha Bienvenue par ici beau brun, je peux espérer un lien ?
Non, si je pouvais ne pas avoir ta mort sur ma conscience mais, oui un lien est largement possible entre nous si tu es suffisamment patiente pour attendre que je termine ma fiche ce weekend ?
Lucy: mais si je vais le faire boire et, ainsi je gagnerais pleins d'argent :cam:
Bonnie: Oh oui, Love et, autres drogues je l'adore aussi, c'est un des films qui m'a fait craquer, avec brokeback mountain
En tout cas merci beaucoup pour votre accueille, vous êtes trop mignons !
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Sam 12 Mar - 17:28
Jake :O:O:O c'est à cause que ce mec, il pourrait m'faire n'importe quoi :O il tellement beau dans Prince of Persia (a) j'veux un lien assurée :) Et bienvenue *-*
Sujet: Re: Forever Young || Jack is ready to talk ! Sam 12 Mar - 18:57
Celestine L. Collin a écrit:
« Forever young, I wanna be forever young (...) » Et puis JAKE, tu veux que je meurs là, maintenant, tout de suite ?! Aha Bienvenue par ici beau brun, je peux espérer un lien ?
C'est illégal de mettre une laisse à une femme ? Parce que là tout de suite, je suis vraiment tenté. BIENVENUE parmi nous. Hâte de lire ta fiche. (;