Ezeckiel BethBlackburn

« La foi en l'âme humaine échappe à la raison et défie les frêles certitudes de notre savoir. »

NOM(S): Blackburn ❖ PRÉNOM(S): Ezeckiel. ❖ AGE: 24 Y.O ❖ ORIGINE: Américaine ❖ STATUT CIVIL: Célibataire, je sors du couvent des bonne soeurs -sbaff- ❖ MÉTIER OU ÉTUDES: Journaliste, ou si vous préférez, la grande gueule du journal local d'Arrowsic. ❖ GROUPE: adult's world ❖ AVATAR: La blonde la plus barge & sexy du monde. *roulement de tambours* K. BELL

Je suis une femme, j'ai 18 ans. Bientôt 19 :O C'est fou, comme on vieillit vite, vous trouvez pas? Ce que j'aime faire; du rpg, des activités avec les amis & la famille. Écoutez de la musique à fond la caisse, lire un bon roman, et manger de la bonne bouffe (a) Je suis une vraie épicurienne -ça s'écrit comme ça?- M'enfin, je fais du rpg depuis un bon nombres d'années, et je me fatigue pas. Je peux faire 10 à 15 lignes voir plus, lorsque le sujet me plaît, et que je sens une connexion entre moi et l'autre rpgiste. Je suis quelqu'un de folle, très bavarde -vous avez la preuve non?- J'aime mettre du mélodrame dans mes histoires, j'y peux rien ça m'inspire Je vais venir vous emmerdez quotidiennement, genre 4-5/7 jours. Peut-être plus quand je suis disponible. Ha! Pour finir, je viens du Canada.

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Hey Dad, look at me. ♣

«T'es comme ta mère! Tu penses juste à ta petite personne. Tu me regardes comme si j'étais de la merde...» Le ton de monsieur Blackburn était étouffé et peu compréhensible. Il vascillait par moment, devant se retenir contre le mur de la cuisine pour ne pas tomber de tout son poids, sur le plancher. La fillette, agée d'à peine dix ans, regardait cette homme d'un air grave. Légèrement déçue, dégoûtée et peinée. Comme à tout les vendredis soirs, il revenait du bar de la ville totalement ivre, buvant sa peine d'avoir tout perdu, sa femme... Son boulot mais surtout sa dignitée. Ignorant ces paroles, Ezeckiel le prenait sous le bras, pour l'aider à monter à l'étage. Elle n'avait pas toujours le temps de le dévêtir complétement qu'il dormait déjà comme un enfant. Assez rapidement, la fillette dut prendre ses responsabilités, et devenir la nouvelle femme de la maison. La cause de tout les problèmes? Le départ précipitée de sa mère, avec un autre homme, qui était son amant depuis des lunes, lorsque son mari perdit son emploi, et tomba dans l'alcool, madame Blackburn retrouva réconfort auprès de son collègue de travail. La jeune femme partit sur un coup de tête, promettant à sa fille qu'elle reviendrait la chercher, quand elle serait plus stable, mais elle n'est jamais revenue. La jeune fille a longtemps espérée voir le visage de sa mère, ce visage si réconfortant, invitant mais sans succès. Quand elle n'allait pas à la petite école du quartier, ou encore qu'elle ne nettoyait pas ce que son père causait comme dégat, la demoiselle passait ses après-midis dans le champs derrière la maison où plutôt dans la petite cabane située en hauteur en plein milieu du champs. Elle venait dessiner, ou encore écouter le silence simplement ça lui faisait un bien fou.

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L'après-midi du 13 Juillet 1997, un vent de fraîcheur vint s'abbattre sur elle. «Qu'est-ce que tu fais là, c'est ma cabane ici! Répliqua la jeune blondinette, en divisageant l'intru qui avait osé s'introduir dans sa forteresse. Le jeune homme qui devait avoir son âge, se mis à sourire à en faire rougir Ezeckiel. «C'est toi, qui l'a construite? La jeune fillette continua de le dévisager et se résigna à répondre tout en entrant dans la cabane après avoir escalader l'échelle. «Moi et mon père... Elle détourna les yeux, alors que lui continuait de l'observer avec fascination. Leur rencontre se fit dans un mutisme des plus total, ils étaient là, à profiter du silence et de la vue du paysage, dans ce silence des plus parfait, ils se complétaient et cela sans réellement en être conscients.

«Allez soit pas farouche Ezeck', allez juste une petite taffe.» Ajouta l'adolescent, en tendant le joint qu'il venait tout juste de rouler que pour eux. La belle blonde regardait ce bout de papier comme si c'était de la peste. Ils étaient âgée de 16 ans maintenant, ne s'étant jamais lâchés depuis. Complices, comme les doigts de la main; «T'es viré fou! Si ta mère nous surprenait entrain de planer, t'y pense pas?! Le ton de l'adolescente, était semi terrorissée, semi appeurée parce qu'il lui proposait. «Ma mère, se rendra compte de rien... Et puis j'ai l'habitude.» Ajouta-t-il en haussant les épaules de manière innocentes. Puis finalement elle céda, la jeune Blackburn faisait pratiquement partie de la famille du jeune homme. Même qu'elle y résidait depuis quelque mois, dut à une altercation entre le jeune homme et le père de la jeune femme. Une altercation qui aurait pu coûter la vie à l'un d'eux si Ezeckiel n'était pas intervenu bref, les deux amis, voir meilleurs amis étaient comme "Bonnie & Clyde" toujours fourrés ensembles, Ezeckiel ne voyait pas sa vie sans ce grand fou baraqué au coeur tendre.

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« Bordel, qu'est-ce que t'as encore foutu... Tu m'avais juré que t'allais arrêter de faire cette merde... Ezeckiel venait d'entrée du lycée, après une dure journée. Étant finissante elle était impliquée dans énormément de trucs scolaires, c'était le contraire de son pote il faut croire... Ce dernier, bien qu'il possède une intelligence surnaturelle, ne voit aucunes utilitées à aller en cours. Préférant squatter les rues, à la recherche de nouvelles viandes fraîches, avec qui il pourrait obtenir «des deals» Contrairement à Ezeckiel, il n'avait pas décrocher de la drogue, elle qui croyait que ça n'était qu'un plaisir d'ado, s'avérait à être une tempête continuelle pour lui. La belle blondinette le voyait allée, impuissante elle ne savait pas quoi faire. Ne cessant de se répéter que sa petite folie n'est que passagère, qu'il va se réveiller... «T'inquiète pas Ezeck', on fait ça que pour s'amuser mes potes et moi. La demoiselle exaspérée et en colère ne pu s'empêcher de se contenir; «Ta gueule! J'en n'ai marre de tes phrases qui sonne la perfection. J'ai louée un appartement avec toi ici, c'est pas pour que ça se transforme en piquerie tout les soirs! Au début, c'était amusant, mais là ça devient lourd... J'ai du mal à savoir qui sont ces gens qui entrent dans ma maison, ou encore ceux qui appelle et m'harcèle par téléphone demandant à te voir. Un soupir s'échappa d'entre les lèvres de la jeune femme la voix enrouée et fragile elle poursuivit; «T'es entrain de tout perdre... Tes "vrais" amis, ne te reconnaissent plus, tu demeures enfermer ici constament avec tout ça. Je sais plus quoi faire pour t'aider, j'ai pas envie de te perdre... L'homme soupira légèrement et se leva prenant sa meilleure amie dans ses bras et lui fit clairement comprendre; «Excuse-moi, Ezeck' je voulais pas te faire du mal. J'y toucherai plus. Ce fût comme un véritable baume pour la jeune femme, qui s'accrocha à cette espoir. Comme la plupart des fois, ils terminèrent le tout sous les draps, la jeune femme se sentait l'héroïne, celle qui pouvait sauver son amant de cette enfer, et pourtant...

Come on' skinny love. ♣ La demoiselle avait du déménager, quittée Newport pour ses études. Elle avait donc laissée toute les gens qu'elle aimait pour continuer, elle avait même laisser derrière elle son meilleur ami. À tout les jours, elle lui téléphonait pour prendre de ces nouvelles, mais tranquillement la vie continua, et Ezeckiel fit des rencontres, laissant de côté son meilleur ami. Qui tranquillement, retomba dans ses vieux problèmes, un soir alors qu'Ezeckiel rentrait dans son appartement elle remarqua le boutton rouge de son répondeur qui clignotait, elle s'empressa d'appuyer dessus, une voix qu'elle eut du mal à reconnaître au départ se fit entendre; «Bonsoir Ezeckiel, c'est Madame Stanford... La mère de Tyler... Sa voix est faible, et coupée par des sanglots ce qui laisse imaginer le pire à la belle blondinette, qui les yeux dans l'eau continue d'écouter le message. «Tyler c'est fait agressée par une bande de jeune... Il a succombé à ses blessures... Blessure total, Ezeckiel à l'impression que la terre vient d'arrêter de tourner, que sa vie n'a plus de sens, elle ré-écoute le message comme si elle n'y croyait pas, comme si Madame Stanford lui faisait une mauvaise blague, Ezeckiel goûte pour la première fois au deuil, elle n'a que 20 ans.

It was the end, no... Just the new beginning ♣ Ezeckiel ne s'est pas présentée aux funérailles, elle déteste ce genre d'endroit plutôt mourir que de voir son meilleur ami se faire mettre sous terre, et ronger par des bestioles. Elle sombra dans une grosse dépression, restant enfermée chez elle comme si elle attendait que la mort vienne la chercher à son tour. Elle ne se présente plus en cours, n'y voyant plus l'intérêt, ce scénario se passe pendant une bonne année, un matin elle sent que ça va mieux, et l'heure d'après elle sombre. Sous haute médication, elle est seule pour affronter ce calvaire. Un soir, alors qu'elle déambule dans les rues, elle ne prend plus la peine de regarder de chaque côtés de la rue, et une voiture l'a frappe de plein fouet. Elle se sent si légère on aurait pu presque croire qu'elle a sourit l'espace d'un instant. Mais malheureusement, son heure n'était pas arrivé. Quand elle ouvrit les yeux, une lumière aveuglante lui martela la tête, lui laissant échappé une grimace d'incompréhension, et d'agacements. C'était quoi ici? L'enfer, elle n'avait pas réussit à franchir l'autre porte, l'homme que l'on surnommait dieu le tout puissant, avait été bloqué dans la circulation et avait oublier de venir la chercher. «Ezeckiel, t'es réveillée. Mon visage se tourne vers cette voix réconfortante, on dirait ma mère, mais se n'est pas elle. Mais plutôt la seule de cette dernière, elle me caresse les cheveux comme ma mère le faisait quand j'étais enfant, pour la première fois depuis des mois je pleure mon désespoir.

And sometimes, everything become great♣

Après ma réadaptation, ma tante m'annonce que je pars avec elle à Arrowsic Maine, c'est quoi cette endroit? Évidemment je fais comme si je connaissais pas, alors qu'en réalitée je venais passer parfois quelque vacances là-bas, c'est ici que ma mère et sa soeur on grandit. J'ai vingt- un ans, je prend donc l'avion et j'attéris ici. Étrangement, de revoir c'est paysages me fait sentir meilleure, plus libre, loin de tout les emmerdes que j'ai connue c'est dernières années. Je termine donc mes études où j'ai laissée tout en plein, et je sors avec mon diplôme en poche. J'ai quittée l'appartement de ma tante maintenant, et j'ai mon propre loft. Voilà, trois ans que je suis ici, dans le Maine et je me sens encore plus chez moi que nulle part ailleurs. Je travaille pour le journal local, les gens me connaissent par les articles poignants que j'écris, je ne suis pas aimée de tous, mais je m'en fou. J'ai toujours eu cette facilitée de communication autant s'en servir non? Sinon, je suis toujours sous médication les spécialistes disent que je suis trop fragile, m'enfin je vais m'abstenir de commentaires. Je suis célibataire et ça me va parfaitement, pas le temps d'avoir un homme dans ma vie, trop encombrant...