Sujet: Léopoldine ❁ Jealousy only made me feel I was in love. Ven 17 Juin - 20:59
Léopoldine, Ali Mathesson
« Jealousy is a monster who horrified love and creates evil. »
NOM(S):Elle porte le nom de famille de Mathesson. ❖ PRÉNOM(S):Léopoline signifie ❝ peuple courageux ❞ en germanique. Quand elle était une enfant, il faut avouer qu'elle ne l’appréciait absolument pas. Elle avait souvent accusé son père d'avoir choisi un prénom long et trop guindé pour une simple fillette. Mais au fil des années, elle avait fini par s'y accommoder. À présent, la jeune femme est plutôt fiere de porter le prénom préféré de son père et apprécie son authenticité. D'aussi loin que remonte ses souvenirs, la jeune femme a toujours adoré son deuxième prénom Ali, sans doute parce que celui-ci signifie ❝ supérieur et sublime ❞. ❖ AGE: Cela fait vingt-huit longues années que Léopoldine doit supporter de vivre cacher dans l'ombre de sa sœur jumelle. Depuis déjà toute petites, la jeune femme voit la vie de sa sœur progressait de réussite en réussite. À l'âge de l'adolescence, une intense jalousie avait commencé à la dévorait de l'intérieur et Léopoldine avait osé espérer que cela aurait cessé un jour, mais plus le temps passe et plus jalousie était devenue insupportable. À présent, la jeune femme s'approche de la trentaine et n'a toujours pas réussi à se détacher de sa sœur. ❖ ORIGINE:Elle est américaine ❖ STATUT CIVIL:La jeune femme est célibataire. ❖ MÉTIER OU ÉTUDES:Depuis la mort de ses parents, Léopoldine travaille dans leur entreprise qui se trouve être une grande entreprise de cosmétique et de parfums. Elle fut bouleversé d'apprendre que ces derniers lui avaient légué seulement vingt-cinq pour cent de la compagnie et soixante-quinze à leur autre fille. A présent, la jeune femme doit supporter jour après jour d'avoir sa sœur comme patron. ❖ GROUPE:Léopoldine fait parti du groupe ❝ adult's world ❞ ❖ AVATAR:Anna Torv en rousse.
nothing's gonna change my world
Chapter.
ϟ Rivalry
Assise sur une chaise peu confortable, Léopoldine jeta un léger coup d'œil autour d'elle. Les murs étaient entièrement recouverts d'une affreuse tapisserie jaune beurre qui donnait un aspect froid et lugubre à la pièce. Sur le côté droit, quelqu'un avait disposé quelques diplômes dans des cadres dorés, comme pour prouver sa supériorité et son intelligence. Et comme si cela ne suffisait pas, un écriteau indiquant « Notaire Lambertson » avait précautionneusement été pausé sur le devant du bureau. La jeune blonde tourna légèrement la tête vers la droite afin d'apercevoir sa sœur et fut soulagé de comprendre qu'elle n'était pas la seule à être mal alaise dans cet endroit. Les deux jeunes femmes avaient vraiment une mine épouvantable, de grosses cernes s'étaient dessinées sous leurs yeux et leurs jolie teints pêche étaient devenu blafarde. Il faut dire qu'elles n'avaient pas beaucoup attaché d'importance au sommeille ses derniers jours. Léopoldine et Eleanor sursautèrent en même temps quand la poignée de la porte s'enclencha. Un homme maigrichon vêtit d'un costard cravate bleue marine fit son apparitions dans la pièce, il sera les mains des deux sœurs Mathesson, esquiva un sourire forcé au coin de la bouche en s'excusant de son retard et vint s'installer derrière son bureau. Il fouilla dans sa sacoche en cuire marron et en sorti un dossier. Après quoi, il se racla discrètement la gorge avant d'annoncer sans grande délicatesse : - « Heureusement pour vous, avant de mourir vos parents avaient rédigé un testament clair et complet. » Léopoldine ressentit un pincement au coeur, elle était tout à fait consistante de la mort de ses parents mais l'entendre à voix haute, dans la bouche de quelqu'un d'autre était encore plus douloureux. Elle avait assisté il y a seulement quelques jours aux funérailles de ses parents et elle était déjà confrontée à une tonne de paperasse. Des obsèques qu'elle n'avait même pas eu la force d'organiser, elle était restée cloîtré dans sa chambre laissant Eleanor s'occuper de pratiquement tout. Une fois de plus, c'était sa soeur qui s'était montrée plus courage, plus forte et beaucoup plus mature qu'elle. - « Donc, comme vous pouvez le deviner, vos parents vous ont pratiquement tout léguer équitablement. » Perdu dans ses pensées, Léopoldine n'avait pas réellement suivi le reste de la conversation, mais cette phrase avait retenu son attention. Mais à peine avait-elle eu le temps d'ouvrir la bouche que sa soeur avait pris la parole: - « Qu'est-ce que vous entendez par pratiquement ? » - « Et bien, il y a en effet une petite différence en ce qui concerne l'entreprise. » Léopoldine sentie le bas de son ventre se nouer, comment ça, une petite différence? Qu'entendait-il part là ? Ses parents avaient passé la plus grande partie de leurs vies à construire cette entreprise, cela avait toujours été leurs plus grande fierté. C'était à leurs deux filles qu'ils devaient léguer l'entreprise, cela paraissait tellement évident. La jeune femme demanda alors avec une pointe d'énervement : - « Mais qu'elle différence ? » - « Vos parents avaient choisi de léguer soixante-quinze pour cent de l'entreprise à Eleanor et seulement vingt-cinq pour cent à vous. » La jeune blonde ressentit comme un déchirement au coeur, ce n'était pas possible, elle ne voulait pas y croire. Totalement déconcerté, elle aurait voulu questionner ce jeune notaire, mais aucun son ne voulait sortir de sa bouche. Eleanor avait alors demandé : - « Mais.. pourquoi ? » - « Eh bien, il est écrit ici, je cite : Cette sage décision est plus sûr pour la compagnie. » Cette fois s'en était de trop, cette phrase déroutante était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Léopoldine se leva d'un bon et cria avec haine - « Je n'en crois pas un mot! » Le notaire qui commençait également à s'impatienter tendit le dossier à la jeune Mathesson: - « Vérifier si vous ne me croyez pas ! Tout est écrit sur le dossier! » Léopoldine arracha le dossier des mains du jeune homme et se hâta de le lire. À sa grande surprise, tout était là, monsieur Lambertson n'avait rien inventé. Personne ne peut imaginer à quel point la jeune femme se sentait trahi et blessé à ce moment précis. Déjà depuis son plus jeune âge, Léopodine ressentait une grande admiration pour sa soeur jumelle, mais au fil du temps, ce sentiment s'était transformé en une véritable obsession. Chaque jour, la jeune femme se promettait de changer, de devenir comme sa soeur, de prendre confiance en elle, mais ce sentiment de jalousie était comme une trace de marqueur indélébile. - « Mais.. ce n'est pas possible.. » avait-elle murmuré. Le notaire prit une voix plus douce comme pour la consoler ou alors pour en finir le vite possible: - « Écouter, je peux parfaitement comprendre votre désarrois, mais.. » La jeune Léopoldine lui avait brusquement coupé la parole et avait crié les larmes aux yeux: - « NON ! Vous ne pouvez pas comprendre ! » Comment pouvait-il comprendre ce qu'elle ressentait alors qu'elle avait la preuve sous les yeux que ses parents avaient toujours préféré Eleanor à elle? La jeune femme aurait pu supporter la nouvelle s'il s'agissait de n'importe qui d'autre, mais aujourd'hui c'était différent, il s'agissait de ses parents! Ils n'avaient pas hésité une seule seconde à la laisser tomber comme tous les autres. Le ventre noué et le visage ruissellent de larme, Léopoldine attrapa son sac avec fureur pour se dirigeait vers la sortie. - « Léo! Attend ! » Mais à peine Eleanor avait-elle eu le temps de prononcer ces quelques mots que Léopoldine avait déjà claqué la porte avec une telle force qu'un cadre tomba au sol et se brisa en mille morceaux.
Second chapter.
ϟ Devastating jealousy
Léopoldine écouta attentivement les dernières secondes du message vocal qu'elle venait de recevoir avant de raccrocher le combiné. Apparemment sa soeur avait tenté de la joindre à maintes reprises, elle s'était une fois de plus disputé avec son fiancé Maël et comme à chaque fois que cela arrivait, elle lui avait envoyé un message des plus alarmants. La jeune Mathesson n'était absolument pas étonné, leurs disputes étaient plutôt fréquentes et se finissaient toujours bien. Ainsi elle ne se serait pas inquiétée si Eleanor n'avait pas rajouté à la fin : -« Je sais bien que tout finit toujours par s'arranger, mais cette fois j'en doute sérieusement Léo... Je n'en peu vraiment plus de cette situation. En plus, j'y suis vraiment allée fort en lui balançant nos problèmes de conceptions à la figure. » C'était étrange, mais Léopoldine était mélangée entre un sentiment d'inquiète et à la fois de satisfaction. D'un côté, voir sa jumelle souffrir était la dernière chose qu'elle souhaitait, mais d'un autre côté Léopoldine avait toujours envié avec ardeur la vie parfaite de sa sœur. De plus, cela pouvait paraître fou, mais au jour d'aujourd'hui, la jeune femme était totalement amoureuse de Maël. Elle était tombée sous son charme à l'âge de l'adolescence alors que celui-ci sortait déjà avec sa sœur. Plus le temps passer, plus la jeune femme apprenait à le connaître et plus elle l'aimait. À présent, il était devenu tout bonnement impossible de l'oublier, ainsi Léopoldine ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe d'assouvissement quand elle apprenait que leur couple battait de l'aile. Perdu dans ses pensées, la jeune femme décida de se ressaisir en mettant sa jalousie de côté. Elle prit son téléphone afin d'avoir des nouvelles de sa soeur, mais tomba sur la messagerie. Elle réfléchit alors quelques minutes et décida de se rendre à son appartement. Pressé par le temps, la jeune femme attrapa son sac à main à toute vitesse avant de montait dans sa voiture. Arrivé devant la porte de la jeune Mathesson, Léopoldine ne fut pas surprise de n'y trouver personne. À chaque fois qu'elle se disputait avec son fiancé, elle s'absentait toujours un moment afin d'avoir les idées plus claires. Heureusement pour elle, Léopoldine avait encore la clef sur domicile, ainsi elle décida d'attendre à l'intérieur son retour. Confortablement installé dans le canapé du jeune couple depuis près d'une demi-heure, la jeune femme tourna légèrement la tête vers la porte d'entrée quand elle entendit la poignée s'enclencher. Alors qu'elle s'attendait à tomber nez à nez avec une jeune femme à la longue chevelure blonde, Léopoldine se leva en sursaut quand elle vit entrée le magnifique Maël dans la pièce. Elle comprit immédiatement à la façon dont il la regardait qu'il l'avait confondu avec Eleanor. À ce moment précis, Léopoldine savait parfaitement qu'elle aurait dû lui faire comprendre qu'elle n'était pas la personne qu'il croyait. En tout cas c'est ce que toute personne seine d'esprit et normalement constituer aurait fait, mais malheureusement Léopoldine Mathesson n'avait jamais été seine et son esprit divaguait totalement en présence de ce beau ténébreux. Ainsi, lorsque Maël s'approcha de la jeune femme et prit délicatement son visage entre ses mains avant de l'embrasser amoureusement, elle n'eut aucun mouvement de recule. Ce qu'elle était en train de faire était d'une immonde cruauté, elle le savait très bien, mais comment pouvait-elle résisté à la tentation alors qu'elle avait enfin le plaisir de gouter aux douces lèvres du jeune homme. -« Pardonne-moi ! Pardonne-moi mon ange ! Je... Je travaillerais moins, je te le jure. Je ne veux plus qu'on se dispute...» avait-il imploré d'une triste voix. Il n'était pas encore trop tard pour faire marche arrière, mais Léopoldine n'en avait ni force, ni la volonté. Il était tellement bon de se sentir désiré. Elle plongea son regard dans ses magnifiques yeux gris et lui esquiva un de ses plus beaux sourires. -« Bien-sûr que je te pardonne.» Tout ce passait comme dans un rêve, Léopoldine n'oser à peine y croire. Elle allait bientôt se réveiller dans son lit et la vie reprendrait son cours du temps. En attendant, la jeune femme s'approcha au plus près de Maël afin de lui donner un baiser timide. Leurs visages étaient tellement proches que Léopoldine pouvait sentir la chaleur de son souffle, elle glissa ses mains derrière la nuque du jeune et l'embrassa langoureusement. -« Je sais que toutes ces heures de travail, ce n'est pas pour rien. Que c'est pour nous.» À l'entente de cette phrase, un magnifique sourire se dessina sur les lèvres du jeune homme. C'était idiot, elle le savait, mais Léopoldine se plaisait à croire qu'elle pourrait devenir sa soeur rien qu'une seule soirée. -«Je te comprend mieux que quiconque. Et je sais que je n'aurai jamais pu rencontrer meilleur homme que toi.» Le cœur de la jeune femme battait à tout rompre, elle avait terriblement envie de faire une chose, mais elle n'osait pas. Enfin, elle se rapprocha et lui murmura à l'oreille d'une douce voix: -« Je vous aime Monsieur Lecompte. » Le jeune homme l'embrassa avec frénésie avant de rétorquer : -« Je vous aime encore plus mademoiselle Mathesson. » Léopoldine sentait les larmes qui commençait doucement à monter, entendre ces mots dans sa bouche était une vraie torture. Bien qu'elle est toujours rêvé de ce moment, la jeune femme savait que cet amour ne lui était pas réellement destiné et cela l'anéantissait totalement. Elle passa la main dans le cheveux du beau brun et l'embrassa avec sensualité sur le bout des lèvres. Elle savait que si elle couchait avec Maël rien ne serait plus pareil entre sa sœur et elle, mais pour le moment ce n'est pas vraiment quelque chose qui préoccupait la jeune femme..
[ ]
Quand elle se réveilla le lendemain matin dans les bras de son bien-aimé, Léopoldine fut soulagé de voir que tout cela n'avait pas été qu'une simple illusion. Il était toujours là, près d'elle, avec son petit sourire malicieux et son regard de braise. La jeune femme n'avait jamais été aussi heureuse qu'à ce moment précis, c'était cette vie là qu'elle avait toujours rêvé d'avoir, cette vie avec lui. Si elle aurait pu, elle ne l'aurait jamais quitté, elle serait restée cloîtré dans cette chambre pour l'éternité. Mais malheureusement les choses étaient loin d'être aussi simples. Cela faisait près d'une dizaine de minute que le beau brun s'était levé afin de préparer le petit-déjeuné. Impatiente, la jeune Mathesson s'enroula dans une fine couverture de couleur pourpre et se dirigea hâtivement vers la cuisine : -« Et bien alors ? Qu'est-ce que tu fais... ? » La jeune femme se stoppa aussitôt quand elle aperçut Eleanor dans la pièce. Celle-ci se tenait tout près de Maël qui avait l'air à présent totalement déboussolé. Elle eut un mouvement de recule quand elle comprit ce qu'il s'était passé en son absence et lança un regard remplit de dégout à sa sœur jumelle. A ce moment précis, Léopoldine comprit que ce beau rêve allait rapidement devenir un cauchemars.
Chapter three.
ϟBeginning of the problems
Léopoldine avait posé ses mains contre le lavabo et regardait avec dégout la grande rousse qui se tenait en face d'elle. Ces derniers temps, la jeune Mathesson avait tout essayé afin de se faire pardonner de sa soeur. Elle avait même été jusqu'à changer sa couleur de cheveux, mais cela n'avait rien changé. À quoi s'attendait-elle? Elle avait couché avec le mari de sa propre soeur en se faisant passer pour elle, c'était évidemment qu'elle ne lui pardonnerait jamais. Léopoldine se passa de l'eau fraiche sur le visage comme si cela allait changer quelque chose à son désarroi. Elle recula légèrement et laissa couler quelques larmes sur ses joues. Il y a une semaine, la jeune femme s'était rendu compte qu'elle avait du retard. Elle ne s'était pas immédiatement inquiété, mais les jours passés et Léopoldine avait décidé de faire un test de grossesse. C'était étrange comment la vie pouvait très vite basculer, il y a quelques temps, elle n'était qu'une femme jalouse qui s'ennuyait dans sa misérable vie. Voilà qu'aujourd'hui, elle se tenait debout, en face de ses fichus test de grossesses qui n'affichaient pas la bonne couleur. Bizarrement, ce qui l'inquiétait le plus n'était pas le simple fait d'être enceinte, après tout la jeune femme approcher de la trentaine et il faut avouer qu'elle avait toujours rêvé d'être maman. Ce qui l'effrayait réellement était de se retrouver seul, ce qui était fort probable d'arriver étant donné que le père se trouvait être Maël. Perdu dans ses pensées, Léopoldine en avait pratiquement oublié le dernier test qu'elle venait de faire. Elle s'approcha la boule au ventre en espérant que les précédents étaient erronés, pris l'objet en plastique blanc et regarda le cadrant avec espoir. Mais malheureusement, il fallait se rendre à l'évidence Léopoldine Ali Mathesson était belle et bien enceinte.
just the way you are
Pour commencer, mon petit nom à moi c'est Camille et skreakounet pour les intimes. Pourquoi je dis ça moi ? Pratiquement personne m'appelle comme ça, et voilà, à peine arrivé et je commence déjà à raconter que de la merde Mis à part ça, pour le moment j'ai 16 ans et j'habite dans la " merveilleuse " région de la manche où il ne fait jamais beau Je me suis inscrite sur votre splendide forum parce que tout d'abord il déchire tout et ensuite parce que ce cher petit Narcisse Maël vous a fait une pub d'enfer Il ne faut pas que j'oublier de vous dire que je suis interne donc je ne suis disponible que le week-end. Mais qu'est ce que je dis moi ? C'est les vacances pour le moment , j'avais presque oublié avec toute cette émotion Brefouille, je crois que je vais m'arrêtait là, j'ai déjà dit assez de conneries
bannière de poon & icon de marley smith.
Dernière édition par Léopoldine A. Mathesson le Ven 1 Juil - 18:02, édité 25 fois
Sujet: Re: Léopoldine ❁ Jealousy only made me feel I was in love. Sam 18 Juin - 16:56
une amoureuse des smileys à ce que je vois. anna est super choix d'avatar, bienvenue parmi nous & bonne chance avec ta fiche. j'espère que tu vas te plaire parmi nous en tout cas. (a)
Sujet: Re: Léopoldine ❁ Jealousy only made me feel I was in love. Dim 26 Juin - 20:36
Ta fiche est postée depuis plus d'une semaine & ne semble pas achevée. Tu as quarante huit heures pour demander un délai si tu souhaites rester sur le forum. Dans le cas contraire, ta fiche se verra déplacée et ton compte supprimé. :)