Dorian Solomon Gray-Hudson

« Without a change our lives will never last 'cause we're going fast. »

NOM(S): Gray-Hudson. ❖ PRÉNOM(S): Dorian Solomon. ❖ AGE: 32 ans. ❖ ORIGINE: écossaise. ❖ STATUT CIVIL: marié. ❖ MÉTIER OU ÉTUDES: professeur de biologie. ❖ GROUPE: adult’s world. ❖ AVATAR: James McAvoy.

nothing's gonna change my world

Pitlorchy, une petite ville écossaise, assez inintéressante en soit. Il se demandait parfois ce qu’il fichait encore dans une ville pareille. La réussite sociale dans une ville dont la moitié de la population est retraitée et dont un quart étaient encore des enfants, voilà la galère. Oui, pourtant il avait passé toute sa vie dans cette petite ville un peu paumée. Il avait vu le jour dans cette ville une époque bien lointaine dont il ne se souvenait évidemment pas, pas plus que ces premiers moment à l’école et de ses jeunes années. Il lui restait parfois des brides de souvenirs de ses quelques années où il avait été fils unique. Il avait vécus quelques années en étant le seul fils qu’un couple simple mais heureux vivant dans ce qui ressemblait presque au trou du cul du monde. Ils n’avaient pas besoin d’une grande ville, ni même de tout l’or du monde, ils avaient déjà Dorian - et ça c’est quand même le must du must - et bientôt deux autres enfants, une fille, un deuxième fils et tout le bonheur du monde. Mais les deux autres, on s’en fiche un peu, l’important ici c’est Dorian. Quand il y repensait aujourd’hui, il avait lui-même tout pour être heureux, si ce n’est qu’il avait des rêves un peu trop grands pour une ville comme Pitlorchy, mais qu’importe, devant le fait accompli, il avait fini par abandonné ses rêves. Vous savez, ce moment fatidique de l’entrée à l’université. Il aurait pu avoir ce qu’il voulait. Il avait d’excellente notes un peu partout, il était doué en sport, il était populaire, il sortait avec la jolie blonde sexy que tous les lycéens auraient voulu avoir, enfin bref, tout allait bien dans la vie de Dorian. Il y avait eu ce moment où il avait envisagé de partir faire ses études en Angleterre parce que selon lui, l’Angleterre avait plus de chose à offrir que l’Écosse. Mais bizarrement, un bon matin, il s’était rendu compte qu’il pouvait parfaitement étudier la biologie en Écosse après tout mis à part Oxford, une université c’était une université non ? En fait, il avait visé Oxford, et il aurait pu y entrer sans doute, c’était un excellent élève qui en plus disposait d’une bourse sportive, what else si ce n’est nespresso et George Clooney ? Pas grand-chose, de toute façon à l’époque George Clooney était encore un simple pédiatre au Cook County de Chicago. Bref, il n’empêche, qu’après réflexion et face au regard de chien battu de sa mère quand il lui avait annoncé ça, le regard qui voulait dire ‘s’il te plait ne pars pas si loin’, il avait réalisé qu’il n’était peut-être pas près à quitter sa famille. Il avait beau être brillant populaire et tout ce qui allait avec, il tenait énormément à sa famille, alors il avait fait le choix de rester dans cette ville pourrie sans doute pour le restant de ses jours. Une bonne raison pour passer une soirée d’enfer à la remise des diplômes durant laquelle il se pris une bonne cuite, pas la première ni la dernière de sa vie, et une bonne claque dans la figure, pas la première ni la dernière de sa vie, de la part de sa petite amie parce qu’il avait soit disant dragué une autre fille, chose dont il ne se souvenait même pas le lendemain, alors vous savez ce qu’on dit : ‘ça compte pas’. Enfin bref, de toute façon, il avait réussit à régler le problème avec sa petite amie, mais qu’importe il cette histoire est finie aujourd’hui et c’est à peine s’il se souvient de son nom. Et puis un jour on lui avait dit ‘Hey, Dorian, on part aux États-Unis, tu viens avec nous ?’ il avait vingt-deux ans, il aurait très bien pu dire à ses parents d’aller se faire voir mais, le regard pétillant et un large sourire illuminant son visage il avait accepté. C’était le début d’un changement radical dans sa vie … Ou pas.

Rien avait changé en fait aux États-Unis, il s’était retrouvé dans une autre petite ville. Arrowsic, dans le Maine. C’était à peu près la même chose, sauf qu’au lieu d’être en écosse, elle était dans aux États-Unis. Génial. Il n’y a eu qu’une chose qui changea vraiment de sa petite ville natale en réalité et ce fut une femme. Une rencontre, la personne que l’ont croit être le vrai amour, celle avec qui le monde est beau, le monde est parfait. Dorian pensait avec trouvée cette personne dans cette petite ville paumée des États-Unis. Sinon, le reste n’avait pas vraiment changé, il était toujours le même garçon extraverti et ayant du succès après des autres, peut-être encore plus maintenant qu’il se trouvait autour d’américains puisqu’il avait son accent écossais qui lui donnait ce petit quelque chose que les autres n’avaient pas. Bref, toujours égal à lui-même, si ce n’est que pour ce qui était sans doute la première fois de sa vie il est vraiment tombé amoureux de cette femme et c’était réciproque. Le genre d’histoire d’amour qui donne envie de voir la vie tout en rose qui rend presque aveugle aux choses extérieures. Le grand amour. Leurs études terminées, sans doute un peu sur un coup de tête, le jeune homme demanda à sa petite amie de l’épouser, proposition qu’elle accepta. A cette époque la vie de Dorian était parfaite sans aucun doute, en tout cas c’était son point de vu à lui. Son mariage était un jour qui même maintenant restait gravé dans sa mémoire, on dit souvent que le mariage est le plus beau jour de toute une vie, c’était sans doute vrai. C’était un jour parfait, elle était resplendissante dans sa grande robe blanche, et lui, il avait l’impression d’avoir l’air bizarre dans son élégant costume, mais bon, c’était le cas de tous les autres mariés après tout. Un jour parfait, oui. Les autres qui suivirent le furent aussi. Le futur promettait d’être beau. Mais il arrive toujours un jour ou la roue tourne après tout, il y a bien un moment où on balance un grand malheur dans une vie pour contrebalancer les choses ? Bizarrement un grand malheur à plus d’impact dans une vie qu’un grand bonheur, les moments de bonheur on fini par les oublier, les souvenirs se ternissent et s’éteignent. Un grand malheur, ça reste gravé à vie, comme une marque au fer rouge. Tout allait bien dans le meilleur des mondes sur la planète Dorian, marié, heureux et patati et patata, mais mieux encore, sa femme était enceinte, il allait devenir papa ! Que demander de mieux à la vie ? Rien, sans doute, difficile d’avoir mieux, mais on peut toujours avoir pire. Elle fit une fausse couche. Difficile de se remettre de ça et pourtant Dorian fit de son mieux pour garder la tête haute, ce que sa femme n’arriva pas à faire, sombrant peu à peu dans ce qui semblait être une dépression au point de disparaitre du jour au lendemain, sans laisser de traces.

Elle était partie Dieu seul savait où, il ignorait si elle allait seulement revenir un jour. Il aurait pu choisir de noyer son chagrin dans l’alcool, jusqu’à en crever. Mais est-ce que ça en valait vraiment le coup ? Il n’en savait rien et ce n’était pas en buvant encore plus qu’il trouverait une réponse. Il en avait avalé les litres d’alcool dans le seul but d’oublier tout ce qui n’allait pas. L’avantage de l’alcool c’était ça, à force de boire on finissait par tout oublier, pendant quelques heures il avait l’esprit brouillé et devenait incapable de penser. Le problème, c’était la gueule de bois le lendemain matin, la migraine, les cernes, la tronche de zombie, pour aller donner des cours à des lycéens c’était moyen quand même. Au final une cuite avait moins d’avantages que de désavantages et un beau jour il avait réalisé ça. Après tout, il avait mieux à faire de sa vie que de se morfondre et de pleurer sur son misérable sort. Il avait perdu sa femme certes, il n’avait pas su l’aider, il s’en voulait. Mais tout n’était pas encore perdu, il lui restait sa très chère famille, ces gens qui l’avaient accompagné depuis qu’il était né et pour qui il était prêt à tout. S’il y avait bien une raison de lutter contre tout ce qui n’allait pas dans sa vie, c’était eux. Il avait décidé d’arrêter de se plaindre, de se relever et de continuer à exister parce qu’après tout, il avait toujours la vie devant lui, même s’il avait mit pas mal de temps à s’en rendre compte …

Hello (a) Je m’appelle Anaïs, je suis une fille, en même temps Anaïs pour un garçon se serait moyen, déjà pour une fille j'aime pas alors bon. Bref, j'ai 18 ans, j'habite dans le Loire-et-cher. Je suis lycéenne, je viens de passer mon bac S, oui pile l'année ou y a plein de merde dans le bac S, j'ai parfois l'impression d'avoir la poisse. Quoi qu'il en soit, si par le plus grand ses hasard je deviens bachelière, j'irais en fac de biologie, sinon, je ferais une nouvelle terminale S, je vois pas ce que je pourrais faire d'autre x). Dans le monde du Rpg on me connait sous le pseudo de Sweet Poison bien que je ne pense pas être très connue (a). J'ai connu le forum sur PRD, mais j'ai déjà était inscrite il y a très longtemps, mais je me souviens très bien avoir eu la grippe genre 39 de fièvre clouée au lit devant des épisodes de doctor who et de torchwood que j'avais déjà vu des centaines de fois, après reprise des cours et bac blanc alors forcément j'avais oublié de prévenir que j'étais à l'agonie et prise dans mes révisions donc j'ai été supprimée, mea culpa. Si je reviens après tout ce temps c'est que j'aime bien le forum, et surtout que j'ai trouvé un scénario me plaisant sinon j'ignore si j'aurais cédé à la tentation. Sinan, je sais pas quoi dire alors je vais me taire ça vaudra mieux pour tout le monde (a).

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