Sujet: you destroy everything ϟ are you happy ? ► LEOPOLDINE ♥ Sam 16 Juil - 20:19
« Because you lied to me. »
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Comme tous les soirs depuis que Maël a déménagé, depuis qu'il a tout perdu : Sa fiancée. Son travail. Sa vie. Son intégrité. Son honneur aussi. Cet ancien scientifique est toujours au même endroit. Il n'y a jamais eu aucunes exceptions pour recommencer son vice. Chaque soirs, il est au bar de Arrowsic à boire. Il boit jusqu'à ne plus pouvoir marcher seul, il boit jusqu'à ne plus pouvoir contrôler sa force, il boit jusqu'à en oublier qui il était autrefois, il boit jusqu'à ne plus pouvoir boire. Pourtant cet homme n'est pas un idiot, il sait que s'il continue comme ça, ce n'est pas sa putain de maladie incurable qui le tuera mais, l'alcool, ce nectar aphrodisiaque qui est la seule chose qui permet d'étancher sa soif. Et pourtant il continue. Après tout, quand vous n'avez plus rien, plus rien qui vous aide à vous accrocher à cette terre, pourquoi attendre son heure ? La seule chose, l'unique chose qui aide Maël à se réveiller le matin, c'est l'idée de recommencer à se détruire le soir. Il sait que c'est mal. Il sait que ce n'est pas une solution. Il sait qu'il est surement plus fort que ça, tout de même ! Et pourtant, et oui, et pourtant, qui voyons-nous là pousser les portes du bar de la ville ? C'est bien ce Narcisse Maël Lecompte. Enfin ce qu'il en reste.
Quand Maël entra, il fit une entrée assez fracassante. En effet, il avait déjà commencer à boire avant d'entrer ici alors il ne contrôla pas sa force, et la porte fit plus de bruit que prévu. Le brun regarda alors la porte, troublé et étonné par ce qu'il venait de faire puis il se retourna vers le patron qui était en train de regarder le nouveau venu, nouveau venu qu'il connaissait fort bien car c'était son client le plus fidèle et peut-être celui qui lui rapportait le plus, le barman regardait toujours l'homme, les bras croisés, peu étonné par cette entrée mais, il le regardait comme un père pourrait regarder un fils qui serait rentré d'une soirée. Maël afficha un petit sourire, et referma doucement la porte. « ▬ Désolé patron. » Dit-il avec insouciance. Le barman poussa un petit soupir désespéré puis repartit à son travail. Puis le jeune homme commença à s'avancer vers un tabouret pour être bien installé près du bar mais, ce petit trajet fût assez difficile. Il avait peut-être déjà un peu trop abusé de la bouteille finalement. Quand il fût enfin installé, plus personne ne lui prêta attention, se reportant sur leurs occupations principales. Avant de passer commande, l'ancien scientifique regarda autour de lui pour voir qui était là ce soir : Une bande d'amis qui devaient fêter quelque chose. Un couple. Un homme qui tentait d'avoir une femme dans son lit. Les alcooliques habituels. Rien d'extraordinaire en somme. « ▬ Qu'est-ce que je te sers ce soir ? » Maël se retourna immédiatement vers le barman, puis il fit mine de réfléchir. Comme-ci il ne savait pas ce qu'il voulait... « ▬ Wisky, s'il te plait. » Dit-il finalement avec un large sourire. Le patron le regarda avec pitié, se demandant comment un homme pouvait en arriver à boire autant mais, il ne réfléchissa pas davantage, et servitle verre demandé. Peu importe, tant que ça rapporte, pensa le barman. Le jeune homme regarda le verre quelques minutes avec attention. Boire. Ne pas boire. Boire. Ne pas boire. Boire ? Ne pas boire ? Boire. Il prit le verre, et d'une seule fois, il finit le verre. Sa gorge le brûlait, et il aimait ça. Sa tête tournait déjà, et il aimait ça. Puis il regarda de nouveau le gérant du bar qui essuyait un verre avec un torchon. « ▬ Un autre. » Demanda t-il avec ce même large sourire. Le patron arriva alors de nouveau avec la bouteille. « ▬ Tu ne crois pas que tu devrais t'arrêter là ? » Demanda t-il en sachant très bien que son client avait déjà bien consommé avant de venir dans son commerce. Mael se mit à sourire en regardant son verre se remplir, et regarda ensuite la porte de tout à l'heure. « ▬ Tu vois ta porte ? Et bien, je crois que je l'ai sacrément abîmée. » Dit-il en se tournant ensuite vers le barman qui ne comprenait pas où l’alcoolique voulait en venir. « ▬ Je paye pour boire mais, je paye aussi pour que tu puisses réparer cette porte que j'ai abîmée. » Dit-il en regardant droit dans les yeux son interlocuteur, interlocuteur qui comprenait où il voulait finalement en venir. « ▬ T'es une cause perdu. Je te laisse la bouteille, je suppose. » Dit-il dépité par la situation. « ▬ T'as tout compris chef ! » Dit-il avec excitation. Le gérant laissa la bouteille et prit tout l'argent que venait de lui donner son client, et il repartit comme il était venu. Le client est roi après tout, pensa le gérant. Une demi-heure s'écoula, et Maël continua à boire. Quand soudain, une jolie jeune femme s'installa au près de lui. « ▬ Une bouteille entière pour un seul homme, et bien. » Dit-elle avec une voix enjôleuse. Mael émit un petit rire léger, et reprit une gorgée de wisky. « ▬ On boit, ou on ne boit pas. » Dit-il en regardant enfin bien la jeune femme. Elle était le clichée type de ce genre de latine que les hommes adorent, comme Eva Longoria, presque un sosie de cette actrice d'ailleurs. Elle avait aussi un air de cette adolescente qui le collait tout le temps, tiens. Comment s'appelait t-elle déjà ? Ah oui Leona. Maël avait toujours eu un certain charme sur les femmes mais, ce qu'il ne comprenait pas c'est que son charme marchait encore plus quand il buvait. Les femmes, un vrai mystère, pensa alors le jeune homme ainsi que le barman qui regardait la scène, jaloux de la chance qu'avait son client. « ▬ On partage ? » Dit-elle en se rapprochant davantage de lui. « ▬ Avec plaisir. » Dit-il en levant ensuite la main pour demander au barman d'apporter un autre verre. Quand le verre fût apporté, il versa un peu du contenu de la bouteille dans le verre de la demoiselle. Et ils commencèrent à boire, et à faire lentement connaissance. « ▬ Alors dis-moi Maël, qu'est-ce qu'un homme aussi mignon que toi fait ici, à boire tous les soirs ? » Dit-elle après une gorgée de wisky. Maël se mit à sourire tristement, puis il reprit encore une gorgée de ce nectar destructeur. « ▬ Pour résumé, j'ai trompé ma fiancée avec sa soeur jumelle. » Dit-il avec désinvolture. « ▬ Dur. » Dit la jeune femme qui en profita pour poser sa main sur la cuisse de son compagnon de beuverie. Ce simple geste signifiait beaucoup de choses, en somme, Maël ne passerait pas la nuit seul ce soir. Il s'apprêta alors à embrasser la jeune femme quand il vit une autre femme qui les regardait, depuis un moment peut-être. Il s'arrêta donc dans son geste, se reculant un peu, laissant la latine en attente, et voyant que sa proie était intéressé par autre chose, elle se retourna pour voir ce qu'il en était. Il était perturbé par cette rousse là-bas, pensa alors Maria. Quant à Mael il resta quelques minutes sous le choc, croyant voir son ancienne fiancée puis la couleur de cheveux de la jeune femme le ramena sur terre. Et l'alcool prit le dessus sur l'homme. Il se leva d'un coup et se mit à s'écrier tout en regardant droit dans les yeux Leopoldine : « ▬ Maria ! Je te présente la femme qui a détruit mon couple ! » Dit-il en riant. Puis il vint vers la jumelle de son ancienne fiancée pour la prendre par le bras, et la tirer vers là où il était depuis un long moment déjà. « ▬ Maria, je te présente Leopoldine. » Dit-il en regardant Maria puis ensuite la jeune femme aux cheveux roux, dont il lâcha finalement le bras. « ▬ Leo, je te présente Maria. » Dit-il en procédant de la même manière mais, cette fois-ci d'abord Leopoldine ensuite la latine. Il afficha un grand sourire malgré le malaise qu'avaient les deux jeunes femmes. L'alcool avait encore eu raison de l'homme ce soir. L'ancien Maël n'était encore plus là ce soir.
Sujet: Re: you destroy everything ϟ are you happy ? ► LEOPOLDINE ♥ Mar 30 Aoû - 0:32
An evening not ordinary.
ϟ MAËL LECOMPTE & LEOPOLDINE MATHESSON.
Léopoldine ne pouvait plus supporter le silence terne et froid de son appartement. Le silence avait quelque chose d'effrayant. Il était comme un ennemi intouchable qui prenait un malin plaisir à vous rappeler votre solitude. Il se glissait entre les murs et vous obliger à repensait à vos erreurs et à réfléchir sur votre futur. Il était mesquin et terrifiant et bien qu'il soit difficile de l'avouer, la plupart du temps, le silence avait raison. Mais ce soir, Léopoldine n'avait aucune envie de s'entendre dire qu'elle avait absolument tout rater. Elle ne voulait pas non plus se demander pendants des heures ce qu'elle allait devenir avec un enfant. Un enfant qu'elle ne désirait pas vraiment et qu'elle devrait assumé seule. Un enfant sans famille. Non, ce soir la jeune Mathesson était trop fatiguée pour subir ça. C'est ainsi que Léopoldine se retrouva à une heure tardive, dans les rues de Arrowsic, à la recherche d'une ambiance enivrante. Marchant d'un pas lent et mal assuré, elle hésita à plusieurs reprises à entrer dans certains bars, mais changeait d'avis à chaque fois qu'elle était sur le point d'entrée. Ce fut seulement au bout d'un quart d'heure que la jeune femme se décida enfin à enclencher la porte de l'un deux. Pourquoi spécialement cet endroit ? Léopoldine n'en avait aucune idée. Elle pensait passer une soirée comme toutes les autres, quelque chose d'habituelle. Elle se ferait surement accoster par un homme qui n'avait pas fier allure et comme souvent, elle le rejetterait en lui balançant une injure des plus vulgaire à la figure. Bien que la possibilitée qu'elle finisse la soirée avec un homme qu'elle ne connaissait absolument pas n'était pas impossible. Léopoldine pénétra dans le bar et jeta quelques coups d'oeil autour d'elle. Elle chercha désespérément des yeux une place où s'installer, mais à peine avait-elle eu le temps de faire un pas que son regard s'arrêta brusquement sur le comptoir. Le bas de son ventre se serra et son coeur fit un bon à l'intérieur de sa poitrine. Il était là, à seulement quelques mètres d'elle. Au début, elle n'en fut pas persuadée, peut-être était son imagination qui lui jouait des tours. Mais en fin de compte, ce ne pouvait être que lui. Maël, Maël Lecompte. Il était tranquillement installé au comptoir, un verre à la main et semblait accompagnée par une jeune femme aux origines latines. Léopoldine n'aurait surement pas dû, mais elle ne put s'empêcher d'être surprise de le voir dans cet état. Il avait mauvaise mine, semblait totalement soue et de l'endroit où elle était, la jeune Mathesson crut apercevoir la main de la latine posait sur la cuisse du jeune homme. Comment un homme qui était si brillant et qui s'était toujours conduit en parfaite gentleman pouvait en être réduit à ça ? Biensûr, Léopoldine avait la réponse à cette stupide question, mais comment aurait-elle pu l'admettre ? Comment aurait-elle pu admettre qu'elle avait réussi à détruire la vie du seul homme qu'elle avait aimé en une fraction de seconde ? Totalement absorber par le jeune Lecompte, Léopoldine resta immobile devant la porte d'entrée. Elle n'avait même pas bougé d'un centimètre quand une femme d'une trentaine d'année à la coiffure étrangement coloré l'avait bousculé. Elle se tenait là, à seulement quelques mètres de lui et ne savait absolument pas quoi faire. La solution qui semblait la plus simple et la plus logique aurait été de partir, elle l'avait assez fait souffrir et il était inutile de retourner le couteau dans la plait. Mais pourtant, son corps tout entier lui disait de rester, même si rester signifier qu'elle devrait supporter les insultes d'un homme blessé. Et soue qui plus est. Soudain, les mains de Léopoldine devinrent légèrement moites et les battements de son coeur s'accélérèrent. Maël Lecompte avait levé les yeux en sa direction et la fixer à présent de ses magnifiques yeux gris. La jeune femme eu un bref moment d'hésitation pendant lequel elle crut sincèrement que Maël était heureux de son arrivée dans le bar. Mais le regard du jeune brun se remplit très vite d'amertume et Léopoldine comprit alors qu'il avait tout bonnement crut voir apparaître sa fiancer et s'était rapidement rendu compte à qui il avait affaire. -« Maria ! Je te présente la femme qui a détruit mon couple ! » Le jeune homme avait pratiquement hurlé cette phrase tout en gardant le sourire aux lèvres. Plusieurs personnes s'étaient sans doute retournées afin de profiter du spectacle et Léopoldine était à présent persuadé qu'on la regardait. Mais elle en fin de compte, cela n'avait pas vraiment d'importante. Elle se fichait totalement de ce que pouvait penser les gens, la seule personne qui comptait réellement était Maël. Elle avait tellement honte vis-à-vis de lui qu'elle aurait été capable de se transformer en petite sourie et de se glisser entre les murs. Malheureusement, la jeune Mathesson n'avait pas d'autre choix que d'assumer les conséquences de ses actes. En effet, avant même qu'elle n'eut le temps de faire quoi que ce soit, le jeune homme bondit de son tabouret, attrapa Léopoldine part le bras et la tira de force jusqu'au comptoir. Léopoldine ne tenta même pas de s'échapper de son emprise, il était en colère et elle ne pouvait pas lui en vouloir. -« Maria, je te présente Leopoldine. » avait-il annoncer en regardant les deux femmes. Léopoldine fit un léger hochement de tête à l'adresse de Maria, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle était censée faire dans une situation pareille. -« Maël, arrête. » Murmura-t-elle dans un son pratiquement inaudible, mais, le jeune homme continua tout de même les présentations : -« Leo, je te présente Maria. » Un large sourire s'était alors dessinée sur les lèvres du jeune homme, Léopoldine ne s'était rarement senti autant mal à l'aise. Elle aurait voulu s'excuser et tentait de lui expliquer, mais comment aurait-elle put s'excuser d'avoir détruit son couple ? Un simple pardon ne suffirait pas. Pourtant, elle ne pouvait pas rester muette. Elle n'avait pas vraiment d'autre choix. -« Maël, je suis désolé. Sincèrement, si tu savais à quel point je regrette. » dit-elle d'un ton presque suppliant en baissant légèrement la tête. Après quoi, la jeune femme prit son courage à deux mains, elle s'approcha plus près de Maël et plongea son regard dans celui du jeune homme. -« Mais ce n'est pas comme ça que les choses s'arrangeront, tu le sais Maël. C'est comme ça que tu passes toutes tes soirées ? » dit-elle d'un ton légèrement plus stricte cette fois ci. Lui faire la leçon était forcément mal venue de sa part, mais Léopoldine n'avait put s'en empêcher. Cela était peut-être difficile à croire, mais la jeune femme s'inquiéter vraiment pour lui.
Sujet: Re: you destroy everything ϟ are you happy ? ► LEOPOLDINE ♥ Dim 11 Sep - 18:50
« Because you lied to me. »
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Bon sang, qu'est-ce qui lui prenait ? Pensa-t-il. Où se trouvait l'homme doté de raison, cet homme fort qui arrivait à surmonter les épreuves, cet homme qui avait eu autrefois de la fierté ? Oui, où était-il dont cet homme ? Et bien il s'était tout bonnement noyé. Il s'était noyé dans la tristesse d'avoir perdu sa fiancée, dans la rage de s'être fait ainsi manipuler, dans la peur de mourir, et pour finir dans l'alcoolisme. Il s'était définitivement perdu, et le Maël d'avant n'arrivait plus à remonter à la surface, il ne faisait que sombrer, sans aucuns moyens de s'en sortir. Au fond de lui, le jeune homme avait honte d'être ce qu'il était à présent, à être réduit à boire plus que sa soif ne lui permettait, pour oublier sa vie de merde, à être réduit à passer les nuits avec n'importe qui, à être réduit à la ridiculiser. Le jeune homme se mit à regarder Léopoldine, plongeant son regard dans le sien. Elle semblait triste, terriblement triste... Il ne devait pas avoir de la pitié pour elle, il ne devait ressentir que du dégoût et de la rage pour elle, uniquement cela. Alors pourquoi avait-il terriblement envie de la prendre dans ses bras et de lui murmurer que tout allait bien ? Suite à cette absurde envie, l'ancien scientifique se flanqua une claque intérieurement. Il déraillait ! Il était prêt à en quelque sorte pardonner à cette traîtresse mais, quel idiot ! Pendant les présentations, qui mettait la petite rousse au plus bas, Maël crut apercevoir la jeune femme murmurer quelque chose mais, il n'y prêta pas attention, et continua à sourire tout simplement, tellement simplement que cela pouvait sembler cruel pour la Mathesson étant donné la situation. Pendant que les jeunes demoiselles se faisaient un signe de tête pour se présenter, l'alcoolique prit la seule chose dont il avait besoin : Son verre. Le tenant donc bien en main, il se replaça comme il était quelques secondes plus tôt, entre Maria et Léopoldine, et prit une gorgée de ce nectar brûlant qui était en train de le détruire davantage. « ▬ Maël, je suis désolé. Sincèrement, si tu savais à quel point je regrette. » Le jeune homme se manqua presque de s'étouffer en entendant ceci, et se mit ensuite à rire. Un rire forcé. Un rire jaune. Un rire presque sadique. « ▬ Oh je t'en prie arrête ton cinéma de Mère-Térésa. Je sais bien que tu ne regrettes absolument pas ce que tu as fait. » Dit-il en continuant de lui sourire, malgré que son regard était dur et froid. Puis, il tenta de se rapprocher doucement de l'oreille de Léopoldine mais, le chemin était difficile. L'alcool et ses méfaits, heins ? Pensa-t-il. « ▬ Je sais très bien que je n'étais qu'un jouet et que tu voulais juste faire payer à ta soeur, petite jalouse. J'espère qu'au moins tu as apprécié cette nuit. » Dit-il sèchement, puis il se recula, reprenant alors ses distances. Puis il se mit à regarder Maria, qui semblait très mal à l'aise et qui avait perdu toute son assurance de prédatrice, ce qui fit sourire l'ancien scientifique. Ensuite, il reporta son attention sur la soeur jumelle d'Eleanor qui s'était rapproché de lui. « ▬ Mais ce n'est pas comme ça que les choses s'arrangeront, tu le sais Maël. C'est comme ça que tu passes toutes tes soirées ? » Quelques secondes s'écoula, laissant un homme complètement perturbé. Pourquoi elles se ressemblaient tant ? Pourquoi avait-il terriblement envie de l'embrasser ? Pourtant tout ce désir qu'il ressentait pour la jeune femme, Mael réussit à le transformer en une haine farouche. Il posa violemment son verre sur le bar, et se rapprocha encore plus de la demoiselle. « ▬ Que tout ça bien clair dans ta petite tête, je n'ai à recevoir aucuns conseils de toi, et je passe mes soirées comme je l'entends ! Car ne te méprends surtout pas, ce n'est pas parce que j'ai couché avec toi, que tu représentes quoi que se soit pour moi. Tu n'es absolument rien ! Juste la garce qui a détruit ma vie. » Lui cria-t-il au visage. « ▬ Je crois que je vais partir... » Dit la latine en prenant son sac à main et en commençant à se lever. Mael se retourna alors vers la brune, toujours autant énervé. « ▬ Ouais, c'est ça, barre-toi! » Cria-t-il de nouveau. Puis quand il avança de quelques pas, il tomba lamentablement au sol mais, la latine partit sans se retourner. Bon sang. Qu'est-ce qu'il était devenu ? Il était devenu rustre, vulgaire, pitoyable. Il ne se reconnaissait plus... Quand il se trouva au sol, la tête complètement collé à terre, ses paupières commencèrent à tomber, il se sentait faible, terriblement mal. L'alcool et ses méfaits, heins ? Repensa-t-il de nouveau. Il leva donc le bras vers Léopoldine, comme-ci il voulait la saisir, pour l'avoir pour lui, pour lui seul.
Spoiler:
Une petite idée de suite, tu peux répondre à ça, et ensuite je fera bien entrer en scène le barman qui leur dirait de quitter son commerce et du coup tu m’emmènes chez toi. Tu me dis si ça te va, parce que je dois avouer je suis pas fière là.. J'arrive pas à vraiment mettre ce qu'il pense en place, enfin bref en espérant que ça ira meilleure amie.