Elodie, jeune femme cherche jeune homme pour découverte du monde Ah ce n'est pas ici qu'on part à la recherche de son autre moitié Sinon, je crois que je deviens vieille. Vingt et une année, ça fait un sacré bout de temps sur la terre. J'ai connu le foum par publicité mais je dois avouer ne plus savoir où exactement. Le principal soit que je m'y sois arrêté Sinon je pense faire de la fabuleuse dianna un personnage inventé dans toute sa splendeur
Dernière édition par Elissa J. Baxendale le Lun 14 Nov - 21:02, édité 5 fois
Sujet: Re: Eli' ☼ Sometimes, it's better to be alone. Nobody can hurt you. Lun 14 Nov - 20:13
leave your story behind and be the present.
« NOS VIES SONT FAITES D'EVENEMENTS MAJEURS QUI N'ONT PAS EU LIEU, ELLES SONT SONT L'ECUME DE CES ESPOIRS SANS SUITES. »
L’un des vices de l’histoire est que l’on situe les débuts où l’on veut. Ainsi, pour justifier une guerre, on pourra toujours dire que c’est l’autre qui a commencé.
Manchester 1990. Je vais accoucher, je perds les eaux. cria - t - elle. Sans attendre Peter court au secours de sa femme, laissant le petit dans le salon alors qu'elle se trouve dans la cuisine. L'heure était arrivée, la naissance n'allait pas tarder. Sans tarder, il la met dans la voiture et va retrouver son fils qu'il prend également. En direction de l'hôpital le plus proche, il panique, il craint ne pas avoir assez le temps. La boule au ventre, elle ne cesse de crier alors qu'il ne fait que paniquer. En urgence, ils sont accueillis. Nolann, le petit, suis le mouvement. En ce printemps, la famille s'agrandit. Il sait que dans quelques heures, c'est une petite soeur qu'il aura. Celle qu'ils avaient choisi d'appeler Elissa. Sans un bruit, elle montra le bout de son nez. Il ne fallut pas longtemps pour que la petite famille voit le restant de leur famille arriver. Oncles, tantes, cousins, ils étaient tous contents de cette arrivée. Surtout le grand père maternel, il allait accueillir la première fille de leur assemblée. C'était la première demoiselle qu'il allait pouvoir cajoler. Celle qu'il avait peut être plus attendu que les autres.. Cependant, l'année suivante, on lui découvre un cancer incurable. Il se laisse aller et il demandera qu'on lui amène une dernière fois la petite, juste pour un sourire. La petite n'avait qu'un an et demi, elle n'avait rien pour se souvenir de cet homme qu'elle avait connu en début d'existence. Néanmoins, aujourd'hui, elle s'en rappelle encore. Cette relation fusionnelle, complète et sincère. Elle y avait pris goût et c'est par malheur qu'on lui ôte l'homme qui aurait pu lui faire découvrir monts et merveilles.
Tout change, tout s'écroule, la vie n'est pas ce qu'elle paraissait. Sans même être maitre de soi ou de ses choix, leurs parents leur imposent des nounous, les unes à la suite des autres. Le couple semble complétement à dix milles kilomètres de leur cocon familiale. Leur seule inquiétude est de savoir s'ils vont gagner le procès sur lequel, ils travaillent. Les années passent et leurs attitudes ne changent pas. J'ouvre les yeux et la seule personne qui est toujours là, c'est mon frère. Il vient sécher mes larmes, me nourrir, me rassurer, me protéger. On est seuls face à notre destin. Je crois en lui plus qu'il ne peut l'imaginer. Il est le pilier d'une vie, le sens à mon quotidien. Alors les nounous défilent et aucune ne reste. Pourquoi ? Elles ne conviennent pas à nos parents. Du moins, c'est ce qu'ils essayent de dire. Ils ne sont pas souvent là donc c'est difficile d'y croire.. Ces épreuves vont les rapprocher. L'absence de leurs parents devient une habitude et la famille se divise. Sans même qu'ils puissent réagir car il est trop tard quelque chose est cassé et pour le recoller, il faudra plus que de la glu. Les années passent et je continue de m'affirmer. Cette période où quelques tensions apparaissent entre mon frère et moi. Je souhaite affirmer celle que je suis et rien ne peut se mettre sur mon passage. Je veux qu'on me prenne au sérieux. Je ne souhaite pas qu'on me la fasse à l'envers. Alors je deviens vraiment quelqu'un. On fait face devant les bas et les hauts. Parfois dans cette maison, on décide même de s'éviter. On vie notre sale période chacun de notre côté au souhait de ne pas contaminer l'autre. Mais cela n'est qu'idée, car on est bien trop lié, bien trop complice pour ne pas être touché. Lâche moi, sérieux, tu veux me sortir hors de moi. Je fais ce qu'il me plait après tout. Les parents ne sont pas là et ils ne l'ont jamais été. Mon frère ne pouvait s'empêcher d'appuyer là où ça m'énervait, là où j'avais mal. Il savait quoi me dire pour me rendre mal ou énerver. A croire que ça l'amusait. Sourire sur les bouts des lèvres, il allumait le feu qui vivait en moi juste pour s'occuper, juste pour me mettre face à ce que je devenais. Oui, ma petite, sors dans cette tenue, et le gars d'en face se demandera ce qu'une professionnelle de la nuit fait à la maison. Mais bon, tu as raison. Tu ne me dois rien. Cette phrase avait su me mettre hors de moi. Claquant la porte du salon, je fais tombé le vase des parents, ce vase qui avait couté une fortune. J'avais du mal à accepter l'état de ma famille. Je voulais plus que tout autre chose. J'aimerai connaitre les vraies valeurs des parents et leur importance jour après jour. Même s'il était le modèle que je suivais. Il savait me faire réaliser mes erreurs. Quoi qu'il advenait entre nous, il était toujours là dans le coin de mon ombre.
▽ J’ai remarqué que même les gens qui affirment que tout est prédestiné et que nous ne pouvons rien y changer regardent avant de traverser la rue. ;
La vie suis son cours. Manchester, 2006. J'ai la majorité sexuelle à ce qui parait. Alors le temps passe et je grandis sans attendre. Je croise pour la première fois, le regard d'un homme. Il est plus vieux de trois années. Il est le gars que j'avais toujours imaginé aimer. Il est là, me séduit et me charme. Le garçon manqué s'affirme en tant que jeune femme parfaitement à l'aise avec elle - même. Il lui ouvre les barrière de l'amour et elle ne se pose aucune question. Elle y est vite accroc au point même de ne pas se poser de limite. Aucune protection contre les conséquence de l'amour, pas la moindre idée qu'elle pourrait être un jour blessé. Elle n'est pas inhumaine, on se fait tous un jour contaminé par l'amour et ses moments passionnés. Il passe le cap d'un an de relation. Elle est pleinement heureuse au point même de tracasser ses parents. Eux n'ont qu'une idée en tête, faire de leur petite, une futur avocate. Loin de ses études, l'amour en tête, elle boit la vie comme elle vient jusqu'à cette soirée. Aux côtés d'une autre, dans cette chambre, elle trouve Matthews. C'est un cauchemar. En une fraction de seconde son monde s'écroule. Ne me touche plus jamais. Les larmes sur le visage, je lui interdis de me suivre. Il a cassé tout ce qui était bon en moi. Sans plus attendre, je tourne les talons et décide de l'éviter jusqu'à ce que j'obtienne le diplôme. Cette période va me rapprocher de mon frère. Toujours le même, il me protège de cet homme et pousse les parents à partir. New York n'est plus cette ville qu'on a connu. Conscient, il souhaite tout recommencer et va pousser les parents. Il sait que ça peut être le mieux pour moi car ici, je me détruis. Alcool, drogue et même le pire qu'ils peuvent imaginer. Je me noie dans ma peine, dans ma douleur. Je ne peux plus partager l'espace qu'occupe Matthews, je veux m'éloigner, je veux ne plus jamais le revoir. Pourtant mon coeur ne cessera jamais de le réclamer. Ce premier amour, cet homme qui m'a fait grandir et aimer pour la toute première fois.
Arrowsic, 2008. Le nouveau départ, le renouveau pour moi. Les parents ont fini par lâcher mais surtout papa qui avait obtenu cette chance d'être dans l'un des plus grands bureaux du continent. Sans plus attendre, je fais mes valises, je m'en vais. Le coeur lourd et la tête pleine de souvenirs. Ils ont fait un pacte avec nous. On déménage à condition de continuer chacun nos études. Je m'inscris sans attendre dans cette branche de droit de l'université de la ville. Je fais de nouvelles rencontres et je m'accroche à de nouvelles choses. Toujours liée par le sang mais par notre relation à mon frère. Je reste une jeune femme lunatique, joueuse et sans attention. Je fais attention à ne pas m'attacher à une personne du sexe opposé. C'est alors que cette relation étrange nait entre ce jeune homme et moi. Ethan, est un garçon qui est tout moi en vérité. Si je devais changer de sexe, je serais sans aucun doute lui et ça va nous poser quelques conflits. Nos caractères similaires se confrontent et nos envies d'être toujours au dessus nous gagnent. Jusqu'au point, où nos lèvres se confrontent, se touchent et se désir. A croire que l'amour et la haine ne sont jamais bien loin. Mais notre relation restera la même après ça, voir encore plus haineuse car le partage fut un moment de pur plaisir. Mais c'est une suivante rencontre qui va marquer mon esprit, ce Jeremy. Il vole à mon secours dans ce bar où une bande de mec en chaleur me colle. Seulement, j'ai du mal à comprendre et lui met ma main en pleine figure. On se retrouvera, se recroisera. Il parle sérieusement avec moi. Il ne me connait pas mais semble lire à travers moi. Alors contre toute attente, il arrive à rallumer la lumière en moi. Je retombe dans les bas fonds de l'amour. Depuis Matthews les seuls hommes qui ont pu m'approcher, étaient ceux avec qui j'ai passé un court instant. Je tombe amoureuse et notre histoire dur au point même que je tombe enceinte. J'ai peur et je ne sais quoi faire. Nous sommes les deux seuls au courant jusqu'à cet accident arrive. Il se fait faucher par une voiture qui roule à toute allure. Il me pousse sur le côté pour ne pas que je sois touchée mais en tombant contre la asphalte, je fais une fausse couche. J'ai tout vu. Son corps gisait sur la route, je pleurais tout ce que je pouvais, criant au secours. Nolann fut le premier à se présenter aux urgences et à m'annoncer l'état critique de Jeremy. J'étais brisé une seconde fois. De plus, on l'avait mis au courant de la perte du bébé. Il n'arrivait pas à comprendre comment j'avais pu lui cacher.. Mais la suite est encore plus dur, j'ai du mal à me remettre de la perte brusquée du bébé et donc j'évite Jeremy comme je peux. En sachant qu'il reprend un peu plus la forme. Il comprendra que je me sens coupable de tout ça et que je n'avais jamais voulu que ça tourne de cette façon. C'est pour cette raison qu'on perd contact quand il décide de rentrer chez ses parents loin de New York. Il y restera car, je ne suis pas la seule blessée par cette tournure des choses. D'une vie qu'on n'avait pas planifié, de cette crainte dans le fond du ventre, nos chemins se sont éloignés et nos âmes ont commencé à errer.
Aujourd'hui, bien des choses ont changé. Même s'ils n'étaient pas pour, j'ai décidé d'arrêter mes études. Le droit ne m'inspire plus et j'ai l'impression de m'enfermer dans cette forteresse de bouquins. J'ai perdu le goût aux études. Alors j'ai trouvé quelques travaux. J'ai travaillé dans un magasin de disques, j'ai été danseuse, j'ai rien fait.. Enfin tout est brouillé, je ne sais pas de quoi sera fait demain et cela m'importe peu. Je veux continuer. Je n'ai pas le droit de lâcher prise. Simplement pour les gens qui ont fait la différence et ceux qui ne sont plus parmi nous. J'aimerai les honoré mais je me sens tellement faible. J'ai l'impression de m'enfoncer dans le trou dans lequel je suis. Mais je n'ai jamais annoncé que je lâchais prise. Cette nouvelle année me promet bien des choses. J'aimerai savoir quoi faire du restant de mes jours. J'aimerai trouvé une voie qui pourrait me passionner autant que je pourrais sortir la tête hors de l'eau. Histoires d'un soir, courtes relations, la vie est suite d'improvisations et je ne peux pas le nier. Je prends mes distances avec un peu tout le monde, même mon frère. Car je sais que ça lui fait du mal de me voir comme ça, aussi mal, aussi indifférente face à certaines choses. Je ne parle plus à mes parents et je dois avouer que ça m'importe peu. Notre relation a toujours été étrange alors je m'y suis habituée. Je vie seule. Je dors seule. Je respire par moi - même et je me sens assez suffisante pour continuer d'avancer. De plus, je viens d'être acceptée dans la plus grande boite du siècle et du charme. Je ne sais pas si c'est la direction que je prendrais mais pour le moment c'est la seule qui me plait. A côté de ça, je continue de vivre. J'aimerai que tout soit plus facile. Mais bon, on ne peut jamais tout contrôler. Plus les jours passent, plus ils me manquent. On ne peut pas changer le passé. Je dois me contenter d'être solide pour le présent et le futur. Sans savoir ce qu'il me réserve.
Dernière édition par Elissa J. Baxendale le Mer 16 Nov - 21:11, édité 9 fois
Sujet: Re: Eli' ☼ Sometimes, it's better to be alone. Nobody can hurt you. Lun 14 Nov - 20:15
YEAH UNE AGRON. Par contre pour la réservation ça n'est pas possible car d'autres personnes tentent le rôle il me semble. L'avatar est superbe. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche !
édit. En fait leur fiches sont en danger, donc une fois qu'elles seront supprimées, on pourra te la réserver.
Dernière édition par Abbey Jill Strugatsky le Lun 14 Nov - 20:16, édité 1 fois
Sujet: Re: Eli' ☼ Sometimes, it's better to be alone. Nobody can hurt you. Lun 14 Nov - 20:42
Elle est belle sur ton avatar. Je commençais à désespérer de voir les gens l'utiliser seulement avec sa coupe de cheveux à la pouffiasse. Elle est bien mieux ainsi.
Sujet: Re: Eli' ☼ Sometimes, it's better to be alone. Nobody can hurt you. Lun 14 Nov - 21:05
Hey on critique pas la coupe actuelle de Dianna. J'ai la même et j'suis pas une poufiasse Bon, c'était pas fait exprès que ça y ressemble, mais quand même!
Bienvenue parmi nous, en espérant que tu seras la Didi magnifique qui restera. Ca manque cruellement ici la Didi magnifique. Bon courage pour ta fiche :)