Sujet: ◮ Petit jésus, dieu des arabes, dieu des italiens donne moi la force de sauver Marie-Joëlle ! Mer 1 Aoû - 17:21
YAELE WENDIE KUO-JONES
« J’suis une racaille, une racaille de Shanghai ! »
NOM: kuo-jones. ⊰PRÉNOM: yaèle, ya c'est elle. ⊰ÂGE: 22 ans. ⊰ORIGINES: anglaise et brésilienne. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: secrétaire et strip-teaseuse. ⊰STATUT CIVIL: en couple avec ma main droite. ⊰CRÉDITS: tumblr. ⊰AVATAR: leighton meester.
please, tell me your story. i’m listening.
« T'as vu, t'avais tort. » Ouais c'est bon j'ai des yeux. Comment je détestais avoir tort surtout quand j'étais sûre et certaine d'avoir raison. Et j'avais raison même si elle disait que j'avais tord et que je voyais bien que je n'avais pas raison mais tant pis j'avais raison. Et puis merde laisse moi rêver. Connasse. « Maman ne se tape pas Georges Clooney. » J'étais horrifiée, bordel encore si elle sortait avec un sex symbol comme lui -qui en plus était blindé- et préféré se taper des... trucs. « Je te parie toutes mes billes qu'un jour elle sortira avec une star hollywoodienne. » Rien que l'idée me faisait rêver, j'en avais les étoiles dans les yeux. Non, en vérité c'est plutôt moi qui préférerais me marier avec un mec connu. M'enfin, ça revenait au même, j'avais quand même l'envie de sortir de ce taudis et d'avoir une vie un minimum convenable. Je ne pourrais même pas décrire cet endroit, c'est tellement un gros bordel que le soir en revenant de l'école je n'avais pas envie de rentrer chez moi, quitte à dormir dans la rue. Je traînais le plus longtemps possible dans les rues du village de Carbet dans mon pays natal, le Brésil. Tout le monde sait que le Brésil est comme la plupart des pays de l'Amérique du Sud, pauvre mais d'une pauvreté. Franchement, je ne sais même pas comment on pouvait rester en vie avec cette vie aussi pourrie. J'avais eu l'envie de faire bouger tout ça en changeant de vie quand je voyais ma mère pleurer et boire comme un trou, alors je pensais. Je m'allongeais sous un arbre et je regardais le ciel en essayant de trouver une idée mais malheureusement du haut de mes 6 ans je n'avais pas trop de pouvoir. A part vendre mes barbies toutes déchiquetées je ne savais plus où trouver cet argent. « Je vais aller dire à l'autre qui a dit que l'argent ne fait pas le bonheur que c'est un sac à crotte. » Ce n'était peut-être rien, mais c'était un début. Au moins j'avais la foi avec moi et je savais que Dieu allait nous venir en aide, enfin je l'espérais en tout cas.
« Je vous emmerde ! » Entendre les rires de mes camarades et voir leurs vilains doigts se pointer sur moi c'était humiliant et franchement je n'avais pas besoin de ça pour être rabaissé par rapport aux autres. Je devais me construire un fort caractère pour pouvoir faire face à ces enfoirés qui ne valaient rien. Dans ma tête je me répétais sans cesse surtout ne pleure pas, ne pleure pas devant eux. Je ne voulais pas qu'ils gagnent, je voulais leur tenir tête mais les coups me faisaient rapidement redescendre sur terre. J'avais mal, les garçons étaient dix fois plus grand et plus fort que la petite fille menue que j'étais auparavant. Qu'est-ce que je pouvais faire ? Donner des coups moi aussi. J'ai ce côté brute peut-être depuis cette expérience qui sait. Bon, j'ai pas eu le temps de foutre leur foutre la raclée que je me suis faite piquée. Il ne manquait que ça. « KUO DANS MON BUREAU ! » La dirlo, putain. Déjà que j'étais en train de me faire passer à tabac par une bande, il fallait que cette mocheté me convoque et je savais pourquoi. « C'est quoi ce comportement ?! Tu te crois dans un poulailler ou quoi ? ICI C'EST UNE ECOLE, ON NE TAPE PAS SES CAMARADES ! » A ce moment précis, les larmes me montaient aux yeux et j'avais du mal à les retenir même si je le devais. Du haut de mes 11 petites années, personne ne me donnait ma chance, toute l'école était contre moi. Il n'y avait pas de justice, c'était moi qui trinquait. « Mais c'est eux qui ont commencé... » Mon regard de chiot battu ne faisait pas son effet et la dirlo restait de marbre. Elle me faisait même peur cette femme, ses yeux ils étaient bizarres aussi. Elle était vraiment vilaine et dans les deux sens du terme. « Je ne veux pas le savoir ! » Bin t'avais pas cas me le demander. « De plus ce n'est pas la première fois que je te prends. Tu as deux avertissements et des remarques pour ton arrogance. Je dois donc téléphoner à ta maman pour prendre un rendez vous afin de lui expliquer la situation. » T'es marrante toi, on a pas le téléphone dans notre taudis vieille sorcière. Je gigotais sur la chaise en bois, bougeant comme un asticot. En réalité c'était le stress qui montait de plus en plus alors que les minutes passaient. D'ailleurs elles passaient tellement lentement. La porte grinça et j'aperçu ma mère avec une tête décapitée. J'avais donc conscience que je n'étais pas sur une bonne pente. « On a pas déjà assez de soucis comme ça qu'il faut te trouver une nouvelle école ! Tu fais chier Yaé, putain. » Là je pouvais enfin lâcher mes larmes, j'avais besoin d'exprimer ma tristesse et ma douleur, mais prise de colère maman ne s'occupait même pas de moi, me laissant pleurer comme une madeleine toute seule dans mon coin. J'en avais marre de cette situation, de ces conditions de vie. J'en pouvais plus de vivre dans un bidonville, être seule contre le monde entier. J'avais le blues mais pas le temps de m'apitoyer sur mon sort, je devais relever la tête et surtout aider ma mère à trouver une nouvelle école.
C'était une journée comme les autres et pourtant c'est cette journée qui allait marquer le début d'une nouvelle vie. Sans le savoir, ma soeur vint à ma rencontre en courant comme une dingue. « Regarde, j'ai imprimé ça au cyber. » En lisant, peu à peu je compris la signification de toute cette scène. Je fis un sourire au coin avant de regarder ma soeur. « C'est la fin de la merde ! » Effectivement. Sur cette feuille c'était écrit noir sur blanc que maman allait se marier avec un anglais. Les anglais sont roux, soit, mais riches. Même si le temps n'est pas le même qu'au Brésil, cela promettait un avenir et une seconde vie. « Tu crois qu'on se casse quand ? » Maintenant que j'étais au courant de la vie amoureuse de ma mère -qui était veuve depuis des années, mort alors qu'il était soldat- j'avais enfin réalisé un voeu. C'était donc vrai, Dieu avait écouté mes prières et avait eu pitié de nous. « Les enfants j'ai quelque chose à vous annoncer. » Nous étions tous réunis dans la pièce qui nous servait de salon, toute la tribu. Nous étions sept enfants, on n'était pas tous frères et soeurs de sang, ma mère avait trouvé deux d'entre nous abandonnés dans la rue. Sinon, on n'était pas tous du même père mais pour moi ce n'était qu'un détail. « On part s'installer en Angleterre, chez un ami. » Après cette phrase là, je te dis pas l'hystérie dans la petite pièce, il fallait en trouvait un d'ami qui accepte de recevoir huit personnes chez lui. Peu importe, nous allions tous changer de vie.
***
« Tu pensais que t'allais partir en douce ? » Rodée. Je tournais le dos à cette voix masculine et à l'homme qui était allongé dans ce lit que je venais de quitter doucement. « Je vais chercher des croissants. » Sur le coup j'avoue que j'avais déjà inventé des mensonges plus convaincant que celui là mais ce n'était pas le but. D'ailleurs, il ne restait pas dupe, il savait que je n'irais pas acheter de croissants sauf si c'est pour les manger sur le chemin afin de rentrer chez moi. « Reste encore deux minutes, les croissants peuvent attendre. » Il s'approchait de moi, j'en avais des frissons. Le doux contact de ses lèvres à ma peau me donnait énormément d'envie mais je me résignais à dire non, repousser ses avances même si je me serais volontiers laissé pousser dans ce lit. « Si j'arrive trop tard, il n'y aura plus de croissant. Et j'aime les croissants chauds. » L'excuse était bidon mais il fallait dire qu'il ne pouvait plus distinguer le vrai du faux depuis qu'il me fréquentait. Je n'ai jamais été honnête avec lui, j'avais menti sur ma vie en général préférant passer pour une personne importante plutôt que pour une sale pauvresse. Je ne voulais pas revivre l'humiliation de mon passé, j'en avais trop bavé pour mon petit âge. La seule et unique chose sur laquelle je ne lui avais pas menti c'était sur mon âge. Je n'avais que 16 ans et même si le Brésil était déjà loin derrière fois, je m'enfonçais dans mes délires mythos que j'avais montés de toute pièce. Peu importe, le fait est là, il aimait les meufs riches et les mecs de ma classe étaient beaucoup plus ouverts. C'est l'adolescence, il faut pas s'en faire. « Yalou, c'est bon détends toi, il nous reste une heure avant de redevenir pote. » La journée notre relation était platonique mais quand la nuit pointait le bout de son nez, mon meilleur ami devenait tout simplement mon "sexfriend", une relation qui me convenait plus qu'à sa petite amie. Petite amie qui était aussi la fille de l'ami de ma mère chez qui on vivait. « Arrête ton vice. On se revoit ce soir. »
Quand on commence à mentir à son entourage et qu'on s'enfonce de plus en plus, il devient dur de se lasser du personnage que nous incarnons. Surtout que j'ai construis mon adolescence autour d'un mensonge afin de plaire aux autres. Entre fiction et réalité, il n'y a plus aucune différence. Je vis dans mon monde, loin des autres, dans ma bulle. Mais cette conne d'Eli -la fille du futur mari de ma mère- s'est fait un plaisir d'exploser afin de me faire redescendre sur la terre ferme. « Elle est devenue complètement folle, elle ment à tout le monde. Je crois qu'elle devrait consulter un psy ou encore mieux la foutre en hp. Au moins elle ne viendra plus me piquer mes petits copains. » Depuis qu'elle connaissait la nature de la relation que j'avais avec mon meilleur ami, elle avait juré qu'elle se vengerait d'une façon ou d'une autre. Je l'attendais à trois kilos mètres. Cependant avec son visage d'ange et son rôle de gentille fi-fille à son papa elle avait un avantage sur moi. Sale pute. « Tu vas quand même pas écouter ce que cette petite conne raconte maman ? » J'étais désespérée, même ma mère me tournait le dos. Elle ne semblait pas contre l'idée que j'aille consulter un psy et elle n'était pas non plus fermée à l'idée de me faire entrer dans un centre spécialisé afin de soigner mes problèmes. « Je suis désolée ma chérie mais tes problèmes ne font que grossir. En plus de mentir tu voles les voisins. Mme Livaight est venue me voir pour m'expliquer ce que tu avais fait. Il faut te soigner Yalou. » Elle avait eu ce qu'elle voulait, mais une chose est sûre, je n'allais pas en rester là avec cette salope d'Eli.
« Tu ne veux toujours pas me parler de tout ça ? » Euh, j'crois pas non. Depuis que ma mère avait eu la brillante idée de me payer un psy, je devais m'y rendre au moins trois fois par semaine afin de parler de mes problèmes de mythomanie et de cleptomanie prononcés. Je fis une moue, il avait compris bien vite que je n'étais pas si ouverte que ça. J'étais encore sous le choc de la trahison de ma mère et franchement j'étais vexée. Je ne pensais qu'à me venger. « Peut-être que je pourrais devenir pyromane, ça pourrait être une explication si jamais tu retrouves Eli morte brûlée. » Les psy n'ont franchement pas d'humour, bon j'avoue que je ne suis pas une grande comique non plus, mais bon je voulais détendre l’atmosphère parce que même s'il me pétait les ovaires, il était plutôt charmant. Bien vite nos séances devenaient plus intime que professionnel, même s'il n'avait pas soigné mes problèmes "psychiatriques", il avait réussi à guérir mes pseudos peines de coeur, excuse qui l'avait attiré dans mes filets, sur le sofa dans son bureau. Quand ma mère fut au courant de notre liaison, alors qu'il avait dix ans de plus que moi, n'étant pas encore majeure- elle décida de changer de psy et carrément de continent. Une claque que je me prise. Je ne me rendais pas compte de mon comportement, j'étais quand même un peu égoïste mais j'avais tout de même le droit de m'éclater un peu. « Voici un billet pour Arrowsic, en Amérique. Tu vas entrer dans un centre spécialisé, tu pourras suivre tes cours et décrocher ton diplôme. Si tout se passe bien tu pourras revenir vivre à la maison. » Elle voulait juste que je me casse, alors pourquoi tant de blabla pour arriver finalement à la même conclusion ? J'avais la haine, je ne voulais pas quitter l'Angleterre, ni mes frères et soeurs et encore moins aller vivre dans un trou du cul. « Je t'aime et je ne veux que ton bien ma chérie. » Sale hypocrite. Ces pendants ces trois derniers jours en Angleterre que je n'ai plus dit un seul mot, même sous la pression de ma mère je n'ai rien dit. Elle ne méritait pas que je lui accorde même un simple bonjour. J'ai donc pris mes valises sans me retourner direction Arrowsic.
welcome to our world. nice to meet you.
Wesh les poulesh Vous savez quelle est la lettre est la plus tranchante de l'alphabet ? Le H, hahahahahaha Donc, je m'appelle Gérard, j'ai 67 ans et plus que deux dents Sinon, j'aime les jeunettes et les jeunôts, j'suis pas difficile Ce que je fais dans la vie ? Je me branle. Je suis jeune diplômée ( ouais champion du monde de la branlouille )
Dernière édition par Yaèle W. Kuo-Jones le Ven 3 Aoû - 14:46, édité 23 fois
Sujet: Re: ◮ Petit jésus, dieu des arabes, dieu des italiens donne moi la force de sauver Marie-Joëlle ! Mer 1 Aoû - 19:11
rebienvenue Leighton est tellement magnifique qu'elle est prise deux fois x) comme Shelley Hennig je viens de voir qu'il y en avait deux Bon courage pour ta nouvelle fiche
Sujet: Re: ◮ Petit jésus, dieu des arabes, dieu des italiens donne moi la force de sauver Marie-Joëlle ! Mer 1 Aoû - 19:53
NANDOOOOOOOO Mattia, t'es sur ? fait gaffe moi aussi j'peux te voler ta voiture Leigthy est prise, mais elle ne vient plus depuis longtime, du coup j'me permet de la piquer à la guerre comme à la guerre :lonie:
Sujet: Re: ◮ Petit jésus, dieu des arabes, dieu des italiens donne moi la force de sauver Marie-Joëlle ! Jeu 2 Aoû - 14:57
t'as crus que je t'avais pas reconnu la Kit-kat ?! rebienvenue parmis nous ma belle, bon courage pour cette fiche et réserve moi un new lien qui déchirera tout, en plus avec la belle Leighton
Sujet: Re: ◮ Petit jésus, dieu des arabes, dieu des italiens donne moi la force de sauver Marie-Joëlle ! Ven 3 Aoû - 10:18
Mattia Jarvis a écrit:
Je la piquerai pas si tu m'offres un énorme cadeau, c'tout
Et file faire ta fiche, allez hophop!!
Regarde le moi c'te mini crotte là :lonie: VIVIVIVI, j'ai de l'inspi wouwou *pars en courant*
Izzie-Kate A. Bowers a écrit:
t'as crus que je t'avais pas reconnu la Kit-kat ?! rebienvenue parmis nous ma belle, bon courage pour cette fiche et réserve moi un new lien qui déchirera tout, en plus avec la belle Leighton
HAAAAAAAAAN, t'es trop forte mon zizi tu sais quoi ? tu es le zizi que j'ai toujours rêvé d'avoir yesssssss, après les meufs du sexy car wash, j'vais réfléchir à un lien explosif
Sujet: Re: ◮ Petit jésus, dieu des arabes, dieu des italiens donne moi la force de sauver Marie-Joëlle ! Ven 3 Aoû - 14:35
bah oué, attends, j'ai un QI très développé. T'as devant toi un zizi surdoué, quelle classe le premier à vrai dire oh bon sang, je m'en doutais bien, alors quelle chance tu as de m'avoir d'ailleurs faut qu'on se fasse ce car wash méga sexy avec Matys et Izzie je compte sur toi ma poule, je réfléchis aussi tiens !