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| Sujet: La musique est la langue des émotions. (melinda) Jeu 23 Aoû - 22:04 | |
| MELINDA BAILEE NIGHTINGAL « be yourself. everybody else is already taken. » NOM: Nightingal. ⊰ PRÉNOM: Melinda. ⊰ ÂGE: 21 ans. ⊰ ORIGINES: Américaine. ⊰ MÉTIER/ÉTUDES: Serveuse le jour et chanteuse le soir. ⊰ STATUT CIVIL: Célibataire. ⊰ CRÉDITS: Tumblr. ⊰ AVATAR: Victoria Justice.
please, tell me your story.i’m listening. Ce n'est pas la peine de grand-chose pour me libérer, me sentir heureuse, j'ai seulement besoin de chanter tout en jouant du piano. Je pose mes pensées les plus profondes à travers la mélodie. C'était autrement, avant, un autre jeu...autrefois, pour me satisfaire, il fallait que j'aie tout avant ma grande soeur. Un besoin incontournable. L'ambiance de la maison était tout sauf joyeuse. C'était sûrement dû au fait qu'elle me jetait quand j'étais gamine, que je ne représentais qu'une chose "agaçante et dégoûtante" . J'étais petite et forcement je me demandais ce que je faisais. C'était naturel . Ce sentiment d'amertume était juste présent, comme tant d'autres ressentis. Je savais qu'elle était au courant de mon existence...pourtant, je ne sais pas, elle semblait oubliée ma présence et plus les années passées, plus je voulais me venger. Mon enfance se résume beaucoup à ça. On dit qu'avec l'âge on mûrit. Je vous jure le contraire. C'était de pire en pire, jusqu'à ce que je perdisse ma virginité dans toute cette connerie. Tout ça, parce que, je voulais passer cette étape, avant que Aédan la franchisse. Ce jour-là, j'ai réalisé, que ça n'en valait plus la peine. Non plus du tout. J'avais perdu quelque chose de précieux cette soirée. Tellement puérile. C'est vrai, j'ai du mal à me projetait dans l'avenir, en me chamaillant avec une canne (à cause de ma colonne vertébrale défectueuse, je ne dis pas que j'ai des problèmes maintenant, mais sûrement plus tard ....), pour des brouilles quelconque. Heureusement la situation a évolué et j'ai même eu des mots adorables. Cependant, le mot qui va sûrement tout gâcher, mais, je sens comme un éloignement...j'ai l'impression que quelque chose se trame et ça m'agace. Au fond je suis toujours la chieuse que j'ai toujours étais, sauf, que je le montre moins. Mais lorsque quelque chose dérape, je redeviens méchante et puérile comme dans le passé. Cela risque de se reproduire. Car, je ne veux pas la perdre. Avant, elle ne me considérait comme rien du tout, mais je sais qu'à présent ça à changer, mais comme je viens de vous le faire remarquer, elle s'éloigne et je commence à avoir de la rancœur par rapport à son comportement. Elle agit à nouveau, comme-ci j'étais invisible. Je ne demande pas la lune, je demande une sœur, capable de m'écouter, de lui faire entendre raison, de l'épauler également, de rire et s'amuser. Je n'aurais jamais songé à une telle pensée gamine.
Après le procès, Blake a dû faire quelques années de prison et quant à ma famille, elle a dû déménager à Boston, pour changer d'air, recommencer une nouvelle vie... je n'allais pas me pliais à ce remue-ménage. C'était catégorique. Je voulais rester à New York, mais, il fallait faire un compromis. Aller à l'internat. D'un côté c'était dérangeant, d'un autre, je restais dans la même ville. J'avais beaucoup trop d'amis auxquels je tenais pour les laisser. Puis un soir dans l'établissement, avant de retourner à nos chambres respectives, j'ai pris ma guitare et j'ai joué dans la salle de musique (en empruntant les clés). Je n'avais pas exercé depuis un bon bout de temps, il fallait que je me retrouve, le temps d'une chanson. Have I found you? Flightless bird, jealous, weeping...Or lost you?...American mouth...Big pill looming... J'avais l'habitude d'être entouré de mondes. Il faut dire, j'étais une personne d'assez populaire au lycée. Je n'étais pas cette pétasse blonde qu'on voit régulièrement dans les films. Non dans la réalité je suis la brune mesquine, joueuse et méchante. J'avais développé ce caractère à cause de ma soeur. Du coup mon entourage, avait droit de goûter à cette saveur. Je ne comprends pas pourquoi les gens s'accrochent à mes jambes. Peut-être que si. Ils ne veulent plus être invisibles, mais, même en faisant ami-ami avec moi, ils seront dans mon ombre. Inutile. Pour eux. Quant à moi, je profite régulièrement de la situation. Je peux leur faire un joli grand sourire et, ils vont me chercher une bouteille d'eau ou une canette de coca. Imbécile. Au fond, je n'étais pas si mauvaise que ça. Bref, ce soir, j'étais seule et ça me convenait. À mon, aise sur le tabouret métallique, je continuais de faire flotter les paroles au-dessus de ma tête. Cependant, tout cela s'estompa lorsque la porte se mit à grincer et qu'une personne munie d'une capuche entrait dans la pièce. J'eus un mouvement de recul et manquais presque de me retrouver sur les fesses. Désolé, je ne voulais pas te faire peur ... Sur ces mots, j'avais presque envie d'étrangler mon interlocuteur. Quelle brillante idée d'avoir une capuche, alors, qu'il y a un toit. C'est raté, pauvre crétin ! Ce qui m'a énervait le plus, était sûrement la petite frayeur. Puis, c'est dingue, on ne peut pas se retrouver seule un instant, sans qu'un abruti, pas fini, vienne faire irruption sans frapper à la porte. C'est sans doute la moindre des choses à faire. D'un côté, ça ne veut pas dire que je le fais. L'inconnu lâcha alors, un rire nerveux. J'arquais un sourcil et croisai les bras. Je n'ai pas pu m'empêcher d'entrer, lorsque je t'ai entendu chanter... tu as une si belle voix. Tu es talentueuse ! Juste...ça t'arrive souvent de chanter dans le noir ? Il n'a pas tort, j'ai une belle voix. Je n'ai pas de quoi me sous-estimer. J'allais lui répondre, lorsqu'un nouveau bruit parvint à mes oreilles. Je jetais alors un regard circulaire dans toute la pièce. Une lumière aveuglante se mit à travers mon chemin et je mis, alors, mes mains près de mes yeux. Merde, suis-moi, il faut qu'on se cache ! Il ouvrit à la peine la bouche, que je l'empoignais et m'abaissa avec lui derrière le piano. J'admets, j'avais emprunté les clés illégalement, mais, je comptais les rendre...discrètement, mais, les rendre tout de même. Pourquoi nous.... Immédiatement, je le coupais à nouveau en lui mettant la main sur la bouche. Il n'essayait pas de se dégager. Il valait mieux pour lui, au risque de se faire assommer. Les bruits de pas se faisaient de plus en plus entendre. J'avais le souffle saccadé, lorsque, la gardienne de nuit, entra dans la pièce et regarda un peu partout...hormis derrière le piano. Après avoir circulé un peu partout, elle sortit et ferma à clé. Oui, elle a un passe partout. Pas étonnant. Je regarde à nouveau l'inconnu, mais, droit dans les yeux. Dans le noir, ce n'était pas évident de détecter ses traits. C'est un beau garçon. Je lâchais prise. Je soupirais, rassurer, qu'elle ne nous ais pas vus. Enfin, c'était surtout pour moi, que j'étais rassurée. Tu m'expliques, ce qui vient de ce passé ? Je haussais les épaules. Je levais les yeux en l'air, c'est sûr, je devais le mettre au courant, maintenant, qu'il était à moitié dans la confidence. J'ai pris les clés pour avoir accès à la salle ! Bon, je savais tôt ou tard, qu'on allait remarquer qu'il y avait quelqu'un, mais je pensais qu'elle était assez loin pour que j'ai le temps de chanter et par ta faute j'ai perdue un peu de mon temps ! Maintenant, je devrais attendre demain ! C'est malin ça ! J'allais encore prendre ce risque, par sa faute. Si seulement, il n'était pas entré...
Quelque temps après, nous nous sommes recroisés, car, c'était à mon tour de nettoyer les tables et je partageais cette tâche avec cet inconnu, dont, je pouvais enfin mettre un nom sur son visage. Jackson. Je ne l'aimais pas trop la veille et là, il avait réussi à me faire rire, en chantent, dansant...les semaines se sont écoulées comme une traîné de poudre. Je succombais à son charme. C'était une personne pleine de vie. J'étais amoureuse de lui. Un amour sincère. C'était réciproque. J'aurais pu donner ma vie pour lui. Il est parti trop tôt... il ne m'a pas largué...non, c'est bien pire qu'une tromperie... il avait quitté ce monde. C'est seulement deux jours avant, qu'il m'avait fait part de sa maladie aux poumons. Trop tôt pour qu'il aille loin, trop tard, pour, ne serait-ce un peu de temps pour le digérer. Je lui en voulais tellement, mais, au fond de moi, il fallait que je profite du reste du temps qu'il lui restait à ses côtés...c'est un 16 mars 2007 qu'il est mort.
C'est après ce choc émotionnel que j'ai quitté New York pour Boston. Rejoindre ma famille. Un nouveau lycée, de nouvelles connaissances, hormis un prochain amour. Un mec violent, un gars malade. C'était donc de famille... J'étais déprimée. J'avais eu des tas de garçons. Jamais, non, jamais à part lui avait réussi à faire chavirer mon cœur. Il venait d'exploser en miettes. J'étais aussi lamentable que ma sœur. Je pleurais sans cesse. Me recoquiller sur moi-même dès que je le pouvais. Je ne mangeais presque plus rien. Dépitée, voilà...dépitée... ma famille avait beau me réconforter, ça n'y faisait rien. Je venais de perdre l'amour de ma vie. Rien ni personne ne pouvait le remplacer. Il n'était pas seulement "beau", il avait un cœur époustouflant.
2012, J'ai enfin pu faire surface à toute cette peine. Je suis à nouveau redevenue moi-même. Une croqueuse d'hommes. Je peux à nouveau tomber amoureuse, mais, je sais, que l'amour qui avait entre Jackson et moi briller plus qu'une étoile. L'air des grandes villes est devenu trop étouffant. J'en avais ma claque de toute cette population, je savais plus où aller. J'ai appris que ma sœur résidait à Arrowsic, Maine, une petite ville. J'ai donc décidé de la rejoindre. Dû moins, commencer un nouveau départ au même endroit.
welcome to our world.nice to meet you. Coucou, moi c'est Isobel j'ai seize ans et cette année je suis interne donc une présence de 2/7, mais, pendant les vacances, je passerais régulièrement. Je suis une fan des séries, des voyages et du théâtre. Bref, j'ai découvert le forum sur Bazzart et j'ai pris ce scénario, car, il était trop tentant. ♥
Dernière édition par Melinda B. Nightingal le Ven 24 Aoû - 21:51, édité 15 fois |
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