Sujet: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 11:12
NEVEN (JACK) HANS-WARHOLS
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Hans-Warhols. ⊰PRÉNOM: (Jack) Neven. ⊰ÂGE: Trente ans. ⊰ORIGINES: Anglaises. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Médecin. ⊰STATUT CIVIL: Divorcé. ⊰CRÉDITS: Tumblr. ⊰AVATAR: Paul Wesley.
welcome to our world. nice to meet you.
Bonjour à vous mes amours, BBC pour faire de votre vie une idylle infinie. J'ai vingt ans tousmesglands, étudiante en bts -osef- et landaise. Non ne dites rien, je sais que vous m'aimez déjà. A quand l'apéro d'ailleurs? Ok ducalme. J'vais pas être originale mais THUB est juste splendide d'où ma présence ici. ** Ou pas. C'est grâce à Maddie que vous allez devoir me supporter un looong bout de temps. Merci Maddie jolie. Et pour plus d'excitation je vous laisse découvrir par vous-même le reste de mes talents, qualités et intérêts. Place au dawa!
Dernière édition par J. Neven Hans-Warhols le Mar 28 Aoû - 11:01, édité 7 fois
Sujet: Re: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 11:13
prologue - « Dans la nuit qui m'environne, dans les ténèbres qui m'enserrent, je loue les Dieux qui me donnent une âme, à la fois noble et fière. Prisonnier de ma situation, je ne veux pas me rebeller. Meurtri par les tribulations, je suis debout bien que blessé. En ce lieu d'opprobres et de pleurs, où je ne vois qu'horreurs et ombres les années s'annoncent sombres, mais je ne connaîtrais pas la peur. Aussi étroit soit le chemin, bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme. Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme. »
extrait du journal de jack.
JACK - La femme n'était-elle pas la honte et la perdition, une créature de dégoût, de péché et de terreur, devant laquelle tremblent les saints ? Perplexe. J'ignorais s'il était sain de considérer le sexe féminin avec autant de pessimisme. Non. Si. Peut-être, qui sait. Mais en admettant tout de même qu'il puisse exister des exceptions en ce monde de décadence. Un fin sourire mit fin à ma réflexion philosophique sur la façon de penser de Zola. Rien, pourtant, ne me portait à l'allégresse. Le deuil de mes parents était encore bien trop présent, bien trop sec pour oser se laisser aller. J'en ressentis un pincement de regret qui me ramena à la réalité. Dieu ait leur âme, bons chrétiens qu'ils étaient. Qu'Il bénissent plus encore mes grands-parents, mon écorce et ma force. Amen. La médecine? Une évidence dès ma plus tendre enfance. Jouer au docteur avec la ravissante petite voisine du quartier n'avait rien d'anodin pour moi. C'était une magie, une joie que je redécouvrais à chaque nouveau jeu, chaque nouvelle maladie. Je dévorais des livres entiers de médecine aux termes scientifiques et compliqués. Je n'en compris réellement le sens que lors de mes études, logique s'en suit. Satisfaction personnelle certes, mais je désirais plus que tout rendre mes grands-parents fiers de leur petit bout. Leur montrer que je n'étais pas un faible, un branleur, un cono de pitchoune comme qu'ils disaient. Je reçus enfin mon diplôme, major de ma promo. C'est là que ma vie commença réellement. Vraiment. Ouais.
« Je te l'ai déjà dit Neven, non c'est non. » Nouveau coup de poignard en plein cœur. Y avait-il phrase plus cruelle, plus tranchante que celle sortant des lèvres de sa femme? Femme qui ne voulait ni enfants, ni vie de famille, que ce soit en murmure ou en rêve. Aucun enfant de moi. Aucune descendance de mon propre sang, de ma propre chaire. Je me sentais rejeté, humilié une nouvelle fois. Pourtant, je respectais son choix. Pas d'enfants. Pour le moment, pensais-je. Je ne pouvais concevoir que ce choix était définitif et sans appel, la chose me paraissait tellement irréelle. Et pourtant. « Mais expliques moi pourquoi au moins? Je suis en droit de savoir pourquoi ma femme me refuse des enfants. » Comme à chaque fois qu'elle était énervée, ou contrariée, elle s'affairait à ranger la maison comme si le président allait arriver d'une minute à l'autre. Poussière, lessive, vaisselle, à la fin de chacune de nos prises de tête la maison étincelait. J'aurai préféré vivre dans un taudis tant notre demeure empestait le propre. « N'insistes pas, tu sais pourquoi. Je veux être libre, indépendante et non pas prendre vingt kilos en tant que femme au foyer, t'attendre chaque soir jusqu'à pas d'heures jusqu'à ce que tu rentres de je ne sais où. Non, je refuse une telle vie. Tu connaissais les clauses du contrat. » Sa naïveté, ses préjugés me désespéraient. J'étais médecin, et non pas chirurgien ou autre spécialité plus encombrante. Je n'aimais guère ses exagérations, ses excuses à deux balles pour me refuser tout ce qu'un homme était en droit de quémander. Je ne supportais plus ses crises de ménage, ses refus et autre froideur dont je faisais les frais depuis deux ans maintenant. On a beau dire c'qu'on veut, l'amour rend bel et bien aveugle. Il était temps que je me réveille. Sacré claque en pleine gueule.
« Je veux divorcer. » Une vaisselle qui se brise, un sanglot étouffé. J'avais moi-même le cœur serré, mais nous avions tous les deux beaucoup trop tiré sur la ficelle. Elle pendait, vide et inerte, tout comme ma vie ces dernières années. J'avais besoin d'autre chose. J'avais besoin de vivre un bon coup, de n'penser qu'à ma gueule le temps d'un instant, d'aller prendre l'air, de voir d'autr' têtes. J'en pouvais plus. « C'est à cause des enfants, c'est ça... Tu n'as pas le droit! » Et j'allais me gêner. Je possédais autant le droit de mettre fin à notre mariage qu'elle de me refuser une vie de famille. La roue tourne, à chacun sa merde. Tourner la page, vite. Fuir assez loin pour ne pas être assailli par les remords et se percevoir comme un immonde salaud. L'abandonner là, rapidement, tout en s'assurant qu'elle ne manquerait de rien et qu'elle ne ferait pas d'histoires. Pitié, tout sauf une crise. J'étais perçu comme un médecin compétent, rigoureux et d'une infinie patience. Aucun de mes clients ne s'étaient plains à mon sujet pour le moment, et je tenais à ce que cela reste le cas. « Ouais, j'imagine que c'est dur. Chacun son tour. Je t'enverrais les papiers à signer la semaine prochaine. Nous sommes adultes, matures, on peut faire ça sans créer d'histoires n'est-ce pas? » Et c'est ce qu'elle fit. Et ce que je fis également.
« Doctor, doctor! Por favor, mi hermana, es el bebe! » Un rapide coup d’œil à l'heure: Trois heures vingt-trois. Damn. La nuit serait courte, et la journée si longue. D'un saut je m'habillais, saisissais ma mallette et suivait le petit bonhomme affolé. C'était mon quotidien ici, en Amérique latine. Cochamò. Une destination de rêve pour tout touriste, un cauchemar pour tout médecin. L'hygiène de vie était quasi absente dans le quartier que je fréquentais, aussi les interventions du style étaient-elles fréquentes. Bien trop, fréquentes. Nous n'avions que peu de personnel, peu de matériel bref, nous faisions au mieux.
Dernière édition par J. Neven Hans-Warhols le Mar 28 Aoû - 11:02, édité 5 fois
Sujet: Re: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 11:25
I. Teddy-Rose Forzwood a écrit:
j'aime le titre + le choix de scénario
je t'oblige à avoir un lien avec mon dc (claire holt, tu peux pas dire non )
bienvenue en tout cas et bonne chance pour ta fiche si tu as des questions, n'hésite pas
Et moi j'aime Tonkin toutcourt, ma déesse. Un grand merci et ne t'inquiètes pas, je n'hésiterais pas un seul instant à te solliciter, pour tout et n'importe quoi. N'importe quoi, surtout, héhé.
J. Siméon-Ivy Everson a écrit:
Ton pseudo + ton avatar. Je kiffe.
Bienvenue.
Dit-il avec Parrish de mes amours. Merci mec, réserve moi un lien quidéchireentrenosdeuxcanons.
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 11:39
Haaaan ouais, tu as finalement pu te connecter BIENVENUUUE BG bonne chance pour la fiche et puis bon choix de scénario Si tu as des questions n'hesites pas
Sujet: Re: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 11:41
Mais vous voulez ma mort? ronronne ** Encore un que je vais embêter à mpotter pour tout et rien à la fois. (et ouais, j'ai enfin pu me connecter. j'ai presque failli croire que vous ne vouliez pas de moi! vie cruelle.)
Merci beaucoup mon mignon.
Dernière édition par J. Neven Lewis-Droski le Lun 27 Aoû - 11:43, édité 1 fois
Sujet: Re: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 12:51
Moi qui n'aimais pas trop Paul avant, j'commence à l'apprécier de plus en plus *-* Tu me réserveras un lien ! Sinon bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Sujet: Re: (n). how come nobody's ever tried to be a superhero? Lun 27 Aoû - 12:55
Maddie Holds-Fitzpatrick a écrit:
de toute façon c'est moi qui t'aime le plus :leandro: encore merci de prendre ce scénario bienvenuuuuuuue officiellement
Elles disent toutes ça. (a) Humrf. Un grand merci à toi ma jolie, je surkiff ce scénario de plus en plus surkiff maxipowaaa
Aédan Nightingal a écrit:
Moi qui n'aimais pas trop Paul avant, j'commence à l'apprécier de plus en plus *-* Tu me réserveras un lien ! Sinon bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Avec Nina le lien s'impose même! Nahmaisoh, tu pensais y échapper? Merci beaucoup.