nom : Ivanovitch. Nom héréditaire précieusement gardé, malgré ses tribulations et la disparition de sa cellule familiale. Ҩ prénom : Lubomir Anastasiy. Le premier est en rapport avec la paix et l'amour, le second avec la résurrection. Aucun ne reflète le véritable caractère ni l’histoire de celui que beaucoup surnomment, affectueusement, Lulu. Si candide, si enfantin. Si trompeur, encore une fois ! Ne vous fiez pas à ses timides sourires ou ses œillades attendrissantes ; s’il possède une once de bonté, ce n’est que radeau perdu sur une mer de rudesse et barbarie. Ҩ âge : Vingt-huit ans. Il ne les fait pas, beaucoup disent. Et cela lui convient. Souvent ment-il sur son âge, par simple envie ou par stratégie… Ҩ origines Ukrainien, sans fierté ni honte. Pourtant, il y aurait de quoi lever le menton : grâce à ses racines, Lulu parle non seulement ukrainien, mais aussi russe et polonais (en plus d’avoir bien appris l’anglais et l’espagnol, sans même laisser transparaître son accent). Néanmoins, il préfère dire qu’il est russe ; mensonge simplificateur dit-il pour se justifier. Ҩ statut civil : Triste célibataire qui pourtant aime les bras des femmes, mais plus pour s'y lover que pour les embrasser. Ce n'est pas un bourreau des cœurs – c'est un bourreau, tout court. Et quand celles osant l’approcher s’en rendent compte, elles fuient ! Ҩ occupation : Tout ce que vous voulez qu’il soit, il le sera. Lulu a toujours vécu en se faisant passer pour ce qu’il n’est pas… pour le moment, il survit en se faisant passer un agent des services fédéraux à la recherche d’une espionne bulgare : sa sœur. Qui en fait, n’a rien d’une espionne bulgare. Mais cela l’amuse. Pour les rentrées d’argent, le slave fait confiance à son compte en banque, alimenté par divers mauvais coups. Ҩ avatar : Patrick O'Donnell Ҩ crédits : e-b |nepethe | tumblr.
◮ ◮ ◮ honesty is all i need
Ici, tu nous racontes ta petite vie. Si tu veux la rendre plus passionnante, il t'est permis d'ajouter des gifs ou des bannières, ainsi que de la musique. N'oublie pas de créditer les œuvres des autres en revanche. Pour ce qui est du contenu, on est très libéral sur ce forum. Tu fais comme l'inspiration te vient : en anecdote, en texte suivi, tu peux même nous confier une petite séance chez le psychologue de ton personnage s'il suit une thérapie. Les journaux intimes sont à la mode, alors tu peux aussi nous en montrer des extraits. C'est comme tu veux. Tant que tu atteins les trente lignes, on sera très heureux de t'accueillir parmi nous.
be yourself.
Ici, dis-nous qui tu es, quel âge tu as, si tu as des passions. N'oublie pas de nous révéler comment tu trouves THUB, ainsi que tes plus sombres secrets. Si ton personnage est issu de l'imagination de l'un de nos membres, indique-nous l'identité du créateur du scénario afin que nous attendions son aval pour ta validation. Ensuite, libre à toi de te présenter comme tu le veux.
Dernière édition par Lubomir A. Ivanovitch le Lun 4 Mar - 12:50, édité 2 fois
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 3:55
◮ ◮ ◮ honesty is all i need
Peut-être que le patrimoine génétique de Lulu le prédisposait à devenir ce qu’aujourd’hui il est. Il n’y a qu’à regarder sa sœur, Oksana : bipolaire au mauvais caractère, ayant connu les murs blancs des hôpitaux psychiatrique. Petite poupée brisée, violente et esseulée. Pourtant, des deux, c’est Lulu le plus dangereux. Lulu, qui n’a jamais vu un psychiatre ou autre. Lulu le sain d’esprit, à qui on n’a jamais diagnostiqué la moindre maladie… Lui sait ce qu’il fait et patiemment planifie sa folie. Ne le pensez pas égaré ou dégénéré – bien que parfois, ses sentiments l’envahissent, le rongent et le font sombrer. Mais qui n’a jamais affronté une peur sans limites, ou le noir chagrin ? Oh, il est vrai que l’ukrainien est expansif et quelque peu dramatique ; sur-jouant parfois ses joies et soucis. Mais rien de grave. Rien de maladif. Rien qui puisse faire de lui un malade mental, un aliéné. Quoiqu’un psychologue le regarderait avec des yeux ronds. Voilà un patient qui n’a point besoin de thérapie, mais présente une histoire si troublée que Freud en salirait ses pantalons. Et, le pire (ou le meilleur) c’est que le passé de Lulu ne le trouble point. Car jamais il n’a été la victime, toujours a-t-il été le bourreau.
Dès les premières années de sa scolarité, le blond se fit remarquer comme étant un enfant à problèmes. Pourtant, ses parents étaient des gens modérés et attentifs à l’éducation de leurs héritiers. Mais Lulu semblait complètement leur échapper. Rapidement s’acoquina-t-il des plus licencieux de son entourage et semblait, avant même d’avoir l’âge de raison, prendre un malin plaisir à faire mal ou peur aux plus faibles de ses camarades. Des croche-pieds, des tresses tirées, des moqueries gratuites. Les enfants sont loin d’être tendres. Surtout Lulu. Pousser consciemment un autre enfant, qui ne savait point nager, dans un fleuve ne l’embêtait pas. Enterrer un chiot dans le bac à sable jusqu’au cou pour l’empêcher de s’enfuir et le lapider jusqu’à la mort ou que quelqu’un l’arrête était jouissif. Démembrer les poupées de sa sœur et leur faire sauter les yeux l’amusait… la souffrance d’autrui l’amusait. Cela en devint morbide. A dix ans, Lulu vit quelqu’un sauter d’un pont, dans les flots glacés. Quel spectacle intriguant ! Bien évidemment que l’enfant avait compris ce qu’il se passait. Il resta malgré tout une bonne heure à scruter les flots, et revint les jours suivants avec l’espérance de croiser un second suicidaire. Il voulait, encore, voir quelqu’un disparaitre dans l’indifférence la plus totale. Les voitures, passant sur le pont, qui ne s’arrêtaient point. Les gens sur les berges, qui n’accouraient point. Juste lui, qui voyait et ne faisait rien. Cela fit beaucoup réfléchir Lulu sur la mort. Sur ce que c’est, que ce grand et dernier voyage. Qu’on fait seul, finalement. Même dans une ville très peuplée, comme la sienne. La mort… cette chose naturelle, qui fait si peur. Qu’on décrit comme froide et qu’on cherche à cacher. Qu’on pleure. Mais lui n’avait pas pleuré quand il avait tué cet oiseau, ou vu plonger cet individu.
Après avoir questionné la nature du décès, Lulu commença à questionner sa nature et se rendit compte, abruptement, qu’il était méchant. Et se rendre compte à dix ans qu’on est méchant, c’est quelque peu déstabilisant. Ce n’était plus comme quand sa mère ou son professeur le grondait. C’était différent. Cela ne venait pas d’un jugement extérieur, mais du sien. Lulu se jugeait lui-même. Lulu enfin prenait conscience d’être un individu, avec un caractère, une histoire. Différente de celle de son voisin, de sa sœur ou de ses amis. Lulu n’était plus vu comme méchant, mais se voyait, se sentait méchant. Comme Baba Yaga, ou Barbe-Bleue. Comme tous ceux mourant dans les contes qu’on lui lisait, petit. Et comme ces derniers, il n’en avait que faire. Une fois le choc de la révélation passée, l’enfant s’accepta. Il s’était posé une question, claire et nette : désirait-il changer ? Est-ce que devenir bon et parfait l’intéressait ? Serait-il prêt à arrêter d’enfoncer des épingles à cheveux dans le tambour de la machine à laver, pour déchirer les bas de sa mère ? Cesserait-il de mélanger de la farine au sucre et au sel ? Voulait-il ne plus être craint par les autres élèves de sa classe ? Il est vrai qu’être un diable avait de nombreux mauvais côtés. Les punitions pleuvaient comme les gifles de son père. Les remontrances lui vrillaient les tympans, comme les pleurs des autres enfants. Et tout cela ne faisait que plus l’énerver et lui donner envie d’être encore plus… haïssable. Tout cela était devenu quotidien et plus rien ne semblait pouvoir rattraper Lulu, bien engagé sur une mauvaise pente. Et la raison ? Son caractère. Sa vile malice et son envie d’asservir autrui. D’être supérieur et de le faire savoir. De faire trembler autrui… comme ses parents, avant, le faisaient trembler. Comme ces rois, comme ces empereurs ou ces extraterrestres, dans les mauvais films qu’importait en Ukraine l’Amérique, depuis la chute de l’URSS. La violence fait la force, voilà ce qu’avait appris Lulu. Et de la force, il en avait ! Physiquement et mentalement.
Pourquoi donc jouer à l’antilope quand on est un lion ? L’esprit de Lulu, se complaisant dans la facilité qu’il avait à nuire à autrui, y trouva sa voie et n’eut plus aucune retenue. Se croyant libre de faire ce qu’il désirait, plus aucunement inquiété par les punitions et de toute ne les respectant pas, il échappa totalement à l’emprise de ceux sensés l’éduquer. Et pourtant. L’enfant semblait s’être radouci. Il avait cessé, progressivement, de faire des crasses aux plus faibles – mais avait commencé à en faire à ceux qui, avant, se considéraient comme ses amis. Mais non ! Lulu ne voulait pas d’amis. Lulu voulait exercer son pouvoir et quiconque osait prétendre lui arriver à la cheville devait mordre la poussière. Il fallut attendre qu’un plus grand (le frère d’une victime) ne le traîne sur plusieurs mètres et lui fasse finir sa course dans une poubelle pour que le jeune ukrainien ne devienne pas imbu de lui-même, au point de se prendre pour le meilleur. Oh, il avait encore des progrès à faire ! Et même, il y aurait toujours quelqu’un de meilleur que lui. Lulu en avait conscience. Et pour ne pas se faire avoir par ces derniers, qui certainement tout comme lui n’apprécieraient pas qu’on grimpe le long de leur jambe, il devait faire profil bas – ou se faire passer pour ce qu’il n’était pas. Lulu commença alors à mentir à tout va et à faire des coups dans le dos de tout le monde. Néanmoins, cela lui retombait toujours dessus. Parce que tous connaissaient son passé. Ses frasques. Alors, rapidement, on devinait qui était l’auteur des malheurs qui sur certains tombaient. Ah ! Lulu ne parvenait pas à échapper à son passé.
Mais sa sœur lui donna une solution. Oksana et Lulu, cela n’avait jamais été le grand amour – bien que ce dernier prenait soin à protéger sa sœur. Qu’il était facile, pour se venger de son frère, que de s’en prendre à elle ! Et le préadolescent avait fait l’erreur de, plutôt que d’ignorer quand on faisait du mal à Oksana et attendre qu’on comprenne que cela ne l’atteignait pas, la vengeait depuis sa plus tendre enfance. Ainsi, la mignonne était devenue un fardeau et son frère ne manquait pas de le lui faire savoir – ou de lui faire payer. Lulu ne s’en prenait jamais directement à sa cadette. Ne la frappait pas ni ne la mordait, comme il faisait à présent, pour répliquer aux claques de son père. Il ne la pinçait pas ni ne lui tirait les cheveux. Mais glissait des lombrics dans ses chaussures, qu’elle écrasait en les enfilant. Ou mélangeait du dentifrice au shampoing qu’elle utilisait. Des petites choses ennuyeuses… comme imbiber d’eau vinaigrée la kasha destinée à Oksana. D’ailleurs, la voilà qui arrivait. Sept ans, lui douze… aucune défense contre son frère. Lui, caché derrière la porte, pour guetter sa réaction. Entendre un couinement dégoûté. L’entendre être malheureuse. Oh, son cœur en frémissait ! Cela chasserait son propre chagrin – Lulu s’était fait mettre une raclée hier et personne ne l’avait plaint, ni même réconforté. Quand il était entré, barbouillé de boue, larmes et sang. Honteux de s’être fait battre, l’ukrainien avait filé dans la salle de bain, s’était lavé et avait pensé ses plaies lui-même. Puis, comme il était rentré trop tard, était parti se coucher sans repas – alors que dans la pièce à côté, sa mère chantonnait pour Oksana. Mis à l’écart, abandonné… Certes, Lulu l’avait cherché. Mais pour autant, ne l’acceptait pas – et se sentait jaloux. Ah ! Ne pouvaient-ils pas tous disparaître ?
Hélas, sa sœur était en retard et ne put pas goûter à ce que lui avait préparer son frère. Juste eut-elle le temps de renverser son assiette dans la casserole et d’allumer le gaz… en oubliant de l’éteindre. Lulu, déçu, attendit que sa tête en l’air de cadette ne sorte de la cuisine pour s’approcher de la gazinière. Ah, heureusement qu’il avait déjà mangé, lui. Toute la casserole sentait le vinaigre, à présent. Ses doigts s’avancèrent pour éteindre le gaz… puis se ravisèrent. Un éclat de cruauté releva le bleu des yeux de Lulu, qui lécha les commissures de ses épaisses lèvres. Voilà qu’il tournait tous les boutons, et ouvrit grand la porte du four. L’odeur du gaz déjà envahissait la cuisine… fermant doucement la porte, le mauvais enfant préparait son coup. Personne ne se préoccupait si lui était bien parti à l’école… et de toute façon, il était suspendu. Et tous, à présent, étaient sortis. Respirant profondément, s’assurant de ses désirs, l’ukrainien saisit la farine et un saladier d’eau, pour faire une épaisse pâte gluante qu’il colla dans les deux bouches d’aérations présentes dans la cuisine. Sa mère ne s’en rendrait pas directement compte… Aussi bloqua-t-il les fenêtres en écrasant des cure-dents entre les battants puis posa une casserole d’eau sur une des plaques de la gazinière. Lulu connaissait els réflexes de sa mère. Il avait choisi la petite casserole orange – celle dans laquelle elle fait son thé. Aussi, automatiquement en la voyant, voudra-t-elle s’en faire un et allumera le feu. Le vilain renard passa ensuite boucher toutes les aérations de l’appartement et ferma les portes des pièces qui pouvaient l’être sans que cela fasse étrange, prenant soin de coincer du linge sous chacune. Puis il prit ce qu’il restait de farine et l’étala partout dans la cuisine – parce que la farine, cela explose. Oh ! Lulu leur en voulait tellement.
Puis il prit son sac, un morceau de pain noir et sortit, comme s’il allait jouer dehors. L’esprit léger. Comme du gaz. UC
Dernière édition par Lubomir A. Ivanovitch le Lun 4 Mar - 16:59, édité 2 fois
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 12:08
quelques offrandes, môônseigneur:
plus sérieusement, il n'y a pas grand chose encore dans ta fiche, mais j'aime déjà beaucoup. j'ai hâte d'en apprendre plus sur Lulu. puis, il est bôô bienvenue parmi nous
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 13:02
Ethan A. Calaan a écrit:
Bienvenuuue. Je t'offre un gros mouton au cas où tu aurais encore faim : Amuse toi bien parmi nous ^^.
UN GROS MOUTON Merci beaucoup pour ce joli morceau que j'ai rapidement dévoré et le message de bienvenue. J'espère m'amuser parmi vous, oh oui ! *-*
Fernando G-P a écrit:
IL EST TROP BÔ Bienvenu à toi cher mâle
Beau en dehors, mais pas à l'intérieur. Il est le contraire de la banane : sa peau a beau être tachetée, elle reste toute blanche à l'intérieur... /pan #comparaisonsfoireuses Merci beaucoup pour le compliment et le mot de bienvenue ! *v*
Jamie Bishop a écrit:
Bienvenue sur le forum (mais on mange pas les moutons didonc ! )
Mais, c'est très bon les moutons ! leur viande est tendre et goûtue... °ç° merci pour ton mot de bienvenue ! o/
Quinn S. Hepburn-Wilde a écrit:
T'es canon toi. Bienvenue parmi nous.
Oh oui je le suis. Et tu ne joues que des nymphomanes ? /pan
Imran Johar a écrit:
Bienvenue petit Ukrainien !
Merci, grand indien. j'aime beaucoup la nationalité indienne, d'ailleurs.
Sutton-Rooney Keitel a écrit:
quelques offrandes, môônseigneur:
plus sérieusement, il n'y a pas grand chose encore dans ta fiche, mais j'aime déjà beaucoup. j'ai hâte d'en apprendre plus sur Lulu. puis, il est bôô bienvenue parmi nous
Il n'y avait pas grand-chose et il manquait des mots. /sort C'était juste histoire de ne pas poster une fiche vide, je n'aime pas trop faire cela. Mais si ceci t'a déjà plu, j'espère que le reste te ravira ! *o* /et Lulu viendra véritablement te ravir, pour t'enfermer dans son appartement, te mettre un ruban autour du cou et te traiter comme son chaton. Merci pour le message de bienvenue et le compliment. *u* mais on est tous beaux par ici. /sort encore
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 14:39
T'as intérêt à te contrôler, traumatise pas tes élèves ! è.é Je pense bien, oui. Ou alors je me trompe complètement et je ferais mieux de retourner m'enterrer. /pan
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 14:57
Hein ?
Je me suis inscrit suite à un accord avec une amie de rpg sur ce forum et j'ai demandé si je pouvais jouer son frère. Son nom de famille étant Ivanovitch, je l'ai juste repris. Donc si, c'est une coïncidence à moins que j'aie loupé quelque chose. xD
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 15:16
oh emgee, un bômale bienvenue parmi nous, et je t'offre tous pleins de calinoux de cookies et biscuiits et des moutons parce que ceydélicieux le mouton
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 15:21
HAN j'étais en train de regarder ton profil il y a deux secondes et je bavais sur ton avatar, on dirait un hanbok en plus mieux ce qu'elle porte. /pan (Moi parler français, sisi.)
Merci pour ton message et les offrandes en nourriture qu'il contient ! Vive la viande de mouton ! /sort
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 15:51
Lubomir A. Ivanovitch a écrit:
HAN j'étais en train de regarder ton profil il y a deux secondes et je bavais sur ton avatar, on dirait un hanbok en plus mieux ce qu'elle porte. /pan (Moi parler français, sisi.)
Merci pour ton message et les offrandes en nourriture qu'il contient ! Vive la viande de mouton ! /sort
gniiiiiiih ouiiiii, je kiff sa tenue aussi un jour je te ferais un défilé de tenues indiennes
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 16:09
MON FREROT PSYCOPAAAAATHE on va faire une belle paire toi et moi Et Jilly, ya que Ophis pour ramper (non Apopo, tu t'es pas trompé c'est bien Skyler (a) ) bref, bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuue *offre des moutons en signe de reconnaissance*
Sujet: Re: Insanity is catching. UC Lun 4 Mar - 16:16
Je serai sage ! En échange je t'apprendrai à jouer... à jouer au golf, Priya. /sort
Ma soeur !
Psychopathe ? C'est qui qui est allé voir le psy pendant dix ans, Oksana ? UoU Oui, on fera une belle paire. Je viendrai renverser mes verres là où tu travailles et je dévisserai les poignées de porte pour te montrer tout mon amour fraternel.