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Duke, Blythe Twinkle ☂
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☂ NOM(S): DUKE. ☂ PRÉNOM(S): Blythe Twinkle ☂ AGE: tout juste 20 ans ☂ ORIGINE: française/anglaise ☂ STATUT CIVIL: célibataire ☂ MÉTIER OU ÉTUDES: architecte d'intérieur/designer ☂ GROUPE: filthy youth ☂ AVATAR: emma watson

Après de nombreuses heures difficiles, un cri vint percer le silence lugubre d'un hôpital de Londres. Blythe Twinkle Duke venait enfin de voir le jour de ses propres yeux en ce 24 Janvier 1991. Bien entendu, elle avait pu entendre le monde extérieur lorsqu'elle était si bien logée dans le ventre de sa maman. Mais après avoir très difficilement ouvert les yeux sur le visage de sa mère, quelques temps après l'accouchement, l'avait fait remuer ses petits bras montrant qu'elle s'impatientait déjà de voir la vie qui l'attendait. Blythe Twinkle Duke était la deuxième enfant de la petite famille. Son frère, Théodore, lui était plus âge de deux ans.

« Twinky, reviens ici ! ». Mais la petite n'écoutait pas, courant dans le grand jardin de son domicile. Son père étouffait un rire en lisant son journal alors que la pauvre maman de Blythe essayait désespérément de courir après sa fille en vain. Le rire cristallin de la gamine résonnait, frappant le vent qui se voulait fort en cette saison. Mais la jolie petite Blythe adorait courir, rouler à vélo et sentir le vent dans ses cheveux sans même une écharpe au cou. Mais sa mère n'était pas du même avis, ne voulant pas que la gamine attrape froid. Pourtant, Blythe adorait l'hiver. Le blanc de la neige recouvrant la surface de la Terre, cachant les imperfection de celle-ci, ou mettant en valeur les splendeurs du monde. De toute les saisons, l'hiver était véritablement celle que préférait Blythe.

La jolie brunette n'était pas un rat de bibliothèque, elle n'était pas non plus ne cancre. Elle se débrouillait plutôt bien d'ailleurs, mais plus le temps passait et plus l'école ne la passionnait plus. Bien entendu, elle suivait les cours avec attention, mais les matières vue ne lui disait plus rien. Ce qu'elle voulait, c'était vivre sa vie en couleur, laisser glisser son imagination et recréer la joie de vivre partout où elle pouvait se rendre.

« Bon sang, Blythe, c'est absolument splendide. ». La jeune fille sourit de modestie. Son professeur de français était émerveillée par la fresque qu'avait réalisée la jeune fille seule, sur l'un des grand murs de la classe. Elle reçut, à la fin de cette année scolaire, un prix spéciale pour sa réalisation. Et il était vrai que Blythe avait fait du bon travail. Le mur était à présent tellement plus agréable à regarder lorsqu'on voyait le grand livre sur le mur où l'on pouvait voir une petite fée en sortir. Et cette fresque avait de plus, motivés les adolescents à reprendre goût à la lecture. Blythe Tinkle Duke pouvait être fière de ce qu'elle avait fait.

Il fut un temps où Blythe n'aimait pas vraiment les garçons, plus préoccupées par ses poupées où pas la réalisation de plusieurs projets de décoration. Mais plus les années passent et plus on grandit. Plus on grandit, plus on apprend. Avec le temps, elle peut confirmer que Blythe avait beaucoup appris. Appris notamment, que l’amitié était un sentiment bien trop fragile à notre époque. Que l’amour de son frère pouvait m'époumoner alors que les sentiments embaumaient son cœur qui battait pour un homme inaccessible. Appris aussi, que le meilleur ami de son frère équivalait au mot danger. Car oui, le meilleur ami de son frère provoquait en Blythe une étendue de sentiments qu'elle n'avait jamais encore eu avant cela. Dès qu'il s'approchait, tout son corps était sujet à de longs frissons. Son coeur accélérait ses battements lorsqu'elle sentait son souffle, un peur trop près d'elle. Et ces sentiments qu'elle ressentait, confirmait exactement la maladie la plus rependue sur terre. Blythe était amoureuse.

« Donc, tu t'en vas? ». Avait-elle vraiment le choix? Puis, elle ne comprenait pas vraiment sa réaction, mais Blythe baissa la tête et frissonna lorsqu'une main vint soulever son menton. « Tu ne comptais pas me dire au revoir n'est-ce pas? ». Il posait trop de questions qui fâchait. Elle frissonnait une nouvelle fois avant de hocher négativement. Non, elle ne comptait pas lui dire au revoir. Dans un souffle coupé par ce devait être des larmes, elle réussit à souffler. « C'était plus facile comme ça. ». Malheureusement, la vie en avait décidé autrement et son grand amour l'avait surpris entrain de faire ses valises. « Tu choisis toujours la facilité, pourquoi? ». La belle fronça les sourcils. Elle n'avait pas choisi la facilité, loin de là. Mais il était plus facile de s'installer dans un petit village pour y travailler que dans une grande ville où la concurrence était rude. « Pars avec moi alors, si tu ne veux pas que je m'en aille. ». Mais il ne répondit pas et Blythe prit ceci pour un refus. Elle l'attendit tout de même à l'embarcation, mais il ne vint pas. Alors, la brunette s'en alla, sans dire au revoir. Elle lui en voulait, lui qui se disait fou amoureux d'elle.

Blythe s'installa alors à Arrosic, où son frère l'y rejoint quelques mois plus tard. Elle montait sa petite affaire de décoration et s'y senti comme chez elle. Arroswic faisait vraiment un grand bien à la jeune femme qui, avec tout la pression que Londres exerçait sur elle, Blythe avait bien besoin d'un énorme repos, puis, elle s'y plaisait dans cette ville.