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 J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)

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Kai Eowyn Bonistaw
Kai Eowyn Bonistaw
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MessageSujet: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptySam 4 Fév - 23:59


« J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. »
Elle referma la porte de la salle de bain quand un bruit se fit entendre dans la grande maison de campagne des Bonistaw. « Turbo ? » son chien arriva à ses pieds en aboyant, tout content qu'elle soit sortie de la pièce, elle caresse sa petite tête avec tendresse. Elle détestait être seule ici, elle avait peur pour un rien, elle se sentait oppressée alors que la maison était terriblement grande, elle se sentait observée, bref, elle était totalement parano quand elle se retrouvait seule ici. Il faut dire que la belle aurait préférée avoir un loft mais, papa et maman n'étaient pas d'accord pour ça et même si elle avait les moyens d'être indépendante, elle ne voulait pas les offenser elle s'en voulait déjà suffisamment de ne pas éprouver un réel amour pour eux, du moins pas celui d'une fille envers son père et sa mère. Elle descendit les escaliers pour se poster devant la grande baie vitrée quand un bruit de verre brisé se fit entendre. La rouquine sursauta littéralement avant de se retourner bon, cette fois c'était bien la faute de son chien qui visiblement s'était montré trop curieux en voulant voir ce qu'il y avait dans le verre qui était posé sur la table. Elle afficha un petit sourire, incapable de s'énerver contre cette boule de poil et attrapa son portable au lieu de nettoyer les catastrophes de l'animal dans la minute. « Blazhe ? C'est Kai... je suis un peu seule dans ma grande maison tu voudrais pas passer ? Je t'attends ! » Ouais, en fait, elle avait posé une question qui n'en était pas vraiment une puisqu'elle attendait le jeune homme, en même temps, il ne tenait qu'à lui de répondre et de ne pas envoyer la rouquine sur le répondeur.

Blazhe, aujourd'hui Kai le voyait comme un jardinier atrocement craquant et plus qu'agréable. Le genre de garçon qu'elle mettrait bien dans son lit, faute d'être capable de s'engager. Blazhe avant, c'était l'homme de sa vie, celui pour qui elle aurait tout donné, celui avec qui elle a sombré. Le coma ayant effacé sa mémoire, elle ne pouvait pas se douter un seul instant de cela et en l'invitant, elle ne savait que lui savait parfaitement qui elle était, quelle fille elle avait été. Elle ne savait rien, il savait tout. Peut-être que si elle ne bloquait pas autant ses souvenirs elle aurait pu prendre conscience de la situation ? Personne ne pouvait le savoir et de toute façon, elle ne voulait absolument pas se souvenir.

Enfin, elle ramassa les bêtises de son chien, les bruits des morceaux de verres qui s’entrechoquaient lui permettaient de ne pas trop paniquer sur sa solitude, si Blazhe ne venait pas, elle n’avait pas l’intention de rester ici, elle allait sortir, voir des gens, ou pourquoi pas se promener ? Le froid hivernal qui avait pris sa place dans le petit village ne lui faisait pas peur mais, tout de même, elle avait envie de voir son Blazhe, parce qu’elle l’appréciait vraiment. Il y avait quelque chose chez lui de particulier, elle se sentait en sécurité avec lui et c’était certainement pour cette raison que d’instinct elle avait composé son numéro… c’est vrai, elle avait peur, elle l’appelait.
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MessageSujet: Re: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptyLun 20 Fév - 12:39

Il ne savait pas quoi faire mais il devait s’occuper. C’était comme une sorte de nécessité première, le meilleur moyen de ne pas penser à elle. Oui, pour une fois, il voulait l’oublier, elle et son si jolie visage. Elle et cette manière de le regarder. Elle et toute sa culpabilité. Cherchant de l’aide dans un bon verre d’alcool, il remarque que rien ne change. Il est là, incapable de ne pas regarder leur photos, tous ses souvenirs qu’il lui cache pour ne pas qu’elle s’en aille. Il sait qu’il est fou d’agir de la sorte, de la laisser penser qu’il n’est pas celui qu’elle croit mais agir autrement ne serait qu’une douleur impossible de laquelle il ne pourrait point se relever. Allumant son ordinateur, il se mit, chose extrêmement rare, à faire une partie de solitaire, un moyen comme un autre de ne pas penser à tout ce qui lui cachait, de ne pas perdre pied. Il était d’ailleurs en train de gagner et cela lui plaisait assez. Sa vie, à cet instant précis, pouvait paraitre dénuée d’intérêt alors que ce n’était pas vraiment le cas. Blazhe ne pouvait malheureusement pas aller au bar. Il devait être en forme, la vielle dame du bout de la rue avait fait appel à ses services pour couper quelques-uns de ses arbres et même si cela ne faisait pas partie de ses fonctions premières, il ne pouvait point refuser. Le jardinier qui devient bucheron, étrange mais totalement véridique. Qui plus est, après tout ce qu’il avait pu faire au court de sa vie, ce n’était pas un arbre qui allait l’arrêter. Ayant malheureusement perdu son jeu, il décide de manger un petit quelque chose tout en s’abrutissant devant la télévision. Zappant de chaine en chaine, il ne peut s’empêcher de rire tout en voyant les experts. Leur technique, les crimes, tellement de choses qu’il avait côtoyées d’assez prêt pour comprendre que ce n’était que du vent. La vérité est toute autre, les preuves sont beaucoup plus difficiles à trouver et pourtant leur manque ne l’a pas empêché de finir derrière les barreaux. N’en pouvant plus de cette stupidité, il se dit qu’aller dormir tôt ne serait peut-être pas une mauvaise idée et que peut-être il pourrait dormir quelques heures sans penser à elle… Immédiatement, il remarque combien cette idée pouvait être stupide. Il lui était impossible de ne pas voir son petit minois et à l’instant même il pensait si fortement à elle qu’il croyait entendre son téléphone sonné. Se rattachant à la réalité, il remarque que c’était bel et bien le cas. Comprenant qu’il ne rêve point, il cherche où il a bien pu le mettre mais ne le trouve point. Cela ne le fait que d’autant plus rager tandis qu’il se rend compte que c’est elle. Les nouvelles technologies et leur pouvoir. C’était bien plus simple de mettre une sonnerie personnalités que de retrouver ce foutu combiné. Le trouvant enfin, il arrive au même où la musique s’arrête. Il enrage jusque qu’à voir qu’un nouveau message l’attend sur sa boite d’appel. Ne perdant pas une seconde, il écoute ce dernier. « Blazhe ? C'est Kai... je suis un peu seule dans ma grande maison tu ne voudrais pas passer ? Je t'attends ! » Il s’en veut de l’avoir manqué mais ne prend pas la peine de lui répondre. Il ne veut pas perdre de temps. Tel un chevalier, elle appelle, il accord pour la secourir. Il ne veut pas qu’elle se sente seule, il la veut heureuse et en sécurité. Elle l’attend, il ne prévient pas et il se permet même de bruler quelques feus. Pour elle, il avait toujours agit bizarrement et ce n’était pas prêt de passer. Arrivant devant chez elle il ne prit même pas la peine de sonner et d’attendre qu’elle lui ouvre. Il se servit de ses clés et entra dans la grande demeure. Sur la pointe des pieds, il avançait dans la pénombre jusqu’au salon. Connaissant légèrement la demoiselle, il se doutait qu’il la trouverait à cet endroit bien particulier. Deux minutes et il y serait… un moment qu’il faillit bien manquer tandis qu’un objet venait de lui atterrir sur la tête. Il avait mal mais cela était encore supportable. Blazhe n’avait aucun doute sur l’identité de celle qui venait de l’assommer de la sorte. Il n’y avait qu’une seule fille assez seule pour agir de la sorte. « Kai, c’est moi. » Ce fut tout ce qu’il réussit à sortir de ses tendres lèvres tandis que la douleur se fit plus vacillante, il essayait de garder les yeux ouverts, oui ce n’était rien, ce n’était pas grave. Rien n’avait d’importance puisqu’il était là avec elle. Puisqu’il l’avait retrouvé celle qu’il avait si lâchement abandonné, celle qui par sa faute avait bien failli perdre la vie. La seule et unique demoiselle qu’il aimerait à jamais. Son pire cauchemar et son plus grand rêve, un mélange particulier et unique donc il ne pouvait nullement se passer. Sa petit Kai…
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Kai Eowyn Bonistaw
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MessageSujet: Re: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptyMar 21 Fév - 12:14


« J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. »
Kai fini par monter dans sa chambre pour attendre la venue de son Blazhe, au moins elle se sentirait à l'aise, dans un environnement qui lui ressemble. En effet, dans cette grande demeure, tout était à l'image de ses parents, à l'image de ceux qu'elles ne connaissaient pas vraiment mais, ce n'était nullement ces goûts. Elle avait envie de couleurs chaudes, accueillantes, d'un style moderne, comme dans sa chambre ou même sa salle de bain mais, ses géniteurs préféraient le classique et l'ancien ainsi que les couleurs ternes. En d'autres termes, sa chambre, c'était son espace vital qui lui permettait de vivre dans cette maison. Assise sur son lit, elle s'amusait à feuilleter son tas de magazine de mariage, elle faisait ça pour s'avancer un peu sur la journée de demain où elle devait commencer à préparer le mariage d'un cliente particulièrement exigeante mais, elle le faisait aussi par plaisir. Elle pensait qu'elle était totalement incapable de s'engager et par conséquent, elle ne pourrait jamais se marier même si ça la faisait rêver. D'ailleurs, c'était ça le problème d'après elle, elle rêvait du prince charmant et en l'attendant elle ne parvenait pas à avoir une relation stable avec qui que ce soit. Non, elle ne savait pas que la raison était toute autre, qu'elle n'attendait pas le prince charmant mais, simplement de retrouver la mémoire de cette amour si passionnel qu'elle avait eu pour Blazhe, il suffisait qu'elle se souvienne pour comprendre mais, une nouvelle fois, elle ne faisait même pas l'effort d'essayer. Turbo se mit à agiter la queue, c'était le signe évident que la rouquine n'était plus seule chez elle.

Le pavé entre les mains, en haut de l'escalier, elle attendait d'avoir l'intrus dans son angle de tir et quand ce fut le cas, elle lâcha le « guise de la meilleure organisatrice de mariage » sur la tête de cette personne. « Kai, c’est moi. » C’était la voix de Blazhe là ? Elle ne rêvait pas ? La belle dévala les escaliers à une vitesse très peu autorisé pour rejoindre le beau jardinier. Elle n’avait pas pensé un seul instant qu’il serait arrivé si vite, elle pensait qu’il serait un peu plus long et, la faute à sa paranoïa, elle avait pris peur. « Oh Blazhe je suis désolée ! Tellement désolée ! Je ne pensais pas que tu viendrais si vite… et je déteste cette baraque, elle me rend folle ! » Kai en panique ? Un vrai moulin à parole débordant d’excuse, difficile à arrêter, le beau brun risquait d’entendre les excuses de la rouquine encore un petit –long- moment. « Je vais te chercher de la glace, j’en ai pour deux secondes ! J’arrive ! » Et avec son énergie débordante habituelle, elle se précipita chercher de la glace, elle était vraiment désolée mais, le plus douloureux pour Blazhe comme pour les autres était certainement de la voir courir partout constamment avec cette énergie difficile à canaliser, Kai était terriblement usante par moment. Enfin le beau jardinier ne devait pas trop s’inquiéter puisqu’il était l’une des rares personnes à réussir à la calmer un peu quand elle n’était pas en panique comme présentement.

Kai retourna vers son ami incroyablement craquant avec une bouille de petit chien battu complétement désolé, une bouille qui faisait qu’on ne lui refusait pas grand-chose en général. Elle lui tendit gentiment la glace avant de demander « Tu m’en veux pas trop hein ? » Elle lui ouvrit ses bras en signe de réclamation d’un câlin.
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MessageSujet: Re: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptyMar 21 Fév - 12:17

Aller vite pour la voir s’assurer que personne ne viendrait lui faire du mal. Protecteur, il l’était même si elle ne se souvenait pas de lui, du mal qu’il avait pu lui faire. Tout cela était tellement étrange, être un autre à ses yeux, une bonne chose si on prenait en compte l’horreur de leur passé. Jamais il ne voulait qu’elle découvre la vérité. Cela le tuerait et réduirait à néant ses chances de la garder près de lui. Se passer d’elle, avancer sans sa douce présence. Autant de choses qui n’étaient pas aussi facile qu’il y paraissait. Faire croire à quelqu’un avec qui on a tout partagé qu’on ne le connait que depuis peu de temps, c’est loin d’être aisé. Surtout lorsqu’on a aimé cette personne plus que tout au monde. C’était le cas de Blazhe et aucun doute qu’une partie de lui n’avait jamais arrêté de battre pour ce petit bout de femmes. Sur la route le conduisant vers sa bienaimée, il pensait à tout un tas de choses comme le fait qu’il serait peut-être temps pour lui d’arrêter de mentir. Malheureusement, s’il le faisait, il avait plus que peur de la conséquence de ses actes. Pourrait-elle comprendre qu’il avait cela par amour ? Ou alors verrait-elle simplement l’acte égoïste qui résultat de cette manière d’agir ? Il n’en savait rien et ne voulait pas vraiment le découvrir. Peut-être qu’un jour, il aurait le courage de tout lui mais pas aujourd’hui, ce n’était pas pour cela qu’il se rendait chez elle. Au fond, pourquoi le faisait-il ? Parce qu’elle le lui avait demandé et cela lui suffisait. Un mot et il obéissait comme s’il était totalement incapable de lui résister ne serait-ce qu’un tout petit peu. Oui, il était fou d’elle, de sa présence, de sa manière de se comporter et de tout ce qui la rendait unique. Il avait peur qu’un autre ne s’approche d’elle, qu’on lui brise le cœur, qu’on la lui enlève. Elle représentait tout et la belle n’en avait malheureusement aucune idée. Arrivant enfin chez elle, il n’avait même pas pris la peine de sonner. C’était une mauvaise attitude qu’il ne se serait jamais permis chez un autre client mais tout le monde n’était pas la rouquine et cette donne ne changerait jamais. Continuant d’avancer dans la grande maison, il ne voulait pas faire de bruit, il ne voulait pas l’effrayer et qu’elle commettre un mauvais geste. Malheureusement, sa façon d’agir n’avait fait que renforcer cet effet. A peine avait-il avancé vers le grand escalier qu’un immense bouquin- voir un pavé- tomba sur sa tête, le clouant au sol. Connaissant la demoiselle il aurait dû s’attendre à ce genre d’attitude, cela lui ressemblait tellement. Il aurait presque envie d’en rire si cela ne lui faisait pas si mal. Oui, la douleur était bien plus importante qu’il n’aurait pu le croire au premier abord. Immédiatement, il décida donc de s’annoncer, connaissant la donzelle, elle risquait fort de lui remettre un coup si elle le prenait toujours pour voleur. Un peu sonné, il l’entendit tout de même descendre les escaliers et venir se poser tout près de lui. Son odeur, il la reconnaitrait entre mille, personne ne le pourrait le tromper sur sa si belle personne. Rien que pour cela, il se moquait totalement du coup qu’elle venait de lui donner. Cela n’avait point d’importance à cet instant. « Oh Blazhe je suis désolée ! Tellement désolée ! Je ne pensais pas que tu viendrais si vite… et je déteste cette baraque, elle me rend folle ! » Il ne put retenir un éclat de rire qui ne fit que renforcer sa douleur mais il s’en moquait. Elle était là et tout paraissait parfait. Se relevant légèrement, il décida de ne pas se mettre debout immédiatement. Il ne voulait pas faire peur à la demoiselle, surtout pas maintenant qu’elle était si proche de lui. « Ce n’est rien, tu ne l’a pas fait exprès et puis, au moins je suis sûr qu’avec toi un voleur n’aurait aucune chance. » Il rigolait doucement d’elle mais surtout avec elle et cela lui faisait un bien fou. Il se sentit si bien près d’elle. Il la vit allumer les lumières avant de se mettre à parler. « Je vais te chercher de la glace, j’en ai pour deux secondes ! J’arrive ! » Il n’eut pas le temps de répondre que déjà elle s’en était allé bien loin. Il souriait tandis que le temps sans elle lui paraissait durer une éternité. Lorsqu’il la revit, il ne put retenir un éclat de rire. Sa bouille de petit chien battu, il l’avait toujours adoré. Il prit la glace qu’elle lui tendait et il savait même avant qu’elle n’ouvre ses jolies lèvres ce qui allait en sortir. « Tu m’en veux pas trop hein ? » Un sourire pour lui dire que non avant qu’il ne se relevé tant bien que mal. La belle lui avait ouvert ses bras comme si elle désirait un câlin et il ne pouvait en aucun cas lui refuser cela. Pas à elle. Il la prit donc dans ses bras et tout son monde s’éclaira. Il appréciait ce contact, la sentir tout contre lui, ce sentiment étrange, il ne voulait plus jamais la lâcher. « Je ne pourrais jamais t’en vouloir ma belle…. » Une simple phrase qui voulait dire tellement plus. Comment pourrait-il lui en vouloir après ce qu’il lui avait subir ? Aucun doute qu’il ne pourrait jamais lui en vouloir pas après tout ce qu’il lui avait subir. Non, elle avait tous les droits sur lui et les auraient sans doute à jamais. Car elle est elle-même et cela lui suffit amplement. La tenant toujours tout contre lui, il se demande si elle entend son cœur battre beaucoup plus fort ? « Qu’est-ce que tu veux que l’on fasse ? » Ils sont chez elle, c’est donc logique qu’ils fassent ce qu’elle désire et puis, il n’a plus envie d’être cet homme qui l’obligeait à se cacher. Celui qui avait bien faillit la tuer. Maintenant, il était à ses pieds et cela n’était pas près de changer.

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Kai Eowyn Bonistaw
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MessageSujet: Re: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptyVen 24 Fév - 16:43


« J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. »
Blazhe ne pouvait s’empêcher de rire en entendant sa bienaimée parler et il se releva aussitôt comme s’il ne voulait pas l’inquiéter davantage. En même temps, il s’agissait de Kai, pour la moindre petite chose, elle réagissait de façon relativement extrême, elle ne savait pas faire dans la demi-mesure. « Ce n’est rien, tu ne l’a pas fait exprès et puis, au moins je suis sûr qu’avec toi un voleur n’aurait aucune chance. » Elle mêla doucement son rire au sien avant de courir chercher de la glace, non c’est sûr, elle ne laissait aucune chance aux voleurs, elle était bien trop parano pour ça. Et puis elle avait tellement regardé des films d’horreurs stupides dans lesquels les filles se faisaient avoir comme si elles étaient dépourvues d’intelligence alors, il était hors de question pour elle qu’il lui arrive la même chose même si elle avait conscience que ce n’était que de la fiction.

Enfin elle retourna vers le beau brun avec sa glace et sa petite bouille de chien battu qui fit rire le jeune homme. Ce dernier prit la glace qu’elle lui tendait avec un sourire, elle avait l’impression qu’il savait déjà ce qu’elle allait dire, qu’il la connaissait par cœur et en fait, elle ne croyait pas si bien dire. Toutefois, elle ouvrit la bouche pour lui demander s'il ne lui en voulait pas trop et une nouvelle fois il lui fit un sourire pour lui faire comprendre que non et la jolie rouquine sembla soulagée, soudainement. En même temps, ça serait un peu étrange que l’homme qui était à la base de ses longs mois de coma et de son amnésie lui en veuille pour un simple bouquin sur la tête mais, elle ne pouvait pas prendre ce paramètre en compte parce qu’elle n’en savait rien et qu’il ne lui disait rien. Elle lui ouvrit les bras et il accepta sans aucune difficulté de lui faire un câlin, elle se sentait en sécurité avec lui, elle se sentait étrangement bien et prise d’un sentiment étrange qu’elle ne connaissait pas vraiment et qu’elle ne cherchait pas à identifier. Si la belle rouquine savait que tout ça n’était que les effluves de son passé avec ce beau jardinier… mais, elle restait dans cette douce ignorance qui qualifiait si bien la jeune femme qu’elle était depuis sa sortie du coma. « Je ne pourrais jamais t’en vouloir ma belle…. » D’ailleurs, si elle avait su, elle aurait compris que cette phrase voulait dire bien plus, que ce n’était pas qu’une petite réplique agréable à l’oreille, elle aurait compris que c’était presque des excuses et que le jeune homme s’en voulait énormément pour tout ce qu’il lui avait fait traverser. Sacré mémoire ou sacré volonté, peu importe, toujours est-il que même si Kai avait la sensation inverse elle ne se connaissait pas et elle ne maîtrisait absolument pas sa vie. Non, tout ça c’était les autres qui l’avait en main, c’était ceux qui connaissaient son passé, comme Blazhe qui se tenait face à elle. « Bah si tu pourrais ! Imagine hum… je t’aurais envoyé aux urgences et causé un traumatisme crânien ? Je comprendrais que tu m’en veuilles ! Surtout qu’ils ne sont franchement pas drôles dans le personnel hospitalier. » Oui, elle était décidément totalement innocente et parfaitement inconsciente.

Enfin elle regardait Blazhe avec un grand sourire alors qu’il reprenait la parole. [color:84d0=#658BB7]« Qu’est-ce que tu veux que l’on fasse ? »
c’était la question à ne jamais posé à la demoiselle. Elle était totalement incapable de décider tellement elle avait des idées d’activités –aussi futiles soit-elles- qui germaient dans sa tête, en fait, c’était bon pour activer le moulin à parole qu’elle était. « Hum je sais pas ! Tu peux m’aider à trouver le lieu idéal pour organiser le mariage d’une cliente un peu exigeante. En même temps, je la comprends, elle veut que ce soit le plus beau jour de sa vie mais, elle est vraiment perfectionniste ! Ou sinon on peut faire des gâteau, tu sais cuisiner au moins ? À moins qu’on aille promener Turbo ? Tu sais qu’il ne dirait pas non ! Ou alors je peux te mettre une raclée au basket ! Ou on peut même aller courir si tu veux, enfin je sais pas qu’est-ce qui t’inspires ? » Kai ? Épuisante ? Oh tout de suite les grands mots ! Simplement un peu bavarde et débordante d’énergie. Bon d’accord, elle ressemblait certainement à une gosse de treize ans en agissant comme ça mais, c’était sans aucun doute les revers d’une vie passée. Après tout, quand elle n’avait que treize ans, elle jouait les grandes, il fallait bien rattraper le temps perdu et oublié.

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MessageSujet: Re: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptyDim 26 Fév - 12:16

Kai était là, devant lui et tout son monde reprenait des couleurs. Il se moquait d’avoir reçu un livre sur la tête, de se sentir un peu étrange, elle était là et tout devenait beau. C’était ainsi, dès qu’elle se trouvait dans une pièce, il rayonnait, sachant qu’il ne l’avait pas totalement perdu. Bien sûr, une pointe de culpabilité pointait toujours le bout de son nez comme pour lui rappeler ses erreurs passer mais ce n’était rien par rapport au bonheur qu’il ressentait maintenant. Il rigolait avec elle, essayait de la rendre heureuse, de réaliser ce qu’il n’avait jamais réussi quand elle était encore elle-même. En entendant son rire, ce fut comme si son monde retrouvait des couleurs, comme si elle éclairait sa vie et il se sentait si bien. Oui, même tout le mal qu’il avait pu lui faire ne lui avait enlevé sa délicate pureté, ce qu’il appréciait plus que tout chez elle. Parfaite, elle l’était sans aucune doute, du moins, toutes ses imperfections, la rendait unique et donc inoubliable. Amoureux, il l’était de la plante de ses pieds jusqu’au pointe de ses cheveux. Ce n’était pas de l’amour, c’était bien pire. Quelques minutes et la belle demoiselle lui apportait un peu de glace qui ne lui était pas d’une grande utilité. Il aurait surement une belle bosse mais cela n’était rien de grave et puis, il ne voulait vraiment pas lui faire peur. Alors oui, cela faisait mal mais pas plus que tout ce qu’il avait pu lui faire et aussi tout ce que cela pouvait maintenant lui faire ressentir. Il était un monstre mais avec sa mine de chien battu, elle arrivait même à lui faire oublier cela. Un ange, voilà ce qu’elle était, une pureté sans aucune faille même si cela aussi il le lui avait enlevé. Essayant de chasser de ses tendres pensées tout ce qui ne devait pas s’y trouver, il concentre sur elle et sur cette manière d’agir. Elle lui demande s’il ne lui en veut pas trop et lui, répond que non. La rouquine ne sait pas qu’il ne pourra jamais lui en vouloir, pas après toutes les horreurs qu’il avait bien pu lui faire subir. Il ne pourrait jamais lui en vouloir, même si elle lui arrachait le cœur de la poitrine, il ne pourrait la haïr. Elle avait tous les droits sur lui car il l’avait détruit jusqu’au plus profond de son corps et maintenant il s’en mordait totalement les doigts. « Bah si tu pourrais ! Imagine hum… je t’aurais envoyé aux urgences et causé un traumatisme crânien ? Je comprendrais que tu m’en veuilles ! Surtout qu’ils ne sont franchement pas drôles dans le personnel hospitalier. » Le coma l’avait changé, lui avait rendu son enfance et cela il le remarquait maintenant. Elle était d’une innocence pure, inconsciente du monde de ce qu’elle pouvait bien prononcer et cela lui était étrange. Adolescente, elle voulait paraitre âgée et maintenant, elle faisait l’inverse, recherchait son enfance et cela n’était pas une mauvaise chose. Toutefois, cela ne lui enlevait en rien cette culpabilité qu’il gardait en lui et qui ne faisait que se renforcer à l’entente des mots de la demoiselle. Son visage se tordit pendant quelques instants une émotion horrible. Il la chassa presque immédiatement se concentrant sur elle et parlant avec une honnêteté sans faille, il lui répondit tendrement. « Même là je ne t’en voudrais pas… Tu pourrais tout le faire que cela ne changerait pas la donne… » Remarquant que ses propos étaient quelque peu particulier surtout parce qu’elle ne savait pas ce qu’il pensait d’elle, leur passé et tout le reste, il agita à la va vite une dernier phrase. « Oui, je veux dire qu’avec tes yeux de chiens battus, tu mettrais tout le monde à tes pieds. » Il se rattrapait un peu même si cette phrase puait presque sa maladresse. Ne voulant pas rester debout à rien faire il lui proposait de choisir à quoi ils allaient passer le temps qu’ils passeraient ensemble. Cette proposition pouvait sembler totalement innocente mais elle ne l’était nullement. Combien de fois par le passé n’avait-il pas été capable de lui demander cela ? Combien de fois avait-il décidé pour eux deux au point de détruire sa vie ? Il ne voulait plus de cela et c’est pour cela qu’il lui demandait son avis. La réponse eut de quoi le surprendre. « Hum je sais pas ! Tu peux m’aider à trouver le lieu idéal pour organiser le mariage d’une cliente un peu exigeante. En même temps, je la comprends, elle veut que ce soit le plus beau jour de sa vie mais, elle est vraiment perfectionniste ! Ou sinon on peut faire des gâteau, tu sais cuisiner au moins ? À moins qu’on aille promener Turbo ? Tu sais qu’il ne dirait pas non ! Ou alors je peux te mettre une raclée au basket ! Ou on peut même aller courir si tu veux, enfin je sais pas qu’est-ce qui t’inspires ? » Il éclata de rire en voyant le nombre d’informations qu’elle pouvait sortir en une minute et ne perdit d’ailleurs pas son temps pour essayer de comprendre tout ce qu’elle venait de lui dire et de trouver l’idée qui pourrait le plus convenir à la situation. Il prit doucement la main de la demoiselle et l’emmena jusqu’à la fenêtre la plus proche avant de lui montrer combien il faisait mauvais dehors. « Kai, regarde un peu le temps, sortir ne serait pas vraiment une bonne idée. Je ne doute pas que tu sois assez folle pour y aller mais je préfère ne pas te faire attraper la crève. Il serait dommage que nous soyons cloués dans nos lits pendant une semaine. » Trop de temps sans la voir, cela serait bien trop douloureux et il n’avait aucune envie de cela. Il préférait donc choisir entre les deux propositions celle qui lui paraissait préférable. Bizarrement son choix ne le rassurait pas tellement. « Pour ce qui est de t’aider pour le mariage idéal, je ne pense pas t’être d’un grand secours. Les relations amoureuses et moi ce n’est pas le grand amour. Je ne te serais pas très utile. » Il la regardait droit dans les yeux tout en se demandant s’il aurait pu la voir un jour portée la belle robe blanche ? Il n’en savait rien ou du moins ne préférait pas y pensé de peur que tout ne finisse mal. Ils ne leur restaient plus qu’une possibilité et pas la moindre. « Par contre, je serais plus que ravi de te montrer mes talents de cuisinier. Je suis sûr que tu n’en reviendras pas toi-même. » Il lui fit un grand et long regard avant de l’observer tendrement. « Aller conduis-moi dans ta cuisine… » Une nouvelle aventure allait se dérouler et il l’attendait avec impatiente.
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MessageSujet: Re: J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe)   J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. (Blazhe) EmptySam 3 Mar - 19:34


« J'ai peur... de ne pas être assez avec toi. »
Le pauvre Blazhe devait avoir des souvenirs contrairement à la jolie rouquine en entendant ses paroles, il devait penser à ce foutu accident, aux longs mois de coma, la situation n’avait rien d’innocente pour le jeune homme. « Même là je ne t’en voudrais pas… Tu pourrais tout le faire que cela ne changerait pas la donne… » Pauvre Blazhe, vraiment, il ne faisait que s’enfoncer dans des souvenirs avec Kai alors qu’elle ne se souvenait de rien, qu’elle ne comprenait pas le sens de sa phrase. Oui, pour lui ça signifiait certainement bien plus que pour elle qui le regardait un peu bizarrement avant qu’il n’ajoute. « Oui, je veux dire qu’avec tes yeux de chiens battus, tu mettrais tout le monde à tes pieds. » Il se rattrapait comme il pouvait mais, ça marchait, parce que la jolie rousse était naïve et qu’elle prenait pratiquement tout à la légère, là, elle ne voyait qu’un compliment maladroit qui la faisait sourire, d’où le fait qu’elle reprit la parole pour dire « T’es trop mignon quand tu joues les grands romantiques ! » avec un magnifique sourire digne d’une pub pour dentifrice à la seule différence que le sien était sincère et vrai.

La belle délivra un nombre de propositions folles, il faut dire que le jeune jardinier avait eu la mauvaise idée de lui demander ce qu’elle voulait faire, chose qu’il ne faisait jamais avant mais, maintenant, lui poser cette question était une folie digne des plus grands psychopathes. Enfin, lui ça le fit éclater de rire et tant mieux ! Tout le monde ne supportait pas ce flot de parole incessant, à commencer par son psy mais, ça c’était une autre histoire parce que vraiment, elle noyait le poisson sous un tas de banalités, là c’était tout de même différent. Le jeune homme attrapa sa main et l’entraîna jusqu’à la fenêtre pour qu’elle constate par elle-même qu’il faisait vraiment mauvais et que sortir n’était peut-être pas une bonne idée, même si dans son cerveau de petite fille insouciante, ça ne lui posait aucun problème de sortir par ce temps, ça pouvait être vraiment drôle. « Kai, regarde un peu le temps, sortir ne serait pas vraiment une bonne idée. Je ne doute pas que tu sois assez folle pour y aller mais je préfère ne pas te faire attraper la crève. Il serait dommage que nous soyons cloués dans nos lits pendant une semaine. » Et elle ne put s’empêcher d’éclater de rire, c’est vrai qu’elle était suffisamment folle pour ça mais, choper la crève n’était pas une bonne idée. C’était con de tomber malade et de se passer de son chevalier servant. « Pour ce qui est de t’aider pour le mariage idéal, je ne pense pas t’être d’un grand secours. Les relations amoureuses et moi ce n’est pas le grand amour. Je ne te serais pas très utile. » Et alors ? Elle non plus ! Elle était tout de même certaine qu’il pouvait lui être d’une aide précieuse, il suffisait d’avoir du goût et un peu de psychologie, pas d’être passionné par le mariage et l’amour de façon générale hein. « Oh dis pas de bêtises ! Tu pourrais forcément m’être utile surtout que je suis certaine que tu connais bien les femmes même si tu ne vis pas de relations amoureuses avec elles. Et peut-être qu’un jour j’organiserais ton mariage, qui sait ? » Ouais qui sait, non mais, vraiment, la jolie petite rouquine avait un don pour appuyer là où ça fait mal sans même le savoir, parce que s’il n’y avait pas eu cette accident de voiture, elle aurait sans doute tout fait pour être la mariée et non l’organisatrice, la bonne copine. « Par contre, je serais plus que ravi de te montrer mes talents de cuisinier. Je suis sûr que tu n’en reviendras pas toi-même. » La cuisine, il allait être servi avec Kai, une fois qu’elle était lancée, elle ne voulait plus s’arrêter et son truc à elle c’était la pâtisserie, parce que salé… elle n’appréciait pas tellement d’en manger, comme une enfant. Paradoxalement, à treize ans, elle mangeait ses assiettes de légumes et surveillait constamment sa ligne, l’oubli change les gens. « Aller conduis-moi dans ta cuisine… » Et elle lui fit un grand sourire.

Elle le mena jusqu’à sa grande cuisine et s’arrêta sur un plan de travail avec un sourire amusé. « Tu veux qu’on invente une recette ? J’ai plein d’ingrédients ! Ou des crêpes ? Gaufres ? Gâteau au chocolat ? Charlotte aux fraises ? Tiramisu ? Ou tu as d’autres idées ? » Oui, le moulin à parole était toujours activé et elle regardait le jeune jardinier avec une innocence rare, la reconnaissait-il ? La Kai qu’il avait connu ne lui manquait-elle pas ? Kai ne pouvait même pas se poser ses questions puisque pour elle il n’y avait pas de passé… et pourtant, il faudrait qu’elle ouvre les yeux un jour.

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