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STONES ALASKA TENNESSEE
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NOM(S): Stones. PRÉNOM(S): Alaska Tennessee AGE: 20 ans ORIGINE: Anglaise STATUT CIVIL: En couple mais c'est compliqué MÉTIER OU ÉTUDES:Etudiante en arts classiques GROUPE: filthy youth. AVATAR: Emma Roberts

« Va te faire foutre connard ! » criais-je, tout en tentant une bonne fois pour toutes de me détacher de l'étreinte de cette ordure qui me servait de père. J'avais tout essayé ; des claques, des coups de pieds, mais il fallait croire qu'il était encore plus coriace quand il avait bu. Je frissonnais en y repensant. Cependant, je n'eus pas vraiment le temps de m'apitoyer plus sur mon sort puisque déjà, il revenait à la charge. « Reviens-là salope ! Je suis encore ton père et t'as pas intérêt à partir ou sinon ... » Avant qu'il ne termine sa phrase j'avais fracassé un vase sur sa tête. Tant pis, s'il mourrait maintenant, je n'avais que seize ans et je pourrais encore me reconstruire. J'essayais toujours de m'en persuader, mais au fond, je n'y croyais jamais vraiment. Je n'avais connu que la violence dans mon foyer avec une mère qui s'était enfuie très tôt et un père alcoolique incapable de le reconnaître, je n'avais pas les meilleures dispositions à réussir ... Mais pour l'instant, je contemplais mon père, en train de défaillir lentement, avant de tomber lourdement au sol pendant que des torrents coulaient le long de mes joues. J'étais fatiguée, épuisée et chaque partie de mon corps était source de douleur. Je restais plantée ainsi pendant quelques minutes, sans savoir quoi faire. Je ne voulais plus pleurer, je voulais simplement mourir. Oui c'est ça ; m'endormir pour toujours dans les bras de Morphée et rêver d'un ailleurs. Et puis, il se remit à gigoter. Sans réfléchir, j'attrapais ma veste et le téléphone de mon père. Puis, je claquais la porte derrière moi et me mis à courir tout en composant le numéro du seul être censé qu'il me restait sur cette terre.

J'avais très froid. J'eus donc un mal fou pour taper à la porte. Heureusement, cette dernière s'ouvrit presque immédiatement sur Emrys qui ne prit même pas le temps de me regarder. Il se jeta immédiatement sur moi en m'enlaçant avec tendresse. En réalisant dans quel état j'étais apparu devant lui, mes sanglots se transformèrent en pleurs que je ne contrôlais plus. Je devais avoir les cheveux dans tous les sens, les yeux rougis à force d'avoir pleuré et le visage crasseux. Je ne bougeais plus et j'avais l'impression que mon corps ne m'appartenait plus. Il dut m'emmener jusqu'à la salle de bain et me laver le visage puisque je repris réellement conscience dans son lit, allongée avec des mains et un visage propres. Il me caressait lentement les cheveux tout en me souriant. Je lui rendis faiblement son sourire tout en me rapprochant de lui. « Les escaliers c'est ça ? » Déclara-t-il. Je savais qu'il n'en croyait pas un mot. Je savais qu'il avait compris. Comme d'habitude, je m'obstinais pourtant à acquiescer tout en détournant le regard. Je ne voulais plus penser à ce qui se passait chez moi. Je devais retourner au lycée le lendemain et afficher un sourire radieux et répondre oui, tout va bien ; oui je vais bien en y croyant dur comme fer. Ce n'était pas le moment de retomber dans le mélo. Et puis, Emrys était là, nous avions sa maison pour nous seul ce soir, il n'y aurait pas d'interrogation, il y aurait seulement nous. Je souris en y pesant. « Pourquoi tu ris ? » « Pour rien. » « Oh dis-moi s'il-te-plait ! » Un silence. « Je suis contente d'être là c'est tout. » Affirmais-je tout en me tournant vers lui. Il était vraiment beau ; et puis, il souriait. Je n'avais jamais vu quelqu'un sourire autant. Et j'avais besoin de quelqu'un comme lui. Prise d'une envie soudaine, je me relevais et l'embrassais. Étais-ce de l'amour ou simplement un refuge dans lequel je m'étais plongé pour échapper à mon père ? Je n'en savais rien et la question n'avait alors aucun intérêt. J'étais bien trop concentrée sur le bonheur que me procurais le baiser que nous étions en train d'échanger. Ses lèvres étaient douces et avaient un goût si particulier ... Nous nous détachâmes l'un de l'autre pour nous contempler pendant quelques instants. Si seulement la vie pouvait être aussi simple. Lentement, le visage du jeune homme s'approcha à nouveau du mien tandis que nos mains se rencontraient naturellement et que nous nous allongions de nouveau sur son lit. Puis, tout se fit très naturellement ; nous nous déshabillâmes lentement et maladroitement, nous échangions des baisers tantôt doux tantôt fougueux. Je ne pensais plus à rien et en même temps, je sentais que cette nuit allait tout changer. Je serais plus forte, je ne pleurerai plus, les insultes de mon père ne m'atteindraient plus, je prendrais enfin la décision d'intégrer l'école d'arts classiques dont je rêvais ... Pour la première fois j'offrais mon corps à un homme ; pour la dernière fois, je m'offrais totalement à un homme. Tant pis si nous étions maladroits, tant pis si nos mouvements étaient simples. Lui aussi s'offrait pour la première fois. Je n'ai jamais été si heureuse de toute ma vie.
Le lendemain matin il était parti. Je ne l'ai plus jamais revu.

S'il y avait bien une chose qu'il ne fallait pas faire, c'était bien me réveiller avant onze heures les jours où je ne travaillais pas. Enfin, je dis onze heures ... Il ne faut jamais me réveiller en fait. Sinon, je deviens très rapidement violente. Évidemment, James, mon colocataire, y prenait souvent un malin plaisir. Et ce matin-là, lendemain de fête difficile, il fallait qu'il me saute dessus à neuf heures du mat' ! Je ne sais plus si je rêvais, mais une chose est certaine j'aurais bien dormi plus longtemps ... Bref, j'avais sentit une énorme masse s'écrouler sur moi. J'avais ouvert les yeux en catastrophe, croyant que notre appartement nous tombait sur la tête. Je ne mis pas longtemps à me rendre compte que ce n'était autre James qui était plié en quatre. « Quoi ? Putain Jamie je peux pas y croire ... » Déclarais-je en me laissant tomber sur mon lit. Il avait vraiment le chic pour jouer avec mes nerfs. « Tu verrais ta tête ! Je te promets je pense que n'ai rien vu d'aussi drôle depuis longtemps. » « Ha ha. » En signe d'agacement je ramenais la couette sur moi et me recouvrait totalement. Il n'était pas trop tard pour que je dorme un peu plus. Sauf que le jeune français n'avait apparemment pas l'intention de me laisser dormir un peu plus. En effet, il se mit à me secouer en le rabâchant qu'il fallait que je me lève. Bon sang ; ça lui arrivait parfois de me taquiner un peu, mais ce matin, il me paraissait particulièrement excité. Je lui répondais par de simples grognements. Au bout de quelques minutes - ou quelques secondes je n'en sais rien - je finis par succomber en lui demandant sèchement. « Oui je suis bien réveillée c'est bon. Tu veux autre chose ? » Le jeune homme soupira en secouant la tête. « Tu le fais exprès c'est ça ? Lève-toi et habille toi c'est sérieux d'accord ? » Je ne comprenais pas. Lui qui semblait quelques instants avant se réjouir de la journée qui débutait avait totalement changé d'air. Il s'éloigna sans que je n'ai le temps de dire quelque chose. Pour le coup, j'étais réveillée et pas prête à retourner sous la couette. Je me levais donc sans véritable enthousiasme et me passais un rapide coup d'eau sur le visage. Puis, comme chaque matin, je fermais ma porte à clef et fouillais dans mon armoire pour trouver un petit sachet transparent. Après une fouille de quelques minutes, je le trouvais enfin et disposais une petite ligne sur ma table de nuit. Professionnelle comme j'étais, je terminais en une minute à peine. Et enfin, j'attrapais mon téléphone. Anxieuse, je composais le code pour qu'il s'allume. Depuis deux semaines maintenant, c'était la même chose ; j'attendais le message. Son message. Ou un appel je n'en savais rien. Quand l'écran du téléphone s'alluma, il n'y avait aucun message. Comme chaque matin depuis deux semaines, je soupirais et jetais mon téléphone à l'autre bout de la pièce. Mais quelque chose fit tilt dans mon esprit. Presque aussi immédiatement, je le rattrapais et vérifiais la date. « Et merde ! » Lançais-je avant de déverrouiller le loquet de ma porte.

C'était bien ce que j'avais crains. En ouvrant la porte et après avoir traversé le couloir, je découvrais tous mes amis - si on pouvait tous les appeler amis - dans mon salon, le sourire aux lèvres. « JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!! » Le seul hic ? J'ai toujours détesté les anniversaires … C'est surement ce qui avais fait que cette année encore javais oublié mon anniversaire. En plus, dix-huit ans. Dix huit ans bordel, bientôt vingt. Et le bilan était là ; je n'avais rien fait de mon adolescence. Sans que je ne vois rien venir, James se dirigeait vers moi en me tendant un énorme paquet. Je les regardais tous les deux : le paquet et lui. « Jamie ... Je t'avais dit que je ne voulais rien faire ... » Mais pour la première fois depuis longtemps, j'étais quand même heureuse. Malgré le retour de Emrys, malgré l'école, malgré la drogue. Malgré tout cela, un faible sourire s'installa sur mon visage ; il n'y avait pas grand monde dans l'appartement, mais quoi que je puisse dire, toutes les personnes présentes m'étaient chères. A leur façon. J'avais finalement construit quelque chose ... Me rendant compte que toute l'attention était sur moi, je me jetais à mon tour au coup de James « Merci. Juste merci. » Lui avais-je murmuré avant se saisir le paquet. Nous nous échangeâmes un regard plein de tendresse ; l'essentiel de mon temps, je le passais avec lui et avec Leandro que je fréquentais depuis mon arrivée ici. Lui-même s'était écarté des autres invités qu'il ne fréquentait pas vraiment : il me regardait, le sourire aux lèvres. Je ne l'aimais pas vraiment - savais-je seulement ce que voulais dire 'aimer ? -mais notre couple me satisfaisait pleinement : ainsi, il ignorait pas mal de chose sur moi et que je préfèrais garder secrète. Lui aussi avait un passé houleux qu'il ne mentionnait jamais. Nous formions un chouette couple, il faut dire : chacun ses secrets bien au chaud, bien gardés et tout ira pour le mieux. J'ouvrais le paquet qui contenait un énorme ours en peluche. Winnie the Pooh. Poo, c'était moi. Je souris. C'était Emrys qui m'avait donné ce surnom et toutes ces années, j'avais tenu à le garder. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Mais aujourd'hui, en même temps que cet ours, Emrys était à nouveau rentré dans ma vie. J'ignorais s'il souhaitait me recontacter. Mais une chose était certaine, ma vie n'avait jamais autant été sur le point de changer.

B'jour tout le monde (: alors moi c'est Gemma oui, je sais, comme Gemma Ward O_O ou Gemma Artenton : en plus sex bien sûr, sinan ce serait pas drôle ! Haha :D Je suis en seconde à Paris - j'vous dirais pas le bahut, manquerait plus que vous veniez me harceler ^^ pour l'année qui vient, le choix va être terrible. J'hésite encore entre ES et L même si je sais très bien où je vais finir : en S, à la plus grande joie de mes vieux qui ne seront pas obligés de me renier ù__ù
Bref, j'ai découvert le forum par hasard : un partenaire il me semble (mais c'est pas sûr !) et ça a été le coup de . En plus Emma la bomba était libre et en PV, j'ai pas hésité (;
Côté fille, j'aime de tout mais j'suis particulièrement branchée mannequin (a) : Sasha P., Anne-Marie VD, Skye S., Freja G., Abbey LK etc. donc j'exige un lien si votre vava fait partie de la liste suivante =DD
Pareil pour les hommes : Mathias L & moi sommes mariés depuis deux ans mais je bave j'aime aussi aussi Robert Pattinson (oui, ben chui désolée, mais il est sublime *__* ^^) & Luke Grimes - juste parfait
Enfin, je suis gentille -mais pas trop, naïve -juste ce qu'il faut, un peu taré mais je me fais suivre ;D & a little sadique (a)