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 alaska ★ cold as you

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MessageSujet: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 18:13




alaska joan kennedy
« La foi en l'âme humaine échappe à la raison et défie les frêles certitudes de notre savoir. »
NOM: kennedyPRÉNOMS: alaska joanAGE: 18 ansORIGINE: Phoenix, Arizona, USASTATUT CIVIL: célibataireMÉTIER OU ÉTUDES: lycéenneGROUPE: fluorescent adolescent AVATAR: behati sweet prinsloo


nothing's gonna change my world


« And you come away with a great little story, of a mess of a dreamer with the nerve to adore you... »


« Alaska ! Alaska bon sang, écoutes moi quand je te parles ! Alaska ! » Alaska. C'est moi. Oui, Alaska comme l'État le plus froid des Etats-Unis qui connu pour gouverneur l'affreuse Sarah Palin et son mouvement des tea party. Juste à côté du Canada vous savez ? A l'ouest. Et bien Alaska c'était aussi mon prénom. « ALASKA KENNEDY ARRETES CA IMMEDIATEMENT ! » Ah oui, Kennedy... Quitte à faire dans l'américaine parfaite, Kennedy c'est bien mon nom de famille. Comme la famille Kennedy, le président Kennedy, oui, oui... Alaska Joan Kennedy pour être exact. Et c'est ce nom que ma mère hurle dans la pièce pendant que j'enfouis mes affaires dans une valise presque plus grosse que moi. Malgré elle, maman reste sur le palier de la chambre. Elle n'ose pas rentrer. Elle n'ose plus. Depuis que je suis partie la première fois, elle n'a jamais su se résigner à rentrer à nouveau. Comme si j'avais brisé quelque chose entre nous. Mais cette fois c'est fini. Je m'en vais. J'avais quitté la maison la première fois pour une raison bien particulière : j'étais amoureuse d'un homme plus âgé que moi et je voulais vivre pleinement cette histoire d'amour. Normal pour une ado, non ? A dix-sept ans on se sent intelligente et forte, on pense pouvoir porter le monde sur ses épaules, sans faire d'efforts. J'avais été comme ça, moi aussi. Mais je ne l'étais plus. Alors que sa voix bourdonnait dans mes oreilles, je balançais sans vraiment faire attention mes affaires dans ma valise. Je lui tournait le dos. Elle ne devait pas me voir pleurer. Je le refusais. J'allais jusqu'à mon amour, prenant bien soin de dissimuler mon visage derrière mes longues mèches blondes. D'un coup de main décidé, j'attrapais la majeure partie de son contenu et l'enfoui en vrac dans ma valise. Peut importait ce qui restait, les choses essentielles étaient déjà au fond. Revenant faire un tour d'horizon, j'avisais une boîte de taille moyenne recouverte de divers collages issus de magasines de mode. J'eus un sourire nostalgiques un bref instant avant que les larmes ne se remettent à couler de plus belles. Dans cette boîte que j'avais moi même customisé se trouvait des sous-vêtements que ma mère aurait qualifié d'hérétique. En vérité, c'était juste des sous-vêtements de chez Victoria's Secret, un peu osé. Bien différent des dessous en coton blanc que m'avais toujours acheté ma mère et qu'elle achetait à ma petite sœur. Mes parents étaient des américains chrétiens puritains qui croyaient en l'abstinence et à la générosité. Ma sœur et moi avions été élevées dans ce climat, ce qui dans le fond ne me déplaisait pas. J'avais juste éprouvé, à un certain moment de ma vie, un besoin de changement, de me sentir femme et sexy. Alors j'avais pris une certaine somme en liquide et, profitant d'une visite à Tucson chez mes grands-parents, j'avais fais une escale au retour dans un magasin de lingerie. Sitôt rentrée à la maison je m'étais empressée de les ranger dans cette boîte que j'avais décorée le plus innocemment possible pour l'occasion. Le collage était composé de photos d'avants premières, d'affiches de film, de diverses photos que je trouvais jolies. Et pour être sure que ma mère ne mette pas la main dessus, je l'avais rangée au fond de mon armoire. Voir cette boîte maintenant me rendais plein de souvenirs. De mauvais souvenirs. Cependant, par esprit de contradiction, je l'attrapais et la tassais également dans ma valise qui semblait maintenant prête à exploser. Je regardais autour de moi, évitant soigneusement le regard de ma mère, et vérifiais n'avoir rien oublié. Après avoir forcé un instant sur la fermeture, je parvins à boucler mon bagage. J'attrapais mon vieux sweet-shirt Mickey Mouse qui trainait sur mon lit, l'enfilais par dessus mon débardeur, essuyais mes larmes d'un revers de main, attrapais ma valise et tentais une sortie. Je n'imaginais pas que ma mère me laisse partir comme ça. Le drame serait le même que celui de la dernière fois. Si ce n'était pire. Parce que cette fois je ne pensais pas revenir. « Alaska je t'en pries ! Alaska regardes moi ! Parles moi ma chérie. » Alors que je levais les yeux vers elle, mon regard s 'égara dans le miroir. J'étais rougie, des traces de mascara plein les joues. Je me faisais honte. Et c'était de sa faute. « ARRETES MAMAN ! ARRETES ! Arrêtes de me demander de rester ou de réfléchir ! Je déteste cet endroit, je déteste Phœnix et rien de ce que tu diras ne me fera JAMAIS changer d'avis, tu entends ? JAMAIS ! » Elle semblait incrédule et m'attrapa le bras, tentant de me retenir. S'en était trop. Réagissant bien trop vite pour qu'elle puisse suivre le mouvement, je la mordis. Elle hurla, plus de surprise que de douleur, et me lâcha instantanément. J'en profitais pour m'engouffrer dans la brèche qu'elle me laissais et m'élançais dans les escaliers.
Arrivée difficilement en bas en trainant mon lourd bagage, j'aperçus ma petite sœur Dawn installée devant la télé. Visiblement, la dispute qui avait éclatée en haut ne le dérangeais nullement alors qu'elle regardait son nouveau show préféré, Hellcats. Elle leva la tête en m'entendant me cogner une énième fois dans la rambarde de l'escalier, me fixa de ses yeux brillants, comme pour me mettre au défi de quitter la maison. Certaines fois je me demandais si ce n'était pas ce qu'elle voulais réellement : que je disparaisse. Dawn était une petite peste égoïste quand elle le voulait et adorait avoir toute l'attention de mes parents. A vrai dire, elle était une véritable princesse à la maison. Mais je l'avais été, aussi, à son âge. Je n'étais pas jalouse de sa situation. Elle le méritait. Ma petite sœur n'était pas seulement une petite égocentrique, certaines fois elle pouvait vraiment avoir la main sur le cœur. Ou du moins être adorable. Quitter la maison c'était la quitter aussi, et je le faisais à regret. Mais je me devais de le faire. Maintenant. Les pubs prirent fin alors que j'ouvrais la bouche pour lui dire quelques chose. Elle me fit seulement signe de téléphoner avant de monter le son et je ne fus plus qu'un souvenir pour son attention. Dawn avait attendu depuis tellement longtemps (quelques semaines en faites) pour savoir si Dan et Savannah allaient enfin se remettre ensemble ou si il allait préférer Marti que, maintenant, il était peine perdue d'essayer d'attirer ses pensées. Tant mieux, d'une certaine façon : je ne voulais pas rester là un seul instant de plus. J'attrapais mes clés dans le bol se trouvant sur la table basse de l'entrée et ouvris la porte principale. Il faisait beau dehors, c'était une journée ordinaire dans la banlieue de Phœnix. Oui, une journée ordinaire... Plus pour moi. J'avais un sentiment contradictoire en sortant de la maison : d'un côté, j'espérais que personne n'observais notre pavillon à ce moment là et que personne ne prêterait attention à mon mini-scandale, de manière à ce que mes parents puissent trouver une explication qui satisferait tout le monde. D'un autre côté, j'avais envie que tout le monde me voit partir telle une tornade et que les Kennedy soient au centre d'une affaire de rumeurs qui circuleraient dans tout le quartier. Ma mère n'aurait plus qu'à se terrer dans la maison et oublier son titre non-officiel mais bien existant de « femme au foyer et mère parfaite du quartier ».Observant furtivement à la ronde pendant que je me dirigeais ma voiture, je ne pu apercevoir que les Parker et les Jones dans leurs jardins respectifs et aucuns d'entre eux ne prêtait attention à ce qui se passait vers chez nous. Bien. Je posais ma valise sur la banquette arrière de ma Mini Cooper, m'installais au volant et sorti en hâte de l'allée du garage. Si mes prévisions étaient exactes, je croiserais mon père lorsque je tournerais dans la dix-huitième. C'était ce qui s'était passé la première fois que j'étais partie. Maman l'avait appelé en hâte et il était rentré en bravant toute limitation de vitesse pour essayer de me retenir. Ce qu'il avait failli réussir, à un peu moins d'une minute près. Je doutais qu'il y ai beaucoup de trafic à cette heure de la journée et il me faudrait peu de temps pour sortir de Phœnix. J'ignorais quelle était ma destination, mais je savais que je devais partir d'ici. Je tournais dans la dix-huitième et m'étonnais de ne pas croiser la voiture de mon père. Forçant le destin, parce que je savais qu'il viendrait, je fis un détour par le centre de Phœnix. J'étais bien nostalgique de cet endroit. Mes larmes recommencèrent à couler alors que je passais devant un bel immeuble en plein cœur de la ville. Je me souvenais de l'appartement du dernier étage, celui ou j'avais vécu avec Ezekiel pendant quelques temps. Ma gorge se serra alors que je tournais en direction de l'autoroute. C'était ça, ma première fois. Ma première escapade.
J'allais avoir dix-sept ans la première fois que je l'avais rencontré. J'allais à Tucson, rendre visite à mes grands-parents lorsque j'étais tombée en panne, en plein milieu du désert. Crevée dans tous les sens du terme, j'étais en proie à une lutte intérieure contre la panique en y ajoutant une bonne dose de prières pour que quelqu'un vienne me sortir de cet affreux guêpier. Et puis au milieu de l'horizon aride, j'avais vu une voiture. C'était un miracle, un don de la providence. Me voyant là, en galère sur la route, il s'était arrêté. Ezekiel, mon ange tombé du ciel. Un regard chocolat pétillant, un sourire rayonnant, un visage qui inspirait la confiance... Passé la surprise et l'euphorie de voir apparaître quelqu'un, je m'étais soudain sentie idiote. Ce jour là je portais un short en jean, de banales baskets et mon éternel sweet-shirt gris délavé Mickey Mouse. Je voulais lui plaire. Sur le moment, j'ignorais bien pourquoi, mais j'avais voulu lui plaire. Je savais bien que ma mère m'avais dis de me méfier des étrangers, que c'était dangereux de monter en voiture avec n'importe qui mais lorsqu'il m'avait proposé de m'emmener à la station service la plus proche, à une dizaine de miles, je me serais mal vue lui dire qu'il fallait qu'il y aille seul et qu'il me ramène une roue ! Alors j'avais fermé ma voiture et étais montée avec lui. Et même après ce qui s'est passé, je me sentais incapable de regretter ce moment là. Nous avions discutés durant le trajet et j'avais beaucoup ris. Il était différent des autres, des garçons que je fréquentais habituellement. La réponse à cette question muette était venue naturellement dans la conversation et l'évidence était apparue : il avait vingt-cinq ans. Neuf ans de plus que moi. Lorsqu'il avait retourné la question j'avais feint de ne pas avoir entendu et lançais un autre sujet. Le trajet avait été agréable, et trop court. Surtout trop court. Mais, heureusement pour moi, malgré tout l'insistance qu'avait mis le gérant de la station service à coup de « mais poursuivez votre route monsieur, je m'occupe de la petite demoiselle » et de « vous embêtez pas, vous allez vous salir les mains à changer une roue, moi c'est mon métier » et enfin de « mais avec le pris de l'essence vous savez, un aller-retour de vingt miles ça va vous coûter cher ! » Que nenni, Ezekiel avait gentiment envoyé se faire voir le monsieur et m'avait donc raccompagné jusqu'à ma Mini, abandonnée tristement à son sort en plein soleil sur un route déserte. Il avait ensuite changé ma roue et avait pris mon numéro de téléphone, pour me rappeler. Ce qu'il avait fait une minute à peine après m'avoir laisser pour, a t'il dit, « vérifier que tu n'aie pas donné un faux numéro ». C'était plaisant pour moi. Je n'avais rien vu du monde, je n'avais jamais été ailleurs que Tucson en dehors de Phœnix, j'avais une éducation très pieuse et sage, je ne sortais que très peu avec des garçons, si l'on pouvait appeler ça des sorties... Ezekiel m'avait ouvert les portes d'un nouveau monde. Un monde que je voulais connaître. Après tout, que savais-je de la vie ? De l'amour je connaissais le fait de plaire à l'autre, les moments d'éternité que l'on passe dans les bras de celui qu'on adore... La vérité c'est qu'avant Ezekiel, j'étais sorti avec un seul garçon, Tom. Notre « histoire » avait duré six mois et c'était bien tout ce que je connaissais des relations amoureuses. J'avais déjà fais une drôle de tête et eu beaucoup de mal à comprendre lorsqu'il avait mis la langue dans nos baisers, un mois après le début de notre relation, alors imaginer plus, se dévêtir devant un homme ou autre... C'était du domaine des films pour moi. A l'époque, je prenais encore la scène érotique de Titanic pour du quasi porno. Ne riez pas, ce n'est pas drôle. C'était innocent. Avec Ezekiel j'avais découvert une nouvelle chose : l'amour. J'avais eu dix sept ans et nous nous étions revus plusieurs fois. Il y avait toujours cette alchimie entre nous, ce qui me plaisait tant. Au fur et à mesure de nos rencontres, je prenais de plus en plus de soin en m'habillant, me me maquillant, en me coiffant. Chacune de nos rencontres me demandait de plus en plus de préparation. Et puis un soir, c'était venu, comme ça. Mes lèvres avaient tout naturellement trouvés leurs places sur les siennes. En rentrant chez moi ce soir là, j'étais sur un nuage. Plus rien ne pouvait m'atteindre. Bien sur, il doutait. J'étais plus jeune que lui, beaucoup plus jeune. Mais moi je m'en fichais. J'allais contre vent et marées pour lui. J'avais quitté la maison familiale après que ma mère m'ait sommé de ne plus jamais le revoir. J'étais arrivée en pleurs à son appartement et nous nous étions finalement installés ensemble. J'avais aussi découvert l'amour physique. J'avais toujours entendu parler d'abstinence, de réserve pour le mariage... Je pouvais dire que dans les faits, la vérité était tout autre. Le désir brulant, l'envie de poser ses mains sur le corps de l'autre, ces petites gestes qui font du bien... Je lui avais donné ma virginité. Et les fois d'après. J'étais devenue une femme, plus mature, plus sophistiquée. D'où les fameux sous-vêtements dont je parlais tout à l'heure. Et puis il était parti, comme ça, sur un coup de tête en me laissant seule avec mes larmes et mes regrets. Je ne le comprenais pas. Je croyais qu'Ezekiel serait l'amour de ma vie. Il avait juste été la plus grosse déception que j'ai connu en dix-sept ans d'existence. Alors j'avais abandonnée, ranger ma fierté et j'étais rentrée chez mes parents.
Des cris. Des pleurs. Les gros yeux. J'étais la fille prodigue qui rentrait à la maison. Mais quelque chose avait changé dans le regard de mes parents : je n'étais plus une petite fille. Sans avoir jamais été naïve, j'avais toujours été leur parfaite petite fille, bien élevée, sans jamais un mot de trop. Enfin, ça c'est ce qu'ils voyaient à la maison. Mais leur Alaska qui laissait toujours sa porte ouverte et qui racontait volontiers sa journée était devenue une autre. Secrète, plus changeante que jamais. J'avais perdue la totalité de mes ami(e)s. Tous me rapprochaient la même chose : j'étais devenue distraite, réservée... et je ne faisais plus confiance à personne. Difficile à supporter pour eux. Je ne les voyais plus de la même façon, pour ma part. Ils me semblaient tous insignifiants après ce que j'avais connu avec Ezekiel. Aucun n'avait la maturité que je voulais à présent et mes copines n'avaient pas plus évoluées : admirer les stars des magasines, disserter sur Joe Jonas et sa nouvelle copine ou sur le dernier single de Greyson Chance ou, bien pire, Justin Bieber... Mon monde avait changé. Pas eux.
J'étais là, dans ma voiture, perdue et en déroute. Je roulais vitre ouverte, Taylor Swift dans l'autoradio, les pensées à des kilomètres de la réalité. Je ne savais pas vraiment quoi faire. Je songeais à ma valise, mes fringues en bordel, à combien tout ça ressemblait à Ezeckiel. Je roulais depuis trois heures déjà. Le soleil commençait à se coucher et j'étais perdue, sans savoir quoi faire. Un néon de motel clignotait plus loin. J'allais m'arrêter là. Dormir aussi bien que possible et de là, j'aviserais. Voilà. C'était la seule chose à faire. C'était un motel glauque, digne d'un film d'horreur ou d'un clip de Fefe Dobson mais je n'y prêtais guère attention. Même le gérant semblait bizarre... Oh, ce n'était que pour une nuit. Sitôt rendue dans ma chambre, je défis ma valise, furieuse contre moi même de voir mes vêtements pêle-mêle dans mon bagage. Cela ne me ressemblait pas. Après deux bonnes heures pour tout replier, parfaitement ordonner et refermer ma valise qui, d'un seul coup, se fermait mieux, je m'accordais un instant de réflexion à la fenêtre. Je contemplais le ciel étoilé, l'éternité libre qui s'offrait à moi. J'aurais du rentrer à la maison, auprès de ma famille trop parfaite. Mais je ne pouvais pas. J'envoyais un rapide texto à Dawn « je vais bien, ne vous en faites pas. » et éteignais mon portable avant de m'allonger tel que sur le lit qui grinçait. Je n'eus même pas le temps de penser plus loin.
Le lendemain, je repris la route. Malgré moi, je savais où j'allais. Vers mes souvenirs. Vers Ezekiel. En chantant Taylor Swift, la route me paraissait moins longue. J'aperçus un panneau. Arrowsic, 14 miles. J'ignorais si il s'était rendu là bas. Je l'espérais de tout cœur. Sa bourgade natale qui m'avait toujours parue si insignifiante signifierait peut être pour moi bien plus que je ne le pensais, finalement.


just the way you are

alaska ★ cold as you 2mfxes9Vous parler de moi, c'est parler de toutes les personnes qui sont dans ma tête et qui se battent pour avoir leur quart d'heure de célébrité. dites les trucs, fermez là un peu, je parle de vous là ! Enfin, celle qui domine s'appelle Cécile, elle a 16 ans maintenant et c'est donc une nana. (sérieusement ?) Elle s'excuse d'avance d'avoir un humour de merde, mais bon, elle n'y peut pas grand chose. Vous la connaissez sans doute sous Miss.Nutella ou Exentric`, pour le reste faut voir par MP. C'est une geek pas possible, même si elle se calme cette année. Elle vit dans le 77, près de Paris et rêve d'aller s'installer à Londres, chez son cousin.
OMG, voilà que je commence à parler de moi à la 3ème personne. Les trucs, j'ai dis on se tais ! La situation dégénère là.


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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 19:13

E'yo, bienvenue sur le forum j'pense tu vas bien t'amuser ici. Bon j'suis un peu le dieu des lieux, donc faut le savoir car il y a quelques usurpateurs ici qui veulent ma place.. Et moi j'ai la classe alaska ★ cold as you 161626

Peace.
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 20:14

Ton speech tombe à l'eau Alexander, j'étais ici bien avant que tu n'y mette les pieds. Donc la déesse, c'est moi.

Oui, t'as bien vu la porte. Et si t'es gentil, je ferrais de toi mon esclave personnel. (A)
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 20:17

Welcooome I love you
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 20:36

Bienvenue!

Behatiiiiii :loni2:
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 20:50

Felix, je boude que tu m'ais oublié.

Grazi Tonia
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 21:15

Ahh j'adore, j'pense on va bien s'entendre alors. Mais bon, ce que j'ai dit ça tient toujours alaska ★ cold as you 161626
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyJeu 30 Juin - 21:26

Quand tu parles d'usurpateur ? Forcément, c'toi l'usurpateur. Non mais !
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyVen 1 Juil - 9:30

Rebienvenue très chère alaska alaska ★ cold as you 161626 alaska ★ cold as you 161626
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyVen 1 Juil - 11:19

Welcommmmme !!
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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptyVen 1 Juil - 12:49

Mais avec plaisir Chaz.
Enfin je ne t'oublies pas. Je reviendrais avec sexy Rosie aussi ^^

Thanks Raphael.
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Aaron Lawford
Aaron Lawford
MESSAGES : 14387
ARRIVÉE : 12/01/2011


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MessageSujet: Re: alaska ★ cold as you   alaska ★ cold as you EmptySam 2 Juil - 16:16

Je te valide. (:
N'oublie pas d'aller recenser ton avatar & de voter pour nos top-sites si tu as le temps. tongue
Re-bienvenue parmi nous. I love you
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