« A demain. » je souris en enfilant mon manteau, une matinée de travail finit, je reviens ce soir mais, ce ne sont pas les mêmes collègues, « Bye bye portez vous bien. » dis-je en leur faisant un petit signe de main, je baisse la poignée et finit alors par quitter la tour radio, je lève la tête, un petit soleil timide se présente, l'après-midi risque d'être plus chaude que la matinée, je marche alors faisant une petite escale pour prendre un café au lait, une fois achetée je le sirote tout en marchand, je préfère largement tout aire à pied, je crois que je compense avec tout ce que je mange, comme ça je me prive moins... ou tout simplement le village est bien trop petit pour utiliser la voiture inutilement et que je n'aime pas tellement conduire. Sourire aux lèvres, il est rare de me voir marché comme une loque humaine et lentement, non non bien au contraire je déborde toujours de choix, me stoppant car mon portable vient de sonner, je le sors de mon sac à main et constate alors que c'est un message, je continue ma marche prudemment, en levant les yeux quelques fois pour ne pas me prendre un poteau... cela m'est déjà arrivée. Je suis prête pour le ranger quand soudain quelques chose d'humide me frôle le mollet, je baisse les yeux doucement quand soudains je remarque que ce qui me touche le molet est la truffe d'un chien, je pousse un léger crie et par réflexe je me perche en hauteur sur le muret de la devanture de la cour d'un immeuble avec une certaine souplesse et acrobaties, pas évidant d'être en jupe et petits talons pour grimper sur un mur. Je hais les chiens, je les déteste, je ne peux pas le supporté, c'est la seule chose qui m'horrifie autant, que je ne veux jamais croiser dans ma vie, personne ne pourras me le faire aimer, hors de questions, je ne peux pas le regarder, je suis comme tétanisée quand je croise leurs regards, la bête me regarde avec de gros yeux et chercher à monter en posant ses deux grosse pattes immondes sur le mur, il se mets à aboyer. « Psshht Va-t-en. », il est trop gros pour que je l'envoie valdinguer d'un coup de pied, je n'ose pas le toucher alors essaye de le faire partir en me penchant et lui donnant de petits coup de sac à main, je regarde au tour de moi, personne pour m'aider, je déteste les rues déserte, j'ai envie de crier à l'aide mais, personne ne répondrais j'en suis certaine. « Mais vas voir ailleurs si j'y suis!!! » je cherche quelques chose dans mon sac à main que je peux lancer, c'est triste j'aimai bien ce fond de teint, je le lance, le chien regarde ce que j'ai laissé et court en sa direction, je sautille de joie quand l'animal s'en va, je suis prête à dessins quand j'entends un ouaf, il teint dans sa gueule mon fond de teint. « Casse toi sale bête. » dis-je en me remettant debout et le poussant avec mon sac à main, je crois que je me suis trop penchée, trop d'agitation, une perte d'équilibre, et je me sens déjà partir en avant, oh mon dieu je vais me retrouver par terre avec cette sale bête, je crois quand heurte le sol cela produit un bruit sourd, je sens alors les pattes de l'animal monter sur moi, j'étouffe un crie en me mordillant les lèvres, je suis trop jeune pour mourir, non mais je ne vais pas me lisser battre par un chien,je ferme les yeux en voyant ma mort approché, mais je les ouvres je vois des pieds, je lève la tête vers le propriétaire des pieds. « Enlevez moi cette horreur de moi je vous en supplie. » la personne semble voir la détresse dans ma voix et chasse l'animal, je me redresse alors libérée, soulagée, je soupire en repoussant ma chevelure, je me tourne vers la personne et vois une main prête à m'aider pour me lever, je lui la prends, sentant alors la douleur sur mes genoux, mes mains, et une chance que j'ai levé la tête pour ne pas tomber, cela devait être jolie à voir heureusement que personne m'a vu à moins que... « Merci beaucoup vous m'avez sauvez!! » dis-je en m'époussetant et remarquant mon collant complètement effilée. Je pose mon regard sur l'homme, qui est plutôt même beau garçon, la honte s'il m'as vue... je dois m'enfuir en courant, j'affiche un petit sourire gênée. « Vous... » je fais un petit geste vers le mur. « Vous n'avez rien vu qui puisse me mettre mal à l'aise?» dis-je en penchant la tête sur le côté. « Comme...Ma...chute.. » je ricane gênée, je suis lamentable. La honte, je vous maudit sale canidés de médeux!!! « Vous n'avez rien vu n'est-ce pas? . » petit sourire, j'essaye de lui faire comprendre que je plaisante et de faire comme si rien ne s'est passé, je ricane en regardant le dégâts que j'ai fait. Que des égratignures, un coup de désinfectant, pansement et hope le tour est joué.