floriana marie bird-alston

« La foi en l'âme humaine échappe à la raison et défie les frêles certitudes de notre savoir. »

NOM(S): Bird-Alston. ❖ PRÉNOM(S): Floriana Marie. ❖ AGE: vingt-quatre. ❖ ORIGINE: italienne. ❖ STATUT CIVIL: célibataire. ❖ MÉTIER OU ÉTUDES: a fait des études dans le stylisme, la mode, s'est lancée dans le monde professionnel il y a peu de temps. ❖ GROUPE: adult's world. ❖ AVATAR: Blake Lively.

« Regarde comme elle est mignonne. » « Oui ma chérie. Je crois que je suis tombée amoureuse de sa petite bouche en forme de coeur. » « Oh mon dieu, je n'avais pas remarqué! Elle est magnifique! Dois-je comprendre que je t'ai décidé ? » Un jeune couple se trouvait dans un bureau, une photo dans les mains. On aurait pu trouver cela pathétique si ça n'avait pas été aussi mignon. Il était impossible de faire détourner leur attention de la petite photographie. La personne, installée sur son fauteuil en face, commençait à se sentir mal à l'aise et ignorait comment les faire sortir de leur petite rêverie. Elle se lança enfin. « Excusez-moi. » mais ils ne répondirent pas. Elle toussota dans le but de se faire entendre et annonça sur un ton plus ferme. « Pourrais-je réclamer votre attention ? » le jeune homme et sa compagne levèrent enfin le nez du bout de papier qu'ils avaient entre les mains. Monsieur Alston, un grand homme exerçant la profession de médecin généraliste depuis annonça avec un air embarrassé « Veuillez nous excuser. Mais je crois que ma fiancée m'a convaincu. Serait-il possible de la voir ? » Quarante ans, elle devait avoir à peu près cet âge. Toutefois, elle en faisait bien moins et était dotée d'une gentillesse incroyable. Elle répliqua avec un sourire « Je vais voir ce que je peux faire, vous me donnez cinq minutes ? » les deux jeunes gens répondirent un 'oui' de la tête avec politesse. Une fois la femme sortie du bureau, ils s'enlacèrent, Amandine Bird – sa fiancée – ne put s'empêcher de pousser un cri de joie. « On va être parent. Tu te rends compte ? » il sourit, rêveur « On va être parent. » d'un côté, la jeune femme parut inquiète. Elle demeura silencieuse avant d'ajouter, plutôt inquiète « Et si on ne lui plait pas ? Oh mon dieu... si elle nous déteste, comment va-t-on faire ? » elle s'écarta de son futur-mari, un air triste. Elle avait toujours le don de dramatiser les choses et son côté lunatique et pessimiste ne pouvait arranger rien à la situation. « Elle va t'adorer. Elle va nous aimer, tu verras. » elle soupira « Tu es sur ? » alors qu'ils partageaient une nouvelle étreinte, Amandine entendit la porte du bureau s'ouvrir. Madame Cypher s'approcha, tenant dans sa main celle d'une toute petite fille âgée de deux ans, une chevelure blonde et des yeux lumineux. La première réaction qu'elle eut, fut un sourire absolument splendide. Noah et Amandine savaient par le simple biais de ce sourire et de ce regard, qu'ils deviendraient parents à la fin de la journée.

***

Un environnement couronnant amour, bonheur, sécurité et confiance comment Floriana ne pouvait-elle pas apporter ce qu'on le lui avait donné ? Une jeune femme aussi adorable et généreuse que Flore rêvait sans cesse d'une vie où, elle aussi elle apportait de l'amour à des enfants – elle en voulait trois. Un homme amusant, souriant, un peu gamin dans sa tête par moment, pas trop strict, quelqu'un qui lui ressemblait un peu quand on y réfléchissait. Quelqu'un d'aimant, avec qui on aimait passer du temps, avec de la conversation mêlée à des rires. A cette période plutôt rêveuse de sa vie, elle rencontra Damian. Le coup de foudre. Floriana n'est pas si nunuche qu'on pourrait le croire. Mais cette rencontre fut pour elle, exceptionnelle. Jamais elle n'aurait pensé, qu'à dix-neuf ans elle parviendrait à éprouver des sentiments aussi fort pour quelqu'un. « Je t'aime Flore. Plus que tout au monde. Pour toujours. Rien ne sera capable de nous séparer, jamais. » Et ils s'enlacèrent, s'embrassèrent à s'en incendier les lèvres. La passion régnait entre les deux tourtereaux, même après deux ans de relation. Toujours les bras les uns dans les autres. Ils ressemblaient un peu au couple qui donne envie de vomir pour les célibataires. Malgré cela, ils vivaient une vie de couple extrêmement ouverte. Bienvenues étaient les soirées entre potes, les bowling, les bars jusqu'à pas d'heures. En plus d'être un couple amoureux, ils avaient une vie sociable vraiment désirable. De plus, vivant dans un petit quartier huppé de Pennsylvanie, il était aisé de se faire connaître et de hanter les bouches des voisins. La vie de Flore qui semblait plutôt 'parfaite' aux yeux de tous, ses parents toujours bienveillants, accueillant ne pouvait qu'apporter davantage de confort à leur fille. Bien plus encore, ils lui avaient payée une école très populaire de mode afin qu'elle vive de sa passion. Le couple qu'elle formait avec le jeune Damian ne pouvait qu'encourager cette vie luxueuse et confortable. Mais... – il y a toujours un mais.
« Qu'est-ce que tu fais là ? » « Je pensais qu'il serait préférable de te le dire en personne. Mais je... finalement je ne pense pas que ma visite aie été un très bon choix. Je t'écrirai. » sa chevelure blonde et légèrement bouclée tombait avec grâce et sa robe récemment achetée la mettait vraiment en valeur. Même dans cette tristesse décisive Floriana était toujours aussi belle. Son regard sinistre la rendait irrésistible. Une peluche que l'on aurait pris immédiatement dans ses bras. Toutefois, Damian se devait de lutter contre le charme irréprochable de son ancienne fiancée. Ils étaient séparés, c'était la fin, la vraie. Il devait se montrer imperturbable. « Je t'en prie, tu ne vas pas partir comme ça. Que veux-tu me dire ? » elle tenta de reprendre son calme en regardant le ciel étoilé. Le porche de la maison de Damian la protégeait légèrement du vent frais de la soirée. Sa robe voletait. « Je pars. J'ai trouvé du boulot à New-York, un stage en réalité. Je compte m'installer là-bas un certain temps. » Damian la fixa, de la tête au pied avant de poser son regard sur les planches de la véranda qui entourait la maison. Il était épouvantablement heureux pour elle, seulement il ne s'autorisait pas à le montrer. Ce aurait été bien trop étrange. Il l'entendait gesticuler. Elle était mal à l'aise, il le savait. Il était mal à l'aise lui aussi, pareillement elle le savait. Un silence demeura. « Dis quelque chose Damian. » il la regarda alors, presque fou de rage. « Flore ! Ca suffit ! je pensais que tu l'avais assez bien compris ! C'est fini ! Nous deux, ça ne compte plus, alors maintenant je vais te demander de partir ! Bonne chance pour... merde... à... » « New-York. » il la regarda alors, elle était bien plus triste. Et ce qu'il venait de dire n'avait rien arrangé à la situation. Mais il ne savait plus comment se comporter. Lui dire qu'il était désolé et qu'il l'aimait ? Avant qu'elle parte pour New-York ? Débile. Il referma alors la porte lentement, la laissant au pied de la porte. Elle souffla dans un murmure... « Au revoir Damian. »

***

« Ma chérie, es-tu sure que tu fais le bon choix ? » sa mère, une voix douce et attentionnée fit sourir la jeune new-yorkaise revenue pour deux jours dans son petit quartier natal. « Je te promets maman que c'est la meilleure chose à faire. Et puis je ne serai pas si loin, je viendrai vous rendre visite. Et puis je ne serais pas seule, Madeline sera avec moi. » Flore vit sa mère s'inquiéter davantage et se frotter les yeux. Elle n'était peut-être pas sa mère biologique mais sa fille avait le même don qu'elle pour attirer les gens autour d'elle, dans de lourds moments de tristesse. « Maman... » elle la prit dans ses bras tendrement. Son esprit et son coeurs demeurèrent flous, elle avait quelques difficultés à comprendre la raison pour laquelle sa mère réagissait ainsi. Elle s'en allait, encore une fois mais... elle avait vingt-cinq ans maintenant. De beaux diplômes, une bonne détermination. Seulement, Floriana avait besoin de pause et de se réfugier avec sa meilleure amie dans un petit endroit pour faire un peu sa vie et oublier Damian qui restait encore dans son coeur malgré tous ses efforts pour l'oublier. Elle tenta de consoler sa petite maman en lui faisait comprendre qu'elle avait grandi et qu'elle n'avait pas à s'affoler comme elle le faisait. « Mais tu avais trouvé un travail absolument extraordinaire ! Que t'arrive-t-il ma chérie ? Entrer dans une grande maison de couture, de mode, de stylisme. Ce n'était pas ce que tu voulais ? Ils t'ont gardé après ton stage pourquoi n'y restes-tu pas ? » elle observa sa fille avec tristesse. Une mère se sent toujours coupable quand sa fille semble ne pas aller dans la direction vers laquelle elle avait toujours voulu aller. Le simple fait qu'elle veuille partir dans une pauvre campagne était la preuve la plus plausible que quelque chose n'allait pas. « C'est depuis que Damian et toi vous êtes séparés ? Je t'en prie ma belle. C'est un jeune homme vraiment admirable, vous étiez absolument parfaits et... » et c'est à ce genre de moment que l'on remercie d'avoir une mère. Lorsqu'elle énumère les bons moments que vous avez vécu avec une personne qui vous a brisé le coeur alors que vous essayez en vain d'oublier depuis un bon bout de temps. « Maman ! Je sais. » elle n'avait pas pour habitude de s'énerver ainsi contre sa mère mais... elle prit une grande bouffée d'air. « Je sais que Damian et moi formions un couple parfait, il m'emmenait au restaurant, parfois même on y allait avec vous, il disait bonjour, te ramenait des petits cadeaux pour ton anniversaire, souriait sans cesse, me rendait heureuse, me sortait, me faisait rencontrer du monde, je SAIS. Mais c'est fini, peut-on arrêter d'en discuter ? Je sais maman que c'était parfait, vraiment. Mais je ne veux plus en entendre parler et maintenant je te demande de me laisser faire ce que je veux, de choisir où je veux aller vivre et autant de temps que je voudrais. Laisse-moi respirer. Je vous appellerai, je reviendrai, ne t'inquiète pas pour ça. Je vous aime, je ne vous abandonnerai jamais. » alors c'était ça qu'elle cherchait ? Une grande tirade qui avait fait battre sans coeur comme jamais et l'avoir poignardé avec violence ? Elle chercha à cacher son chagrin afin de rassurer sa mère. Maintenant, elle devait vite s'enfuir. Madeline, sa meilleure amie l'attendait. Elles partagèrent une étreinte. « Je t'aime mon ange. » « Je t'aime aussi maman, mais je dois y aller. » Avant de s'enfuir, elle entendit les supplications de sa mère. Elle pourrait attendre son père quand même, il n'était pas encore rentré du boulot. Mais bon, s'il fallait attendre après un médecin... elle l'assura qu'elle reviendrait très bientôt, l'embrasse et passa la porte à tout allure. La belle voiture qui l'attendait dans la rue lui fit un bon au coeur. Elle avait tellement hâte de partir et de se reposer avec Madeline. La voiture alors, fila vers Maine, sous le regard attendrit de la mère de Floriana. Dans son excitation, la jeune femme ne remarqua pas que depuis qu'elle était partie de son pavillon, Damian quelques maisons plus loin ne la quitta pas du regard. Trois ans venaient de passer depuis leur dernières entrevue. Et si elle partait, elle n'était pas prête de le voir de si tôt. Seulement, était-ce ce qu'elle souhaitait au fond de son coeur ?

Bonjour/bonsoir à tous, je m'appelle Léonie, j'attends bientôt la majorité, je vais étudier sur Lyon l'année prochaine dans l'histoire de l'art (héhé ouais) et je passe actuellement mon bac littéraire. Je passe d'ailleurs mes épreuves d'anglais et d'espagnol demain e je le sens mal mais bon je verrai bien. J'ai connu le forum sur bazzart, et je suis bien contente de jouer la belle blake lively j'ai très très envie de rp donc voilà je pense que j'ai dit le principal. Joli forum :)

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