Sujet: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 18:39
muze teddy keenan
« Là où les pièces manquantes manqueront à jamais. »
NOM(S):Keenan. ❖ PRÉNOM(S):Muze, Teddy. ❖ AGE:dix-neuf ans. ❖ ORIGINE:anglaise. ❖ STATUT CIVIL:célibataire. ❖ MÉTIER OU ÉTUDES:sans emploi. j'aurais bien mis 'fille à papa', mais je ne suis pas sûre que ce soit réellement un métier. ❖ GROUPE:filthy youth ❖ AVATAR:la bandante freja beha.
nothing's gonna change my world
« Tu crois que j'suis pas cap', c'est ça ? Tu crois que j'vais m'défiler ? Mais tu m'prends pour qui, chéri ? » Je tire sur le joint que je tiens entre les doigts. C'est pas le premier de la soirée. Au bout du troisième, j'ai juste arrêté de compter. Mon cerveau s'engourdit, encore un peu plus. Et avec lui, c'est tout mon corps qui semble s'endormir. Mes pupilles doivent être dilatées à l’extrême. Lui, il me fait face. Il est tout aussi net que moi. Je le vois à ses yeux, à son regard vide. Il ne dit rien, me regarde faire. Sa main caresse ma cuisse, se faisant de plus en plus insistante. Je crois qu'il a envie de moi. Moi aussi, j'ai envie de lui. Comme toujours. Sa peau est chaude, contre la mienne. La brise caresse mon visage. Je tire une dernière latte, me brûlant les doigts et la langue au passage. Grimace. Du balcon de mon appartement, on a vu sur tout Londres. Sublime. Je me lève tangue, vacille. Putain, j'ai l'mal de mer. D'une main, j’attrape la rambarde, pour ne pas tomber. « Sache, jeune homme, que je tiens toujours parole. Toujours. T'as bien entendu ? Prépare au grand spectacle. Ouvre grand les yeux. Et applaudis à la fin, s'il te plaît. » Il sourit. Déjà, il roule un nouveau joint. Ses doigts, experts, semblent bouger seuls. Sa langue caresse ses lèvres et à la dérobée, je lui vole un baiser. Une gorgé de vodka plus tard, me voilà pencher par dessus la rambarde. Six étage, c'est haut. Pourtant, j'ai l'impression que c'est rien, que d'un doigt je peux toucher le sol mouillé. Un pied sur le muret, mince. Et puis l'autre. Mon corps. Le vide. Le vent. Les lumières de la ville. « JE SUIS LE ROOOI DU MONDE. » Trop vite, ma voix s'éteint. Je me retourne. Toujours, il me regarde, un sourire tendre au coin des lèvres. « Je t'aime, putain, je t'aime. » Sa voix est douce. Je l'entends à peine. Dans ma tête, je compte déjà. Un. Je prends mon souffle. Deux. Mon corps bascule doucement vers l'avant. Trois. Sourire immense plaqué sur le visage. Je saute. Non, je tombe. Et puis, je vole. C'est comme dans un rêve. Le vent qui fouette mon visage. Les étoiles qui tournent tout autour de moi. Les lumières qui défilent. Et mon cœur, mon cœur qui bat la chamade. Chaque battement secoue ma poitrine toute entière. Je suis incapable de respirer. Mais je vole, putain, je vole. Ça dure une éternité. La vitesse est grisante. Le silence, aussi. Je me mords la lèvre, si fort qu'une goutte de sang tombe sur ma langue. J'ai pas mal, j'suis juste bien. Trop bien. Et puis, d'un coup, plus rien. Le trou noir. Comme si tout ceci n'était qu'un cauchemar, un stupide jeu. Game Over, chérie. Je ne sens rien. Je ne vois rien. Je n'entends rien. Je suis incapable de faire le moindre mouvement. Je ne suis plus rien. Au loin, j'aperçois juste une lumière aveuglante. Je cours. À sens inverse. Je cours et j'y fous toute mon énergie. J'ai oublié. J'ai oublié de lui dire que j'l'aime, moi aussi. J'veux le voir voler. Je cours. Je crie. Je tombe. Je trébuche, encore et toujours. Putain, mais j'veux voler, moi encore. J'ai même pas mal quand je tombe. Je sais pas pourquoi. Et puis quand je crie, y'a aucun son qui sort. J'ai froid. Putain, j'ai froid. À l'intérieur. Comme si, d'un coup, mon sang avait cessé de circuler. Comme si j'allais crever. Mais c'est pas possible, puisque je vole. Je vole, mon amour, je vole. Putain, mais il est où ? À nouveau, je tombe. Et puis plus rien. Juste une douleur horrible logée dans le crâne. Connerie.
Lumière. Lumière blanche, lumière crue. Je cligne des yeux une fois. Puis une autre. Je n'y vois rien, rien que du blanc. Du blanc bien trop blanc. J'essaie de prendre une respiration, mais l'air me brûle les poumons. J'ai envie de le recracher, de tousser, mais c'est impossible. Un bip-bip répétitif résonne dans mes oreilles et je me rends compte bien trop vite que je suis reliée à des dizaines d'appareils. Je suis lasse, je n'ai la force de rien. Mes yeux se referment, presque d'eux-même. « Muze ! Enfin réveillée ? Bon, alors tu vas m'écouter bien sagement, mon avion pour New-York décolle dans deux heures et je n'ai pas de temps à perdre. Compris ? » La voix est agressive. Je fronce les sourcils. Je reconnais le ton de mon père. Si j'en étais capable, je me lèverais et je partirais en courant, loin de sa connerie qui me pourrit. « Je sais que tu m'entends, arrête de faire semblant. Te rends-tu compte de la honte que j'ai ressenti quand l'hôpital m'a appelé ? Ma fille qui saute du sixième étage ? Complètement bourrée ? Et droguée, en plus de ça ? Tu as eu de la chance de tomber sur le store en tissu du magasin. Tu as dix-sept ans, Muze et tu es déjà une traînée. Tu sais ce qu'on va faire ? Tu vas quitter Londres et tous tes petits amis étranges. Direction les États-Unis. Je t'ai trouvé une maison dans un coin paumé. J'ai des connaissances, là-bas, elles t'auront à l’œil, toujours. Tu ne remettras plus jamais les pieds à Londres, compris ? Maintenant, tu m'excuseras, mais je dois y aller. Dès que tu pourras quitter cet hôpital, tu prendras l'avion. » J'ai envie de crier. Mais ma bouche est pâteuse, mon souffle coupé. J'ai pas envie de partir, moi. Je veux rester à Londres, avec Clyde, avec nos habitudes, avec ses bras autour de mon corps et son regard sur mon sommeil. J'entends les pas de mon paternel qui s'éloignent. Les yeux toujours fermés, la voix éteinte, je lui lance quelques mots. « T'as honte de ta fille ? La seule solution, c'est de la détruire un peu plus ? Mais j'aime ma vie. J'aime ce que je suis. Tu peux m'obliger à rien. T'as pas le droit. » « Je suis ton père. J'ai tous les droits et mon premier devoir, c'est de te protéger. Si tu n'obéis pas, je trouverai un moyen de t'y envoyer de force. » La porte claque, des larmes dévalent sur mes joues et une armée d'infirmières envahie ma chambre. Pareilles à des fourmis, elles tournoient autour de moi, me posent des questions auxquelles je réponds d'un simple signe de tête, me prennent la tension, me recouvrent. Lasse et fatiguée, je ferme les yeux et feins le sommeil. Je sais qu'il est en capable, qu'il est capable de tout. Je sais que je vais être obligée de l'oublier. Mais putain, je veux pas.
Arrowsic. Surnommé tendrement par mes soins trou du cul du monde. J'ai quitté Londres comme on quitte un navire, lors d'un naufrage. Sans un au revoir, sans un dernier baiser, sans donner de nouvelles et surtout, sans me retourner. Pareille à une fugitive, j'me suis barrée en douce. Je me considère d'ailleurs plus comme une kidnappée. J'ai pas fuis de mon plein grès. Et puis Clyde, j'ai pas pu lui dire où j'allais. Il doit me traiter de pute, tous les soirs, dans son grand lit froid. Il doit m'en vouloir, à mort. Ou peut-être qu'il me cherche, peut-être qu'il s'inquiète. J'en sais rien. Ça fait déjà deux ans. Peut-être qu'il m'a oublié, surtout. Peut-être qu'il mentait, quand il disait qu'il m'aimait. Peut-être que ses yeux, que son sourire, que son corps mentaient. Qu'est-ce que j'en sais, dans le fond. Qu'est-ce que je connais de l'amour et de ses déboires ? Pour oublier, je fais la fête et je bois encore plus qu'avant. Ce soir, il y a une dizaine de jeunes que je connais à peine sont chez moi. Ma barraque est devenu le refuge de la jeunesse désillusionnée de ce putain de bled. Y'a un mec, en particulier, que je connais pas mais qui me rappelle moi, qui me rappelle Clyde, qui me fait les yeux doux et qui réveille deux, trois papillons dans mon bas ventre. Je le fixe depuis le début, assise seule dans mon coin. C'est chez moi et je gère rien, tout me file entre les doigts. J'observe, ils disent merci en partant. Mais lui, c'est... Je sais pas. Alors qu'il écrase son joint dans un vieux verre improvisé en cendrier, je m'approche de lui, démarche féline et assurée. J'attrape sa main, le forçant à se lever du fauteuil qu'il s'est attribué. Instinctivement, mon corps se colle au sien et d'une voix douce, je murmure à son oreille. « ça te gêne pas si on monte ? 'Faut que je te montre quelque chose. » Il ne répond pas, alors je l'entraîne dans les escaliers, sa main toujours dans la mienne. Arrivés à l'étage, je pousse de l'épaule la porte de ma chambre et me laisse tomber sur ce lit, où je dors si peu souvent, préférant me lover dans le canapé du salon. Il reste debout, trop défoncé pour prendre la moindre décision. Du bras, j'attrape par la taille et le tire vers moi. Son sourire en coin me plaît. Je passe un main dans ses cheveux, pour les ébouriffer. C'est pas de lui que j'ai envie, en vrai. J'ai envie d'un mec, de n'importe lequel. Mais il a l'air différent, alors, pourquoi pas ? Ma bouche dévore ses lèvres, le silence est pesant. Mes mains caressent ses côtes qui ressortent. Mes dents mordent la peau douce de son cou. Nos corps se serrent, se cherchent. Il s'éloigne, me regarde, interrogatif. Il doit avoir quinze, seize ans. Dix-sept, tout au plus. « Pourquoi ? » Mon souffle est court. Je m'arrête. Tout s'arrête, le temps d'une respiration. Son regard cherche le mien, je baisse les yeux, le cœur au bord des yeux. Je sens un torrent de larmes dans ma gorge. Sa bouche se dépose dans mon cou, douce et câline. « Pourquoi ? Pour en oublier un autre, je suppose. Un autre qui te ressemble, un peu. Pour ne pas crever, pour me sentir aimée. Pour me faire plaisir, parce que tu me plais. Parce que j'ai mal, parce que je veux m'oublier. J'en sais rien, moi ! » ça y est. Les larmes défilent sur mes joues et je sais plus quoi faire. Des larmes qui étaient restées trop longtemps à l'intérieur. D'un bras, je repousse le jeune homme qui m'observe toujours. Je veux pas qu'il me voit, pas comme ça. Son corps se serre à nouveau contre le mien et sa bouche sèche mes larmes. Ses bras qui me serrent me réchauffent, un peu. Des milliards de souvenirs défilent à l'intérieur de mon crâne, comme un film muet. Presque machinalement, je m'attaque à sa ceinture. À travers le voile de mes larmes, je le dévore des yeux. Il est beau. Jeune, mais délicieux. Je me laisse faire, consentante. Dans mes soupirs, je me retiens d'appeler un autre homme. Je ne connais pas son prénom à lui, c'est peut-être mieux comme ça. Ses doigts me parcourent, me dénudent, s'affairent et je me mords la lèvre. J'oublie le poids qui pèse sur mon cœur, le temps d'une nuit.
Ici, elle ne guérit pas. C'est même tout le contraire. Petit à petit, elle se détruit. Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, transparente. Elle ne mange presque rien, son corps se décharne, on voit ses côtes qui ressortent. Ses joues sont creuses. Ses yeux continuellement cernée. Ses cheveux ternes et plats. Ses yeux ne brillent plus, même quand elle a bu ou fumé – ce qu'elle fait à longueur de journée. Des envies suicidaires prennent souvent place dans son crâne, mais elle ne passe pas à l'acte, par manque de courage. Parfois, dans de rares moments de lucidité, il lui arrive de partir marcher pendant des heures, de peindre des tableaux qui ne ressemblent à rien, d'aller cueillir des fleurs pour en faire des bouquets immenses. Certaines nuits, elle se réveille en sueur et ses cris résonnent dans tout le quartier. Elle cauchemarde en permanence. Alors, souvent, elle tente de faire fuir le sommeil. Elle aime observer les autres – elle se sent vivre à travers eux. Toujours, elle attend un signe : une lettre, une visite, un coup de fil. Quelque chose qui prouve qu'il pense à elle, qu'il la cherche encore. Elle pense à lui souvent – tout le temps. Quand l'alcool et la drogue ne suffisent plus, elle abandonne son corps aux caresses d'hommes qu'elle n'aime pas, qu'elle n'aimera sûrement jamais mais chez qui elle recherche toujours un détail – sourire, forme des ongles, soupirs, mèche de cheveux qui tombe sur le front, n'importe quoi – qui lui rappellerait l'homme qu'elle attend sans cesse. Certains de ces hommes sont attachants, d'autres sont dégoûtants. Son regard sur eux est toujours doux, sensible et tendre. Elle ne sait pas être autrement. Elle n'a pas peur de finir la nuit dans les bras de femmes, qu'elle séduit parfois difficilement. Leur douceur est toujours bonne à prendre. Son impulsivité se manifeste, parfois. Il lui arrive de devenir violente, même. Souvent même, contre son propre corps. Elle passe ses nerfs sur sa chair, jusqu'à voir le sang couler sur sa peau blanche. Ses ongles s'enfoncent. Elle veut ressentir quelque chose, savoir qu'elle est vivante. Être sûre que du liquide coule bien dans ses veines – quelque chose d'autre que de l'alcool. Parfois, ce sont les autres qui subissent ses foudres. Meubles, humains, miroir, vaisselle... Tout ce qui lui passe sous la main. Dans les meilleurs moments, elle se transforme en une vraie petite gamine, avec des envies de dessins animés, de glaces à la vanille, de tendresse et de mots d'amour. Il lui arrive de se prendre pour une fée, une princesse ou une grenouille. Ses yeux s'éblouissent, mais ça ne dure jamais longtemps. Une heure, deux tout au plus. Rien de bien conséquent. Elle se fait peur elle-même. Elle se dégoûte. Elle aimerait fuir, mais elle ne peut pas. Elle aimerait en finir, en finir avec la vie, mais elle n'est pas assez forte pour ça. Elle n'y arrive pas. Alors, elle fait semblant de vivre. Et elle crève. Si elle allait voir un psy, elle saurait : elle développe des syndromes de bipolarité. La drogue et l'alcool n'arrangent rien à tout ça. Mais elle s'en fout, dans le fond, elle se fout de tout – ou en donne l'air.
just the way you are
Bonjour, bonsoir, bon anniversaire, joyeux Noël. Pour une fois, je vais essayer de faire court ! Je m'appelle Clara et dans le monde rpgique, on me connait sous le pseudo naive ♪ , comme la chanson de The Kooks, par exemple. J'ai dix-sept, bientôt dix-huit : la majorité et tous les plaisirs -maintenant en toute légalité- qui vont avec. À part ça ? J'ai trouvé le forum sur PRD, ou Bazzart, j'sais plus trop. Et puis, j'ai eu un mini coup de cœur. Parce qu'il est beau, parce que les membres ont l'air cools, parce que le contexte est sympa. Sans prise de tête, tout ce dont j'ai besoin. C'que j'aime ? Les étoiles, les rêves, la liberté et fumer. La pluie, aussi. Je vais essayer de vous pondre un personnage de ouf, malheureusement, je ne peux rien promettre -mais je fais de mon mieux, comme toujours.
Non, en vrai, je m'appelle Robert, j'ai cinquante-neuf ans, à en juger par ce que j'ai dans l'calecon, je suis tout ce qu'il y a de plus viril et ce je suis ici c'est parce que je suis totalement schizo et que je rêve de me taper des jolies minettes et des mecs bandants.
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 18:40
Alors toi je t'aime, je t'adore, je te surlove tu es une déese oh mon dieu freja freja freja freja c'est pire qu'un immense choix de ouf d'avatar :chazi&abbey: :chazi&abbey: :chazi&abbey: :chazi&abbey: bienvenue et bonne chance pour ta fifiche
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 18:42
WAAAAAAAAAAAAAAAAAAA FREJA. Comment je te kiffe. Dommage que je sois pas lesbienne. En tout cas, bienvenue, et bonne chance pour ta fiche. (Au fait, tu complètes le groupe des mannequins sur THUB, félicitations. ).
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 18:46
quel accueil! je suis flattée, d'un coup. non, mais faut avouer que freja est surpuissante. et en regardant le bottin j'ai cru remarquer qu'il n'y avait pas beaucoup de mannequins sur le forum. moi qui les adore, j'ai eu le choix pour une fois! sauf que là, freja s'imposait comme choix merci pour l'accueil en tout cas.
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 18:50
Alors en mannequin on a Emilie DiDonato, Erin Heatherton, Zippora Seven, Sasha Pivovarova, Francisco Lachowski, Cole Mohr. C'est déjà pas mal, mais pas assez à mon goût. Vive les mannequins !
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 18:51
miam, vous avez des perles quand même! comme tu l'as si bien dit, je viens m'ajouter à la liste - avec un personnage complétement taré, que cela soit clair.
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Ven 17 Juin - 21:22
Loneleï Saphyr Hildebrand a écrit:
Tu cites "virgin suicides" ou je rêve ?
BIENVENUE. (: Si tu as des questions, n'hésite pas.
j'ai le plaisir de t'avouer que tu n rêves absolument pas j'aime trop cette (ces) citations. et ce film, aussi. by the way, je suis tellement inspirée que ma fiche va être terminée assez rapidement je pense. et merci, beau Felix
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Sam 18 Juin - 12:39
merci esméralda et tonia, sur le dernier forum où je me suis inscrite, il n'y avait presque que des mannequins ma vison des choses est peut-être déformée à cause de ça mais vous avez des bombasses, c'est indéniable et la chanson de ma fiche, c'est Hummingbird du magnifique groupe Cocoon!
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Dim 19 Juin - 11:12
Jay, t'as vu c'qu'on est sexy il nous faudra absolument un lien. d'ailleurs, j'ai peut-être une idée, enfin, tu verras quand tu liras le prochain passage de ma fiche si ça peut coller ou pas - sinon, je trouverais quelqu'un d'autre mpotte moi si tu es dévoré par la curiosité.
et merci Louanne (j'adore ton prénom, d'ailleurs )
Sujet: Re: MUZE ☂ en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Lun 20 Juin - 13:50
Purée j'adore ta fiche et ton personnage ! En tout cas je te valide. N'oublie pas d'aller recenser ton avatar et de voter pour nos top-sites si tu as le temps. Amuse-toi bien parmi nous.