« Au fond, j'crois qu'la terre est ronde pour une seule bonne raison : après avoir fait le tour du monde, tout c'qu'on veut c'est être à la maison. »
A TWIST IN MY STORY.
Je crois que je ne t'aime plus Julian. Quand je te regarde, je suis déjà lasse et quand je suis avec toi, je m'ennuie de lui. J'ai l'impression d'être ma mère quand t'es là, j'te réponds seulement par des onomatopées parce que j'ai pas envie de me fatiguer pour toi, j'esquive tes baisers avec des excuses bidons: ouais, je me comporte comme ma mère vis à vis de mon père et tu sais combien je la déteste pour continuer à lui ressembler. T'es beau mon amour mais tu me satisfais plus. « C'est terminé, Julian. » J'aurais voulu avoir le cran de te dire tout ce que j'en pense, te décrire combien tu m'étouffes et qu'à force, combien je te vomis. Mais voilà que ton visage s'éteint, voilà que tu fais cette bouille qui me fait culpabiliser : je te déteste car tu me fais réaliser combien tu es bien meilleur que moi. Plus humain, plus bon, plus tout. Mais t'es ennuyeux, je songe à comment j'étais avant et comment je suis maintenant, et j'ai l'impression que tu m'as tué, tu sais. Tu te souviens du temps où j'étais rayonnante ? Où il suffisait que tu me souries pour que je ris aux éclats ? C'est terminé ce temps-là Julian, et je m'aime pas quand je suis avec toi, je m'aime pas quand t'es près de moi. T'es cinglé et ça me faisait craquer, alors que maintenant une blague déplacée de ta part et tu m'insupportes. « On est trop différents, je crois qu'on est trop...Bizarres tous les deux. Oui, c'est ça, trop de bizarrerie, ça peut pas coller, ça pourra jamais coller. » Mes doigts dansent sur la table du fast-food pendant que je te fais mes aveux, et comme la lâche que je suis, j'ose même pas te regarder dans les yeux parce que tu devinerais immédiatement que je te dis pas tout. La vérité Julian, c'est qu'il y en a un autre. Il me fait penser en toi, mais en mieux, il est toi mais sans tes défauts. Il est spontané, il est passionné, transi, révolté, il a toutes ces qualités que j'avais imaginé et espéré en toi. Je voulais que tu sois mon héros mais t'es devenu un zéro. Et quand je vois mon nouvel amoureux à l'extérieur du fastfood à m'attendre impatiemment, je finis d'un trait mon milkshake à la pistache que tu m'as achetée avec amour, et quitte la table subitement, à la même vitesse que je te quitte mon amour. Un baiser sur ta joue chaude -rosie sûrement à cause de ta colère-, un « je suis désolée » murmuré avec sincérité et je prends mon envol. Vois comme je t'adorais auparavant, vois comme je t'indiffère à présent. C'est un fait, tu n'as plus ce goût de nouveauté que j'adulais et aimais tant.
« Tu ne pourras jamais comprendre ! Tu ne pourras jamais ! » Ma voix déraille, et je ne parviens même pas à finir ma phrase tant mes cris ont raison de ma gorge. Ma sœur tente d'attraper mes mains pour capter mon attention, mais je suis trop paniquée, trop désespérée. Je n'ai que seize ans, mais je sais que tout s'en va, tout part en l'air, se dissout entre mes doigts et que je ne peux rien faire contre ça. Impuissante Faye qui pleure face à cette fatalité. « Explique-moi, Fée, je suis ta grande sœur, je peux tenter de comprendre... » « Je déteste ma vie. Je déteste la vie. Et je ne dis pas ça parce que, je ne sais pas, je suis en crise d'adolescence ou je ne sais quoi, c'est véritable, tu sais. Je devrais aimer nos parents, non ? Pourtant, je les déteste. Je haïs la voix mielleuse et mièvre de Maman et son rire aigüe qui me brise les tympans. Je ne supporte plus l'obésité de Papa, sa façon de constamment manger, de ne plus pouvoir fermer son pantalon tant il se gave. Et leur façon de prétendre qu'ils s'aiment encore ! Je supporte plus ces faux semblants, et je sais que ça ne s'améliore pas avec le temps. » Et ma sœur est choquée par mes aveux, alors elle lâche mes mains et sort de ma chambre comme si elle n'avait rien entendu : encore un faux-semblant, encore une énième hypocrisie. Alors je me lève de mon lit, et je quitte automatiquement la maison, sans savoir où aller, sans savoir ce que je veux faire. Je déteste la vie, je déteste le monde, je déteste les gens. On nous parle de guerres, on nous parle de pauvreté, on nous parle de morts, de drogués, de viols, de vols, de misères, de catastrophes naturelles...et que faisons-nous pour y remédier ? On vit notre vie, dans notre côté, en faisant comme si. Comme si cela ne se passait pas. Tant que ça ne touche pas notre petit confort, n'est-ce pas ? Les voitures roulent sur la nationale, elles roulent à une vitesse que je ne contrôle pas. Elles s'enchaînent sans cesse, et je me perds dans cette rapidité. Et si je volais ? Et si je devenais un oiseau ? Voler haut, au-dessus de tout ça. Les conducteurs me regardent furtivement, ils voient que je ne devrais pas être là, ils s'imaginent peut-être que je veux faire du stop. Un. Deux. Trois. Un espace entre deux voitures et je cours sur la route. Bref regard sur la voiture qui n'a pas le temps de s'arrêter, et mon corps se met à voler, voler par dessus le capot et tomber sur l'accotement. Pendant quelques instants, je souris, car je n'ai jamais vu d'aussi près le ciel. Mais la chute est trop douloureuse, et mes yeux se ferment. Bruits de sirène, cris de stupeur, on touche mon corps et puis soudain, plus que le silence. Le silence et le noir. Je crois que je devrais être effrayée, mais mon cœur est rempli de bonheur. Et je sais, bien que je me meurs, que mon sourire ne s'efface pas de mon visage. Liberté.
J'ose pas ouvrir les yeux, car quand je tente de bouger mon corps, il ne répond pas. Suis-je morte ? Suis-je condamnée à rester toute ma vie allongée ? Je tente de respirer, mais un tuyau s'accapare de ma gorge, et j'aimerais le retirer de mes propres mains, mais celles-ci ne veulent toujours pas m'obéir. J'entends des bip incessants autour de moi, et j'imagine que cette machine est reliée à mon corps et annonce que je suis vivante. Tant mieux ou tant pis, je sais pas ce que je dois penser, je veux juste qu'on m'éclaire sur ce qui s'est passé. « Elle s'est réveillée ! Elle s'est réveillée ! Appelez-le son docteur et ses parents le plus rapidement possible, d'accord ? Mademoiselle Sullivan, vous m'entendez ? » Bien sûr que je t'entends, mais je ne veux toujours pas ouvrir les yeux, j'ai toujours peur de voir ce à quoi je vais devoir m'affronter. « Je vais vous enlever le tuyau dans votre gorge pour que vous puissiez respirer, d'accord ? Alors quand je vous le dis, soufflez aussi fort que vous le pouvez. » Elle me donne le signal et je m'exécute, en soufflant le plus fort possible. La douleur est déchirante, et je me mets à gémir de douleur, tandis que j'ouvre les yeux, à la recherche d'une connaissance pour me rassurer. Mais personne. Juste des murs blancs, du personnel de l'hôpital, et des machines. Même les draps sont blancs, et tout cet éclat m'effraie. Je tente de demander où est papa et maman, mais l'infirmière m'explique que je ne peux pas encore parler, qu'il faut que j'attende encore quelques minutes. Mais pas besoin de parler pour que l'infirmière constate que je suis paniquée, car mes yeux lancent un appel au secours tandis que des larmes roulent sur mes joues. Alors elle s'approche affectueusement de moi, caresse mes cheveux comme si nous étions des amies proches, et me sourit, sûrement pour me rassurer. « Faye, après quatre années, on ne pensait plus que tu allais te réveiller. Mais tes parents, ils n'ont jamais perdu espoir, tu sais. Ils ont toujours cru en ta capacité de survie. » Quatre ans ? Je ne comprends pas ce qu'elle tente de m'expliquer, elle me parle de coma, elle me dit des choses qui me dépassent. Suis-je véritablement endormie depuis quatre années ? Étais-je tout ce temps entre la vie ou la mort, ou étais-je trop flemmarde pour vouloir me réveiller ? Pour la première fois, je veux que Maman soit là. Je veux qu'elle me chante cette berceuse que je détestais, je veux qu'elle me dise que tout ira bien. Et puis je réalise. Trois ans. J'ai alors dix-neuf ans, et j'ai sûrement perdu les plus belles années de ma vie. « Un...Un miroir... » L'infirmière semble indécise, mais je continue de répéter le mot « miroir » jusqu'à ce qu'elle décide à quitter la chambre, à la recherche de ce que je désire. Puis elle revient rapidement, relève mon lit pour que j'ai le dos droit, puis ose enfin mettre ce stupide miroir en face de moi. Je voudrais crier, mais apparemment ma voix n'est pas encore complètement rétablie. Mes doigts m'obéissent enfin -ou presque-, et viennent caresser ce visage. Des joues creuses, des lèvres plus pulpeuses, des traits plus prononcés, une chevelure trop longue...Heureusement, mes yeux verts sont toujours présents pour m'indiquer que c'est bien moi, que je regarde. Mes mains tremblotantes, descendent jusqu'à mon torse, et tombe sur des seins. Une poitrine que je n'ai jamais eu, des attributs nouveaux qui ne me sont pas familiers. Je suis Faye Sullivan, et on m'a mis dans le corps d'une étrangère. Je voudrais m'enfuir, mais mes jambes sont encore immobiles -l'infirmière m'explique qu'il me faudra de la rééducation- alors je me contente de m'allonger à nouveau, de fermer les yeux, en espérant que cette fois-ci, mon sommeil sera éternel, et que plus jamais je ne devrais encore affronter ce corps que je déteste. Et c'est le trou noir soudain dans ma tête, tout s'envole, tout disparaît, adieu souvenirs et mémoires, il reste plus que la berceuse de Maman que je chantonne, cette berceuse que je fredonne sans savoir ce qu'elle signifie à présent.
On me donne deux semaines pour pouvoir marcher à nouveau, on me donne au moins l'éternité pour pouvoir récupérer une santé mentale normale : allez Sullivan, déjà qu'on t'a volé deux années de ta vie, voilà qu'on t'oblige deux heures par semaine à gâcher ton temps face à un psychologue qui se contente de marmonner des mots incompréhensibles. Merci la famille. Suite à mon réveil, c'est un tourbillon de sentiments qui se passe devant moi : la femme disant être ma mère hurle et pleure au désespoir en apprenant que j'ai perdu ma mémoire, l'homme dit papa croit que la solution apparaîtra en brisant tout devant lui, et la grande sœur préfère se tourner vers la religion afin que Dieu ait pitié de nous et que je retrouve tous mes souvenirs. Mais moi, je ne suis qu'une simple spectatrice face à ce dégueulis de désastre, face à ce théâtre shakespearien et qui m'insupporte. Putain, laissez ma mémoire tranquille.
Deux semaines à l'hôpital plus tard, j'ai enfin le droit de retourner dans ma maison : d'ailleurs, à mon arrivée, on me traîne doucement dans chaque pièce en me forçant à scruter chaque décoration rustique moche, espérant ainsi que cela me ramènera miraculeusement la mémoire. D'ailleurs, ils sont tant insistants, qu'il m'arrive de faire croire qu'une photo me rappelle quelque chose, ou que la tête de cerf près des portes-manteaux est figé dans mon esprit depuis longtemps. Ca les fait sourire quelques temps et ça permet d'être seule quelques instants, mais la vérité, c'est que c'est le néant. Rien. Ces étrangers me couvent de tendresse et de mots d'amours, alors que je peine encore à retenir leur prénom : je ne suis qu'une âme réanimée dans le corps d'une inconnue. Toute la famille passe finalement me voir, et je m'efforce d'être la plus polie possible, mais c'est une torture. Je les déteste, ces beaufs sortis tout droit d'un western, avec leurs blagues douteuses sur mon coma, leur apparemment nouvelle façon de m'appeler la Belle au bois dormant : ouais, du grand-père, au cousin du cousin de la cousine germaine, j'aurais vu tout le monde, sans grand succès. Ce soir-là, ma soit disante sœur Maggie s'insère dans mon lit et me prend la main, plonge dans mon intimité sans savoir ma volonté, et je commence véritablement à songer que non, ce n'est véritablement pas ma sœur et que cette blonde rondelette à côté de moi est en réalité une perverse lesbienne qui cherche à me violer. Maggie se met à me questionner sur mon ressentit de l'après-midi, après les énièmes visites. « L'oncle chevelu m'a fait peur. J'aurais aimé lui offrir une brosse à dents et j'aurais adoré que tu m'apportes un parapluie pour éviter ces postillons, une véritable horreur. Notre cousine me fait penser à ces petites pétasses qui ont huit ans et qui se maquillent comme une voiture volée, et tu sais, qui participe au concours de beauté à deux sous. J'te parle même pas de l'arrière grand-mère, j'ai cru que j'allais dégueuler envoyant sa non-dentition. » Étonnamment, je ne prends même pas la peine de prendre des gants avec Maggie comme je pourrais le faire avec les autres, peut-être que mon inconscient réalise qu'il peut tout lui confier. Ma sœur se met à rire si fort que mes tympans en souffre, puis elle se met à pleurer, pour finalement se jeter sur moi et déposer des dizaines de baisers légers sur le front. C'est ce qu'on appelle un moment gênant où on aimerait être aux abonnés absents. « Pas de doute Faye, c'est bien toi, et personne d'autre, rien n'a changé. Ne bouge pas, je reviens ! »
Quelle idiote, comme peut-elle croire ne serait-ce qu'un instant que tout est comme avant alors que je ne me rappelle pas du passé ? J'aurais aimé m'être laissé des indices, un journal intime, des extraits de ma vie cachés sur mon ordinateur, mais ma chambre est aussi impersonnelle que je le suis à présent. Maggie revient, portant comme elle le peut un piano synthétiseur qu'elle dépose sur mes cuisses. Je la regarde longuement, dans l'incompréhension, puis elle m'invite à poser mes doigts sur les touches blanches de l'instrument. Et ils savent où aller, où appuyer, ils caressent les touches avec une telle harmonie et douceur que je crois pendant un moment qu'elle a activé le son automatique pour me faire croire que je suis capable de jouer une symphonie. Dès les premières notes, les dits parents se ramènent dans la chambre et s'installent au bout du lit, apparemment venus écouter le miracle se passant dans la chambre. Je crois qu'ils pleurent, mais ça ne compte pas, préférant me concentrer sur la beauté du moment. Dans la maison rouge au cœur d'Arrowsic, on n'entend plus que les sons provenant du piano, les cœurs de la famille Sullivan se mettent à battre hors du temps, espérant à nouveau grâce à cette musique un miracle. Qui n'arrivera jamais.
Quand Maggie revient à la maison, elle dort toutes les nuits dans mon lit. Ce n'est pas parce que nous manquons de place à l'étage, mais seulement parce que depuis mon réveil elle occupe toujours la place gauche de mon lit : je voudrais lui faire croire que ça me dérange, grommeler qu'elle prend toute la place et que je ne suis pas à l'aise, mais la vérité c'est que j'ai ce besoin irrémédiable de sentir son souffle trop fort la nuit pour m'autoriser au sommeil. Mais Maggie ne fait pas des miracles, Maggie est une princesse mais n'est pas assez magicienne pour guérir toutes mes insomnies : je voudrais prendre ma voix de petite fille et te murmurer dans l'oreille que depuis mon coma, j'ai cette peur atroce de fermer les yeux et de ne plus pouvoir les ouvrir à nouveau. Mais tu t'es déjà endormie, je le vois à ta façon de poser ta main sur ton ventre et ce sourire angélique que tu as à chaque fois que tu t'assoupis. Et sans comprendre pourquoi, ni sans le vouloir d'ailleurs, je me mets à pleurer, sangloter comme une gamine dévastée. Ca tourne dans mon ventre, ça me brûle la gorge, et j'ai beau tenter de me ressaisir, chaque arrêt est marqué ensuite par un sanglot plus fort, et plus douloureux. J'ai réveillé l'ange, et voilà qu'elle se met à m'enlacer comme si j'étais ce genre de personnes qui apprécient cette affection. « Il me manque Maggie, il me manque. » « Qui te manque ? » Je voudrais tenter de lui expliquer que je ne sais pas de quoi je parle, que les mots sont sortis de ma bouche sans que je puisse les contrôler, et que moi aussi j'aimerais avoir la réponse à cette question qu'elle me pose. Alors je me contente de hausser les épaules en prétextant ne pas vouloir en parler, et je feins le sommeil pour éviter une conversation gênante. Je pourrais lui confier que ça m'arrive souvent, de ressentir un manque atroce en moi sans savoir pourquoi, d'avoir besoin de rejoindre le fast-food du Arrowsic, ou de me réfugier à l'épicerie chez Bernie pour apaiser cette douleur indescriptible. Oui, je pourrais lui dire, mais j'aurais trop peur qu'elle m'éclaire sur ce mystère et qu'elle croit un instant que j'ai récupéré la mémoire.
DANCING WITH MYSELF.
Je m'appelle Chloé et j'aime bien quand ça claque.
Dernière édition par Faye Sullivan le Jeu 10 Mai - 0:57, édité 2 fois
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 22:47
Je me serrai appelée Daryl, on aurait fait plein de bébés en polygamie avec Abbey, Paulichon et Olive. Enfin bref, le pseudo et la citation t'ont trahie Contente que tu sois là, avec la superbe Freja
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:11
Moooh Sinon j'aime toujours autant ton écriture, et ce personnage promet. Je me souviens plus de la Faye d'OBF, exactement, mais THUB-Faye serait pas la même ?
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:14
OK. Alors toi. J'étais censée travailler mon SVT, mais je me connecte rien que pour t'écrire un message de bienvenue qui gère sa race (comme mes fesses ). Donc si j'ai une mauvaise note ça sera à cause de toi, capiché ? Bon je sais que pour l'instant tu m'as peut-être pas reconnue mais c'est pas grave. (a) J'ai envie de crier de partout, parce que de 1) tu t'es inscrite ici, et de 2) t'as pris ma Freya d'amouuuur. T'es juste trop bonnasse comme ça, sérieux. Encore plus qu'avec Karen même. Et j'aime tout: les signatures (RPZ LA MIENNE ! ), l'avatar, le pseudo, le gif, le titre, tout, j'te jure. T'ES TROP UNE BOMBASSE QUOI. (bon maintenant je crois que t'as compris c'est moi, Gaga ) EN TOUT CAS JE SUIS TROP HEUREUSE QUE TU SOIS PARMI NOUS QUOOOOOOI. Tu verras tu vas pas le regretter. (et j'en profite pour dire que je suis désolé de plus trop être sur fitk, je vais essayer de revenir dès que j'ai le temps ) Et sinon je te kiffe trop trop trop de la mort qui tue. Et puis aussi bienvenue parce que je dois le dire je crois. Et ta fiche est juste canon, j'ai pas tout lu parce que j'ai pas le temps, mais je suis sûre que le reste va être splendide, normal quoi. Je crois que j'ai tout dit hein ?
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:18
Et moi j'ai hâte de voir ce que tu as fait de ce beau gosse, mais je suis sûre qu'il est awesome, comme tout ceux que tu fais, d'ailleurs !
En gros, je t'explique: j'ai été une première fois inscrite sur OBF, avec toi/Loane/Alanis avec cette fameuse Faye. Je me suis réinscrite et j'ai transformé un peu Faye, que j'ai fait du coup avec Antoine/Julian. Je suis toujours OBF, mais Antoine en éternel insatisfait et en gros relou, s'est lassé d'OBF, DONC, fallait qu'on trouve un autre forum pour faire nos petits amoureux, et on a trouvé THUB. Big story.
XUAN, t'es juste une tarée du slip, mais ce message me fait plaisir haha. Je suis contente de te retrouver aussi, enfin c'est pas comme si je suivais de près ton facebook pour savoir comment va ta vie. (je m'autogrille moi-même, tu vois!). Je suis contente que tu apprécies déjà le personnage, et en fait, je voulais changer et prendre Imogen, mais Antoine préfère fantasmer sur Freja, donc je me plie à ses exigences (le faire passer pour un relou et un tyran: CHECK) Merci ma belle pour ce bienvenue haut en couleurs et en smileys en tout cas, ça fait plaisir.
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:27
Faye Sullivan a écrit:
XUAN, t'es juste une tarée du slip, mais ce message me fait plaisir haha. Je suis contente de te retrouver aussi, enfin c'est pas comme si je suivais de près ton facebook pour savoir comment va ta vie. (je m'autogrille moi-même, tu vois!). Je suis contente que tu apprécies déjà le personnage, et en fait, je voulais changer et prendre Imogen, mais Antoine préfère fantasmer sur Freja, donc je me plie à ses exigences (le faire passer pour un relou et un tyran: CHECK) Merci ma belle pour ce bienvenue haut en couleurs et en smileys en tout cas, ça fait plaisir.
Mon slip se porte bien, merci. Ahhhh, tu m'espionnes dis donc. Fin ya pas grand chose d'intéressant, mais bon. Freja elle est mieux quand même. Donc Antoine a fait un bon choix, haha. Mais de rien, tu le mérites Sinon je plussoie Blake pour dire que ton avatar est magnifique. (ouais je crois que je l'ai pas dit ) Et sinon tu me réserves un lien de malade, t'es obligée genre.
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:31
Quel intérêt de facebook si on n'espionne pas. Raaah, j'adore Imogen aussi, mais c'est vrai que le côté androgyne de Freja correspond mieux à Faye, donc voilà. Et t'inquiètes Yvette pour le lien, je te garde le meilleur bien au chaud ! (et maintenant tu vas réviser ton SVT sinon je m'énerve. Ouais je viens d'arriver et je suis comme ça, j'ai pas peur et tout.)
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:42
Rudy il est pas mal. Mais pas du tout le genre de Liam/Wyatt/Léon/Daryl. Enfin je sais pas. Et peut-être qu'à l'occasion je me réinscrirai sur OBF. En fait j'ai plein d'idées de personnages, mais ça en fait trop pour un seul, alors faut que je choisisse quoi/comment/pourquoi, pour faire un mec awesome, et trouver THE forum (en fait peut-être que ce sera un DC ici d'ailleurs). Tout ça pour dire que, si t'es toujours dessus, y'a des chances de me revoir sur OBF. Voilà. (le babysitting me monte à la tête, je parle pour ne rien dire).
Anyway, j'ai compris la subtilité Fayenne. Dans tous les cas, j'aimais beaucoup cette histoire, avec l'accident, etc. Et votre couple m'a tout l'air d'envoyer du lourd, grave quoi.
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:47
Je ne quitterai jamais OBF, donc on se verra sûrement, et je t'accueillerai comme ma fille ma petite !
Mais j'aime tellement Liam/Wyatt/Léon/Daryl que je suis intriguée de voir ce que tu as fait de Rudy. S'il est trop différent, je vais p'tet pas l'aimer, si je te retrouve pas dedans, héhé.
C'est pas Faye qui envoie du pâté, mais c'est bien Julian qui envoie de la terrine. Il envoie tellement, en fait, je me dois de me préciser que j'ai mon droit de véto dessus, et qu'il n'est pas à partager. Fallait bien que je le case à un moment ou à un autre.
Sujet: Re: faye △ on a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a dû penser qu’elle s’envolerait. Mer 9 Mai - 23:53
Ce qui me freine c'est la masse de monde, en fait. Ca me fait flipper pour l’intégration etc. Et si je le sens pas tout de suite, je vais décrocher rapidos. Rudy c'est... un gamin, en somme. Mais il est aussi attachant que Liam. (modestie ? pfff, futilité). Je suivrai vos mésaventures de près, alors
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Je vais passer pour une folle si je me trompe mais je crois qu'on se connait d'ailleurs. 
Si c'est pas toi j'ai l'air con, attention.
Ouais genre je tiens à mon anonymat. 
*ZBAFF*
J'étais censée travailler mon SVT, mais je me connecte rien que pour t'écrire un message de bienvenue qui gère sa race (comme mes fesses 
Bon je sais que pour l'instant tu m'as peut-être pas reconnue mais c'est pas grave. (a) J'ai envie de crier de partout, parce que de 1) tu t'es inscrite ici, et de 2) t'as pris 
Encore plus qu'avec Karen même. 
Et j'aime tout: les signatures (RPZ LA MIENNE ! 
), l'avatar, le pseudo, le gif, le titre, tout, j'te jure. 
T'ES TROP UNE BOMBASSE QUOI. 
(bon maintenant je crois que t'as compris c'est moi, Gaga 
(et j'en profite pour dire que je suis désolé de plus trop être sur fitk, je vais essayer de revenir dès que j'ai le temps 
) Et sinon je te kiffe trop trop trop de la mort qui tue. 
Et puis aussi bienvenue parce que je dois le dire je crois. 
Et ta fiche est juste canon, j'ai pas tout lu parce que j'ai pas le temps, mais je suis sûre que le reste va être splendide, normal quoi. 
Freja elle est mieux quand même. 
Sinon je plussoie Blake pour dire que ton avatar est magnifique. 
) Et sinon tu me réserves un lien de malade, t'es obligée genre. 
