Sujet: « on serait juste toi & moi, près d'ici ou là-bas. » ♣ jem&cam Mar 21 Juin - 1:01
Dear Jeremy,
You know that I don’t like talking in English but today, I’m going to do it. Why ? Because it’s you birthday and I like when you're smiling. I don’t know where to begin. There are so many things I’d like to say to you but I don’t know how. Well… I’m going to try to say the most important (even if, in my opinion, everything I do with you is important). I just hope you’ll be touched while you'll read this text. I first wish you a happy Bday & a good day.
I'll never forget the eleventh of august (actually, I should wait until this day to give you that but I’m not brave enough… and we might be together). You were Robert Pattinson & I was Sophia Bush. Things were easier, don't you think ? Some private messages, some jokes and music. Especially music. What happened next ? We talked. One, twice, three times... and now we're still here, unbreakable. I'd never have guessed that by coming on Good Vibrations (Mariko, if you come over here, thank you because without you I'd never have met this fucking bitch called Jeremy), I'd meet someone like you... or actually like me. Because it's exactly that : you're often more me than myself (yeah, I'm using your words.. We share everything, don't we ?) So, of course I'll never forget the 11th day of august. You'll always be my RPattz and I'll always be your Sbush. Caleb & Roxann, the beginning. Thanks to music.
Even tho music got us together and a really big part of our relationship, there's also complicity between us.When we’re together, others are afraid. The number of giggles are too important to be counted, as well as the number of time when I suffocated because you made me laugh so hard by saying meaningless things (that often made only us laugh). In bulk ? (thanks a lot muhahahahaha & yes, i put them in French): Le rire d’archimède, Claude François, tête de baleine, couleurs du texte sur msn, la mytho (c******), petit kiki, confessions intimes, tête de hibou, max boublil le clash, les danses en tout genre, cotton eyed joe, batailles de lasers, alcool, expériences sexuelles, o. et son cheval blanc, puissance 4, Alastair, E.T, cracottes, critique des boulets, tes cent kilos, apprendre à conduire, belle toute nue, photos dossiers, alice au pays des merveille & ses gifs de droguée, tenue rose de tepu que je dois porter cet été, je vais te taper avec, Gene Kelly, cube sumo, et cetera desunt, et cetera desunt, et cetera desunt. I can't put everything. What a shame !
I also couldn't talk about us without talking about Lonie & Nate. So... Let's remember what we wrote :
Spoiler:
you wrote : ▬ Rien qu'à son parfum suave, rien qu'à l'apaisement soudain qui délivra mes épaules de leurs poids, je reconnus Loneleï, certainement la seule personne à me comprendre entièrement. Je souris sans détourner le regard des nuages qui livraient bataille à l'astre du jour. « Tu es prête ? » je soufflai en passant un bras autour de ses épaules, la plaquant contre mon torse. J'adorais ce geste. Je ne savais pas très bien pourquoi, mais j'aimais sentir la présence de Loneleï. Oh, jamais rien d'ambigu. C'était différent entre nous ; je ne saurais dire comment. C'était bien plus que de l'amitié. Pourtant, je ne nous décrirais pas même comme des frères et sœurs de cœur, car ce serait réducteur. J'aimais à penser que notre relation était particulière et qu'aucun mot n'existait pour la décrire, tout simplement parce que personne n'avait jamais ressenti ce que je ressentais pour elle ; ainsi, si je voulais un mot, c'était à moi de l'inventer. ▬ Elle gardait le silence, et ce n'était même pas gênant. Pour être tout à fait franc, il nous arrivait souvent d'être ensemble et de ne pas nous adresser un mot. Nous étions si intimement liés par nos bouleversements intérieurs qu'il ne nous était pas nécessaire de parler. Nous étions là l'un pour l'autre, c'était tout ce qui comptait à nos yeux. Les paroles étaient superflues. Ainsi, je respectais nos habitudes, je pris mon temps, j'observai la teinte de ses yeux, soudainement attisée par la curiosité. J'y lisais beaucoup d'autres choses également, mais je préférais me concentrer sur cette nouvelle lueur. « Oui, j'ai décidé qu'on allait s'enfuir. On vole cette voiture et on va jusqu'à Tijuana. » Je repartais dans mes délires. J'aimais bien la surprendre avec ce genre de projets complètement irréalisables ; du moins, pour le moment. Ce n'était pas l'envie de fuir qui nous manquait, en tout cas. ▬ Son rire cristallin me ramena tout droit à la réalité, et je laissai s'échapper mes mornes pensées, me concentrant uniquement sur le rêve fou dont je lui faisais part. Elle m'interrogea, me poussa à continuer de lui raconter et je haussai les épaules en me laissant glisser du capot. Je me tournai vers elle. « On ouvrirait un bar. » continuai-je en imitant un air réfléchi. Puis, je l'évaluai d'un regard appréciateur et haussai un sourcil. « Je suis sûr que tu me ferais gagner pas mal de fric. » conclus-je en lui lançant un sourire sournois. Oui, oui, je venais bien de faire allusion à la vente de ses charmes pour me rapporter de l'argent. C'était ainsi que ça se passait entre nous ; entre les remarques désobligeantes et les invectives, on pourrait presque croire qu'on s'aimait. ▬ Lonie n'attendit pas la moindre réaction de ma part, s'installa à mes côtés en glissant son bras sur le mien, en ce geste si touchant qu'elle avait parfois. Souvent. Tout le temps, en réalité. Alors je lui souris. Parce que je savais qu'elle lisait en moi, et qu'elle comprendrait. « Alors tu es quand même venu, mon beau... » soupira-t-elle, son regard butant sur mes amies les canettes. « Après combien de bières, hein ? » et puis, elle rit. De ce rire qui me chauffait le cœur, celui qu'elle avait lorsque je lui parlais d'Amsterdam. En réaction, je pris l'air le plus innocent que j'avais en réserve, et je passai mon bras autour de ses épaules, l’amenant contre moi. ▬ Pourtant, j'eus envie de lui faire plaisir, de lui donner le sourire. Je savais qu'elle m'acceptait comme j'étais, elle n'en avait rien à faire des remarques. Je savais aussi que si je me donnais en spectacle et que je tombais, elle serait certainement la seule à me relever sans me faire de reproche. D'ailleurs, avais-je déjà entendu un seul reproche s'échapper de ses jolies lèvres ? Jamais. Lonie était ainsi. Elle me reprenait lorsque j'avais tort, elle me demandait d'aller voir ailleurs, ou d'aller me faire foutre, mais elle le faisait avec bonté, avec cœur. Elle le faisait parce qu'elle savait que j'en avais besoin, et non parce qu'elle voulait me culpabiliser.
I wrote :
▬ Un pas en arrière, et quelques autres encore : voilà que je remuais la foule, agglutinée près de la scène, pour rejoindre mon ami. Était-ce cela, au moins ? Bien sûr que non. Mais quoi, alors ? A vrai dire, je ne le savais pas moi-même. Les autres ? Encore moins. Nous avions arrêté avec le temps de chercher un sens à ce que nous vivions, un sens à ce que nous étions. Nous étions là, ensemble, et quelque part, je crois que cela nous suffisait amplement. ▬ A vrai dire, j'avais su en le voyant qu'il ne comptait pas se tenir tranquille et qu'il se foutait bien de l'état dans lequel je le retrouverai en fin de soirée. L'important était simplement que je le retrouve, que je sois encore là cette nuit, puis demain et puis les jours d'après. C'était tout ça, fréquenter Nate : avancer à deux, n'avancer qu'à deux, même. Et puis crever de joie. ▬ « Fêtons simplement ta présence, c'est le plus important. » Il m'embrasse la tempe ; un silence apaisant nous enveloppe. « On ira un jour, Lonie. » « Où ? » Il hésite à répondre, pèse certainement le pour et le contre. « Sur le port d'Amsterdam. » Je ne réponds rien, parce que j'ai un peu envie d'y croire. Parce que je ne prends que ce qu'il est et ne veux absolument pas le changer. Ni lui, ni son caractère de merde. Je ne réponds rien parce que s'il veut rêver un peu, je ne veux pas l'en empêcher. Je laisse ses quelques mots résonner en moi et une pensée termine par cogner contre les parois de mon intérieur : pourquoi pas, après tout ? ▬ Nate était beau. Et sa beauté était, à mes yeux, tout sauf un masque. Je ne me souvenais pas avoir rencontré plus joli paradis que son rire, plus belle balade que lorsque je me perdais dans ses yeux. En fait, je n'avais pas trouvé meilleure échappatoire que sa présence... Et quelque part, je n'attendais plus rien des autres quand lui était là. Pas même de Dorian... ▬ Il m'attira contre lui et son parfum traça sur mon visage un sourire sincère. Il était capable de cerner mes attentes plus que quiconque ne m'avait jamais cernée. Avec lui, tout était simple. Et on avait beau dire ce que l'on voulait, je préférais de loin la simplicité de notre relation à la complexité de celles que je pouvais avoir avec les autres. L'interrogeant du regard tandis qu'il se tournait vers moi, espiègle, j'attendis qu'il m'en dise davantage. Prête pour quoi ? Parce qu'en réalité, il se doutait que je l'étais. On pouvait partir se balader, bosser sur une des poubelles dont il s'occupait, s'allonger sur le sol crasseux et écouter Elvis en regardant le jour se lever ou bien encore se taire en restant ainsi, seuls au monde mais ensemble.
In life, there are some things which can't be avoided like the sun setting only to rise less bright, like the rain that only saddens the faces of princesses, like time that passes and never comes back and... meeting you. Especially meeting you. Chance brought us together and since, we walk hand in hand. Whatever I do, whatever you do, we're never far from other. I remember when you said "side by side till the end", "I won't leave you, C.", "On est arrivé à deux, on finira que tous les deux. No "They lived happily ever after" but it will be nice anyway". You're right, honey. It's widely enough. 'We're both having a turbulent year and we're both passing through it.. Together. Again. I don't know what I'd have done without you & I don't know what I'd do without you. That's just the way it is. We're connected. Did you know that the best birthday I've ever had is my 17th birthday ? I'm pretty sure you know the reason why. Anyway. Thank you for catching me when I'm falling & letting me catch you when you're falling. Thank you for letting me come into your life and for giving me a so special place in it. Thank you for making me the one who knows you the best (if it's the truth ?!). I want you to know that I feel the same about you and there's no one who has ever known me like you know me. Thank you. Again. Thank you. A thousand times. For yersterday and tomorrow.
I'm one of those who hide easily their feelings and you got it. I hate doing never-ending speeches, I hate talking about nothing. But tonight, it's different. Because you deserve to read it at least once even if you already know it. Better than anyone else. Probably better than myself. You are my everyday, mon loup. My everyday.
With all my love, Cam.
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PS : Mon jem, ma catin, mon trésor, mon beau, mon pas beau, mon loup... I wanted to play & sing the song "Toi & moi" on the piano, but I didn't find the piano sheets. Sorry. (https://www.youtube.com/watch?v=UVqz2fL9W6E)
PS2: There must be many, many mistakes. --" Tou bade.
Dernière édition par Loneleï Saphyr Hildebrand le Mar 21 Juin - 2:01, édité 2 fois
Sujet: Re: « on serait juste toi & moi, près d'ici ou là-bas. » ♣ jem&cam Mar 21 Juin - 1:25
Aren't you ashamed ? Because of you, a big boy of 21 years old is crying like a baby. Well, you know what I think. You're more myself than I am, too. Like I said before, Aristophane was right, and I found my half. No happily ever after, but just the two of us. That's the beauty of us, mon bijou. o____________O