Alooooooooooors, on doit parler de soi-même c'est ça ? Maëva, 14 ans, France, collégienne.
Non, bon un peu de sérieux j'vais passer pour qui après moi ? Alors, je m'appelle Maëva (ou bienvenue si vous préférez , non mais sérieusement l'étymologie de mon prénom c'est : Bienvenue (tahitien), j'sais pas, mais moi je trouve que j'ai trop la classe maintenant :65: J'ai seulement 14 ans, bientôt 14 ans et demi, j'ai hâte parce que n'empêche je serai aussi proche du 15 que du 14 et j'aimeeeeeeee ça. Je suis collégienne -noooon sans blague- et je déteste les maths, le français, l'histoire-géo/éducation civique, la musique, le sport, l'art plastique, physique chimie (JE DÉTESTE CETTE MATIÈRE, JE DÉTESTE MON ANCIENNE PROF AUSSI (double parenthèse la classe, hors sujet : Mozilla firefox c'est génial, j'arrive à mettre les accents même en majuscule)) . Ensuite, vous voulez savoir quoi ? Ce que j'aime ? Passer des journées entières sur l'ordinateur, regarder plein de photos de Francisco Lachowski et Ash Stymest , ce sont mes maris, en fait :65: et j'aime, je surkiff sortir avec mes amis et là, une chose importante aussi, j'aime faire des bêtises et j'ai un besoin qui est essentiel à la survie de l'humanité de dire un nombre de conneries incalculables par jour, sans ça tout le monde meurt sinon.
Voilà. Vous remarquerez que j'aime bien parler avec des smileys aussi, faudra s'y habituer.
bannière de poon & icon de marley smith.
Dernière édition par Anne-Sophie C. Delacroix le Ven 5 Aoû - 1:35, édité 11 fois
Sujet: Re: Jenesaispasquoimettredoncjelaissecommeça ♠ Anne-Sophie Ven 29 Juil - 16:29
nothing's gonna change my world
Un silence de plomb régnait dans la belle et grande demeure des Delacroix. Anne-Sophie, était assise sur le canapé blanc du salon lisant un livre. Depuis qu'elle avait appris à lire pour la première fois, elle enchaînait les bouquins et ses parents la soutenaient beaucoup. Ils l'avaient toujours fait, à vrai dire c'était même eux qui avaient poussé Anne-Sophie à se mettre à la lecture, elle avait accepté, sans broncher de toute façon elle était beaucoup trop respectueuse envers ses parents pour refuser.
Sa mère, suivie de son père venaient d'entrer dans le salon et ils avaient pris place à côté de la petite fille âgée de seulement une dizaine d'années. Elle posa son libre sur ses genoux avant de mettre ses petites mains dessus. Elle lança un regard à sa mère, puis un à son père, elle avait compris qu'ils voulaient lui parler. De quoi, Anne-Sophie n'en savait rien, mais elle n'allait pas tarder à le découvrir.
« Anne-Sophie, ton père et moi avons décidé que tu fasses du piano, comme tes sœurs et ton frère. A partir de demain, un professeur viendra toutes les semaines pour te donner des cours. » « Mais, mère je n'ai pas de piano. » « Nous en avons, nous, as-tu oublié ? Ton frère et tes sœurs ont également fait du piano, il y en a deux à l'étage. »
Anne-Sophie hocha la tête en fixant sa mère avant de laisser apparaitre sur son visage un petit sourire. Dans sa famille, tout le monde avait fait du piano, on pourrait même laisser croire que c'est devenu une sorte de tradition chez les Delacroix. Personne, ne serait surpris d'apprendre cela d'ailleurs, la famille Delacroix est plutôt bien réputée dans la région. Une famille riche, très grande, avec des enfants bien éduqués, tous propres et bien toilettés de la tête aux pieds, le cliché même de la famille parfaite. Les parents avaient toujours veillé à ce que leur famille donne une bonne image d'eux, qu'on ne les prenne pas pour des moins que rien, au contraire faire comprendre que malgré leur richesse ils n'étaient pas méchant, mais que justement ils avaient un bon fond. Anne-Sophie, la petite dernière de la famille avait toujours montré le bon exemple à ses ainés. Douce, gentille, souriante, elle savait faire sourire et rire son entourage et était toujours prête à donner un coup de main et ce même son jeune âge. Ses parents étaient réellement fiers d'elle, de leur petite fille. Ce n'est jamais une chose aisée, que d'avoir beaucoup d'enfants et d'apprendre à chacun à être une bonne personne, par chance ils n'avaient jamais eu d'enfant rebelle, si cela avait été le cas, ils auraient sûrement eu plus de mal, mais au final ils auraient réussi à lui apprendre à se comporter correctement.
« Est-ce que je peux aller jouer dans le jardin maintenant, s'il vous plait ? »
« Bien sûr ma chérie, mais fais attention à toi, ne te salis pas et surtout enlève tes chaussures quand tu rentres dans la maison. » lui lança sa mère alors qu'elle venait tout juste de sortir du salon.
Elle se mit à courir dans le jardin, ses cheveux bruns voletant à cause de quelques légères rafales de vent. Anne-Sophie était contente, elle allait faire du piano et même si techniquement, elle ne l'avait pas proposé d'elle-même, la petite fille voulait suivre l'exemple de ses aînés.
*****
L'hiver, c'est beau. Il fait frais, il y a la neige, l'hiver c'est bien parce qu'on peut passer toute un après-midi devant la cheminée, une tasse de chocolat chaud entre les mains. C'est sans doute la saison que préfère Anne-Sophie, l'été, elle aime bien aussi, il fait beau, on peut aller à la plage et se baigner, mais l'hiver c'est autre chose. Ça résonnait dans sa tête comme une magnifique saison, où les fêtes telles que Noël et le jour de l'an étaient toujours présentes.
Il n'était pas loin de 19 heures et Anne-Sophie et sa famille venait de terminer de mander. Elle se leva de table après avoir demandé la permission et partie jusqu'à l'entrée. Elle attrapa son manteau bien chaud qu'elle enfila avant de mettre sa paire de gants. Une fois prête pour le grand froid qui l'attendait dehors, elle quitta la maison après avoir rassuré ses parents en leur disant qu'elle ne rentrerait pas tard. Il lui arrivait souvent, après avoir dîné d'aller faire un petit tour dans les rues de Paris, ses parents ne le lui avaient jamais interdit malgré qu'elle n'était encore qu'une adolescente, car ils savaient qu'elle rentrerait toujours à l'heure du couvre-feu. Anne-Sophie marchait à une allure régulière, levant de temps en temps les yeux pour ne pas se perdre. Au bout d'un moment, elle aperçut à quelques dizaines de mettre d'elle, un jeune homme de son âge sûrement, assit sur un trottoir, les cheveux ébouriffés.
Elle hésita quelques secondes, puis finit par s'avancer vers ce jeune homme. Ses bottes noires plates lui permettaient de passer sans un bruit, ce qui était plutôt bien, sans ça elle n'aurait pas pu aller le voir discrètement. Une fois à sa hauteur, elle le regarda longuement avant de prendre la parole.
« Excusez-moi ? »
Il avait beau avoir à peu près son âge, Anne-Sophie était une adepte des bonnes manières, jamais elle ne l'aurait tutoyé alors que c'était la première fois qu'elle le voyait. Il semblait perdu, à être assis sur ce trottoir, tout seul à cette heure-là.
« Oui ? » répondit-il silencieusement.
Sa réponse arracha un léger sourire à Anne-Sophie, qui fut soulagée qu'il ne réponde pas désagréablement. On ne sait jamais, elle aurait pu tomber sur une personne qui l'aurait envoyée balader.
« Non, rien. Je me demandais bien ce que vous faisiez ici tout seul sur un trottoir. » « Et bien, rien. »
Rien, c'était un si petit mot, qui en disait déjà beaucoup. Pas besoin de se justifier, le rien suffisait amplement. Elle resta à sa place, ne sachant plus quoi ajouter de plus pour rompre le silence dans lequel ils étaient en train de plonger. La jeune fille savait en cet instant que ce n'était qu'une simple rencontre, toute banale. Tous les jours, on rencontre quelqu'un de nouveau, c'est comme cela que le monde fonctionne. Néanmoins, cette rencontre n'était pas banale, elle allait changer sa vie, elle allait changer leurs vies à tout jamais.
*****
Nathan, il s'appelait Nathan. Elle le fréquentait depuis quelques mois maintenant, depuis cette fameuse nuit où elle était tombée sur lui. Anne-Sophie appréciait sa compagnie, vraiment avec lui elle se sentait bien et elle avait été contente de découvrir que son « mode » de vie plutôt strict dans certaines circonstances, ne le dérangeait pas. Anne-Sophie avait toujours eu l'impression, que quand des garçons s'intéressaient à elle ou bien qu'ils voulaient devenir ami avec elle, c'était pour une seule raison ; l'argent. Elle savait pertinemment combien ça pouvait en attirer certains, pourtant ce n'était pas pour ça. Nathan lui, n'était pas comme ça. Elle le savait, au fil des journées passées, ensemble elle avait appris à le connaître, elle savait comment il était et elle aimait cette personne. Anne-Sophie pensait qu'ils allaient toujours être ensemble, c'était sans compter sur la mère de la jeune fille.
Regardant la télévision, elle entendit sa mère l'appeler de la cuisine.
« Anne-Sophie, viens ici ! »
Sans perdre un instant, elle s'était levée. Pour elle, sa mère l'avait appelée pour lui demander de l'aide en cuisine, elles cuisinaient souvent ensemble et Anne-Sophie aimait bien partager des moments comme ceux-là avec sa mère, elle était loin d'imaginer que sa mère allait lui demander autre chose.
« Oui mère. » lui dit-elle une fois arrivée à ses côtés.
« Qui est-ce donc ce jeune homme avec qui tu passes tes journées ? » « Il s'appelle Nathan, et il est très gentil. » « Moi je trouve qu'il ressemble à un chien abattu. »
La réaction de sa mère avait choqué la jeune fille, elle qui disait toujours qu'il fallait être gentil avec les gens, qu'importe leur physique, leur statut social et j'en passe, elle venait là de montrer l'exemple qu'il ne fallait absolument pas suivre.
« Mère, je trouve que vous avez une très plâtre opinion de lui. Laissez-moi... » « Assez ! Je ne veux plus que tu le revoies, ma chérie, je trouve qu'il a une mauvaise influence sur toi.»
« Mais... » « Il n'y a pas de mais ! Va réviser ton piano. Et tout de suite ! »
Suite à la déclaration de sa mère, elle était restée bouche bée. Comment pouvait-elle ? Comment pouvait-elle lui priver de voir quelqu'un à qui elle tenait beaucoup ? Anne-Sophie aurait aimé lui répondre, elle aurait aimé lui dire que ses protestations ne serviraient à rien puisqu'en aucun cas elle arrêterait de le revoir, mais elle avait tellement peur d'imaginer tout ce dont elle serait capable pour que sa fille n'aille plus voir ce garçon, qu'elle n'avait rien dit et s'était contentée de baisser la tête, avant de partir pour son cours de piano.
*****
Leur cabane était leur lieu de refuge. Située dans un petit coin tranquille, à l'abri des regards indiscrets, ils ont passé plusieurs de leurs après-midis dans cette cabane pendant quelques temps. Anne-Sophie trouvait toujours un prétexte pour ne pas que sa mère s'interroge et cela avait plutôt l'air de bien marcher. Ils étaient bien, ils étaient heureux, mais le destin en décida autrement. Les années lycées terminées, Anne-Sophie allait partir vivre aux Etats-Unis, plus précisément à Arrowsic pour faire ses études. Pourquoi si loin ? Pourquoi n'avait-elle pas pris la peine de faire ses études en France ? A Paris, elle aurait très bien pu les faire, cependant elle avait choisi un autre endroit. L'un de ses rêves, était d'aller vivre aux Etats-Unis, elle s'était dit que même si elle y allait en premier pour ses études, elle y vivrait tout de même et son rêve se réaliserait. Pour autant, il y avait Nathan. Elle ne voulait pas, elle ne pouvait tout simplement pas le quitter, cela aurait été trop dur, alors elle lui a proposé de venir avec elle. Proposer est un bien grand mot, puisqu'elle avait carrément décidé de l'emmener avec elle, bien entendu s'il n'avait pas voulu elle ne s'y serait pas opposée, néanmoins elle savait très bien au fond d'elle qu'il allait accepter, elle l'avait tellement espéré que ça ne pouvait qu'être le cas. Personne n'était au courant, encore faudrait-il que Anne-Sophie en ait parlé à quelqu'un, à part Nathan personne d'autre n'était au courant qu'elle allait vivre avec lui. Le dire à ses parents auraient été une mission suicide dès le début, le silence était donc la seule et dernière possibilité.
*****
Anne-Sophie était assise sur sa chaise, juste devant son bureau. Un stylo dans la main droite, quelques feuilles étaient posées sur le bureau, trois fois, trois fois qu'elle recommençait à écrire sa mettre. Dans la première, ses larmes avaient inondé la feuille et son écriture était devenue illisible. Sur la deuxième, elle s'était trompée beaucoup trop de fois, elle avait oublié des mots, des lettres. Sur la troisième, son stylo avait cessé de fonctionner pendant un court instant et Anne-Sophie avait essayé de le faire remarcher en gribouillant sur cette pauvre feuille blanche. Désormais, elle fixait la feuille qui était devant ses yeux, respirant un bon coup, elle passa distraitement sa main dans ses cheveux et commença à écrire.
« Cher Nathan, au moment où tu liras cette lettre, je serais déjà partie. Je sais que tu vas m'en vouloir, et peut-être pour toujours, mais je n'avais pas le choix. Ma mère a découvert que je vivais avec toi. Elle m'a appelé hier soir, et je ne l'ai jamais entendu crier aussi fort. Elle m'a ordonné de rentrer à la maison. Elle avait déjà acheté le billet d'avion. Tu sais bien que je ne pouvais pas lui désobéir. Je ne sais pas ce qui m'attend là-bas, mais j'ai très peur. J'aurais aimé rester avec toi. J'étais heureuse. La vie nous appartenait. Mais le destin en a voulu autrement. Nous étions le noir et le blanc. L'eau et le feu. L'or et le cuivre. On savait très bien dès le début que ça ne pouvait pas marcher entre nous. Je te dis ça, parce que je ne sais pas si je reviendrais. Je vais sans doute aller dans un pensionnat privé. J'ai peur. J'aurais aimé te prendre dans mes bras et t'embrasser une dernière fois... Tu vas me manquer. Je ne sais pas ce que je vais faire sans toi. S'il te plait, ne m'en veux pas trop, je m'en rongerai les doigts. Je t'aime, ne l'oublie pas, et ce, pour toujours. Adieu. »
Une larme roula le long de sa joue et pliant sa lettre, elle la mit dans une enveloppe avant de rajouter dedans de l'argent, pour Nathan. Ses valises étaient prêtes, Anne-Sophie quant à elle n'était pas prête, pas prête à quitter Arrowsic, pas prête à partir et surtout pas prêter de quitter Nathan, mais il le fallait. Jetant un coup d'oeil à son montre, il était l'heure. Elle laissa la lettre à Nathan avec l'enveloppe contenant de l'argent, attrapa ses valises et parti dehors rejoindre le taxi qui l'attendait. S'en était fini des Etats-Unis, fini Arrowsic, fini sa belle histoire avec Nathan. Tout était fini et ce pour son plus grand malheur.
**
« Cher journal,
J'ai déjà écrit dans ce journal, mais les pages ont été arrachées, par moi. Pourquoi ? Je ne sais pas, peut-être le fait de se dire qu'elles contenaient beaucoup trop de mauvais souvenirs et que de les, lire m'aurais fait plus de mal qu'autre chose ? Peut-être, maintenant je regrette de les avoir arrachées, j'aimerai tellement pouvoir en relire certaines, pour ne pas dire toutes. Quand je suis rentrée à Paris, il y a maintenant quelques années, ma mère m'a envoyé dans un pensionnat privé. Je n'y suis restée qu'un mois avant de partir dans une université à Paris pour suivre des études de journalisme. Quand ma mère m'a dit qu'elle avait fait cela pour mon bien, je me suis retenue pour ne pas lui rire au nez. Si vraiment cela avait été pour mon bien, elle se serait rendu compte qu'elle aurait dû me laisser à Arrowsic, avec Nathan. Mais, non, elle est vraiment têtue. J'ai souvent voulu retourner voir Nathan, ce n'était pas l'envie qui me manquait bien au contraire, mais plutôt la force. La force de désobéir à mes parents, la force de me mettre toute ma famille à dos.
J'ai grandi maintenant, j'ai 25 ans, je suis devenue journaliste et j'adore ce métier. Pourtant, je ne suis pas heureuse, je ne le suis plus. Ce qui me rendait heureuse, ou celui qui me rendait heureuse devrais-je dire, n'est plus ici et tout est de ma faute. Je pense qu'il est temps pour moi de quitter à nouveau Paris et de retourner à Arrowsic, je sens que désormais j'en aie la force, j'en aie le courage et il le faut, sinon sans ça je ne serai plus jamais heureuse de toute ma vie. Il faut à tout prix que je le revois, c'est un besoin essentiel et je me demande maintenant comment j'ai fait pour tenir sans pendant si longtemps. Alors, c'est décidé, je dois y retourner. Ma vie est là-bas, elle n'est plus à Paris, elle n'y a jamais été. »
Dernière édition par Anne-Sophie C. Delacroix le Ven 5 Aoû - 0:11, édité 6 fois
Sujet: Re: Jenesaispasquoimettredoncjelaissecommeça ♠ Anne-Sophie Ven 29 Juil - 19:19
Bienvenue parmi nous. :chazi&abbey: & bonne chance pour ta fiche. Par contre, une autre personne a décidé de prendre Lucy ici. Ça sera donc la meilleure fiche qui aura Lucy. Cependant, vous pouvez aussi trouver un compromis. (:
Sujet: Re: Jenesaispasquoimettredoncjelaissecommeça ♠ Anne-Sophie Ven 29 Juil - 21:26
Je veux bien oui (: J'hésite entre plusieurs : Abbey Lee Kershaw / Ginta Lapina / Shay Mitchell / Rachel Bilson et peut-être même Rachel McAdams (scénario.)
Enfin, en gros je joue avec plusieurs types de célébrités.
Mais, je suis ouverte à d'autres propositions aussi
Sujet: Re: Jenesaispasquoimettredoncjelaissecommeça ♠ Anne-Sophie Mer 3 Aoû - 21:10
Coucou. Comme tu l'as sans doute remarqué, j'ai refusé plusieurs personnes pour tenter le rôle de Anne-Sophie, en leur disant qu'elle t'était réservée. Cependant, j'aimerais bien laisser la chance à tout le monde, donc je voulais juste t'informer que ta réservation sera enlevée quand tu auras dépassé le délai pour faire ta fiche, soit le cinq aout. (enfin sauf si tu termines ta fiche avant, bien sûr ) En espérant que tu comprennes.
Sujet: Re: Jenesaispasquoimettredoncjelaissecommeça ♠ Anne-Sophie Jeu 4 Aoû - 2:15
Oui oui, je comprends parfaitement Normalement, elle devrait être terminée demain, je l'ai commencée, mais seulement sous open office donc je ne l'ai pas encore postée ^^