Sujet: Hadrien Claude Moreau - Life is dirty, and so am I Mar 1 Nov - 14:52
Hadrien Claude Moreau
Les femmes font les pires folies pour allumer une passion et prennent la fuite devant l'incendie.
no one can be two different people.
nom : Moreau. Ҩ prénom : Hadrien, Claude. Ҩ âge : 25 ans. Ҩ origines françaises, polonaises. Ҩ statut civil : célibataire. Ҩ occupation : mannequin. Ҩ avatar : Francisco Lachowski. Ҩ crédits : union jack.
leave your story behind and be the present.
La musique saturait l’air, les accords de guitare électrique faisaient trembler les murs et les voix faisaient exploser les tympans. Je ne bougeais pas. Mes yeux restaient fixés dans le vide, quelque part entre une craquelure, un tag, des milliers de mots écrits au feutre noir … J’étais assis par terre à contempler mon minable studio dans cette minable ville. Je ne peux pas dire que mon cerveau était vide, il était bien trop rempli pour cela, mais je sais que je ne pensais à rien en particulier. Je laissais toute les images me submerger, me noyer, me tuer de remord, d’ennui, de joie, d’horreur, de rage. Une à une, toutes les images de ma vie vinrent se présenter à moi, demandant mon entière attention pour leur faible valeur. Je cessais alors de lutter et me laissai prendre d’assaut par l’image de mon père …
Il avait 12 ans, et il voyait chaque jour ce quotidien d’horreur. Il n’en pouvait plus, se bouchant les oreilles pour ne pas entendre les cris de sa mère, se cachant les yeux pour ne pas voir son père la battre. Il avait 12 ans le jour où il ne tint plus en place. Il sortit de sa chambre en arrachant presque la porte de ses gonds. Ses parents étaient restaient là, presque bouche bée. L’expression de son père se durcit tandis que sa mère l’implorait silencieusement de s’en aller. Il laissa le flot de parole qu’il avait tant retenu s’enfuir de sa bouche. Il haletait, pleurait, criait, murmurait. Tout ce qu’il avait sur le cœur sortit. Au fur et à mesure qu’il parlait, son père délaissa sa mère pour s’approcher tout doucement de lui. Il vint se poster devant lui et une gifle violente vint se poser contre sa joue. Trop abasourdi pour parler, il regarda son père, puis la ceinture qui pendait toujours de ses mains. Il posa à peine ses doigts contre sa joue quand il sentit un filet de sang couler doucement entre eux. Son nez était cassé et sa mâchoire l’élançait. Il n’attendit pas longtemps avant de prendre la ceinture de son père et de le contourner. Il l’étrangla. Il regarda cet homme ivre mort se débattre pour se rattacher à une vie qu’il trouvait pourtant si minable. Plus rien ne vint occulter le visage du vieil homme sauf cette expression qui semblait implorer son fils. Claude était restait ainsi, à tirer sur la ceinture, ne pouvant s’arrêter à mesure que toute vie était drainée de son père. Il était en larmes. Sa mère n’avait rien pu faire, allongée sur le sol du salon, n’ayant ni la force de parler ni la force de bouger. Plus personne ne bougea alors. Le père pendant à travers la ceinture à peine relâchée que son fils avait noué autour de son cou et la mère pleurant silencieusement ; pleurs de joie ou de malheur ?
Je cherchais à tâtons la bouteille d’alcool qui se trouvait à mes côtés et posait le goulot sur mes lèvres. Je bus avec frénésie, les mains tremblante, du liquide se déversant tout autour de moi, à travers ma bouche entrouverte, sous mon pull, mouillant mes vêtements et les collant à ma peau.
Il y avait à présent 3 longues années qu’ils avaient fui le lieu du crime. Tacitement, ils décidèrent de ne pas en parler, que ce soit entre eux ou en dehors. Ils avaient vécus une vie de bohème, courant de ci, marchant de là, s’installant trop peu là-bas. Ils s’arrêtèrent alors dans une grande ville française, où Claude et sa mère avaient décidé de s’installer durablement. C’est là qu’Hadrien, trop susceptible, plongea dans la drogue les narines en avant. Il avait commencé à consommer des quantités astronomiques de poudre blanche, et de cigarettes pas très nettes. Ils ne pouvaient subvenir à leurs besoins en plus de ceux d’Hadrien, alors il fini de se tremper dans le milieu des mauvaises fréquentations. Il se mit à en vendre dans les ruelles sombres, à la sortie de son école. Il amassait de plus en plus d’argent, se droguait de plus en plus et se mit à boire. A seulement 15 ans, il avait détrôné de loin son père. Il n’avait pas seulement imité son géniteur, il avait surpassé son maître.
Je me retrouvais là, à me fracasser la tête sur le mur contre lequel je m’adossai. Je perdais toute notion du réel. Je ne savais plus où j’étais, qui j’étais ni même ce que je faisais. Je replongeais dans ses souvenirs, devenus omniprésents dans la réalité et plus opprimants que jamais.
Il avait 16 ans depuis peu. Son âge ne comptait vraiment plus dans ses affaires. Il devenait peu à peu maître dans son art, comme il appelait cela. Il devenait reconnu, riche ; peut être était il à l’apothéose, mais il ne le sut jamais. Il rentrait d’une de ses dures journées. Il était très tard. Il poussa le battant de la porte de l’appartement dans lequel il vivait. Il marcha doucement pour ne pas réveiller sa mère. Cependant, il trébucha plusieurs fois contre les meubles qu’il bougeait. Il ne tenait plus debout. Ivre mort, il ne savait même plus dans quelle direction aller. Soudain, il entendit un cri. Il se retourna plusieurs fois sur lui même avec le tournis. Il vit alors la porte de la chambre de sa mère. Il n’arrivait pas à l’atteindre. Il marcha comme il put. Il arriva alors à la poignée et la tourna. Ce qu’il vit lui rendit sa lucidité quelque instants. Un jeune homme nu remettait son pantalon, à mesure qu’il tendait un billet à sa mère. Elle était complètement nu étendu sur les draps. En le voyant, le jeune homme avait vite fait de se rhabiller et de prendre ses affaires dans ses bras en courant vers la porte de l’appartement. Hadrien entendit la porte claquer. Il demanda sèchement à sa mère ce qu’elle faisait, bien qu’il le sache déjà. Il ne répondit pas. D’un ton bien trop calme pour être bienveillant, il réitéra sa question. Sa mère essaya de le calmer d’une vois chevrotante. Il répéta une troisième fois sa question mais cette fois ci en criant comme un démené. Sa vision fut alors occultée par un voile noir et il se jeta sur sa mère. Il la frappa encore et encore, elle pleurant et lui en rajoutant. Au bout d’un moment qui parut être une éternité, il se leva et tourna les talons. Il resserra les pans de son manteau et sortit à son tour de l’appartement. Le lendemain ils vinrent le chercher à la sortie de l’école.
J’allumai une cigarette et restai toujours assis. Je tirai une bouffée, puis une autre. Me noyant dans la nicotine qui dégageait de mes narines et de ma bouche, je replongeai dans la débauche de mes souvenirs.
Il avait passé trois mois de frayeur, de froid, de rage en prison ferme. Il n’avait pu voir personne à part les quelques personnes enfermées avec lui. Malgré son âge assez avancé et ses actes, il fut malgré tout emprisonné avec les enfants. Ensuite, il avait été transféré dans un centre de redressement à Lyon, la ville d’où il venait. C’est là qu’il reprit contact avec la civilisation. Deux jours seulement après son transfert, il reçu sa première visite. Il fut emmené dans la salle close où l’attendait une femme d’âge mur qui ne tenait pas en place et qui tenait contre son torse son petit sac à main bon marché. Hadrien éclata de rire à la vision de sa mère et voulut ressortir de la pièce mais elle courut vers lui et l’implora de l’écouter. Après un regard dédaigneux, il céda et s’assit à la table. Après quelques instants, la mère prit une grande inspiration pour parler mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il la referma. Elle refit cela plusieurs fois. Excédé, les nerfs à fleur de peau, il avait crié : « POCZEKAJ ! » Sans s’en rendre compte, il avait demandé à sa mère d’arrêter en polonais. Trop surprise, elle ne put qu’ouvrir les yeux. Le reste de l’échange se fit en polonais aussi. « -Dis ce que tu as à dire et vas-t-en. -Hadrien, s’il te plaît, arrêtes. -Arrêter quoi ? Je rentre de l’école et je trouve ma mère en train de faire la pute. Est-ce que tu crois que ne pas savoir parler français et être polonaise ne suffisait pas ? Tu ne crois pas qu’on s’est assez moqué de moi ? -Hadrien, arrêtes ça. » Hadrien n’avait pas arrêté. Il avait continué sur sa lancée à crier sur sa mère. « -Et la mère d’Hadrien est polonaise par ci, et la mère d’Hadrien est pauvre là. Et maintenant la mère d’Hadrien est une pute. J’en ai assez J’EN AI ASSEZ. -MOI AUSSI HADRIEN. » Hadrien s’était attendu à tout sauf à ça. Il s’arrêta alors, les bras croisés devant son torse et la regarda. « -Hadrien, pour moi aussi ça a été difficile. Tu crois que je suis heureuse de devoir vivre avec les revenus de mon fils ? Qui soit dit en passant me fait vivre grâce à la drogue. J’essayais juste de subvenir moi-même à mes besoins. -Parce que madame trouve que la prostitution est moins sale que l’argent. -Tais toi jeune homme et laisses moi finir. Je te vois devenir de plus en plus comme ton père. Tu crois que je trouve ça super ? -Et c’est une raison pour me faire entrer en prison ? - Ce n’est pas moi. » Elle soutint le regard de son fils puis reprit « - Tu m’as battu comme jamais ton père ne m’a battu. Tu n’as aucun droit sur moi, tu comprends cela ? Aussi devrais-tu te tenir à carreau. Et il a aussi autre chose que j’ai besoin de te dire. Tu te rappelles toutes ses soirées où je m’enfermais dans ma chambre pour pleurer ? Et bien c’était à cause de ton père. Le jour où il, *pause*, est bien j’étais enceinte. Malheureusement, il n’a pas survécu. Il est mort avant de naître. Ce n’est pas permis, il n’avait pas le droit. IL N’AVAIT PAS LE DROIT. » Sans plus attendre, il se leva et enlaça sa mère. Il la tint contre lui aussi fort qu’il le put. C’est alors qu’il comprit que malgré tous leurs problèmes, tous leurs secrets, ils resteraient ensemble pour la vie …
La bouteille à la main, je me lamentais sur mon sort, sur le bébé que je n’avais jamais connu, ce petit frère ou cette petite sœur qui m’aurait peut être sauvé de la débauche. Je gémissais, à peine conscient. Je frappais de la main contre le sol. Fort, très fort, puis j’entendis le bruit de la bouteille qui se cassait et de tous débris qui se répandaient sur le sol.
Trois semaines plus tard ils étaient déjà plus loin de Lyon qu’ils ne l’étaient déjà du Paradis. Ils avaient pris le premier avion pour Arrowsic, le seul endroit où il y avait une famille pour les accueillir. Sa tante, la sœur de sa mère, vivait là depuis plusieurs années, avant même la naissance de son neveu ou le mariage de sa sœur. Elle n’était pourtant pas mariée elle-même. Le bonheur ne fut pas long. Quelques semaines plus tard, Claude avait retrouvé bien plus que sa sale renommée d’antan. Il avait croisé cette fille, dans la rue, cette rousse. Il l’avait d’abord prise pour une prostituée à moitié nue sur le trottoir mais elle n’en était pas, ou du moins pas en cet instant comme le comprit rudement Claude. Il avait été violemment remballé. Il ne déconfit pas. Il revit cette jeune fille pas plus tard que le lendemain à l’école. Il tenta le tout pour le tout et la ré-accosta, comme si de rien n’était. Elle ne l’avait visiblement pas reconnu mais il lui rendit vite la mémoire. Il la vit partout durant cette semaine. Vint alors le samedi soir et ses obligations. Il attendait devant la porte de service de la boîte de la ville avec la marchandise des fêtards. C’est là qu’il la vit, cette chevelure qu’il n’était pas près d’oublier. La voilà, l’occasion tant attendue. Depuis le temps qu’il rêvait de mettre de la couleur dans sa vie terne ; il la repeindrait en rouge flamboyant, sa vie. Il remettrait des couches et des couches de rouge. Il boirait ce rouge sang, ce rouge qui coulait dans ses veines, le rouge scandaleux des lèvres peintes de Sheila. Il la voyait nue devant lui, il la barbouillait de rouge de haut en bas. Il la peignait et la repeignait de ses doigts cramoisis. Il la peignait de son sang et de sien. La voilà son obsession, son point faible. Les cheveux rouges de Sheila …
Je me vomis dessus. J’étais horrifié et cela ne fit qu’exciter ma bile. Je ne détestais rien plus que de vomir, mais cela était devenu mon quotidien désormais. Je n’avais rien à rejeter à part leur peu d’alcool qui était arrivé à infiltrer mon corps. J’essuyai les filets de bave dégoulinant de ma bouche à mesure que mon estomac se contractait en un autre spasme qui m’arracha un hoquet de douleur.
Il n’avait pas arrêté de lui tourner autour depuis qu’il l’avait pour la dernière fois. Il n’avait pas pu s’en empêcher. Il était lié à elle, par son amour et par ses affaires. A présent, elle était avec lui pour la vie et pour la prison. Elle demandait toujours plus de drogue et il ne bronchait jamais pour lui en fournir. Il savait qu’elle ne pouvait vivre sans. Il savait qu’elle lui devait beaucoup. Il savait tant de choses, et il croyait en savoir d’autres. Leur petit manège de je t’aime moi non plus dura quelques années relativement paisibles tachées ça et là par des gouttelettes de sang. Puis vint le jour où il sombra à nouveau dans les abîmes de la police. Seulement cette fois, il n’était pas seul. Il ne pouvait cependant pas tolérer le fait que sa bien-aimée soit là à sa place. Il se dénonça et la lava de tout soupçon. Dieu seul sait ce qu’elle devint, mais ce qu’il devint lui ne fut pas aussi joyeux. Il avait cru avoir vécu de la prison, mais il se rendit vite à l’évidence que ce qu’il avait vécu qu’elle année auparavant ne représentait pas même le millième des horreurs qu’ils avaient vécus à ce moment. Il avait vécu dans la peur des autres. Il avait été violé, mutilé, et avait subi bien des supplices dont il n’imaginait même pas l’existence. Il fut pris dans les sombres affaires des détenus. Il n’avait rien d’autre à faire. Il avait vécu sa vie au jour le jour, ayant peut être trop peur du lendemain et ne voulant pas se rappeler de ce qu’il s’était passé la veille. Il commença peu à peu à tolérer, puis à supporter, puis à infliger lui-même au nouveau venu ses atrocités. Il fallait que les gens subissent ce qu’on lui avait fait subir. Et tout ça, pour une femme. Pour la femme. Il se rappela encore de la couleur de ses cheveux. Chaque nuit, il pleurait pour elle et à cause d’elle. Il infligeait des horreurs en son nom, recevait ses horreurs en son nom, se levait en son nom, se couchait en son nom. Il était elle, elle était lui ; non, elle était bien plus que lui. Elle était bien plus que tout autre chose en cette Terre infestée de vermines.
Je levais ma main gauche au niveau de mes yeux et louchait pour voir l’inscription sur mon poignet. Le tatouage noir formait des arabesques autours des mots qui y étaient inscrits. Je posai alors les deux mains par terre, oubliant tout des bris de verre. Des millions de petites poussières vinrent entailler ma peau à mesure que j’essayai de m lever. Je fournissais un effort qui me paraissait surhumain mais je ne pus aller plus loin. Je trébuchai et retombai lourdement en me cognant la tête. J’étais à présent écorché de toute part et ne savais même plus où se trouvait ma tête de mes pieds.
Il était revenu vers elle, tout naturellement, mais pas tout de suite. Il avait d’abord suivi des études de mannequinat. Il avait tout pour, la beauté, la taille, l’allure, le regard. La vie lui avait appris des choses qu’il n’aurait pas forcément voulu savoir, l’une d’elle était de serrer les dents et de tout se prendre en pleine figure. Les jeûnes forcés ne l’effrayaient pas, la compétition non plus. Il était le plus vieux de sa promotion mais aussi le plus talentueux et le plus doué. Il avait tout donné pour la seule chose qui en avait valu la peine sur cette Terre. Il avait été promu et avait rejoint la pas si paisible Arrowsic et avait été embauché. Il avait aussi vu dans cette bourgade américaine les cheveux rouges de Sheila. Il les avait vu, reconnus, aimés, rappelés. Il avait tant besoin de les revoir. Il n’avait rien prévu pour ses retrouvailles qu’il avait tant attendues. Il avait encore moins prévu cette passion dévorante, cette maladie qui l’avait hanté, cette obsession qui lui prenait les tripes incomparable à autre chose. Cette schizophrénie selon plusieurs médecins, paranoïa selon d’autres. Il n’en pouvait plus d’être malade, malade à en mourir …
Je me réveillais avec les premiers rayons du soleil qui filtrèrent à travers les volets mal fermés. Je rentrai dans la douche et essayai de laver tout en moi, mon corps, mon âme … Je m’enveloppai ensuite dans une serviette de lin et séchai doucement les gouttelettes d’eau qui parsemaient mon corps. J’enfilai les premiers vêtements qui vinrent sous ma main. Je sortis dans l’air frais et m’arrêtais au Starbucks sur ma route. Je pris un café fumant qui me tint compagnie avec mon téléphone. J’arrivai au studio et ne levai même pas les yeux de mon écran minuscule. Je planifiais ma journée à mesure que mes pas me portèrent vers ma loge. Je poussai la porte et me laissai choir sur un canapé pendant que je lisais le briefing. Un défilé important était programmé pour ce soir. Je devais me préparer. Je me mis devant le miroir et retirait mes vêtements pour le retrouver en tenue légère. Je vis chacune des cicatrices qui ornaient mon corps. Je n’y fis pas attention. Je me maquillai légèrement en attendant les retouches finales plus importantes sur le plateau. J’enfilai mon jegging. Par-dessus venait se placer le Trench-coat aux couleurs mondialement connues de Burberry. Je m’assis alors sur un coin de chaise pour enfiler une à une les longues bottes qui m’arrivaient aux genoux. Je pris alors la direction du studio. Arrivé au lieu prévu, je vis une effusion de mannequins habillés ou non. J’essayai de me faufiler à travers la foule pour atteindre le styliste qui devait arranger quelques détails lorsque je l’aperçus. Je la traînais hors du plateau sans me faire remarquer. J’essayais de la soustraire aux regards pour pouvoir lui parler plus tranquillement. « -Toujours pas prête à accéder à mes faveurs ? - Va te faire foutre connard - Holààà, doucement ma biche. - Non mais oohh, fais attention à ton langage. - Qui c’est qui parle … - Ecoute, je ne sais pas si c’est clair mais je ne t’aime pas. - Mais c’est pas grave. Personne ne sera au courant de nos petits, disons échanges. - Et voilà le prince charmant qui essaye de faire attention à ces mots pour ne pas heurter la sensibilité de la jeune demoiselle. Vas te faire mettre par ta sœur. - Ohh là. C’est pas parce que t’es une nana que tu à le droit de me parler comme ça. - Bon, c’est pas tout ça mais moi, j’ai du boulot. Et pour ton info, mon cœur est pris. - Intéressant, et qui va avoir l’honneur de se faire buter ? - Ma meilleure amie connard. Et je ne crois pas franchement que tu oserais toucher une fille. - Cela s’appelle un crime, comment dit on déjà ? Passionnel. » J’étais déjà ravi à l’idée de la faire tourner en bourrique. J’étais sûr qu’un jour ou l’autre, elle me céderait. Je tournais les talons avant qu’une autre de ses insultes vienne égayer mes oreilles. J’aimais sa façon de se mettre en colère et de me crier dessus. Je me dirigeai vers la maquilleuse et m’assit dans le fauteuil qu’elle m’indiqua. Je fermai les yeux et laissai la musique techno et les coups de pinceaux de l’employée me bercer …
reveal yourself.
Je n’ai jamais vraiment su presenter autre choses que mes personnages xD Sinon je m’appelle Othman et j’ai 16 ans. Je suis un petit fou furieux de la vie et aussi un gros inventeur de petit surnoms plus fous les uns que les autres et de mots encore pires. Sinon j’adore la musique, le théâtre, les livres, les RPGs. Et si il y a une chose sur laquelle je voudrais insister (mais bon, maintenant que j’en dis une il doit y en avoir des milliers dans ma tête dd) c’est que 1 ce scenario de Sheila est juste trop magnifique pour être vrai et HHahzoidgflivduzbaqdfoimmh voilà quoi 2 ce forum est juste trop magnifique pour être vrai et mofrmoem voilà quoi bis xDD Et voilà je crois que c’est bonbon ;)
Dernière édition par H. Claude Moreau le Mer 2 Nov - 0:03, édité 3 fois
Sujet: Re: Hadrien Claude Moreau - Life is dirty, and so am I Mar 1 Nov - 15:25
HADRIENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN AHHHHHHHHHHHHHHHHHH TOI ALORS super giga mega ultra bienvenue bonne chance pour ta fifiche et en tout cas j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire en tout cas t'étais plus attendu que le Messie :) ahhhh je suis contente - et totalement folle sur les bords- et encore y a pire bref super choix :)
Sujet: Re: Hadrien Claude Moreau - Life is dirty, and so am I Mar 1 Nov - 15:47
Mattia Jarvis a écrit:
Et bien, encore un qui fait une heureuse
Bienvenue parmi nous alors !! =D
Et cette fois-ci, il fait trois heureuses J'imagine déjà les Strugatsky en train de sauter partout parce que leur Hadrien est arrivé En tout cas, bienvenue à toi et j'espère que tu seras le bon parce que j'imagine pas la dépression de Sheila, Abbey et Robyn si tu pars
Sujet: Re: Hadrien Claude Moreau - Life is dirty, and so am I Mar 1 Nov - 20:14
H. Claude Moreau a écrit:
Ce scenario de Sheila est juste trop magnifique pour être vrai et HHahzoidgflivduzbaqdfoimmh
Je sais, mon deuxième scénario le plus magnifiquement superbe et génialisimement bien Mes chevilles vont bien, merci. ->[] BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE ET MERCI MERCI MERCI Grave là tu fais trois heureuse, depuis le temps qu'on attendait notre méchant Et puis ça devrait être un crime d'être aussi canon que lui Surtout que moi j'aurais même pas le droit d'en profiter quoique... (aaa) Si t'as la moindre question vient m'harceler Bonne chance (a)
Sujet: Re: Hadrien Claude Moreau - Life is dirty, and so am I Mer 2 Nov - 10:14
Evalee C. Gallagher a écrit:
Mattia Jarvis a écrit:
Et bien, encore un qui fait une heureuse
Bienvenue parmi nous alors !! =D
Et cette fois-ci, il fait trois heureuses J'imagine déjà les Strugatsky en train de sauter partout parce que leur Hadrien est arrivé En tout cas, bienvenue à toi et j'espère que tu seras le bon parce que j'imagine pas la dépression de Sheila, Abbey et Robyn si tu pars
Salut moi c'est Abbey la meuf qui se réveille trois heures après. ADRIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN. Purée depuis le temps qu'on t'attend toi. C'est la fête des scénarios en ce moment, c'est cool. Au fait, on aura un lien du tonnerre tous les deux. Sheila, je vais pouvoir aller à l'hôpital. (la meuf qui se réjouit pour ça tu sais ) Je t'expliquerais par mp. Anyway, ta fiche est top. D'ailleurs t'as du attendre trois mille ans qu'on te valide, j'ai pris le temps pour la lire. J'adore le dernier passage avec la mère. Bon je te dis bienvenue, et je te valide. (2 en 1 ) Amuse-toi bien parmi nous.