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« Sonya, est-ce que vous allez finalement pouvoir me faire à manger sans rien brûler. » Elle avait baissé les yeux par terre comme je le faisais toujours en présence d'autorité avant qu'elle ne me répondre « Oui madame. » Elle m'avait regardé avant de s’éclipser vers la grande cuisine de ma tante. Puis je m'étais dirigé dans une autre pièce de la maison en attendant que mon repas soit près. Bien que mes parents m'avaient dit seulement deux moins chez ma tante, j'avais décidé d'y rester pour m'amuser un peu. Je ne comprenais pas pourquoi mes parents étaient partis de leur vie de luxe en Russie pour se reconstruire une autre vie dans un pays pauvre pour aider les enfants malades. Je préfère largement ma nouvelle vie de fille riche, cela était dix fois plus divertissante. Néanmoins, je dois l'avouer que ma vie se résumait seulement à la danse qui devenu ma plus grande passion. Alors que je m'apprêtais à sortir mes ballerines de la grande pièce dédié à cela, j'attendis ma tante arrivée avec ses souliers à talons hauts. Elle frappa deux fois à la porte comme toujours avant qu'elle ne commence à me parler directement. « Il va falloir que tu partes de ma maison Penelope. Tu as dix-neuf ans maintenant, je ne paie plus pour toi. » J'étais sous le choc, comment une femme qui devait s'occuper de moi comme mes parents l'avait dit me parlait ainsi. Pas la peine de me tourner vers elle pour la regarder, j'avais simplement besoin de regarder dans les nombreux miroirs pour lui répondre comme elle venait de le faire « Tu ne peux pas, mes parents pourraient ... » « ... Non, tes parents pensent la même chose que moi, tu ne fais rien ici, tu vis sous mon toit sans rien faire que la danse. Tu quitte ma maison demain. » Puis elle était parti sans que je puisse lui répondre. Ce qu'elle pouvait être chiante cette femme.

« Oliver n'est pas de retour aujourd'hui Judith, il va falloir te trouver un autre partenaire » Cela faisait maintenant deux longues semaines que Oliver s'était blessé et ce matin il devait absolument être présent pour continuer les cours de danse. Malheureusement, comme je devais m'en attendre, il n'était pas de retour ce qui me déçu énormément. Je ne voulais quand même pas changer, donc encore une fois je négocia avec mon professeur. « Ouais, mais il sera là demain madame. Laissez moi une autre petite journée » « Je ne peux pas, tu dois avoir un partenaire si tu veux être face à Monsieur Tonks. » « Je suis disponible! » Je m'était retourner vers la personne qui venait de parler. Zayne. Une amie m'avait parlé de lui dernièrement et je ne voulais absolument pas travailler avec lui. Trop de rumeurs disait qu'il adorait encore plus draguer que danser. « Non! » Mademoiselle Silvia m'avait regardé surpris en hochant la tête en signe de négation. « Penelope, essaie avec Zayne avant de refuser. Danser » Elle avait fait un signe à une autre fille qui était près de nous pour que celle-ci met la musique. « Je suis le meilleur partenaire que tu peux avoir . » Il s'était approché de moi - un peu trop près - pour ainsi mettre ses deux mains sur mes hanches. Je pouvais sentir ses mains chaudes qui passait contre le tissu mince que j'avais vêtue aujourd'hui. La rythme de la musique m'entraina immédiatement dans une bulle très confortable. Je n'avais pas envie que ce morceau ne se termine. Je devais l'avouer Zayne était excellente. Un peu trop fier, mais très bon. Il avait soufflé à mes oreilles doucement sans que personne ne voit. « Je savais que tu étais pour apprécié. » J'avais arrêté complètement mes pas, ne sachant pas quoi dire ou répondre « Perfect! Penny et Zayne, vous allez danser ensemble maintenant. Tu as un nouveau partenaire ma chère. »

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Ahhh! Quelle journée de merde Je n'avais même pas réalisé que Noa, mon colocataire n'était pas présent dans la cuisine que j'avais déjà émis un commentaire sur cette journée. Moment de silence, le son de la douche avait aussitôt atteint mes oreilles et je m'étais précipité vers la porte de la salle de bain. Ne prenant même pas la peine de frapper, j'étais entré Noa! T'es là ? Non, je suis pas dans la douche et tu ne me déranges pas Penny. J'adorais son sarcasme. Ah bon. T'imagines, Silvia m'a mise avec Zayne Machin Truc. Comment tu veux que je danse avec lui. Il avait sorti son visage du rideau de plastique pour me regarder directement dans les yeux, puis il s'était mis à rire. Ris pas, c'est pas drôle Noa . Non, mais tu t'écoutes parler parfois. Tu es pitoyable Penny, tu arrives dans la salle de bain en me parlant de je sais pas qui. T'avais qu'à barrer la porte si tu ne voulais pas que je te dérange. T'as raison, de toute façon j'ai terminé. Tu me passes une serviette ? Je m'étais assise sur la toilette sans dire un mot pour savoir ce qu'il allait faire. Une courte période de temps sans entendre Noa parlé, il s'était finalement exclamé Tant pis. Il avait ouvert le rideau pour sortir complètement nu. Abasourdis, de ce qu'il venait de faire, il m'avait souri fier de son coup. Il s'était approché pour ainsi se prendre une serviette de bain qui était sur le lavabo. Encore aujourd'hui, je ne comprenais pas la relation que j'entretenais avec lui. Ce n'était absolument pas un ami avec qui j'avais envie de coucher, mais pourtant j'avais ces palpitations lorsqu'il me serait contre lui. Charmant . Sans qu'il ne mette la serviette autour de lui, il s'était de nouveau rapproché de moi, qui s'était levé maintenant de la toilette pour partir. Il avait pris un air fier tout en mettant sa serviette de bain autour de sa taille, il avait souri tout en se penchant un peu la tête. Ton tour vient quand Penny ? Pas drôle, bon maintenant si tu veux bien me laisser passer. J'aimerais bien sortir de cet endroit. Ahh, mais tu ne voulais pas me parler de Zayne ? Tu avais l'air énervée lorsque tu étais arrivée à l'appart. Et bien plus maintenant Noa. Je sais plus. Je suis trop fier de moi pour ce coup, je devrais le faire plus souvent comme ça les conversations seraient moins longues. Je l'avais regardé sans sourire cette fois-ci T'es chiant aujourd'hui. Oui, mais tu m'adores. La preuve, depuis que je te parle tu fais que fixer sur ma serviette.