Sujet: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Jeu 27 Oct - 22:05
Ylliès Babylone Joplin
« UNE SORTE D’ABSTRACTION. MAIS JE N’EXISTE PAS VRAIMENT. CE N’EST QU’UNE ENTITÉ, QUELQUE CHOSE D’ILLUSOIRE. ET BIEN QUE JE PUISSE CACHER MON REGARD FROID, QUE VOUS PUISSIEZ ME SERRER LA MAIN ET SENTIR MA CHAIRE S’AGRIPPER À LA VÔTRE, VOUS POURRIEZ VOUS DIRE QUE NOS VIES SONT COMPARABLES. MAIS JE NE SUIS TOUT SIMPLEMENT PAS LÀ. »
on l'aurait peut être compris, moi c'est hotpeterpan, théa pour le intimes bien que vous pouvez m’appeler comme vous voulez parce que je n'ai jamais aimé mon prénom babylone, c'est bien, va y, appelle moi babylone je dis souvent des choses inutiles qui emmerdent les gens, mais que voulez vous, c'est ça une belge. oui, tout le monde aime la belgique et les belges je suis assez connue (façon de parler) pour commencer des fiches et ne pas souvent les finir dans les temps parce que je suis un peu conne quand j'm'y met, mais je promet que je vais me grouiller ici. je suis amoureuse de mes chats, surtout le blanc, j'ai une préférence parce que je suis persuadée qu'il est autiste. au lycée, c'est un peu la cage aux folles, je suis amoureuses de tous les gays qui me tombent sous la main. je baise les paroles de kev adams, je donne mon corps à gainsbarre, j'exulte au pieds des mannequins et je suis amoureuse de THUB (déjà, ça va vite hein) j'suis toujours pompelup pour rp avec tout le monde, même si je suis débordée. ensuite, je ferme ma gueule.
Dernière édition par Ylliès B. Joplin le Lun 31 Oct - 23:47, édité 4 fois
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Jeu 27 Oct - 22:05
immondice à la nuit, j'me prend enfin pour une icône. je déambule dans les ruelles sombres d'Arrowsic. j'ai l'âme vagabonde, cette nuit. Je gueule ma liberté à la lune, sale loup décharné. le reclus, le déchu, le félon. quand on fuit sa propre famille, ça sera le traître. le bonheur, la famille, la richesse, ce ne sont pas des choses que je compte garder dans ma vie. j'ai cette étincelle de folie dans le coeur, qu'on voit pulser dans mes iris quand j'ai la chance d'être libre, vagabond à la nuit, comme aujourd'hui. J'ai fuis la maison en quête d'autre chose. Une autre vie, peut être ? Un peu d'adrénaline ? Mon ombre se profile dans la ruelle, j'deviens l’extension cette nuit qui me fait rêver. Pendant la journée, je suis le gosse de riche qu'on veut que je soie, un peu arrogant mais gosse de riche quand même. Je vais au lycée, je mange avec des couverts, je fais mine de faire cracher quelques notes de ce piano qu'on essaie de me faire aimer depuis que je sais marcher. Le soir, je vais me coucher tôt car on me dit que le lendemain, c'est une longue journée de cours. J'me couche dans mon lit à baldaquins avec un pyjama à poches. Puis à minuit, j'fous toute ce luxe dans les chiottes, je déniche mon paquet de clope et fuis dans la nuit, par la fenêtre. La nuit, il n'y a rien dans les rues d'Arrowsic. Juste la lune, moi et ma liberté insensée. Pourquoi j'aime la nuit ? Parce que je suis enfin seul, je touche la vie parfaite que je voudrais du bout des doigts et je rêve entre les étoiles. Aujourd'hui, les rues sont désertes, le ciel est plein de lumières, de mystère. Ma frêle silhouette est à peine éclairée par la lune, qui est pleine aujourd'hui. Je me sens bien. Et toutes les nuits, c'est comme ça. Je m'évade toutes les nuits et je déambule dans les rues comme un fantôme devenu fou. Je n'ai besoin de personne, juste du paquet de malboro et de ma joie. C'est étrange, je suis mélancolique. Je suis seul malgré les frères et soeurs, qui eux sont dignement bourgeois. Aucun sont pareils que moi. Je ne suis pas de ceux qui passent leurs nuits dans les boîtes, qui boivent à outrance et qui font n'importe quoi avec leurs amis. Je suis seul, j'aime ça. Au fond de la ruelle sombre et triste éclate un paysage qui est une des raisons pour lesquelles je ne veux pas être un bourgeois, enfermé dans sa villa, enfermé dans sa bulle. Je veux voir le monde, je veux sentir ce qu'il y a tout autour. Le paysage est magnifique, même pendant la nuit. Un fleuve s'étend devant moi, parsemé de hautes herbes cendrées. On ne voit pas grand chose mais on entend. Les grillons, les grenouilles, les gouttes d'eau qui s'écrase sur le sol. Les étoiles plein l'coeur, je me laisse tomber dans les hautes herbes, fouille dans mes poche et allume une clope.
puis bam. l'autre vierge effarouchée à débarqué. Avec ses airs d'orpheline rebelle mais perdue, elle m'fout des chaleurs, c'est une certitude. Je sais pas, suffit de la regarder. Elle a ces yeux qui défient tout le monde mais qui cachent une intense mélancolie qu'elle à le culot de dissimuler devant moi, son propre frère. je suis son frère. non, je ne le suis pas. pas frère de sang, de coeur, d'alliance. rien. c'est juste une fille sans famille qui a choisit la mienne. Et moi j'suis là comme un con à la regarder s'accaparer ma famille et mon espace. Qu'elle fasse. Qu'elle prenne toute ma famille, je n'en ai que faire. Ce n'est pas ma soeur, juste une fille qui se promène dans les couloirs en culotte. C'est sûr, je me barre plus de chez moi la nuit. Elle est complètement indifférente à tout. On ne sait rien sur elle. Je me rend compte qu'elle n'est pas très attachée à la famille. Nous sommes les deux reclus, deux gosses désabusés, loin des responsabilités. Je suis loin d'être une icône de chasteté, mais en sa présence c'est l'effusion malsaine. Elle est distante pourtant elle s'accroche à ma gueule décharnée et à la moindre approche, elle s'éloigne et elle se ferme. C'est un jeu, et je m'amuse bien. J'ai même pas l'impression de faire quelque chose de mal quand j'me met à penser à tout ce que je pourrais lui faire si elle me laisserais le faire. Pour une fois qu'un membre de ma famille me plait. Elle est là à se promener le soir dans les couloirs du château en pauvre petite princesse qui s'perd. Parfois, je prend la peine de détacher mon regard de la télévision et passe la tête par la porte pour lui sortir des mots ironiques. « Couvre toi, tu t'rend même pas compte de ceux qui rôdent dans le couloir et qui t'baves dessus. » soit elle ne se retourne même pas et continue son chemin, soit elle me répond par une brève réponse, une insulte sifflée entre ses lèvres. C'était quand elle est arrivée ces situations là. Elle était jusque là distante et sur un an, elle est devenue indifférente. C'est mieux que distante. Et moi, j'étais là à rêver des rues et de la liberté. Toujours insatisfait de la vie bourgeoise que je menais. J'voulais pas le lycée, je voulais me sentir libre de faire ce que je veux, d'être partout en même temps. La drogue, ce n'était pas mon truc. Je m'estimais assez courageux pour affronter la vie sans coup de pouce surnaturel et illégal bien que j'ai déjà touché à ce domaine. J'ai prêté plus d'attention à ma "soeur", elle est devenue rapidement la seule amie très proche que j'avais. Ça avait changé, le soir, quand elle se promenait dans les couloirs. Sa démarche était chancelante et ses pupilles dilatées mangeaient ses yeux. Je ne me suis posé aucune questions, j'avais compris, j'avais l'habitude de voir ça. Venant d'elle, l'envie de la connaître mieux, de l'approcher plus était encore plus forte. Je n'en parle jamais mais je m'étonne qu'elle n'aie pas le courage face à la vie pour l'affronter sans aide surnaturelle et illégale. Puis, elle a eu la chance de quitter la famille. Je n'arrive pas à trouver une vie que me satisferait. Vivre seul, dans un appartement, ce n'est pas assez. Je veux vivre d'evian et de malboro light, je veux vivre dans les rues et sillonner le monde, aller partout. Pourtant, je reste enfermé dans un château, et je ne comprend pas pourquoi. Comme des cons, Leona et moi nous lançons des piques quand elle à la bonté de revenir voir sa famille. Putain, ils ne m'auront plus. Je vais éclater, je vais fuir de ce monde qui n'est pas le mien tirer Leona par les cheveux pour l'emmener.
Dernière édition par Ylliès B. Joplin le Jeu 3 Nov - 22:23, édité 23 fois
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Ven 28 Oct - 0:31
ASH. Dites-moi, c'est la journée de Leona ou quoi ? Tous ses scénarios arrivent en même temps. Bon c'est cool, me direz-vous. Bienvenue parmi en tout cas, et bon courage pour ta fiche. Hot hotpeterpan, je connais ton pseudo parce que t'as commandé dans ma ce. Oui je tenais à dire que je connaissais ton pseudo, histoire de faire celle qui connait du monde t'sais. Bon bref, il est tard, et je dis de la merde.
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Ven 28 Oct - 13:04
Peter Pan est mon mentor ! Bienvenue parmi nous. Et bon courage pour la fiche ! Encore une fois, j'adore le titre le pseudo. C'est fatiguant là, ça suffit ! *out* PUIS ASH.
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Ven 28 Oct - 17:36
Bienvenue, super choix d'avatar et puis super choix de scénario et de titre en tout cas tu as fait une heureuse :) Bonne chance pour ta fifiche et super speudo
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Ven 28 Oct - 20:36
merci à tous oh oui, retrotrend j'suis toute chose maintenant que les gens commencent à me reconnaître sur les forums (tellement je m'inscris sur plein de forums et que je parle de n'importe quoi à tout le monde /out/ ) Je n'avais pas pensé à Janis Joplin pour le nom, mais pourquoi pas, elle me plait bien cette femme je tenais à dire que mes fiches sont souvent longues et étranges, mais faite avec
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Mer 2 Nov - 20:13
Hey, ta fiche est commencée depuis une semaine et ne semble pas terminée. Souhaites-tu un délai ? Si nous n'avons pas de nouvelles d'ici 48h, ton compte se verra supprimé.
Sujet: Re: les bombes, je les préfère sexuelles et les attentats, à la pudeur ◮ BABYLONE. Mer 2 Nov - 20:58
je compte la finir aujourd'hui, c'est ce que j'étais en train de faire mais je ne vais pas prendre le risque et un délai de deux ou même d'un jour me serait complètement suffisant