Je ne cessais de me poser des questions sur qui j'étais. J'étais complêtement perdue. Dison que ma journée n'avait pas très bien commencée. Je m'étais levée en sursaut en plein millieu de la nuit. Je ne dormais pas bien ces temps-ci, et ça n'avais aucun lien avec le fais que je n'avais plus de cocaine. Certes, j'avais du mal à vivre sans, mais je survivais. Une semaine avait passée, et je n'avais pas consommer. Ce n'était pas si pire que cela. Enfin, tout dépendait des point de vues. Je m'étais levée très tôt, incapable de dormir correctement. J'avais cour aujourd'hui, mais tempis. Après quelques réflexions, je me rendais compte que je n'avais pas seulement un petit - disons le - problème de dépendance, il y avait autre chose. Mon problème s'élargissait sur plusieurs points. Entre autre, mal de vivre ainsi qu'un grand manque de confiance en moi. J'avais découvert cela à force de me droguer, j'étais incroyablement mal dans ma peau. Il y avait un an déjà, j'aurai tuée pour quelques grammes de cocaine, mais ajourd'hui c'était moins un problème. Enfin, j'avais promis à Leandro que j'allais tout arrêter. Il me fesait confiance. La visite de ma mère n'avais pas arranger les choses, mais au moins, j'étais consciente qu'elle tenait toujours à moi, même si je désirais l'oublier. Je resta un moment assie à la table de la cuisine à réfléchir à tout ça. Leandro avait raison, mais malgré tout ce qu'il essayais de me faire réaliser, il y avait autre chose. Je me rendis dans ma chambre, puis ouvris mon placard pour me prendre quelques fringues portables. Mon choix s'arrêta sur un chandail à manches longues grises, des jeans simple, ainsi que des bottes style grunge. Je n'avais pas envie de m'habiller aujourd'hui. Le simple fait d'enfiler ces vêtements me demandait un effort sur-humain. Je sortis par la fenêtre de ma chambre lorsqu'il était environ six heures du matin. Je n'étais pas d'habitude lève-tôt, mais ces derniers temps, le sommeil n'était pas de mon côté. J'avais besoin de prendre l'air, de me ressaisir, d'éclaircir mes idées malgré que celles-ci étaient constament dans la brume. Je fis presque le tour du quartier. Je m'arrêta dans un café pour me payer un cappuccino puis continua ma route même si mon itinéraire n'était pas très clair.


8:00 - Je me retrouva ici, au sommet d'une falaise. Je respira à fond en regardant tout autour de moi, comme si je me fesais observer. Mais bon, à cet heure là, qui pouvait bien ce balader ici? Appart moi, je n'y voyais personne. Je fixais l'horizon, puis dessendis le regard vers la mer qui se tenais presque sous mes pieds. J'étais à je ne sais combien de mètres du sol, mais une chose était certaine c'était une très hauite falaise. Je fixais la mer de plus en plus attentivement, puis regardais ou celle-ci menait. J'étais surment folle de me tenir aussi près du bord. Les pensées se bousculaient et j'avais besoin de m'éclaicir les idées. Même ici, étant seule, rien ne fonctionnait. Je retira mes bottes et mes jeans d'une seule enjambés. Je regarda autour de moi si j'étais bel et bien seule, puis retira ensuite mon chandail à manches longues. Je me retourva en sous-vêtements en le temps de le dire, puis fis quelques pas vers le bout de la falaise. Si Aleksei, ou même Leandro aurait été là, ils m'auraient surment tuée avant que je le fasse. Bien sûr, je ne voulais en aucun cas me suicider, loin de là. Puisque, de toute façon, ma dernière tentative avait échouée, avec Leandro qui m'avait retrouvé presque morte dans le bain de mon appartement, les veines ouvertes.

« Au diable. »

D'une seule enjambé, je quitta le sol de la falaise pour me retrouver dans le vide. Je tombais en chute libre puis en une seule seconde, je me retourva engloutie par l'eau et les vagues glacées.

Trou noir. La seule chose dont je me rapellais, c'était d'avoir touché l'eau. Puis le reste, rien. Peut-être que j'étais morte, je n'en avait aucune idée. La dernière fois que je m'étais retrouvée à l'hopital, quelqu'un m'avait sauvé. Mais cette fois, je n'avais peut-être pas eu cette chance. Je ne sentais rien, n'entendais rien.

« Un, deux, trois. » Le médecin appuya le Défibrillateur sur ma poitrine, puis envoya un choc. Il fit ce petit numéro quelques fois, il semblais sans espoir. Il retneta l'expérience. Mais rien. Le médecin augmenta la puissance. Puis dit : « Allez, Lola, ne me fait pas une peur bleue comme à ta dernière visite. » Il y avait une jeune fille dans la salle, puis le reste, était le médecin et son assistant. En fait, la dernière visite n'avait pas été très plaisante non plus. Le médecin avait eu la tâche de me ramenner à la vie, puis enfin, de me mettre sous respirateur, ayant peur l'arrêt d'oxygène. Soudain, je senti un choc parcourant mon corps. Je pu distinguer une voix. Je n'étais pas morte ? Une chose était certaine, Leandro allait me tuer. Il allait être furieux. Je pris finalement une respiration, mais n'ouvrit pas les yeux. La voix familière que j'entendais, était celle de mon médecin. Quelle coincidence! J'entendis ensuite une autre voix, inconnue cette fois. Par contre, j'étais certaine que c'était une femme. Celle-ci avait une voix très douce, mais je ne pu distinguer ses paroles, ni celles du médecin. Je m'endormi dès qu'il me mit le respirateur sous le nez. Je pris concience que j'étais à l'hopital, et quelqu'un de brave m'avait sauvée des vagues de la plage. Mais quelle conne j'avais été ! J'avais mis la vie de quelqu'un puisque je ne pensais qu'à moi. Quelle égoïste... J'avais le don de me mettre dans des situations point plaisantes.

Le bruit des machines me réveilla, puis je tourna la tête légèrement pour ouvrir les yeux. Combien d'heures avais-je dormi ? Le soleil traversait les rideaux de la chambre. Je me retourna de nouveau, puis pris une grande respiration tout en gardant les yeux fermées. Je n'étais pas destinée à mourir alors. Si une pûr inconnu m'avait sauvé, c'était peut-être un signe ? En fait, je n'avais jamais voulu me suicider, mais je n'avais pas réalier à quel point l'eau près des falaises étaient froides. J'ouvri les yeux, puis une infirmière ce précipita dans ma chambre. Je soupira. Elle disait que quelqu'un voulais me voir. Je suppliais les dieux pour que cette personne ne sois pas Leandro. Il allait me faire un de ces serment que j'allais me sentir coupable jusqu'à la fin de mes jours. Je vis une jeune femme entrer dans la chambre. Cheveux noirs, peau bazané, quand même joli. Je me demandais tout de même pourquoi elle venait me rendre visite à moi. « Bonjour ? »dis-je incertaine.

« Vous savez, c'était pas vraiment dans le but de me tuer que j'ai fais ça, je me sens seulement encore plus mal à l'aide que encore une fois, quelqu'un s'est mit dans la merde pour moi même si je ne le mérites surment pas du tout. » Elle avait beau me dire que tout ça n'était rien, - même si c'était faux - je n'allais pas du tout la croire. Je n'étais pas née de la dernière pluie, je savais ce que c'étais s'inquietter pour quelqu'un qui est entre la vie et la mort. Disons que avec moi même, ce n'était pas la même chose. J'avais passée plusieurs nuit dans cet hopital, et malgré les fois que j'étais ici, je n'arrivais pas à croire que une fois de plus je m'étais rendue ici. Je n'étais pas fière de moi, certes, mais je devais l'assumer et m'excuser à cette jeune femme aimable qui m'avait permis d'éviter la mort une fois de plus. J'étais d'ailleurs mal à l'aise qu'elle sois restée ici. « Non, ne vous inquiété pas je ne vous referais plus le coup croyez moi. Je suis désolée que vous aviez à vivre ça, je sais que ce n'est pas trop la joie, mais, vous n'étiez pas oubliger de rester jusqu'à temps que je me réveille. Ce n'était pas du tout la peine.. » Je me leva donc de mon lit, un peu étourdie, puis me dirgiera vers le ptit microphone pour apeller au bureau des réceptionistes. Je n'avais qu'une envie, partir d'ici. Je ne m'y sentais pas du tout à ma place, surtout que tout le monde surveillait mes faits et gestes 24 heures sur 24. Je voulais partir. Même si tout cela était pour retourner chez moi, toute seule, sans personne, encore. Ce n'était pas parce que je voulais qu'elle parte cette Eléna, mais elle ne semblait pas heureuse de me voir. « J'espère que Steven m'a appelée.. » murmurais-je à moi-même espérant que cette jeune femme ne m"entende pas. Le truc, c'est que tout ça était personnel et que ce n'était pas vraiment dans mon intention de lui en parler. « Dites-moi qu'est-ce que vous attendez comme ça?» J'étais très aimable, certes, mais aujourd'hui je n'étais pas très sympathique.