Sujet: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Jeu 24 Nov - 22:31
Zachary James Wellington
Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n'est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent.
BONJOUUUUR les amis. Charlotte, 20 ans, étudiante en droit à ses heures perdues et geek/fêtarde le reste du temps. J'habite à Paris, j'aime écrire plus que n'importe quoi, je suis complètement tarée et mes personnages, une fois que je les ai intégrés, vivent dans ma tête avec moi, ce qui signifie que je n'ai même pas envie de vous dire à combien on vit là-dedans. Mon pseudo usuel c'est Bohemian Rhapsody, comme la chanson de Queen, parce que gosh j'aime Queen. Je sais pas quoi dire d'autre si ce n'est que le forum est magnifique, que je suis son évolution depuis pas mal de temps via Bazzart, que ce scénario est juste du tonnerre et que j'espère que je réussirais à en donner une image fidèle aussi bonne que celle du scéna VOILAA.
Dernière édition par Zachary Wellington le Dim 27 Nov - 14:22, édité 5 fois
Sujet: Re: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Jeu 24 Nov - 22:32
no one can be two different people.
leave your story behind and be the present.
13 AVRIL 1996. « I wish the pain will go away.»
« Je ne voulais vraiment pas en arriver là Emmy, mais tu ne me laisses pas le choix, vraiment. Que dois-je faire ? Tu sais bien que je ne te laisserais jamais fuir avec Zachary. Qu’est-ce que tu feras, toute seule ? T’es même pas foutue de trouver un boulot. T’es pitoyable. Une merde. » Le premier coup part, et comme toujours, aucun son ne sort de sa bouche. Ma mère est digne. Elle se tient droite comme un I, et si les coups la font flancher, elle se replace immédiatement. Les larmes ne dégoulineront ses joues que bien plus tard, quand elle sera seule en train d’étendre la lessive, ou quand elle repassera la chemise de mon père, celle qu’il enfile le dimanche matin pour aller à l’Eglise. Je suis recroquevillé dans la descente de l’escalier, mes yeux fixent le mur en face de moi, et mes oreilles supportent les insultes sans broncher. Je suis paralysé par un sentiment à mi-chemin entre la haine violente et la terreur sanglante. Il frappe, encore, ponctue ses coups d’expressions violentes et dures, comme si la femme qu’il avait aimé jusqu’à aujourd’hui n’était plus qu’un animal sans défense. Je serre les dents, mes muscles se tendent dans l’intégralité de mon corps. Mes yeux se ferment. Je sombre dans la chaleur épaisse des marches en velours et les coups incessants sont presque une berceuse. Je les sens aussi bien que s’il était en train de me frapper, moi. Mon tour viendra, je n’en doute pas, il commence déjà à s’amuser de quelques gifles, à dispenser des insultes qui s’envolent. J’essaye, mon Dieu j’essaye d’y rester insensible. Je veux rester droit comme un I, moi aussi, je veux sortir de cet enfer. Je ne veux plus qu’on me demande pourquoi j’ai un bleu ce matin, pourquoi je pleure ce soir.
« Zach, qu’est-ce que tu fais là ? » Du sang. Un amer gout de sang, et les yeux rougis de ma mère me font revenir sur terre. A genoux dans l’escalier, l’air pitoyable comme le lui a si bien répété mon père, ma mère pose ses mains froides sur mes avant-bras et me secoue doucement. « Monte te coucher, il est tard. » Je secoue la tête, résigné. « Où est Papa ? » L’incompréhension qui traverse ses yeux est compréhensible, elle sait à quoi je viens d’assister. Doit-elle me rassurer, répondre simplement ? Doit-elle faire son sac et fuir, avec la perpétuelle sensation qu’il s’élance à sa poursuite, qu’elle ne fera jamais sa vie sans lui ? Les moments de bonheur ne valent-ils pas les autres, ces moments de rage intense qu’il ne maitrise pas, ces écarts de conduite qui le mènent à la catastrophe, à sortir de lui-même pour devenir un monstre ? Voilà les questions qu’elle se pose quand son regard se plante dans le mien. Alors elle choisit l’option de la facilité. Elle s’irrite à cause de l’emploi du prénom de celui qui m’a recueilli, et m’envoie une gifle dans la figure. « Ton père est sorti rejoindre des collègues. Monte te coucher, maintenant. » Elle prend ma main et monte avec moi, me tire, ne cache même pas les marques rouges qui ornent son visage et ses bras. Rien de tout ça n’a d’importance, elle sait, je sais. Elle ne partira pas. Elle ne me protègera pas. Elle s’en fiche. Elle lui obéit, et moi je dois leur obéir. Alors je vais partir.
20 mars 2006. « This could be heaven for everyone.»
J’erre dans les rues de New-York en songeant que la chance sourit parfois même aux plus malheureux. J’ignore encore de quoi demain sera fait, je sais juste que depuis quelques jours je ne dors plus dehors. Car croyez-moi, si on prend l’habitude de se débrouiller seul dans les rues d’une énorme ville où tout va infiniment trop vite pour vous ; on ne s’habitue jamais au froid glacial des nuits les plus belles, aux ombres sur les murs, aux cris angoissants, aux animaux errants. Mon rythme de sommeil a toujours été calqué sur un mode bien particulier. Analyser les endroits sécurisés, même s’il faut pour ce faire dormir dans une poubelle – en évitant les jours de ramassage – fermer les yeux et ne s’autoriser qu’un sommeil léger, de surface. Trouver les abris pour les sangs papiers, lever le menton, bomber le torse, paraitre 20 ans au lieu de 15. Parfois, s’autoriser à rencontrer d’autres gens qui vous prennent sous leur aile un instant, moyennant le vol d’un paquet de chips et d’une bouteille de vinasse dans un supermarché du coin. Tout ça est terminé, derrière moi. Je prends une douche tous les matins, j’ai presque trouvé un job et j’ai un toit au dessus de la tête. Je ne savais pas, de mon vivant, qu’autant de gentillesse était humainement possible à réunir dans une seule et même personne. Je ne suis pas habitué, ça me fait peur. Je ne serai sans doute pas tout de suite dans la mesure de lui rendre ce qu’elle me donne si volontiers, sans réserve, sans arrêt. Je pénètre les grilles de l’immeuble et monte les marches rapidement. L’appartement est vide. J’aurais pu être le premier des connards, rentrer un jour de semaine, tout voler, tout revendre et disparaitre. Mais je ne peux pas, je ne veux pas. Il y a quelque chose de beau dans le fait d’avoir réussi à rencontrer Abbey, et même si je ne la connais pas, tout semble soudainement moins grave à son contact. Comme si finalement, l’espoir était, effectivement au bout du tunnel.
14 juin 2007. « Sometimes life's just a bitch in the end.»
La lumière n’a pas duré longtemps. Ou peut être que si, justement, elle a sans doute duré trop longtemps. Peut être qu’on a chacun un quota de bonheur qu’on ne peut pas dépasser, et la vie est comme ça. J’ai peur. Le boulot se passe bien et la cohabitation est aisée, mais je sais qu’elle va mal. Est-ce ma faute, ou celle d’un autre ? Je l’ignore, je n’arrive pas à mettre le doigt sur le problème. Pourtant, Dieu sait que je ferai n’importe quoi pour le régler, mais j’en suis incapable. Parce qu’elle ne dit rien. Elle mange et se sauve, elle se laisse aller toute seule à la détresse qui l’abîme. Et moi, incapable de supporter l’appel au secours, je me réfugie entre deux cigarettes et une bière, que j’avale ou fume nerveusement, rapidement. Je suis devenu trop dur à supporter. Mon instinct le plus profond me le crie sans discontinuer, et je sais qu’il a raison. Je sais que la limite est franchie, la ligne de conduite. Me supporter a toujours été difficile, je ne peux décemment pas l’abîmer plus que je ne l’ai déjà fait. Je dois partir, même si la solution qui s’impose me fait atrocement mal. J’ignore quelle est la conduite à adopter. Je sais comme on part, je sais m’éclipser discrètement, sans rien dire, un soir ou un matin, sans laisser de traces ni de notes. Je sais quand c’est terminé, quand la décision doit venir de moi. Je sais quelles seront les conséquences, j’ai économisé à peine de quoi payer quelques mois de loyer ici, à New York. Il faudra partir loin, loin d’elle, loin de l’argent et des spéculations. Il faudra se débrouiller pour ne pas retomber dans l’angoissante fraicheur du soir.
22 AOUT 2007. « Find a new home, no matter what home means.»
« Si tu veux survivre ici, t’as pas le choix mon gars ». C’est un gros baraqué qui me fait face. Je fume négligemment le joint qu’il vient de me tendre et écoute ses paroles, qui se veulent compatissantes, qu’il disperse comme un message autour de moi. « Faut que tu nous rejoignes. T’as pas l’air d’un incapable, et tu verras. C’est la belle vie. » Je grimace légèrement en crachant la fumée dans une volute grise épaisse. « Je ne crois pas… » Pourtant, la solution est là, simple. Ce type semble apte à tuer le premier qu’il croisera sur sa route, ce qui globalement équivaut à une sécurité relativement efficace. Avoir un groupe se rapproche sans doute de la plus basique idée qu’on se fait d’une famille ? Le terme gang me fait tiquer, mais ce mec à l’air d’être un pro. « Tu sais quoi petit ? Viens donc avec moi. Ce soir, c’est mon cousin qui reçoit ; tu testes, satisfait ou éjecté. C’est pas honnête, ça ? » Je soupire légèrement, puis finis par hocher la tête. La bataille est perdu d’avance. Nous nous enfonçons dans une petite allée sombre et crasseuse, qui sent le moisi et le clochard à pleine puissance. Le gros baraqué ouvre une minuscule porte et je doute sérieusement de sa capacité à y entrer, il m’étonne cependant en le faisant de la manière la plus naturelle qu’il soit. Il me mène au bout d’un couloir, jusqu’à une pièce encore plus sombre que tout le reste, digne des plus gros polars américains. La fumée des gros cigares emplie la pièce et des filles encouragent lascivement un groupe de gros bras attablés à une table de poker. « Regardez ce que j’ai trouvé dehors ». Bien sûr. Un mec à lunettes m’indique une chaise, place vide devant laquelle est posée une pile de jetons rouges, noirs et jaunes. Evidemment, je dois jouer. Je n’ai pas d’argent à parier, je sais donc déjà ce qu’il va m’être demandé de faire.
La partie s’éternise. Une blondasse décolorée au teint de morte m’apporte une plaque en verre sur laquelle est roulée un billet de 100$. Une carte bleue, de la poudre blanche. Je soupire, crispé, dire non me semble impossible. Je place la ligne, inspire, oublie tout. Le visage triste d’Abbey, toute seule dans son grand appartement, les traits sévères de celle qui n’était pas ma mère, le gros bras qui me sourit, encourageant, j’oublie tout, et plus encore. J’avale des verres sans m’en rendre compte, la blondasse revient, je perds, je gagne, reperds, finis par déclarer que l’endroit est ma nouvelle maison.
22 DECEMBRE 2010. « Leaving is the thing you do the best.»
« C’est Clyde, il est derrière ! » Clyde est le plus jeune du gang. Capuche sur la tête, cernes jusqu’en bas des joues, je me sens tellement fatigué que je mets au moins dix secondes à réaliser ce que ça veut dire. Clyde est le petit frère de Todd, le chef de gang, si on peut appeler ça comme ça. Clyde est en train de courir aussi vite qu’il le peut malgré ses cent douze kilos, et distance d’à peine quelques mètres deux types qui lui hurlent dessus en riant. Je jette un regard hasardeux vers un des autres gars qui s’est arrêté de courir. Nous allons faire marche arrière.
Recommence alors la valse infernale de la vive haine que je ressens pour moi-même. Les coups partent, au hasard, ravivant des souvenirs entachés par la haute teneur en drogue de mon flux sanguin. Je ne sais pas qui je frappe, je ne sais même pas pourquoi. La haine est juste présente, déchaine mes muscles, me tend, m’habite d’une rage sans précédent aucun. Toujours dans un coin de mon cerveau, l’image d’Abbey sonne comme une réprimande éternelle à mon état passif violent et tumultueux. Nous sauvons Clyde à coups de poings et de hurlements, d’insultes, de menaces, de cheveux arrachés et de joues défoncées. C’est trop. La drogue, l’alcool à outrance, frapper. C’est trop. Mes muscles lâchent, je suis à bout de force. L’argent est facile ici mais la vie compense par son enfer permanent. Alors je lâche prise, et une fois de plus, je vais fuir. Quitter définitivement les grandes villes sombres en faisant du stop dans la voiture d’un type qui semble lui aussi, un peu paumé. Il me mène jusqu’à son point d’encrage, Arrowsic, Maine. Et là, tout change.
FEVRIER 2011. « Impossible is nothing..»
Je commence par louer une chambre dans un hôtel un peu miteux mais pas cher, avec les économies que j’ai. Les premiers jours de ma présence ici sont marqués par un enfermement total. Je fume des cigarettes par vingtaines pour oublier le manque des autres substances nocives que mon corps réclame. Je suis passé par pire, le sevrage est difficile mais je m’en sors plus ou moins tout seul. L’alcool aussi, compense quelque peu. J’achète la bouffe dans un vieux distributeur juste devant la porte de ma chambre, et je ne sors pas. Les volets sont fermés, les fenêtres aussi, la porte est verrouillée. Même la femme de ménage ne passe pas. Je stoppe toutes mes activités, je m’enferme dans la réflexion et la lutte contre moi-même.
Puis mon rythme se réadapte, mon corps fait mal mais réclame moins. Même la douleur s’estompe peu à peu, particulièrement quand je m’autorise un verre de whisky. Je respire normalement, les lignes blanches promises par mon appartenance au gang n’occupent plus mon esprit à longueur de journée. L’ensemble devient plus aisé, moins technique. Je crois que je peux faire semblant, je suis capable de sortir. Je veux me rétablir, j’ai peur qu’il soit trop tard. Certaines situations se trouvent réellement handicapantes, particulièrement les violents pulsions qui me tordent les muscles à longueur de journée, et qui me donnent envie de résoudre toutes les situations difficiles par un simple et efficace coup de poing. Je dois me retenir cependant, fait de mon mieux pour ne frapper que les meubles, reste cloîtré les jours de profonde détresse.
Et puis un jour, au hasard de la vie qui fait si bien les choses, je la croise. Comme ça, dans un supermarché sans intérêt, une journée pas spécialement bonne ni même spécialement mauvaise. Elle est là, fragile et magnifique comme elle l’a toujours été, la générosité marquée au coin des yeux, les traits fins et souples. Et elle me coupe le souffle, fait tourbillonner les pulsions dans mon ventre. Je sais, je veux, je ne peux pas. L’entrevue est courte, il faudra que je remette ça rapidement si je veux pouvoir m’accrocher à l’espoir qu’elle m’insuffle. Et pourtant, je ne suis même pas sûr qu’elle puisse sauver ce qu’il reste de moi.
SEPTEMBRE 2011. « I hate myself for loving you..»
Je me cache. Assis sur le gros fauteuil que je viens de déplacer à proximité de la fenêtre, je fume une énième cigarette en tentant de maitriser la colère et la rage qui me tend les muscles. C’est un cercle vicieux infernal dont je ne peux parvenir à me sortir. Plus je frappe, plus la colère est immaitrisable, plus j’ai envie de cogner encore, toujours plus fort. Mais je ne peux pas, je ne dois pas. Je souffre terriblement, son visage effrayé figé dans ma mémoire. Pourtant elle reste, comme celle qui m’avait adopté à l’époque, comme les autres. Elle reste et elle s’accroche à ce qu’elle pense être bon en moi, alors même que je suis persuadé ne plus rien avoir à sauver. J’essaye de contrôler ces attaques incessantes de mon indomptable cerveau, pourtant je n’y parviens que rarement. J’ignore où se situe la frontière entre le bien et le mal, je ne sais même plus ce que je suis censé faire ou non. Me maitriser devient au mieux impossible, au pire, inenvisageable. Je ne sais pas sur quelle voie je marche ni sur quel chemin je m’engage, j’ai l’impression que là où aurait de toute évidence dû se trouver du mieux ne s’enchaine que le pire et le catastrophique. Je serre le poing de ma main libre et inspire une nouvelle taffe sans faire de commentaire, dans la grande pièce désormais vide ou ma vide continue de partir en morceaux. Les gens naissent, vivent et meurent avec la poisse, alors ? Je soupire, pose ma tête contre mes genoux repliés sur mon torse. La fin, jamais. La souffrance ne s’apaisera-t-elle qu’une fois la vie terminée ?
Dernière édition par Zachary Wellington le Dim 27 Nov - 14:21, édité 6 fois
Sujet: Re: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Jeu 24 Nov - 23:48
GAAAAAAAAAAAAAAAH LE TITRE. Il est juste parfait. Bon alors, j'ai le droit de faire ma folle excitée ici aussi ? Bon on dira que ça décorera ta fiche de jolis smileys, comme ça.
Je te remercie encore mille fois d'avoir choisi mon scénario, il est vraiment super important à mes yeux, alors MERCI BEAUCOUP. Ensuite j'ai tellement hâte de lire ta fiche, et voir ce que tu vas faire de mon beau Zachary. Sinon, je te promets plein de rp haut en couleurs (tristes ou pas), beaucoup de bagarres avec notre ami Raphaël ici présent ( ), plein de disputes et de bagarres mais surtout BEAUCOUP BEAUCOUP d'amour. Ça je sais faire. Tu ne seras pas déçu, tu verras.
J'espère qu'on t'a pas fait peur en tout cas. Mais comme tu m'as dit que t'étais folle, ça devrait pas trop de déranger, n'est-ce pas ? Anyway, je te souhaite un ÉNORME bienvenue parmi nous, et je te souhaite bien du courage pour faire ta fiche que j'attends déjà avec impatience.
Sujet: Re: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Ven 25 Nov - 6:15
... *se retient de gerber ses tripes de si bon matin* Ahem, bienvenue. J'espère que tu resteras ici pour toujouuuuuuurs. Tu sais, histoire qu'on ait la paix ? Bon courage pour la fiche.
Sujet: Re: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Ven 25 Nov - 9:56
ZACHAROUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU tu es attendu comme le Messie, bienvenue et bonne chance pour ta fiche, je croise les doigts pour que tu sois le bon parce que le zacou on le veut
Sujet: Re: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Ven 25 Nov - 22:18
Merci à tous pour ce superbe accueil
Abbey ~ Ça c'est de la déclaration Vous ne m'avez pas fait peur, bien au contraire, j'adore ce genre d'accueil et les possibilités qu'offre ce scénario me laissent complètement gaga :abbey: J'ai hâte de rp moi aussi, ma fiche sera terminée d'ici demain soir Merci, merci merci merci la plus belle .
Sujet: Re: ZACH ♦ I destroy all the things I trully love. Dim 27 Nov - 12:48
Merci beaucoup tout le monde . Je suis ravie que ça te plaise jusqu'ici, j'ai complété un peu - je suis en retard . Quelques moments clés encore et ça sera bon
EDIT : J'ai terminé, voilà . Je suis prête à faire toutes les modifications nécessaires si besoin est, et je suis prête ensuite à me faire taper dessus par les 3/4 d'entre vous parce que je suis un sale gosse