Toutes les histoires commencent par "il était une fois", mais pas celle-ci, non, elle-ci trouve son commencement un lundi 18 juin 1992 à Athènes. Toute la journée durant, le soleil avait agréablement frapper la grande ville de Grèce, décrochant un sourire aux habitants. Les choses étaient toute fois bien différente pour Célia Karades. Ce jour là n'allait pas tardé à devenir le deuxième jour le plus heureux de sa vie, mais aussi l'un des plus douloureux. Dans la vaste demeure des Karades - où avait été dépêcher en urgence un médecin - le travail avait déjà commençait pour la futur maman. 7 heures de travail, avant que ne résonne enfin le doux cris de, non pas un, mais deux nourrissons. Deux petites filles au sourire d'ange. Bien qu'épuisée, Célia demanda à pouvoir les tenir. Niché dans le creux de ses bras, elles lui parurent si petites, si précieuse. Après la naissance de Kyrian, son premier enfant, Célia avait rêvé d'avoir une fille, elle était servis. Le début d'une nouvelle vie pour la dynastie Karades. La famille venait de s'agrandir...encore.

Ont dit que les princesses vivent dans de beaux château, protégé par de brave chevalier, élevés par des parents aimants, dans un cadre ou seul existe les sourires, les rires, la joie. Il faut croire que les choses ne se sont pas tout a fait dérouler comme ça pour Elissa. Son château c'est bien vite transformé en cage en or, les braves chevaliers en garde du corps un peu trop collant, quand aux parents aimant, elle n'aura jamais eu l'occasion d'en connaitre le goût : sa mère décéda alors qu'elle n'avait pas même 3 ans, quant à son père, trop occupé à travailler ne lui accorda jamais plus d'importance que nécessaire. Elle avait pourtant toujours de bonnes notes, son comportement, contrairement à celui d'Elyn sa jumelle, était irréprochable, malgré ça elle n’obtint jamais un mot gentil, pas un baiser, aucun doux geste qui lui aurait prouver que son père l'aime. Rien. Bien sur, Elissa n'avait rien pour se plaindre, une nourrisse douce, aussi douce et aimante qu'une mère - du moins s'en était-elle convaincu puisqu'elle n'en connaissait de toute manière pas le goût. Kyrian, en plus d'être son grand frère était son confident, son meilleur ami. Sa maison, qu'on pouvait aisément appeler château était assez vaste pour y jouer a cache cache, et elle y jouissait d'un confort sans limite. Mais une fillette n'a t-elle pas droit à un peu de chaleur !? Pour fuir ce monde sans amour, la petite fille se réfugia dans un monde qui n'appartenait qu'a elle, un monde où sa maman la prenait dans ses bras, un monde où son père faisait attention à elle ....



La vie n'est pas toujours couronnée de joie, elle à son cota de malheur, de larmes, d'erreurs. Elissa Karades venait tout juste de s'en rendre compte. Posant une main sur son buste, elle réussit à capter les battements effrénés de cet l’organe musculaire, creux et pourtant si emplit d’incertitude. Tandis que dans son cœur, un torrent de sentiments divers et contradictoires lutes tour à tour pour parvenir à un accord équitable, à l’extérieur, une pluie battante fouettée le sol et les vitres de la vaste demeure avec force. Comme autant de doigts impatients. Dans quelques jours, elle n'aurait d'autre choix que d'épouser le jeune homme choisi par son père. Elle n'avait pourtant que 17 ans. N'était-ce pas trop jeune pour lier sa vie à celle d'une autre personne !? N'était-ce pas archaïque comme procéder ? Il avait suffit d'une promesse de son père à l'un de ses plus vieil amis pour que le destin de Lissa soit scellé. Elle aurait dû en vouloir à son père, bien sûr, et pourtant.... Tout ce temps durant il avait veillé sur elle, surmontant le chagrin causé par la mort de Célia, veillant sur Kyrian et Elyn. Mais il lui arrivait souvent de prendre de mauvaises décisions, surtout la concernant elle. Dans un geste instinctif, elle serra son poing et frappa rageusement la paroi froide de la fenêtre. Une rougeur douloureuse se forma lentement sur les jointures, quelque seconde auparavant blanche, de sa main droite. Ravalant un hoquet de douleur, elle pivota sur ses talons et s'adossa au mur. Au même instant, un éclair zébra furieusement l’horizon, puis enfin, une larme solitaire coula le long du visage morne de Lissa. Face a elle : un lit, des étagères chargées de livres et produit, une coiffeuse dans un coin, un miroir dans un autre. C'était dans cette pièce - sa chambre - qu'elle s'était toujours sentie le mieux, comme protéger. Son regard se posa tout à coup sur la porte de son dressing. Elle cessa alors de penser....

Comment est-elle arrivé ici ? c'est simple, une petite ville, sympathique où elle peux se cacher, et poursuivre ses études, out en craignant l'ombre de son père planant au dessus de sa tête.....

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Je m'appelle Carole, j'ai déjà 21 ans, je suis étudiante : je fais une licence de chinois a Lyon - oui parce que j'habite par là-bas. je fais mes étude en chine depuis septembre 2011. Je ne sais pas trop quoi dire, alors si vous avez des questions, poser les mois.
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