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 Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.

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Fernando Gautier-Perez
Fernando Gautier-Perez
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MessageSujet: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyLun 9 Avr - 18:58

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I CAN'T FORGET YOUR KISSES

C'est drôle, c'est étrange, après ce week-end, cette nuit chez Kai, j'ai repris le cours de mon existence mais je sens en moi quelque chose de différent. Je pense à elle, souvent. Un peu trop souvent à mon goût. J'ai rêvé d'elle, plusieurs fois. Ça a été très intense les trois jours qui ont suivi notre aventure. C'est peut-être parce que ça faisait longtemps que je n'avais rien connu d'aussi intense ou alors peut-être parce que l'alcool avait déformé mes souvenirs, qu'il avait rendu la chose bien meilleure dans ma tête qu'elle ne l'avait été. Je sais pas, mais en tout cas, cette obsession a fini par retomber. J'ai arrêté d'y penser et ça ne m'est plus revenu en tête.

Ce soir, je suis particulièrement déprimé, comme tous ces derniers jours. Je n'arrive pas à comprendre d'où ça vient et pourquoi je broie autant du noir. Bref, j'ai bien besoin d'un verre. Même deux, même trois. Après le travail c'est direction le seul bar de la ville. J'ai besoin de me rafraîchir, de laisser l'alcool me rendre de bonne humeur. Alors que je marche, je le sens déjà couler dans mes veines, ça me fait déjà un peu sourrir. Je me rends compte que je pourrais avoir l'air d'un alcoolo à penser comme ça. Mais non, c'est justement plutôt rare que je déprime, surtout lorsque je ne sais pas ce qu'en est la cause. Pourtant, la réponse est simple, mais je suis dans le déni.

J'arrive, je passe la porte du Jack's Lounge et je fonce directement au bar. Je m'y accoude et je ne perds pas une seconde pour passer ma commande. « Un whisky s'il vous plaît » Je n'aime pas tant que ça l'alcool fort, ni même l'alcool tout court. C'est juste que parfois, ça réchauffe et parfois, ça fait du bien. Inutile de me demander des exemples, ma nuit avec Kai le démontre amplement. « Tu partages pas avec ta copine cette fois ? » demande la barman en me tendant mon verre et en montrant le tabouret à côté de moi. Je me tourne, elle se tourne. Nos yeux se croisent. C'est Kai. Kai est là, à côté de moi et je ne l'ai même pas vu. Le barman s'éloigne vers d'autres clients nous laissant seul avec notre silence. Un petit sourire s'affiche sur mon visage. Je me penche pour lui faire la bise, mais mon tabouret n'est pas très stable et je bascule doucement vers l'avant. Par réflexe, ma main atterrit sur sa cuisse et grâce à cela, j'arrive à ne pas lui tomber dessus. J'ai un petit rire. « Salut ! Comment tu vas depuis l'autre jour ? » Je ne m'attendais pas vraiment à la revoir ici, mais au fond, je suis débile. C'est la qu'on s'est rencontré, ça doit être son terrain de chasse. Pas si étonnant finalement. Avec la réalité qui me revient en pleine face, je retire ma main brusquement. Je garde néanmoins un sourire de circonstance. Peu importe ce qui s'est passé, il n'empêche que j'ai quand même envie de la connaitre. Ce n'est pas parce que l'on ne sera pas ensemble que l'on ne peut pas être ami.


Dernière édition par Fernando Gautier-Perez le Mar 17 Avr - 20:39, édité 1 fois
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Kai Eowyn Bonistaw
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyMer 11 Avr - 21:27


« Athazagoraphobie; La peur d'être oublier, ignorer ou remplacer. »

La belle rouquine les écoutait parler de leur bonheur à voix haute, elle voulait que tout soit parfait, parce que tu comprends Kai, ça doit être le plus jour de notre vie. Elle n’en pouvait plus d’entendre ça, pourtant, elle était habituée, cette phrase l’avait toujours fait sourire mais, là, elle avait envie de leur crier dessus de leur dire qu’ils la faisaient vomir de jalousie parce qu’elle n’avait pas cette chance, parce qu’elle foirait toujours tout. Du moins, c’était l’impression que lui avait laissé le départ de Fernando, elle avait l’impression d’avoir tout foiré entre eux avant même que quelque chose ait pu réellement commencé, elle s’en voulait de s’être fait de faux espoirs de penser encore à lui aujourd’hui, elle s’en voulait de ne pas sourire et de ne pas continuer à vivre comme avant, se fichant bien de trouver le prince charmant, elle s’en voulait de vouloir à tout prix revoir le beau brun. Oui, aujourd’hui, les couples lui donnaient la nausée mais, ça allait passer, elle allait reprendre du poil de la bête, se souvenir qu’elle aurait dû rester dans le coma ou même mourir, elle allait se souvenir que sa vie était belle et tout irait mieux, elle avait simplement besoin d’un petit passage à vide, rien de plus. Elle posa son regard sur ses clients avec un magnifique sourire qui ne traduisait pas du tout ses pensées et elle faisait ses propositions tout en enregistrant les demandes et remarques de futurs mariés. Finalement, après une bonne heure à donner diverses instructions, ils étaient partis, main dans les mains en remerciant Kai entre deux baisers, confiant sur l’organisation du mariage.

La journée était enfin terminée, elle allait prendre quelques magasines sous le bras et construire son projet autour d’un verre dans le bar du coin, elle rentrerait quand tout le monde serait couché. Elle n’avait pas envie de croiser ses parents, d’entendre leurs remarques, de parler de Sander ou encore pire, de son célibat, elle n’avait pas envie qu’on lui prenne la tête ce soir. Alors, elle embarqua tout ce dont elle avait besoin, appela son chien et prit la direction du bar avec la ferme intention de ne pas boire une goutte d’alcool, les belles illusions, une fois pas deux.

La rouquine salua le barman tout en allant s’installer au comptoir, Turbo –où le seul mec dans sa vie- la suivi et se coucha sans un bruit, il avait appris à être calme quand Kai l’était aussi, son humeur variait en fonction de celle de sa maitresse. « Qu’est-ce que je te sers miss ? » Tout en sortant ses affaires pour travailler – comme elle l’avait prévu- elle fit un petit sourire à l’homme en face d’elle avant d’ajouter « Un jus de fruit s’il te plaît. ». Non, pas d’alcool, elle se l’était jurée, elle s’y tenait et puis ce n’était comme si elle buvait beaucoup ou souvent, elle n’était pas vraiment fan de l’alcool et à chaque fois qu’elle était ivre les choses tournaient mal.

Ça faisait bien une bonne demi-heure que Kai était là quand elle leva le nez de ses magasines de mariages ainsi que de ses notes. Elle avait cru entendre le barman dire à un client « Tu partages pas avec ta copine cette fois ? », elle avait tourné la tête pour s’assurer qu’on ne parlait pas d’elle et elle avait croisé son regard. Celui de Fernando, le garçon qu’elle n’espérait plus voir et qui soudainement apparaissait alors qu’elle déprimait. La demoiselle lui fit alors un joli sourire, elle n’était pas du genre à montrer qu’elle n’était pas au mieux de sa forme et encore à avouer qu’un homme puisse lui manquer, surtout pas si ce dernier était devant elle.
Soit, le jeune homme se pencha pour lui faire la bise avant de se rattraper de justesse sur la cuisse de la jeune femme, provocant son rire, étrangement, il avait l’air beaucoup moins froid que la dernière fois, et elle était heureuse de le revoir, si bien que sa déprime –ou plutôt son manque- s’envolait. « Salut ! Comment tu vas depuis l'autre jour ? » Elle allait répondre mais, le jeune homme retira brusquement sa main, gardant un sourire qui n’allait pas avec ses gestes. C’était comme si soudainement, il redevenait froid, comme si elle s’était fait une fausse joie – c’était certainement le cas- pourtant, elle n’avait rien fait de particulier, cette fois elle pouvait en être certaine. Elle regarda le bar un instant… des magazines de mariage ! Non, il n’avait tout de même pas cru que c’était elle qui allait se marier ? Non, elle refusait de le croire, c’était trop stupide, il avait certainement réalisé qu’il avait fait une erreur en l’abordant, voilà tout. « Je vais bien, et toi alors ? » Elle n’avait pas l’intention de s’étaler et de lui dire tiens au fait j’ai énormément pensé à toi et aujourd’hui je commençais à croire que je ne te reverrais jamais, non ce n’était pas Kai ça. Elle lui fit un petit sourire tout en fermant les magazines, elle n’allait pas continuer à travailler en sa présence… enfin, s’il avait l’intention de rester.

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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyMer 11 Avr - 23:13

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Kai, toujours aussi belle. Toujours la même, toujours ces petits yeux pétillants que j’aime tant, toujours ce sourire charmant. Je me souviens l’avoir appelé Ariel pendant notre nuit alcoolisé. C’est vrai, on dirait une sirène : envoutante et magnifique. Je détaille chaque recoin de son visage, elle semble plutôt crispée, mais cela n’enlève rien à sa beauté. Sinon, je remarque qu’elle a pris un jus de fruit. Ce qui me fait penser que je me suis peut-être trompée sur elle. Depuis quand on va draguer dans un bar avec un jus de fruit ? Je suis sceptique. Mais en même temps, je vais pas lui dire : Bon, Kai, pourquoi tu es dans ce bar ? C’est pour choper ou pour noyer ton chagrin, comme moi, mais dans un jus d’orange ? J’ai envie de me rire au nez. Je suis pathétique parfois, vraiment.
« Je vais bien, et toi alors ? »

C’est la que se pose la question : mentir ou pas mentir ? Bon allez, je mens tellement que je peux bien dire la vérité pour une fois, du moins une partie de la vérité. « À vrai dire pas terrible, je suis un peu déprimé ces jours-ci mais je ne sais pas trop pourquoi. Y a des jours sans parfois, tu dois connaître ça ! » Finalement j’ai dit toute la vérité. Ca semble assez naturel avec elle, mais pas assez pour que je lui dise tout ce que j’ai ressenti pour elle l’autre soir ou encore tout ce que je sens en moi quand je suis près d’elle.
Je me demande quand même bien ce qu’elle peut faire là, toute seule. Peut-être qu’elle attend quelqu’un ? Je regarde autour d’elle, personne. Juste un tas de magazine de mariage posé avec son sac. De mariage ? « C’est quoi tout ça ? Ne me dis pas que tu vas te marier ? » Dis-je avec un sourire bien plus détendu tout à coup. Quelque chose me dit qu’elle n’est pas la future mariée. Pourquoi ce jugement attif ? Déjà, je n’ai pas envie d’y croire. Et en plus, je vois mal une jeune fille qui habite encore chez ses parents se marier. Elle doit surement être la demoiselle d’horreur ou un truc du genre.

Non, en effet, je ne dirais pas que je suis un fan de mariage. Pour le moment, j’ai eu du mal à croire en l’amour éternel. Je trouve que les gens se marient bien vite et bien bêtement. Je ne suis pas totalement contre, non. C’est juste que je trouve qu’il faut avoir atteint un certain niveau de relation pour se marier. Mes parents, par exemple, n’avaient pas atteint ce niveau. Ils se sont mariés à l’âge de 21 ans, c'est-à-dire mon âge, après seulement six mois de relation. Même si ma mère prétendait le contraire, j’ai toujours eu l’impression qu’elle restait avec lui à cause de moi. Je n’ai jamais vu de petite flamme dans ses yeux lorsqu’elle regardait mon père, aucun frétillement pendant leur baiser. Pas comme moi et… Non, mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je n’ai pas le droit de penser à des choses pareilles. Comme pour faire taire mes pensées, j’avale une goutte d’alcool et j’écoute ce que Kai a à me dire. Je lui souris, je suis naturel. Enfin, j’essaye.


Dernière édition par Fernando Gautier-Perez le Mar 17 Avr - 20:40, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptySam 14 Avr - 23:16


« Athazagoraphobie; La peur d'être oublier, ignorer ou remplacer. »

La belle rouquine ne pouvait s’empêcher d’admirer son Fernando, son dieu comme elle l’avait appelé –ou pensé elle ne se souvenait plus très bien- elle essayait de ne pas penser à leur nuit d’amour mais c’était peine perdue. Rien que le fait de le regarder dans les yeux la replonger dans cette douce légèreté, dans cette nuit un peu trop folle ou elle avait cru qu’elle avait le droit de connaître l’amour. Elle rêvait de redevenir sa sirène et de retrouver avec lui ce bien être qu’elle n’avait jamais connu et qui lui manquait atrocement depuis le départ du jeune homme. Enfin, elle l’écouta parler tentant de ne pas être distraite par cette envie de simplement effleurer sa peau, d’avoir un contact avec lui. « À vrai dire pas terrible, je suis un peu déprimé ces jours-ci mais je ne sais pas trop pourquoi. Y a des jours sans parfois, tu dois connaître ça ! »Elle s’en voulait d’avoir menti, de ne pas avoir pu admettre qu’elle déprimait un peu aussi mais, en même temps, pour lui, c’était plus simple, il ne savait pas pourquoi, elle, elle savait que c’était tout simplement un état de manque, le manque de Fernando. Oui, elle se trouvait incroyablement ridicule et niaise ce soir mais, elle ne savait pas comment lutter contre ça. « Je connais ça en effet, ça m’arrive quelque fois, mais, ça fini toujours pas passé. » Et pour cause, on se fait à tout, même à l’ignorance, même au manque, même à l’oubli, on se fait à tout, même à l’absence.

Le jeune homme posa son regard sur les magazines de mariage alors, il ne les avait pas vus encore ? C’était déjà pas mal, il n’avait pas cru qu’elle allait se marier alors qu’elle avait couché avec lui peu de temps avant. « C’est quoi tout ça ? Ne me dis pas que tu vas te marier ? » Il fit un beau sourire, un sourire de celui qui ne croyait pas cela possible et il avait bien raison, Kai n’allait pas se marier et elle ne pensait pas l’être un jour, alors, elle ria légèrement rien qu’à l’idée de porter à son tour la robe blanche. « Pour ça il faudrait déjà trouver un homme qui veuille bien de moi mais, non, je suis celle qui permet à la mariée d’avoir un visage serein et d’être féliciter par tout le monde pour le fantastique travail accompli. Bref, je suis l’organisatrice quoi. » Elle avait dit ça avec humour tout le long et non pas avec amertume, elle aimait son travail et elle se fichait bien d’être constamment dans l’ombre. Concernant l’homme idéal, elle ne l’avait pas dit avec amertume non plus, simplement en pensant Fernando qu’elle avait vu le temps d’une nuit comme l’homme qui pourrait la combler dans sa vie mais, une nouvelle ce n’était que douce illusion.

Kai bu un peu de jus de fruit avant de reposer un regard -malgré elle, un peu trop tendre- sur son bel amant –qui n’en était plus tout à fait un, malheureusement-. « Et donc, t’essaye de noyer ta déprime dans un verre d’alcool ? » Son sourire était sincère et compréhensif, il n’avait rien de mesquin ou d’accusateur, elle comprenait point, elle voulait simplement l’écouter parler et peut-être l’aider, parce que malgré tout, elle gardait en tête l’idée d’être proche de lui, d’être une amie, -à défaut d'être plus-.


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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyDim 15 Avr - 21:10

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Un coup de mou ? Un gros dans ce cas. Je sens comme un vide à l’intérieur de moi, une profonde solitude, un besoin de compagnie. C’est aussi pour ça que je suis allé dans un bar ce soir et pas juste chez moi, devant les experts Miami, une cannette de bière à la main. Même si je devais me retrouver à taper la discut’ au barman, il fallait que je sorte. « Je connais ça en effet, ça m’arrive quelque fois, mais, ça fini toujours pas passé. » Moi aussi, en général, ça finit toujours par passé. Ca ne dure même pas plus d’une journée d’ailleurs, la plupart du temps. Là, quelque chose me dit que c’est différent.

Je dois avouer que quand j’ai vu les magazines, j’ai quand même flipper un peu. Même pas parce que j’aurais couché avec une femme prise, fiancée, mais plutôt parce que ça voudrait dire que Kai est inaccessible, complètement inaccessible. Parce que néanmoins, je garde espoir qu’il se passe à nouveau quelque chose entre elle et moi.
«Pour ça il faudrait déjà trouver un homme qui veuille bien de moi mais, non, je suis celle qui permet à la mariée d’avoir un visage serein et d’être féliciter par tout le monde pour le fantastique travail accompli. Bref, je suis l’organisatrice quoi. »

Je veux de toi Kai. J’aurai voulu le dire à voix haute, j’ai failli d’ailleurs, mais aucun son n’est sorti quand j’ai ouvert la bouche. Je n’irais pas jusqu’à dire que je me vois marié à cette fille - je ne me suis même jamais imaginé marié avec des enfants – mais je dois avouer que j’aimerais tellement qu’elle m’appartienne. Je voudrai être les bras dans lesquels elle se niche, être la bouche sur laquelle ses lèvres se promènent, être le corps avec lequel elle joue, être l’homme qui baigne dans son cœur. « Je dois t’avouer que je ne savais même pas que ça existait comme métier. Je suis trop inculte en mariage pour ça. Moi je bosse à l’hôpital, comme interne. »

Je regarde Kai avec tendresse. Je souris. C’est sincère. Et ça semble réciproque en plus. Je profite qu’elle sirote un peu de son jus de fruit pour avaler une goutte de whisky. C’est fort, je grimace. Je pousse mon verre sur le côté, je n’en veux plus. Mes yeux se replongent dans ceux de Kai et je sens mon cœur battre la chamade. Ca ne me plait pas trop.
« Et donc, t’essaye de noyer ta déprime dans un verre d’alcool ? »

Elle me sourit, tendrement, amicalement ou amoureusement, je ne saurai le dire. Je lui rends son sourire sans me forcer, c’est naturel. Je ne me sens pas juger, pas le moins du monde. « C’est pas la solution n’est-ce pas ? Je n’aime même pas tellement ça en plus… Mais tu sais, naivement j’ai pensé que, comme l’autre jour ça m’avait aidé… Je… » L’autre jour, référence à ma nuit avec Kai, référence à quelque chose que j’aimerais revivre, encore et encore. Mais pas avec n’importe qui, avec elle. Comment le lui dire ? Elle a tourné la page, je ne peux pas. Il va me falloir accepter que c’était comme ça, juste comme ça.
« J’aurai du faire comme toi et me contenter d’un jus de fruit, ça aurait été plus intelligent ! » dis-je en montrant du doigt son verre. Mais au moment où je bouge ma main, elle lève la sienne et nos mains se frôlent. On s’arrête. Le contact dure encore plus longtemps du coup. Je frissonne. Je relâche ma main et je baisse les yeux. Mes joues se teintent de rose.

Spoiler:


Dernière édition par Fernando Gautier-Perez le Mar 17 Avr - 20:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyMar 17 Avr - 1:10


« Athazagoraphobie; La peur d'être oublier, ignorer ou remplacer. »

Plus elle regardait le beau brun plus elle se disait qu’elle serait bien, blottie dans ses bras, bercée par sa tendresse, elle se mettait à rêver d’une histoire, pas d’un mariage, pas d’une histoire de film, rien de plus qu’une histoire avec lui, une histoire d’amour. Cependant, il fallait qu’elle oublie, elle se faisait des films, Fernando ne voyait probablement rien d’autre que les restes d’une jeune femme avec qui il avait partagé une nuit d’amour. Non non, elle refusait d’y croire, il était tellement plus pour elle, le rôle de simple aventure ne lui convenait pas, elle gardait l’espoir d’être plus même si elle savait qu’elle ne devrait pas, elle ne devrait pas espérer poser ses lèvres sur les siennes encore une fois. « Je dois t’avouer que je ne savais même pas que ça existait comme métier. Je suis trop inculte en mariage pour ça. Moi je bosse à l’hôpital, comme interne. »La belle fit un petit sourire amusé, elle ne pouvait pas lui reprocher, la plupart des hommes ne connaissaient pas ce métier et de toute façon il était fait pour rester dans l’ombre, pour que le jour du mariage personne ne pense que tout avait été organisé par quelqu’un d’autre que le couple phare.« Beaucoup de garçons ignore l’existence de ce métier, ne t’inquiète pas. » la rouquine ria légèrement avant de reprendre la parole en plongeant ses belles prunelles dans celle de son prince. « En revanche, je ne pourrais pas travailler dans un hôpital, j’y ai perdu bien trop de temps. » Un sourire naquit sur ses lèvres, parce qu’en repensant au coma, elle ne pensait pas à tout le mal que ça avait causé mais plutôt à sa chance d’être en vie. Alors, ça ne la gênait pas d’en parler, de toute façon, on ne pouvait pas refaire l’histoire.

Quoiqu’il en soit, le jeune homme semblait plus détendu, plus heureux, c’était comme s’il l’observait avec une tendresse, quelque chose de plus amoureux, c’était comme si ce que la belle rouquine était réciproque. Évidemment, ce n’était probablement rien d’autre que des illusions mais, elle n’arrivait pas à se l’empreignait dans sa petite tête, et dans son cœur non plus, il loup a en battement quand il reposa son regard sur elle après avoir repoussé son verre de Whisky.

Sa petite Ariel se mit à lui parler de l’alcool dans lequel le pauvre Fernando noyait ses soucis, elle ne voulait pas le juger, lui faire la morale, simplement être là pour lui et il ne s’était pas vexé, il lui avait rendu un sourire et même si la belle ne savait pas trop comment l’interpréter, il lui réchauffait le cœur, ce sourire. . « C’est pas la solution n’est-ce pas ? Je n’aime même pas tellement ça en plus… Mais tu sais, naivement j’ai pensé que, comme l’autre jour ça m’avait aidé… Je… » L’autre jour, leur nuit d’amour, la nuit qui avait marqué Kai comme jamais, celle qu’elle n’aurait jamais imaginé vivre, elle comprenait ce qu’il ressentait, elle aurait bien bu comme un trop si ça pouvait lui permettre de repasser une nuit dans les bras de Fernando. Elle lui offrit un sourire rempli de tendresse ne sachant pas tout à fait comment répondre sans maladresse. « Non, ce n’est pas une solution mais, je comprends tout à fait ce que tu as ressentis. » Et d’ailleurs si elle ne craignait pas autant l’alcool et la désillusion, elle aurait fait pareil, sans aucun doute. « J’aurai du faire comme toi et me contenter d’un jus de fruit, ça aurait été plus intelligent ! » Et là, il y eu un contact entre eux, simplement deux mains qui s’effleurent, se touchent, il n’en avait pas fallu plus pour que le cœur de la rouquine s’emballe, il battait deux fois trop vite et son ventre faisait quelque chose d’étrange, c’était un peu la même sensation qu’on éprouvait au sommet des montagnes russes. La belle tenta de reprendre rapidement ses esprits alors que son prince rougissait, les yeux vers le sol, elle aussi devait avoir les pommettes bien rosée d’ailleurs mais, elle préférait ne pas y songer. « Il n’est pas trop tard pour prendre un jus de fruit. » Elle lui fit un beau sourire qui se voulait plus amoureux qu’il n’aurait dû l’être mes ses joues rouges ne l’aidaient pas vraiment à paraitre indifférente.



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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyMar 17 Avr - 22:07

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I CAN'T FORGET YOUR KISSES

C’est vrai que jamais je n’aurai imaginé Kai dans un boulot de se genre. Moi qui la voyait comme une vulgaire allumeuse qui se tape tout ce qui bouge dans un bar au lendemain de notre nuit d’amour. J’étais si loin de la réalité. Kai, ma sirène, elle n’a rien d’une allumeuse. Elle travaille dans le domaine du mariage, elle boit des jus de fruits. Clairement, je me suis trompé. Mon attitude à la con a certainement gâché les dernières chances qu’il me restait avec elle. Si au moins j’en avais eu un jour. «Beaucoup de garçons ignore l’existence de ce métier, ne t’inquiète pas. »

Elle reste toujours douce, toujours gentille. Pas comme moi qui change d’attitude toutes les trentes secondes. C’est parce que, au fond, je me fais trop vite des préjugés sur les gens. Je n’avais pas laissé la moindre chance à Kai que déjà, au petit matin, sur une phrase, je l’avais cataloguée. Et depuis, sans cesse, je remets mon jugement en question. J’en ai marre de moi. Faut que je laisse les choses se faire. Il y a un truc avec cette fille, je ne peux pas le nier. Je dois la connaître. Je dois la laisser m’atteindre. Je dois la laisser se montrer sous son vrai jour. « En revanche, je ne pourrais pas travailler dans un hôpital, j’y ai perdu bien trop de temps. »

Cette dernière phrase m’intrigue. Elle a beau le dire toujours aussi sereinement et qui puis est avec le sourire, j’ai envie d’en savoir plus. « Comment ça ? Tu as été malade ? » dis-je un peu naivement, bien loin de m’imaginer ce qu’il s’est réellement passé. Ce qui me rassure, c’est que ces mauvais jours semblent être derrière elle. Elle a l’air bien. Belle et en bonne santé. Parfaite. Mais la perfection n’existe pas, quelle est cette fichue faille ? Elle en a une, c’est certain. Peut-être que cet abonnement à l’hôpital m’en donnera la nature.

Kai se montre très compréhensive pour mon envie soudaine d’alcool. Elle admet que ce n’était pas la solution mais elle ne me reproche rien. Elle est tellement douce. Elle me détend, elle me fait me sentir bien. Je la regarde tendrement. J’ai envie de me nicher près d’elle, dans ses bras. J’ai envie de l’embrasser. Je fixe ses lèvres avec envie. Je sens qu’elles m’attirent à elles. Je suis ensorcelé. Kai m’ensorcèle. Plus rien n’existe. Je me sens si bien avec son unique présence. Le cafarnaum du bar a disparu, il n’y a que Kai et moi. Bon dieu ce que ça fait du bien. D’être seul au monde et et serein. Je me sens bien.
« Il n’est pas trop tard pour prendre un jus de fruit. »

Sa voix me réveille. Je sursaute presque. Je souriais bêtement et je m’étais approché d’elle sans m’en rendre compte. C’est vrai, il n’est pas trop tard. « Hé, mec, je prends comme elle s’il te plait » dis-je au barman. Je fais un petit clin d’œil à Kai et elle rit. Son rire est magnifique, comme tout le reste. Je détourne le regard vers le barman. Quand je vois son visage gras et irrégulier, je reprends conscience de la réalité. L’effet que la rousse a sur moi me fait peur. Je suis niais. J’aime pas ça, c’est tout ce que je déteste. Je ne sais pas ce qu’elle fait, ni comment elle fait, mais j’ai envie qu’elle arrête ça tout à coup. Je ne peux pas me permettre de perdre la face comme ça, pas devant une fille, pas comme ça.
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Kai Eowyn Bonistaw
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyVen 20 Avr - 22:36


« Athazagoraphobie; La peur d'être oublier, ignorer ou remplacer. »

Kai se sentait bien avec Fernando, même s’il avait toujours envie de plus que ce qu’elle avait, elle se sentait bien, si bien qu’elle était prête à se confier à lui, pas tout en un coup mais, petit à petit. Elle avait d’ailleurs commencé à lui parler de l’hôpital tout naturellement, même si ce n’était pas quelque chose de joyeux, elle en parlait avec le sourire, ça lui plaisait de pouvoir lui en parler, au fond, ça ne faisait que confirmer qu’elle ne voulait pas que du sexe avec Fernando, elle voulait avant tout le connaître, lui qui semblait si différent de tout ceux dont elle avait croisé le chemin jusqu’à présent, lui à qui elle tenait tant sans comprendre pourquoi, ni comment. « Comment ça ? Tu as été malade ? » La rouquine lui fit un joli sourire tout en faisant un petit signe négatif, ce n’était pas tout à fait ça, ce n’était pas aussi grave que d’être malade… tant qu’on y restait pas du moins. « Pas tout à fait, non. J’ai été dans le coma durant sept mois suite à une erreur de jeunesse. » Erreur dont elle ne se souvenait même plus, elle ne savait même pas ce qui c’était passé dans cette voiture mais, elle souriait, comme si c’était normal, parce qu’au fond, pour elle ça l’était, ça faisait partie d’elle, elle s’était forgée avec ces sept mois de coma et son amnésie, elle n’avait jamais pleuré dessus, elle n’allait pas commencé aujourd’hui, bien au contraire, elle souriait, de toute façon, devant son beau Fernando, comment pouvait-elle faire autrement ?

Son beau Fernando, ouais, tout tournait autour de lui, le bar, le monde, il n’y avait que ses mots et son sourire, c’était stupide de se dire qu’après une nuit d’amour il avait pu autant lui manquer, elle avait très envie d’un contact physique avec lui, d’être proche de lui. « Hé, mec, je prends comme elle s’il te plait » Le jeune homme lui fit un petit clin d’œil, provoquant le rire de la demoiselle, un verre de jus de fruit, c’était plus raisonnable. Elle le regardais comme une petite adolescente en admiration devant un garçon plus âgé alors que là, c’était elle la plus âgée mais, ça n’avait pas tant d’importance, c’était surtout qu’elle semblait niaise et stupide avec ses grand sourire, elle allait se cramait, ça crevait les yeux qu’elle tenait un peu trop à lui. Le jus de fruit du jeune homme arriva devant lui, Kai plongea son regard dans celui du jeune homme en prenant son verre – à elle évidemment- dans sa main, l’invitant à prendre le sien. « Au bien fait du jus de fruit ! » ajouta-t-elle avec un sourire en levant son verre comme pour porter un toast, les deux verres s’entrechoquèrent en même temps que le chien poussa un ronflement, comme pour accompagner les deux jeunes, elle était heureuse de le retrouver, et elle espérait qu’il ne partirait pas si soudainement cette fois.




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Fernando Gautier-Perez
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptySam 21 Avr - 18:28

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J’ai du mal à imaginer Kai à l’hôpital. Diminuée, dans un lit, allongée, faible. Pour moi, elle rayonne. Elle dégage une force et une joie de vivre rare comme l’émeraude, rare comme le saphyr, rare comme l’argent, rare comme la nature, rare comme le pétrole, rare comme un sourire, rare comme les gens bien, rare comme le bonheur. Je vois Kai comme un bien inestimable. Une belle chose, dénichée par hasard dans un autre secret. C’est le destin qui m’a offert cette chance. La chance de goûté au paradis, au bonheur. Peut-être qu’elle n’est pas parfaite, mais en tout cas, elle tend vers la perfection.
Qu’a-t-elle bien pu avoir ? Qu’est-ce qui a bien pu l’atteindre ? « Pas tout à fait, non. J’ai été dans le coma durant sept mois suite à une erreur de jeunesse. »

Finalement oui, je n’ai aucune peine à l’imaginer sur son lit d’hôpital. Seulement, ma vision doit être bien éloignée de la vérité. Je la vois, allongée, sereine, les yeux clos, paisible et belle. J’imagine une espèce d’aura autour d’elle, qui la fait rayonner comme lorsqu’à chaque fois qu’elle me sourit. J’imagine beaucoup de choses mais en fait je ne sais rien. « Une erreur de jeunesse ? Un accident de voiture ? » je dis ça sans savoir. Simplement parce que je devine. Simplement parce que je sais que c’est souvent le cas qui mène à un coma. Simplement parce que j’en ai déjà vu. Si c’est bien ça, Kai ne devait certainement pas être comme dans mon imagination. La plupart des personnes victimes de graves accidents de voiture ressorte avec de grosses séquelles physiques. Mais je refuse de l’imaginer comme ça. J’ai quand même du mal à comprendre un truc. Elle n’a pas l’air du tout perturbée par l’évènement. Comment fait-elle ? « Je t’avoue que je suis étonné que tu prennes les choses si sereinement. C’est quand même pas n’importe quoi » dis-je avec beaucoup de serieux. Elle sourit, encore et toujours. Elle me regarde tendrement, comme si rien ne pouvait l’ébranler. Elle me perturbe, ça me dérange, je dois l’admettre. Mon jus de fruit arrive, nous trinquons. «Au bien fait du jus de fruit ! »

Nous nous sourions. Au bien fait de ta présence, oui ! Je suis bien là, je ne veux pas partir. Mais par contre, je ressens toujours ce mal aise en sa présence. Comme si elle voulait me piéger, comme si tout ça était trop beau pour être vrai. Notre échange semblait réciproque, trop réciproque. J’arrive pas à croire que je pourrais être heureux, que je pourrais enfin être heureux. Dans ses bras, avec elle, ensemble. Non, ce n’est pas possible. Le lendemain matin de notre nuit d’amour, elle m’avait clairement fait comprendre sa position. Mais je dois être sur, je dois poser la question. Au risque de me dévoiler, au risque de perdre la face. Au moins, je saurai. « J’aimerais te demander… Tu as quelqu’un dans ta vie ? » Je la regarde droit dans les yeux et je ne souris plus.
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyJeu 26 Avr - 19:24


« Athazagoraphobie; La peur d'être oublier, ignorer ou remplacer. »

C’était peut-être compliqué pour Fernando d’imaginer Kai au fond d’un lit d’hôpital, il est vrai que beaucoup de gens peinaient à s’imaginer la scène surtout en la voyant une activité permanente la journée, rayonnante et épuisante par sa joie de vivre. La rouquine, elle ne s’imaginait plus dans un lit d’hôpital non plus, elle fuyait ce lieu autant que possible, généralement quand elle y mettait les pieds, c’était pour voir son psy. « [Une erreur de jeunesse ? Un accident de voiture ? » Elle fit un petit sourire surpris, il avait peut-être l’habitude de ce genre de cas en travaillant à l’hôpital, peut-être que c’était ce qui menait le plus de personnes au coma, en tout cas il avait visé juste. « Ouais, c’est bien ça. » Elle lui fit un petit sourire mi amusé, mi gêné, parce qu’il avait trouvé mais aussi parce que les accidents de voiture ça craignait, même si elle savait que ce n’était pas elle qui conduisait la voiture. « Je t’avoue que je suis étonné que tu prennes les choses si sereinement. C’est quand même pas n’importe quoi » Quitter son sourire ? Non Kai n’en était pas capable, surtout pas avec Fernando dans les parages, il suffisait d’observer la façon dont elle le dévorait des yeux pour comprendre que sa présence faisait son bonheur et que le passé n’allait pas entraver ça, elle haussa les épaules avant de répondre, sans quitter ce fameux sourire donc. « On s’y fait, c’est le passé, ce qui compte c’est que je sois là et en pleine forme. » Et ça, il n’y avait pas une seule journée sans qu’elle y pense, chaque jour, elle se rappelait la chance qu’elle avait d’être envie et surtout le fait qu’elle n’avait pas le droit de ronchonner.

Le verre de jus de fruit du jeune homme arriva et les deux jeunes trinquèrent, au bien fait de ce breuvage sans alcool, n’ayant pas le courage de trinquer à leur entente, à eux, au bonheur d’être ensemble. En même temps, Kai n’était pas sûre que ce soit partagé mais, tout avait l’air réciproque avec lui et quoiqu’ils fassent, elle avait la sensation qu’ils étaient complice, était-ce possible alors qu’elle soit heureuse avec un homme, qu’elle rencontre l’amour ? Elle n’osait pas y croire ça semblait comme un conte d’enfant merveilleux et saugrenu, elle n’était pas faite pour ça, personne ne voudrait d’elle pour autre chose que du sexe, elle essayait de le faire rentrer dans sa petite tête mais même avec le temps, elle ne s’y faisait pas, elle finissait toujours pas croire qu’elle allait trouver l’amour, qu’un jour elle serait prête. « J’aimerais te demander… Tu as quelqu’un dans ta vie ? » Kai fronça les sourcils, surprise par cette question si soudaine qui la contraignait à faire des films dans sa tête, ce qui était certainement stupide, cette question ne voulait pas forcément dire qu’il était intéressé par elle. En tout cas, il semblait excessivement sérieux, il ne souriait pas, elle avait envie de se jeter dans ses bras, de l’embrasser, sans trop comprendre pourquoi cette envie s’accentuait, elle avala une gorgée avant de répondre. « À part mon chien ? Personne, non. » Elle lui fit un sourire alors qu’une petite question venait lui titiller l’esprit, et s’il venait à lui avouer que lui, il était en couple ? Il fallait qu’elle lui demande, elle aussi. « Et toi ? Tu as quelqu’un ? » Elle voulait vraiment qu’il lui réponde non, elle en rêvait.


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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptySam 28 Avr - 20:56

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Le séjour à l’hôpital de Kai m’intrigue. Un coma. Un accident de voiture. J’ai ma réponse. Elle acquiesse. J’ai mal pour elle. Elle, elle semble n’en avoir rien à faire. Elle sourit, comme toujours. Parce que Kai, c’est un soleil et son sourire en est les rayons. Elle propage son bonheur, le communique. C’est pour ça que je ne peux m’empêcher de sourire à ses côtés. Je m’étonne néanmoins de son calme et de sa sérénité. Je le lui dit. S’il y a un secret, j’aimerais le connaître. J’aimerais tellement prendre tout ce qui s’est passé avec mon père aussi sereinement. « On s’y fait, c’est le passé, ce qui compte c’est que je sois là et en pleine forme ». C’est sûr Kai, tu rayonnes, tu brilles. Comment être mieux ? Et c’est vrai que t’as présence compte, pour moi en tout cas. J’aimerais dire ça, mais je ne peux pas me le permettre. Nous nous connaissons à peine. Je n’ai pas le droit de ressentir de telles choses pour elle. Faut que j’arrête, vraiment.

À chaque regard doux, amoureux que je lui lance, j’ai envie de me mettre une claque. Je ne suis pas niais. Et je n’ai pas envie qu’elle me prenne son jouet. Qu’elle pense que de toute façon, elle peut m’avoir quand elle veut, parce que je suis à ses pieds. Non, je ne le suis pas. J’essaye de m’en persuader. Vraiment.

Le jus de fruit est arrivé, nous avons trinqué et j’ai posé cette question qui me tourmentait depuis l’autre soir. Est-ce qu’elle a quelqu’un ? Est-ce qu’elle est si inaccessible que ça ? Est-ce qu’elle est du genre volage ou célibataire endurci ? C’est quoi son statut social ? Elle fronce les sourcils, comme si elle n’apprécie pas la question. Je n’aurai pas du. Elle pense surement que je la drague ou que je suis interessé, faut que je rattrape ça. J’ai qu’à dire que j’ai quelqu’un. Non, c’est trop ridicule. J’ai pas envie de passer pour le mec infidèle non plus. Merde, mais réponds Kai. Je panique, j’ai la boule au ventre, quand enfin, ses lèvres s’ouvrent délicatement : « À part mon chien ? Personne, non. » Elle sourit. Elle est célibataire. Elle sourit. Bon sang, elle est célibataire. Libre. Accessible. To take. Elle est là, tout près de moi. Si près que je pourrais l’embrasser maintenant, lui faire savoir tout ce que je ressens pour elle. Mais non. « Et toi ? Tu as quelqu’un ? » Mentir serait idiot. Dire la vérité encore plus. Trop réfléchir peut paraître suspet aussi. Pour me laisser le temps, je bois un peu de mon jus de fruit. En fait, je lui fais le même coup que tout à l’heure le suspens. Je ne sais pas quoi dire. Donc, je laisse les mots sortir tout seul. On verra bien ce que ça donnera. « Oui » mais non, tu n’as personne Fernando, rattrapes toi sale con. « Enfin, j’ai quelqu’un en vue. » Je ne lui sors pas mon sourire charmeur. Je n’essaye pas de lui faire comprendre que c’est elle ce quelqu’un. Pourtant ça l’est, mais je ne veux pas l’avouer. Ni à elle ni à moi-même. J’ai pas envie d’être accro à cette fille. J’ai pas envie de me prendre la tête pour elle. J’ai pas envie de penser vingt-quatre heures sur vingt-quatre à elle. Et c’est ce que je fais. Et ça m’énerve.

Mon téléphone sonne. C’est la réceptionniste de l’hôpital. « Excuses moi je dois répondre… » Je décroche. Ils ont besoin de moi tout de suite. Il y a une grosse urgence et ils ont besoin de monde. C’est bien, ça me sauve de ce moment gênant. « C’est pour moi » dis-je au barman en payant les consommations de Kai et moi. J’enfile ma veste, j’attrape mes quelques affaires et je glisse une petite carte entre les mains de la jolie rousse. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais je le fais. Je veux qu’elle ait mon numéro. Je veux qu’elle puisse me joindre. C’est pas comme ça que tu vas l’oublier Ferny. Tant pis. Trop tard. Il y a un moment de gêne lorsque l’on se fait la bise. Une sorte de malentendu. Un petit soucis avec nos têtes qui ne sont pas coordonnées. Nos lèvres se frôlent avant d’atteindre nos joues respectives. J’ai senti son souffle chaud. Mon cœur bat à mille à l’heure. Je veux l’embrasser. Je veux capturer ses lèvres. Mais je pars. Comme ça.
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MessageSujet: Re: Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant.   Peu importe d'où on vient, peu importe où on va, l'important c'est que nous sommes ensemble maintenant. EmptyMer 2 Mai - 15:42


« Athazagoraphobie; La peur d'être oublier, ignorer ou remplacer. »

Maintenant que le jeune homme lui avait posé la question, la rouquine était intriguée, c’est vrai, elle avait supposé qu’il était libre mais, elle n’en savait rien, si ça se trouve elle avait eu le rôle qu’elle ne voulait absolument pas avoir sans même le savoir. En effet, la belle ne voulait pas être la maîtresse de qui que ce soit, trouvant ce rôle immonde, sujet à la haine et injuste pour celle qui était trompée, bref, elle avait quelques valeurs et là, elle espérait ne pas être passé au-dessus sans même le savoir. Bien évidemment, ce n’était pas sa seule motivation, elle voulait aussi et surtout savoir s’il était accessible, parce qu’elle en pinçait pour lui, parce qu’elle se faisait des films et elle avait bien envie de plus qu’une amitié. Malheureusement, elle la réponse que lui offrit le jeune homme ne fut nullement celle qu’elle rêvait d’entendre. « Oui » Oui ? Kai cligna des yeux comme si elle avait mal entendu, oui ? Ça voulait dire qu’elle avait pris le rôle de la maîtresse, celui qu’elle détestait par-dessus tout, elle n’en croyait pas ses oreilles. Cependant, le jeune homme rectifia le tir assez rapidement. « Enfin, j’ai quelqu’un en vue. » Aucun sourire charmeur, la jeune n’avait rien laisser paraitre lui faisant comprendre que c’était elle alors, finalement, Kai était seulement rassurée de ne pas avoir été une maîtresse, elle tombait de haut, maudissant la femme qui avait ce rôle, elle avait était idiote de croire une seconde qu’elle avait ses chances avec lui, qu’il était libre, qu’elle avait le droit à l’amour, c’est vrai, c’était trop beau pour que les choses continue comme ça, elle avait été naïve et elle en payait les conséquences, voilà tout. Elle se passait ses paroles en boucle, c’était bien fait pour elle, elle n’avait qu’à pas s’emballer. Elle hocha la tête sans vraiment être sûre de ce mouvement, son sourire était restée figée mais elle ne savait plus trop ce qu’elle faisait.

Le téléphone du jeune homme laissa, c’était peut-être préférable pour Kai, il ne la verrait pas décomposer et se torturer l’esprit à coup de question. « Excuses moi je dois répondre… » Elle hocha la tête, avant de boire un petit peu alors qu’il décrochait, elle était venue en déprimant, elle l’avait vu, elle allait mieux, il lui avait dit qu’il avait quelqu’un et elle déprimait à nouveau. Vraiment, elle avait le droit à toutes les désillusions avec Fernando, après leur première nuit d’amour elle aurait dû comprendre qu’au mieux il serait un ami mais, non, il avait fallu qu’elle s’enflamme comme une petite lycéenne. « C’est pour moi » Le jeune homme paya les deux consommations savant de rassembler ses affaires et de glisser dans les mains de Kai sa carte, cette fois, elle avait son numéro mais, elle n’était pas sûre de l’appeler prochainement, il fallait qu’elle accepte que Fernando n’était qu’un ami. Les deux jeunes se firent la bise comme si de rien n’était ou presque, leurs lèvres s’effleurèrent, comme un baiser qu’on n’ose pas, qu’on ne finit pas poser sur la joue alors que la souffle chaud de l’autre vient de donner la pulsion d’un geste amoureux. Le jeune homme laissa la rouquine dans le bar, avec son chien, partant on ne sait où sans même savoir si Kai avait l’intention de le rappeler et elle ne le savait pas elle-même.


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