Sujet: ANNA ~ un ange a ma table Sam 30 Juin - 9:40
GWEN (ANNA-MORGANA) KENEDY
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Kenedy mon nom d'épouse. Mon nom de jeune fille est Parson ⊰PRÉNOM: Gwen Anna-Morgana. Mes parents n'arrivant pas à ce décider et bien j'ai héritée de leur hésitation ⊰ÂGE: 26 ans ⊰ORIGINES: irlandaise - grec - américaine⊰MÉTIER/ÉTUDES: elle est soigneuse dauphin mais elle a son diplôme de vétérinaire. ⊰STATUT CIVIL: mariée mais compliquée. ⊰CRÉDITS: tumblr. ⊰AVATAR: Félicity Jones.
welcome to our world. nice to meet you.
Coucou alors moi c'est Somebody mais mon vrai nom c'est Aurélie. J'ai 19 ans. J'ai beaucoup aimée l'accueil que vous m'avez fait ça fait plaisir (a) ! Et puis j'aime beaucoup l'apparence du forum . Je suis une grande passionnée d'animaux et après de RPG. Je serais présente pendant un temps (4 mois normalement) presque 7/7j mais après je serais présente 4/7 le travail le travail & voilà !
Dernière édition par G. Anna-Morgana Kenedy le Sam 30 Juin - 17:46, édité 2 fois
Sujet: Re: ANNA ~ un ange a ma table Sam 30 Juin - 9:40
please, tell me your story. i’m listening.
« Somewhere over the rainbow. Blue birds fly. And the dreams that you dreamed of dreams really do come true »
« Dis papou ? Maman elle était comment ? ». J'avais huit ans et je n'avais jamais connu ma maman. J'avais toujours grandit avec mon papa. Il lâcha sa guitare qu'il posa à côté de lui. Il me prit sur ses genoux et avec un sourire me dit « Ta maman était fabuleuse ma chérie ! Elle avait de long cheveux noirs et des yeux verts très profonds. Comme toi mon ange ! Elle était d'une douceur sans faille et d'une générosité sans nom. Ta maman était une personne extraordinaire et j'ai eu la chance de vivre plusieurs années auprès d'elle et d'avoir le plus beaux des enfants avec elle. ». J'imaginais ma maman. J'aurais tellement aimé qu'elle soit là, auprès de moi. Qu'elle me serre dans ses bras, qu'elle me gâte de sa douceur. J'aimerais avoir une maman, ma maman. Même si j'aimais plus que tout au monde mon papou. « Qu'est-ce qu'il lui est arrivé à maman ? ». Je vis dans son regard que cela le gênait. Qu'il n'aimait pas parlé de ça. Alors tant pis, je reviendrais plus tard. Je descendis de ses genoux en m'excusant. Mais il me rattrapa « Attend petit ange ! Quand on a appris que ta maman t'attendait. Nous étions les plus heureux. Mais lors d'un examen, le médecin a découvert une grosseur au niveau de la poitrine de maman. Elle a mené à bout sa grossesse et elle t'a mis au monde. Mais en quelques mois, elle était bien trop fatiguée et elle est partie aux anges. Elle est allée derrière l'arc-en-ciel ! » . Ohhh d'accord. Je comprenais mieux maintenant, pourquoi papa était triste. Une maladie. Ce fut une maladie qui lui avait enlevé sa femme et qui l'avait fait élever son enfant - moi - tout seul. « Papou chante pour moi s'il te plaît ! Chante comme si c'était maman qui chantait s'il te plaît ! ». Je me laissais glisser sur le fauteuil alors qu’il attrapait la guitare. Les premières notes résonnèrent dans la pièce, c’était Somewhere over the rainbow, je l’entendais souvent chanter cette chanson Somewhere over the rainbow. Way up high, There's a land that I heard of. Once in a lullaby. Somewhere over the rainbow. Skies are blue and the dreams that you dare to dream really do come true. . Les dernières notes résonnèrent et je m’endormis sur les bras de papa. Je le sentis me porter jusqu’au lit. J’étais heureuse. Heureuse d’être là. Heureuse d’avoir pu en quelques mots visualiser ma maman.
« And after all. You're my wonderwall »
A seize ans j’étais à Paris. Mon père voyageait beaucoup par son boulot d’artiste/musicien. Et je le suivais dans tous ses déplacements. Les hôtels, je connaissais. Mais cette fois-ci c’était différent. « Papou pourquoi on loue un appart ? On reste pas longtemps non ? ». Il était différent depuis quelque temps. J’avais du mal à reconnaître mon propre père. Il ne souriait plus. Et je ne comprenais pas. « Papou tu m’entends ? ». Il se retourna vers moi. J’en lâchais mon carton que je tenais dans les mains « On reste Addy …. ». Addy ? « Pardon c’est le prénom de ta mère ! Anna. On reste ! Maintenant fiche le camp je finis tout seul ! ». « Mais Papa … ». Son regard me fit reculer « FICHE LE CAMP ! ». Je partis en courant.
J'allais me promener sur le bord de la Seine. Les yeux pleins de larmes, que j'essayais tant bien que mal à cacher. Puis j'allais vers la route. Et à vrai dire, je me suis retrouvé dans un groupe. Puis il y a eu la panique. Et j'ai eu un gros trou noir. Je me suis réveillé à l'hôpital quelques heures plus tard, des douleurs partout sur le corps. « La belle au bois dormant a ouvert les yeux ça y est ?! ». Je ne connaissais pas cette voix. Et quand je me tournais vers celui qui m'avait parlé, je confirmais, je ne le connaissais pas. Mais c'était un patient de l'hôpital aussi. Je portais ma main à ma tête. Mal. Ca faisait mal. « Qu'est-ce qui s'est passé ? ». Enfin je lui demandais ça mais je ne savais même pas s'il était concerné. Après tout il avait peut-être été mis là par hasard. Je l'entendis rire. « On était en train de traverser la route quand un fou furieux en voiture a foncé dans le tas. On est les deux blessés légers. Il y a un mort. Et deux autres blessés graves, leurs jours sont en danger ! ». Oh mon Dieu. Je commençais à paniquer grave. Je voulais sortir de là. Où était mon papa ? Où était-il ? Je commençais à vouloir tout m'arracher. Affolant ainsi les machines qui perdaient mon rythme cardiaque et je sentis des mains se poser sur moi. Les siennes. « REGARDE-MOI ! REGARDE-MOI !! Tout va bien d'accord ? Tu m'entends tout va bien ! Tu vas bien ! Ca va ... Voilà respire ... respire ... Voilà c'est bien ... Et bien voilà princesse ! ».Mes yeux étaient plongés dans les siens. Et ils avaient miraculeusement réussit à me calmer. Il alla pour repartir alors que l'infirmière affolée arrivé. Mais sans mot, je lui attrapais juste la main, je ne voulais pas qu'il parte. L'infirmière me remit tout en place. « Monsieur Kenedy vous pourrez sortir dans quelques heures ! Quant à vous Mademoiselle Parson, que dans quelques jours et ne réessayer plus de tout enlever s'il vous plaît ! Monsieur Kenedy vous la surveillé hein ! ». Il hocha la tête. Alors que ma main était toujours dans la sienne. « Madame ! Vous avez appelé mon père ? ». Elle haussa les sourcils « Votre père est injoignable je suis désolée ! ». Et je passais mes jours à l'hôpital avec lui. Bien qu'il était plus tenu de venir. Il venait régulièrement me voir. Et quand la nuit il m'arrivait de cauchemarder, je lui demandais de rester. Mon père était introuvable. A vrai dire, il m'avait abandonné. Le camion d'emménagement avait disparue, les cartons aussi. Et la femme à qui on avait loué l'appartement, m'a dit qu'il était rapidement parti en remettant tout dans le camion. Mon père m'avait abandonné. Hélios me proposa de venir vivre chez lui et j'acceptais. Il avait dix-sept ans et avait une dépendance dans la maison de ses parents. Et je commençais une nouvelle vie.
« Quand un prénom met d'la chaleur dans nos pensées. Qu'on n'est plus seul, jamais »
L'amour quel doux sentiments. Très vite Hélios et moi sommes tombés amoureux. A vrai dire j'étais folle de lui. Je l'aimais comme une folle. J'étais accrochée à lui comme à une bouée de sauvetage. « Je t'aime Hélios ! ». On était couché dans l'herbe verte d'un parc de Dublin. Nous étions partis pour d'abord quelques jours en Irlande mais voilà trois mois que nous étions ici. « Tu m'aimes comment ? ». Je lâchais un petit rire. Je me calais sur son torse. Je sentis son bras se reposer sur mon épaule et sa main caressait mes cheveux « Aussi grand que l'univers entier et bien plus encore ! Je t'aime comme une folle ! ». Ses lèvres se posèrent sur mes cheveux. Et il se retourna. Me retrouvant au-dessous de lui. Mais joueuse et enfantine comme j'étais malgré mes dix-neuf ans. Je le fis rouler. Quelques mètres plus loin, une pente et nous voilà en train de la descendre en roulé boulet, comme deux enfants. Dont les rires brisent le silence. Arrivée en bas, j'atterrie sur lui. « Amortisseur ! ». J'étais heureuse tellement heureuse. Il était mes racines, mes ailes, ma raison d'être. Depuis que papa m'avait laissé. Il était le seul sur qui je pouvais compter. Il était celui qui comptait le plus. « Nous devions rentrer en France princesse ! ». Oui il était temps de rentrer en France. Il m'aida à me relever et me fit tournoyer. Le lendemain nous étions dans l'avion pour rentrer en France. Le surlendemain, je reprenais mes études vétérinaires. Et lui son train-train mais notre amour était là. Tellement évident.
« it's a beautiful night ... marry you »
« Anna je t'aime ! Tu es la plus belle part de mon existence. Je t'aime comme ce n'est pas permis ! Tu es belle, divine, douce, généreuse, enfantine, tu es ma princesse et épouse-moi tout simplement. Fait de moi ton époux et laisse te rendre encore plus heureuse ! ». Nous étions dans un restaurant de Monaco, quand il m'a fait cette déclaration. Je suis restée bouche bée. Les gens nous regardaient. Et tout ce que j'ai su faire c'était « OUI OUI OUI OUI OUI !!!! OHH QUE OUII !! JE VEUX DEVENIR TA FEMME HELIOS TRISTAN KENEDY ! ». « Soyons fou princesse ! ». On est retourné chez ses parents. Et on a organisé le mariage. Le plus beau de tous mariage dont j'avais pu rêver.
J'avais vingt-deux ans et mon rêve se réalisait. Ce concrétisé. J'ai essayé de dizaine de robe blanche comme l'innocence. Et parmi toute celle essayée. Je retins une robe à bustier partant en gonflant vers le bas, décoré de perles, enfilé à la main. Puis un beau bouquet de rose et des chaussures magnifiques. D'abord les invités avaient été dirigés vers un parc animalier aquatique. Et durant le spectacle des dauphins en VIP j'avais eu droit à une déclaration d'amour. Avec en même temps sur écran géant, nos photos, nos souvenirs à tous les deux. Nos moments à nous. Il me faisait déjà pleurer. C'était beau ça. Puis après il y eu l'église. « Je te promets de te chérir et de t'aimer dans la maladie, dans la joie, dans la peine ... et cela jusqu'à la mort .... ». « Je te promets de t'aimer et de te chérir, dans la maladie, dans la joie, dans la peine ... et cela jusqu'à la mort .... ». « Hélios Tristan Kenedy acceptez-vous de prendre pour épouse Gwen Anna-Morgana Parson ? ». « Oui je le veux ». Je lui mis son alliance. « Gwen Anna-Morgana Parson acceptez-vous de prendre pour époux Hélios Tristan Kenedy ? ». « Oui je le veux ! ». Il me mit mon alliance. J'étais si heureuse. On s'embrassa et la fête continua toute la nuit et jusqu'au petit matin. Et puis nous partîmes en lune de miel à Athènes en Grèce.
« Offre moi une petite fille ... »
Puis il y a un an et sept mois. Mon bonheur s’écroula. Enfin un de mes bonheurs s’écroula et un autre bonheur arriva, mais un bonheur différent et pour une fois depuis longtemps je l’ai vécu toute seule.
Je rentrais à la maison. « Hélios je suis rentrée ! J'ai une excellente nouvelle à t'annoncer ! Tu sais aujourd'hui j'avais rendez-vous au médecin pour mes nausées .... Hél' qu'est-ce que tu as ? ». Il était assis sur une chaise là. Dans la cuisine. Le regard dans le vide. Je m'agenouillais près de lui. « Hél' ? ». Il me répondait quand il voulait. « Pardon princesse ! Tu sais il y a quelques temps je m'étais inscrit pour partir sur le champ de bataille ! Pour me battre pour mon pays ? Et bien j'ai reçu cette lettre. Je pars au front Anna ! Je pars au front dans trois jours ! ». J'en restais muette et sans mots. Nous avions déménagé dans le Maine, il y a quelques mois de ça. Et je l'avais encouragé à s'engager, il l'avait toujours voulu. Mais je n'avais pas pensé que cela arriverais maintenant, si vite. Et surtout au moment où je tomberais enceinte. Je me levais les larmes commençant à couler le long de mes joues. Il se leva m'attrapa et me serra dans ses bras. « Oh mon Dieu ! Hél' je suis enceinte ... Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! ». Je perdis mon souffle. Je perdais tous mes repères. Ses mains attrapèrent mes épaules « REGARDE-MOI ! REGARDE-MOI !! Tout va bien d'accord ? Tu m'entends tout va bien ! Tout ira bien je te le promets princesse ! Ca va ... Voilà respire ... respire ... Voilà c'est bien ... voilà princesse ! Je vais revenir ma douce je te le jure. Et ensemble on élèvera notre enfant ! ».
Il partit trois jours plus tard. Ma grossesse se passa très bien. Il eut l'autorisation de revenir quelques jours. Les quelques jours où notre petite fille décida de venir au monde. Il profita d'elle juste quelques jours. Histoires de trois jours. Il était déjà différent. Changé. Il n'était plus le même homme. « Je serai bientôt de retour à la maison je te le promets princesse ! Bientôt très bientôt ! On pourra être ensemble et je profiterais de mes deux princesses, des deux plus belles filles de cette planète ! ». Et il repartit.
« Nos erreurs appartiennent au passé. Elles sont rayées, annulées, oubliées »
Il y a quelques semaines il est revenu. Mais il n’était pas là. Son corps était là mais pas son âme. Il était ailleurs. Il était revenu sans dire un seul mot. Il m’avait juste embrassé et était allé voir Emma notre petite fille d’un an maintenant. Et après il s’était assis sur notre lit et n’avait pas bougé. C’était moi qui avais été obligé de le changer. De lui enlever ses vêtements camouflage. Je l’avais conduit à la douche et l’avait douché. Dans le silence. Puis je l’avais couché. Et cela pendant plusieurs jours. Dans un silence des plus complets. Il ne bougeait plus de la chambre. Et j’étais obligée de m’occuper de loin comme d’un enfant.
Il était encore assis là au bord de ce lit. Je grimpais et par derrière je le serrais contre moi « Parle-moi Hel’ ! Dis-moi quelque chose ! Tu me manques ! ». Le silence seul me répondit. Je le serrais encore plus fort contre moi. Et mes larmes une fois de plus coulèrent le long de mes joues mouillant son dos nu. « Pleure pas princesse ! ». Il l'avait dit comme un murmure. Il se retourna attrapa entre ses mains mon visage et essuya mes larmes « Pardon princesse ! Pardon ! ». Ses lèvres s’unirent aux miennes. Un baissé de quelques secondes. Qui me fit un bien fou. Puis il s’arracha à moi et s’allongea, se refermant dans son silence. J’étais désespéré.
Un matin il sortit de la chambre. Alors qu'Emma n'arrêtait pas de pleurer, étant malade. « Fait là taire je t'en prie Anna ! Ses pleurs m'insupportent ! ». « Hélios c'est ta fille ! Elle est malade ! J'essaye de la calmer ! Mais quand elle est malade elle est comme ça ! Elle pleure ! Je ne peux pas aller travailler aujourd'hui la nounou ne la veut pas ! J'ai besoin de toi Hélios ! Je dois aller travailler tu veux bien la garder ? ». Il décida que oui. Et je partis au travail. La lui laissant pour la journée. Et pour la première fois depuis qu'il était de retour. « Madame Kenedy ? ... Bonjour ! Ici l'hôpital ! Votre mari vient d'arriver avec votre petite fille Emma. Vous devriez venir vite ! ... Très bien Madame à tout de suite ! ». Je fonçais à la voiture. M'étant rapidement changer. J'arrivais à l'hôpital comme une furie et en le voyant j'hurlais « HELIOS !! Qu'est-ce qui s'est passé merde ?! ». Il était paniqué et en pleur « J'ai ... Je l'avais dans mes bras elle s'était calmée ! Je lui chantais une chanson ... Et dehors il y eu un bruit, un bruit .... Et je ne sais pas pourquoi je l'ai lâché et je suis parti me cacher ! Je l'ai vite emmené à l'hôpital .... Sa tête saignait. Je suis tellement désolé Anna ! Pardon pardon ! ». J'étais furieuse, furieuse contre lui. J'étais en colère et le son de ma voix élevée. « Tu n'es plus sur ce putain de champ de guerre ! tu n'es plus au front ! Ca fait six semaines que tu es revenu Hélios ! Six semaines ! tu ne m'adresses pas la parole et pourtant j'essaye, je suis là, je te donne tout l'amour que tu mérites. Je te donne mon soutien. Mais toi tu es où Hélios ? Tu n'es plus avec nous, tu es encore là-bas ! Mais ça suffit maintenant ! Revient à la réalité ! Revient à la réalité des choses. C'est fini là-bas ! Tu es ici avec ta fille que tu as failli tuer et moi ! Moi ta femme qui t'aime mais qui n'en peut plus ! ». Le médecin arriva « Emma va bien ! Nous avons soigné la plaie et fait le nécessaire ! On va quand même la garder la nuit en précaution ! ». « Je peux rester avec elle ? ». « Evidemment ! Je vais faire installer un lit ». « Merci ! ». Et le médecin repartis en me laissant le numéro de chambre de ma petite fille. « Je reste avec toi ! ». « Non ! Rentre à la maison ! Réfléchis ! Si tu ne te sens pas de changer, d'être plus à la maison que sur le front, alors fait ta valise et ne soit plus là quand je reviendrais mais si tu te sens d'être de nouveau toi, alors je serais contente de retrouver mon mari en rentrant et Emma de retrouver son père ! ». Et je repartis vers la chambre de ma petite fille sans un mot.
Quand je suis rentrée avec elle. Il n'était pas là. Et je me suis mise à regretter. A regretter mes paroles dites sur le coup de la colère. Je le voulais près de moi. Et il n'était plus là. Mais le fait que ses affaires étaient encore là, me laissait espérer son retour. Le soir j'ai couché la petite. Et je me suis assisse sur le canapé. Et j'ai attendu. Sur les coups d'une heure du matin. La porte d'entrée s'ouvrit. Et je découvris un Hélios complètement bourré. Je l'attrapais et l'aidé. Je le mis sous la douche. Dans laquelle je finis aussi. Il me serra contre lui et je le serrais contre moi. « Je te promets d'être meilleur pour toi et pour notre petite fille ! Je te promets d'aller mieux ! ». Il se mit en thérapie de groupe de personne comme lui. Il ne sera plus appelé au front comme il a démissionné. Et malgré des disputes constantes, on a quatre-vingt-dix pourcent de chances que notre couple survit.
Dernière édition par G. Anna-Morgana Kenedy le Dim 1 Juil - 17:01, édité 21 fois
Sujet: Re: ANNA ~ un ange a ma table Sam 30 Juin - 16:48
KATIEEEEE !! je la joue souvent et je l'apprécie beaucoup dans Merlin. D'ailleurs j'ai appelé mon personnage Morgana car je suis fan du personnage Morgana dans la légende de Merlin. Que Katie en la jouant a réussit à me faire apprécier !! Réserve moi un petit lien !! & merciii
Sujet: Re: ANNA ~ un ange a ma table Sam 30 Juin - 17:04
OMG OMG OMG toi j'te kiff déjà . Merlin c'est ma vie quoi ! D'ailleurs Bradley James fait partie de la liste de mes nombreux maris . Morgana j'la kiff en super badass girl ! J'me disais que le nom venait de là mais j'étais pas sur donc j'ai rien dit. Ah mais ouais la légende arthurienne c'est pire que top !
Sujet: Re: ANNA ~ un ange a ma table Sam 30 Juin - 17:18
MINNISSHA ~ alorsss là oui je crois que je te kif aussi déjà !! & qu'on va bien s'entendre. Je suis aussi une GRANDE fan de Merlin.( Et des légendes arthuriennes en général ^^. ). Maiss oui Bradley James quoi !! Grave en bad girl elle est vraiment vraiment extra !! Enfin voilà on va très bien s'entendre je crois