Sur la pointe des pieds, je slalome entre les cigarettes des fêtards amassés devant le bar en secouant mes bras. Je reçois une flopée de jurons au passage mais je m'en branle, il faut que je me tire de là. A la moindre étincelle, je m'embrase et peut postuler pour un rôle dans les quatre fantastiques : la torche humaine. Pourquoi ? Demandez à la brune au nez de travers et sa copine qui a tellement de tâches de rousseurs qu'on pourrait croire qu'elle a la varicelle toute l'année. Moi, girouette ? Parce que je les ai trouvé canons avant qu'elles me jettent chacune un verre de Gin à la gueule (avec des olives, des glaçons et une rondelle de citron vert, qui doivent traîner quelque part sur mon trois pièces Armani qui coûte trois fois plus cher que leurs robes dégueulasses et recouvre soixante dix pour-cents de peau en plus) ? Faut dire que j'dois frôler les trois grammes. Un dans chaque bras. Cherchez pas, le compte est bon. Goujat, maintenant ? Allons, peut-on juger un homme avec un taux d'alcoolémie qui ferait vomir un éthylotest ?
Aucune foutre idée d'où j'ai garé ma berline. C'est peut être mieux vu mon absence de vision périphérique, mon équilibre précaire et l'état de mes nerfs. Prendre un taxi ? Et puis quoi, encore ? J'ai besoin de rien ni de personne. Même si j'adore mes Tommy Hilfiger qui m'ont coûté deux cent balles et que ça m'fait chier d'avance d'user mes semelles sur ces petites routes farcies de gravillons, je préfère ça à en balancer cinquante à la gueule d'un chauffeur désagréable qui me demandera de ne pas vomir sur ses sièges poisseux. On appelle ça claquer son oseille intelligemment. Lequel d'entre vous m'a traité d'emmerdeur ? J'ai tout entendu. J'y vois peut être pas super clair mais mes oreilles se portent bien, et vous savez quoi ? Allez donc voir au bar avec les deux laiderons si j'y suis. Ah, et, pour votre information, j'ai pas de problème avec l'alcool. C'est lui qui en a un avec moi. D'ailleurs, il est pas le seul, mais comment dire... Vous voyez ce sans domicile fixe qui mendie au coin de la rue, là bas ? Le vieux qui empeste encore plus que moi et mes effluves de Whisky, Gin et Tekila, en haillons, sous le lampadaire. Je suis sûr qu'il pue même plus que son clébard à moitié galeux. Voilà, lui, auquel je passe devant en agitant ma Rolex, torse bombé, avec mes pompes cirées dans la matinée. D'eux, qui me maudissent et m'injurient, je m'en fous autant que ça.
Comment souvent, j'arrive à l'hôpital avec une demi-heure de retard, trop d'aftershave et mon sourire sensé agir comme un baume réparateur, pour m'éviter tous mouchardages de la part de mes collègues scotché, sur ma belle gueule même pas enfarinée. Pour me réveiller, j'ai fait un tour dans la salle de stockage et me suis injecté un shot d'adrénaline. Tandis que j'avance en replaçant le col de ma chemise, je sais que mes cheveux brillent, mes canines pointent et que j'ai le monde à mes pieds. Pour preuve : mon passage fait s'éventer une bande d'infirmières, dont j'ai déjà dû faire tomber la blouse entre deux consultations, et elles se jettent entre elles des regards de hyènes prêtes à se battre pour ma tendre carcasse. Taquin, je vole un dossier à Insatiable et frôle la hanche de Fesse-tatouée. Je sais, je pourrais lire leurs prénoms sur leurs badges mais elles ont toutes des surnoms bien plus évocateurs dans ma tête. Un sourire canaille aux lèvres, je pars derechef engueuler mes internes, sans motif valable bien entendu, simplement pour bien commencer la journée. C'est mon rituel. La suite ? Et bien, après leur avoir refilé le sale boulot et avoir fait acte de présence quelques heures, j'irais d'abord me vanter auprès de mon supérieur que j'ai guéri un cas très avancé de Chlamydia et évité à une jeune fille de seize ans de finir aveugle et stérile. L'étape suivante, ce sera moi quittant l'hôpital en héros, une demi-heure en avance, prétextant une visite surprise de ma mère. Est-il utile préciser que cette vieille peau est morte l'année dernière ? Et qu'une infirmière me courrait certainement après pour que je la raccompagne ? Trop d'évidences tuent les évidences, vous ne trouvez pas ?
Si je vais au restaurant tout le temps, ce n'est pas parce que j'ai des rencards tous les soirs et de l'argent en masse planqué sous mon matelas à eau. En vérité, c'est parce que j'ai un gros défaut. Il en faut bien un. Mais je n'ai pas honte de l'avouer : je ne sais pas cuisiner. Par contre, j'adore manger. Je me dirais même bien gastronome, mais cela paraitrait sans doute un poil prétentieux et ce n'est pas du tout mon genre. (Pourquoi j'en vois rire dans le fond ?) Il faut dire qu'en me mariant, j'ai été très mal habitué. Madame Jonhson était une foutue cuisinière de génie. Oui, était, car je ne suis pas en train de la tromper avec Stefanie, qui me fait du pied sous la table. Ou peut être était-ce Tiffany ? La seule chose dont je suis sûre, c'est qu'elle a les dents super blanches. Sûrement à force de les lustrer avec sa langue. Mais comme je suis un gars optimiste, je vois les choses du bon côté : les balafres, ça fait craquer les nanas. Si vous saviez combien j'en tombe depuis qu'elle m'a quitté... Je ne lui en veux d'ailleurs pas du tout, à cette sal*pe. Pas-du-tout. Maintenant, je peux me taper des tas d'Annie tranquille et je me suis jamais autant fait astiquer que depuis qu'elle s'est barrée.
Feu ma femme et moi, on s'est donc séparés. Ou plutôt, elle m'a séparé... le cœur en deux. Comme ça, crac. Un matin, elle m'a balancé les papiers du divorce et un coup de sac à mains. Soit disant (dans son imagination de folle dépressive) je fricotais avec tout le quartier. Certes, je suis un charmeur inné. Même la factrice croit avoir un ticket. Mais, elle, elle m'a aussi demandé de ne jamais changer, alors faudrait savoir se montrer un peu moins contradictoire ! De la mauvaise foi ? Où ça ? Tout est de sa faute à elle. Elle a aussi craché que, à cause de moi, elle suivait une thérapie, mais déjà, je ne l'ai jamais envoyée se faire vider les poches par un charlatan (en plus, elle avait déjà un beau parleur à la maison) qui lui donnerait des conseils foireux, comme, par exemple, se débarrasser de moi. Ensuite, et cette phrase est la plus nulle et la plus cliché de l'univers, elle a dit... que je la regardais plus. Alors que, présentement, mon regard était braqué droit sur elle, plein cadre, dans le mille (en plein sur sa poitrine, peut être, mais là n'est pas la question). Très logique, comme attaque. Mais, encore mieux, elle avait une preuve irréfutable : j'avais pas remarqué ses nouvelles chaussures ! Pour tout vous dire, j'ai vraiment cru qu'elle me prenait pour un con quand elle l'a sortie, celle-là, et je suis navré, mais c'était physiquement impossible de ne pas éclater de rire. Même un paralysé du visage se serait fendu la poire. Franchement, les filles... D'où un argument pareil peut-il vous paraître recevable ? N'est-ce pas de notoriété publique que nous, le sexe opposé, ne savons pas faire la différence entre deux paires d'escarpins rouges ? Vous, vous pensez au bout rond, pointu, aux attaches dorées, aux talons aiguilles et compensés, de cinq à douze centimètres... Mais pour nous, pauvres incompris, c'est juste des putain de godasses rouges sexy ! Et c'est déjà beaucoup, si on sait de quelles couleurs elles sont, vos chaussures. Parce que vous avez des jambes, des fesses, une chute de reins, des seins, un cou, des lèvres et des yeux beaucoup plus tape-à-l'oeil et agréables à reluquer, sans vouloir vous vexer. Je sais que vous a-do-rez vos mille paires de chaussures. Mais, nous, on s'en contrefout.
Donc, je suis divorcé. Évidemment, ça s'est pas fait à l'amiable. Quand on m'attaque, je sors les crocs. Comme un Sphénodon, quand je mords je ne lâche pas facilement ma prise. Ou alors faut me couper la tête, mais j'ai la peau (et la dent) dure. Au final, moi, le petit anglais qui l'avait charmée pendant un de ses voyages d'affaires, je l'ai donc gentiment mise à sac. Depuis, je fais bon usage de son héritage familial en vivant comme un pacha, un millionnaire célibataire, un odieux gentleman à qui rien ne résiste plus et je prends un malin plaisir à m'afficher dans les journaux locaux pour la narguer. Un connard, je suis bel et bien également. Mais dans l'histoire, j'ai quand même eu le cœur brisé. Faut dire qu'en vérité, c'est elle qui m'a trompé. J'ai engagé un privé et il a déterré toute la pourriture qu'elle m'avait caché en quatre ans de mariage. Deux mois après nos vœux, elle les brisait en se faisant culbuter par un stewart, sans doute affriolée par l'uniforme. « J'étais jeune et conne » qu'elle a scandé. « PUTE », j'ai hurlé devant le juge qui m'a jeté le même regard outré que mon père la première fois que j'ai dit « Merde ». On ne peut pas dire que ça se soit exactement bien terminé. Pour elle, en tous cas. Je l'avais peut être dans la peau, mais ce divorce, c'était comme gagner au Loto. Ce que je n'avoue pas, c'est que le beau pactol amassé par la super compagnie de beau-papa que j'ai touché grâce à mon voleur d'avocat, qui m'a soutiré une somme exorbitante, je l'ai comment dire... Déjà pas mal dilapidé. Mais ça, c'est le problème de mon banquier car, moi, je suis en train de me faire éclater la panse en charmante compagnie. Et, vous, vous avez déjà vu un mec qui roule en Ferrari bleu électrique compter les centimes dans un restaurant cinq étoiles ?
Malgré la pluie de dollars qui m'est tombée dessus et m'a clairement refait, c'est pas mon année. Je ne sais pas quel abruti de bureaucrate a pensé qu'avec un chèque on pouvait se reconstruire, réparer les dommages causés par un amour qui vous tourne le dos, mais c'est les pires foutaises du monde. Ce qui m'aurait vraiment soulagé, ç'aurait été de lui jeter l'anneau et qu'elle le prenne dans l’œil. Ou peut être pas, mais j'ai eu très longtemps envie qu'elle souffre. De la piétiner comme elle l'avait fait avec mon myocarde. Seulement, comme je l'ai pas sous la main car Madame a déménagé et s'est mise en ménage avec son enculé de coach sportif Porto-Ricain que j'ai toujours cru gay, je suis bien obligé de m'en prendre à quelqu'un d'autre. C'est là qu'entre en scène Fernando. Pas de chance, son superviseur, c'est moi et je suis pas d'humeur à jouer les baby-sitter. C'est pas que ce mecton ambitieux est le cadet de mes soucis... En fait, si, c'est exactement ça. Ou plutôt, il l'était, jusqu'à ce qu'il lui prenne l'envie de me faire virer. Au début, j'ai cru à des rumeurs idiotes, mais quand je l'ai confronté il ne m'a pas détrompé. Il a même osé me rétorquer que j'étais un mentor qui n'aurait pas su enseigner à une bande d'attardés. Peut être pas avec ces mots-là, mais c'est comme ça que je l'ai entendu. Si j'avais été un peu plus bourré et un peu moins civilisé, il aurait fait connaissance avec mon poing et eu une trace en trois dimensions de mes phalanges pour décorer son visage aussi expressif qu'un Ken encore emballé. A la place, j'ai ri. Le genre de rire qui vaut mille insultes toutes crues. Mais maintenant, je ne ris plus.
Je ne sais pas vraiment ce qui est pire. Est-ce le déni ? Cet instant de latence où on se convint que notre vérité à nous est plus puissante que la réalité que les autres nous renvoient au visage... Ou est-ce le moment où on est forcé d'ouvrir les yeux ? Alcoolique. Opportuniste. Bourré d'artifices. Quasiment fauché. Trou du cul fini. Menteur notoire. Le tableau vous plait ? C'est mon portrait. Avec leurs yeux. Bon, ma carte bleue chauffe dans les bars et, non, je ne fais pas que regarder ce que je commande. J'ai deux voitures clinquantes de marque italienne et si je ne savais pas baratiner les flics, j'aurais déjà perdu mon permis trois fois. De temps à autres, je me sers dans les fournitures de l'hôpital pour un usage personnel peu licite. Je dis « Je te rappellerais » tous les matins sans enregistrer leurs numéros. J'aime pas la solitude mais je ne fais pas le petit déjeuner. J'ai du goût, un standing à respecter et une classe naturelle à entretenir. Si ça leur donne raison ? Absolument pas. Parce que ce n'est que la pointe de l'iceberg. Et c'est bien connu, à moins d'avoir loupé Titanic (alors que merde, il a récemment été rediffusé au cinéma en 3D), les icebergs, ça en impose. Ils ne savent rien, ils croient savoir. Et ça n'a rien à voir.
D'un point de vue extérieur (disons celui de ma sœur) j'ai effectivement fait mot lot de conneries depuis que ma moitié m'a planté. Je l'ai pas mentionné, parce que ça me fait bien chier, mais j'étais fichtrement amoureux de cette garce et quand elle est partie, ça m'a retourné le cerveau. Alors, j'ai essayé les drogues et l'alcool pour le remettre à l'endroit mais, à ce qu'on dit, c'est un cercle vicieux. Dans ma tête et dans ma vie, c'est le bordel et j'ai jamais été réputé d'être un mec très ordonné, sinon j'aurais pas engagé une bonne à tout faire pour ranger derrière moi. Les mecs malheureux, ça fait un peu n'importe quoi. Voire, beaucoup. Passionnément, à la folie... C'est pas une excuse ? Putain, mais faire des erreurs, ça fait juste de moi un fichu être humain. Mais, visiblement, le p'tit Ferny a pas appris ça non plus à l'école. Il peut toujours se cacher derrière des bonnes raisons, son avenir et tout le reste, mais au fond, la vérité c'est qu'en essayant de ruiner ma vie il prend son pied. Il se sent important. Mais il va perdre. Plus que moi, je vous le dis. Il a choisi le mauvais gars à emmerder et ça ne va pas se passer comme ça. Je viens d'être convoqué dans le bureau du grand chef de l’hôpital et pour l'occasion, j'ai revêtu mon plus beau et plus hypocrite sourire qui a toujours fait l'affaire. C'est pas ce petit con qui va mettre fin à ma carrière. Foi de mec qu'a plus rien à perdre.
« Arrowsic, I love you, but you're bringing me down. »
welcome to our world. nice to meet you.
I'm not a story teller. I'm just a girl, lost in her Wonderland. ❖❖❖ A M L Y.
Le rôle est en partie issu de l'imagination de Ferny, soit Fernando Gautier-Perez, autrement dit mon souffre-douleur. Moi, on me surnomme donc Amly ou me crédite parfois sous Amlysavethequeen. 21 ans, un pied en France et un en Angleterre. J'aime faire des phrases sans verbe. J'ai mille et un visages dans le monde des RPgistes, que je côtoie depuis sept ans maintenant. (Baaah, un vieux croûtooon.) Que dire d'autres... J'ai beaucoup d'auto-dérision ? J'écris comme je respire ? Aussi, je fais de la télépathie avec mon Itunes. Photoshop et moi sommes en instance de divorce. Un jour je mourrais d'une crise de foie en ayant ingurgité trop de chocolat noir ou d'un cancer car je fume comme une caserne de pompier (ouais, un pompier ça suffisait pas.) Voilà, voilà. (Ça se voit que j'aime pas trop parler de moi ou..?) Sinon, THUB je connaissais déjà, si je reviens c'est que j'avais bien aimé. Je n'en dirais pas plus car j'aime le mystère. *s'enfuit dans la nuit... même s'il fait jour.*
Dernière édition par Anton L. Jonhson le Sam 18 Aoû - 1:21, édité 34 fois
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Anton ❖ As long as my brain, my penis and my fingers work, I'm cool. { done Ven 17 Aoû - 0:26
Bienvenue bienvenue mon futur pire ennemi oh mon dieu. Je jubile que tu tentes ce scénario je te jure en tout cas merci merci merci et ton petit gars, je le connaissais pas, mais je l'adore déjà. J'ai jamais d'idées pour les célébrités donc c'est bien de laisser libre après les gens me ramènent des bombes j'espère que tu vas en faire des dégâts mon petit bref, je suis à ta disposition pour une quelconque question que tu pourrais avoir sur le scéna ou le forum bonne chance pour la fiche
Sujet: Re: Anton ❖ As long as my brain, my penis and my fingers work, I'm cool. { done Ven 17 Aoû - 0:47
Merci beaaaucoup. J'ai sacrément buggé en voyant ton pseudo Eesha, ma soeur porte le même.
Y'a pas d'quoi Ferny (moi aussi j'peux t'appeler Ferny ? Oui, je demande après, j'suis comme Anton, un peu sans gênes *PAN*) J'avance tout doucement, j'suis un peu en slowmotion. Mais je t'harcèle au moindre doute.
Oh, Priya. Toi aussi je t'ai dans ma ligne de mire. *pousse Anton qui reluque* J'espère que mon interprétation vous bottera.
Sujet: Re: Anton ❖ As long as my brain, my penis and my fingers work, I'm cool. { done Ven 17 Aoû - 1:36
Bienvenue sur le forum
Citation :
A la moindre étincelle, je m'embrase et peut postuler pour un rôle dans les quatre fantastiques : la torche humaine.
HAHA J'adore, je sens que ca va être un véritable plaisir de lire ta fiche, en tous les cas, bon courage Chuis pas SM, mais les fouets, ca marche mieux que les pompoms, c'est scientifiquement prouvé
Sujet: Re: Anton ❖ As long as my brain, my penis and my fingers work, I'm cool. { done Ven 17 Aoû - 14:20
Je suis en total accord avec les autres, GARRETT, DAMN. Ce que j'aime ce type. Bienvenue à toi, et super choix de scénario et d'avatar du coup. Bon courage pour ta fiche.
Sujet: Re: Anton ❖ As long as my brain, my penis and my fingers work, I'm cool. { done Ven 17 Aoû - 23:25
GARRETT, GARRETT, GARREEEEEEEEEEEEEEEEEEETT trop bon choix quoi, t'as tellement la classe. Bienvenue parmi nous, j'espère que tu te plairas sur THUB. et je pense que j'irai sur ta fiche de lien toi
Sujet: Re: Anton ❖ As long as my brain, my penis and my fingers work, I'm cool. { done Sam 18 Aoû - 0:16
Merci, merci, merci (again.) j'vous aime déjà, Anton aussi. (oui je suis schizophrène, fuyez avant qu'il ne soit trop taaard.) Allez, dans trois paragraphes je me suis assez étalée et la fiche de liens (si j'ai le rôôôôle of courz) n'est donc plus très loin.
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oh mon dieu. Je jubile que tu tentes ce scénario je te jure 
en tout cas merci merci merci 
et ton petit gars, je le connaissais pas, mais je l'adore déjà. J'ai jamais d'idées pour les célébrités donc c'est bien de laisser libre après les gens me ramènent des bombes 
j'espère que tu vas en faire des dégâts mon petit 
bonne chance pour la fiche 
*pousse Anton qui reluque* J'espère que mon interprétation vous bottera. 
Chuis pas SM, mais les fouets, ca marche mieux que les pompoms, c'est scientifiquement prouvé 
(très bon choix de scénario au passage 
TOI, j'te viole direct. 
Ce que j'aime ce type. Bienvenue à toi, et super choix de scénario et d'avatar du coup. Bon courage pour ta fiche. 
trop bon choix quoi, t'as tellement la classe. Bienvenue parmi nous, j'espère que tu te plairas sur THUB. et je pense que j'irai sur ta fiche de lien toi 
de ta manière d'écrire et je crois même avoir trouver notre lien (j'suis forte!)
