Sujet: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 15:46
Ryūichirō Yokozawa
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Yokozawa ⊰PRÉNOM: Ryūichirō ⊰ÂGE: 24 ans ⊰ORIGINES: Japonaise ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Héritier en fuite d'un clan Yakuza ( mafia japonaise ) ⊰STATUT CIVIL: Célibataire ⊰CRÉDITS: Deviantart ⊰AVATAR: Matsumoto Jun
please, tell me your story. i’m listening.
" Ça fait mal de grandir, changer. Si on vous dit le contraire, c’est un mensonge. "
On pourrait commencer cette histoire par il était une fois ... Mais on ne le fera pas, parce que d'une part, on n'est pas dans un conte de fées et d'un autre côté, parce que le"Il était une fois " est censé se conclure par " Et ils vécurent heureux à tout jamais ... " Ce qui n'est définitivement pas l'option à l'ordre du jour. Débutons donc par un simple ... Je suis né avec deux mois d'avance, un bébé très faible et pas forcément en bonne santé, ce qui aurait pu naître qu'un simple aléas de la vie, avait fortement contrarié mon père. En effet, sa femme étant stérile et incapable de lui donner des enfants, il avait pris une maîtresse dans le simple but de lui offrir un héritier, mais elle lui a offert un poids mort qu'il a été obligé d'expatrier dans une de ses maisons de campagnes de province. Si on pouvait croire à une simple naissance parmi tant d'autre, ce n'était pas vraiment le cas. Fils unique, j'étais pressenti pour succéder aux traces de mon père. Un grand homme d'affaires officiellement, mais que tout le monde savait être un des plus grands criminels et surtout le chef de famille d'un clan yakuza. Sa chaîne d'host club n'était qu'une simple couverture pour couvrir son réseau de prostitution, quant à ses offices de recouvrement de créances, il lui servait à blanchir l'argent sale de la drogue. Mais on n'est pas vraiment là, pour que je vous raconte la vie de mon père, non ?
Mon histoire à moi, c'est que j'ai été éloigné de ce monde pendant mon enfance et une partie de mon adolescence. Dû à ma santé, je résidais sans mes parents avec à mon service pléthore d'hommes de mains de mon père, mais aussi une gouvernante et des professeurs particuliers. Traité en roi, en raison de mon statut, je n'allais pas forcément me forger le plus tendre des caractères. La seule personne capable de me faire redescendre de mon nuage, c'était Kyosuke Takeshi, le fils de ma gouvernante. Il avait deux ans de plus que moi, mais il était surtout le seul véritable ami que j'avais dans ces lieux. Il était le seul à me traiter en égal et pas comme un petit souverain.
- Yokozawa-sama, il est l'heure de votre leçon. - Ta gueule, tu m'énerves, casse toi le vieux ... Même à neuf ans, je n'avais pas le vocabulaire très édulcoré, et je le toisais de mes yeux couleurs d'ébènes avec une malveillance et un dégoût qui n'avait que d'égal la solitude que m'inspirait ses titres de déférences. - Ryucchan, tu ne dois pas parler comme cela à Senseï. Je me retournais vivement pour voir mon meilleur ami posait sur moi, une moue de reproche me faisant rougir jusqu'aux oreilles. Mais j'affichais cependant un air bravache et un sourire tremblant alors que je me moquais misérablement de lui - Kyo-kun, tu oublies que j'ai tous les droits dans cette maison ... Cependant, au lieu du sourire, proche de celui d'un grand frère auquel j'avais le droit en temps habituel, son regard ne fit que se durcir alors qu'il quittait la pièce, sans rajouter un mot. Je l'avais déçu, il n'y avait aucun doute à avoir. Je n'avais guère l'habitude de jouer de mon titre auprès de lui et l'avait toujours traité en égal, comparé aux autres. J'avais parfaitement conscience d'être égoïste, égocentrique, colérique et pas vraiment très objectif, mais mes défauts, je les mettais de côté quand il s'agissait de mon grand frère d'adoption. Et comme bien souvent, je n'avais qu'une seule chose à faire, obéir à ce foutu professeur, assisté gentiment à ma leçon et courir voir mon ami, une fois cette dernière finie pour me faire pardonner. Obtenir le pardon de Kyosuke n'était jamais bien difficile en soit, surtout quand cela me concernait, il avait là même faiblesse pour moi, que moi pour lui.
Honnêtement, mon enfance n'était pas plus excitante que cela, mes journées entre mes différents cours que ce soit institutionnel ou d'art martiaux, mes jeux et disputes avec Kyosuke. Et mes caprices dignes de ce nom. Je n'avais vraiment aucune conscience de ce qui pouvait m'attendre, lorsque j'atteindrais mes quatorze printemps et que mon père se rappelerait mon existence. Comme ma santé s'était nettement amélioré, et je n'étais plus le chérubin chétif à protéger. Je me souviens encore de la première fois que j'ai vu mon père, cet homme aux cheveux grisonnants, à la moustache fine et aux traits sévères. De la furtive seconde, où je me suis demandé qui il était, car je ne connaissais de lui, que photos et racontars.- Assieds toi, Ryūichirō-kun. Et pour une fois, je n'osais pas protester l'ordre que je recevais alors que je m'asseyais, face à cet homme si impressionnant. Il avait ce calme indubitable, mais le ton de sa voix avertissait qu'il ne fallait mieux pas plaisanter devant lui. Il m'informa que ma vie d'exilée, prenait fin et que j'allais rejoindre Tokyo, pour apprendre les ficelles du métier. J'allais intégrer un collège et apprendre à vivre parmi les gens "normaux", un passage obligatoire selon mon père. Et on peut dire que la pensée me terrorisait, ce qui n'était guère l'image que je voulais renvoyer à mon père, mais je ne voulais pas quitter ce cocon de sûreté et surtout Kyosuke. Je n'étais pas un véritable fan des personnes. Mais mon plus vieil ami sentant, probablement ma détresse, demanda de pouvoir m'accompagner, en suppliant mon père. Ce en quoi à l'heure d'aujourd'hui, je lui serais toujours reconnaissant. On peut dire ce que l'on veut, mais c'est dans ces moments-là, que je savais que j'avais un ami qui ne me côtoyait pas seulement pour mon titre, mais bel et bien à cause de moi.
Voilà, comment mon univers aseptisés, changea du tout au tout, mes "oncles" se multipliant et mes contacts avec un monde bien différent grandissant. Honnêtement, cela n'améliora guère mon caractère bien précaire. Mes crises de colère se doublaient d'accès de violence et souvent mes petits camarades d'école en faisait les frais. Je ne les supportais pas ses insectes, je les méprisais de tout mon être. Peut être parce que je les jalousais plus que tout au monde, eux qui avait un avenir libre. Eux qui n'avait pas de destinée toute tracée, eux qui n'avait pas leur faits et gestes, constamment épiés. L'année de mes quinze ans, je savais manié les armes blanches, les armes à feu, j'avais perdu ma virginité entre les bras d'une des filles peu vertueuses qui bossait pour mon père et j'arborais le tatouage distinctif de l'appartenance à mon clan, fait à l'ancienne. Mon enfance, bel et bien loin derrière moi. Et ce n'était pas les scrupules qui m'étouffait vraiment, après tout, je n'avais pas d'autres choix de carrière possible. Seulement, je savais que Kyosuke aurait voulu m'offrir la possibilité d'une autre vie. Etant donné qu'il était le seul à savoir ma détresse à être ce que je n'avais jamais demandé à être.
" Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d’être un homme. "
Je la regardais avec dédain, cette insolente qui pensait probablement que j'étais un prince à sauver sorti tout droit d'un shôjo manga et sans ménagement je la repoussais en lui crachant sans douceur au visage un - Dégage de mon chemin, mocheté. Ses larmes ne me procurant aucune culpabilité, elle n'était rien pour moi, mais le coup violent s'abattant sur l'arrière de mon crâne, me faisant fronçait les sourcils alors que Kyosuke se posait devant moi, me bloquant effectivement le chemin - Ce n'est pas une façon de parler aux autres. Comme d'habitude, il était là, pour s'assurer que j'ai un minimum de savoir vivre, mais je n'étais pas d'humeur et détournait le regard avant de marmonner - Je ne lui ai rien demandé moi, c'est elle qui est venue m'emmerder ... - Excuse toi, Ryucchan. Le ton de sa voix était clair, je n'avais pas intérêt à me défiler, que je pouvais le détester d'insister à ce que je sois plus poli. Les excuses peu sincères, jeté à la va vite, je m'enfuyais, humilié dans mon orgueil débordant. Mais mon meilleur ami me rattrapa rapidement, passant son bras autour de mon cou, un sourire sur les lèvres. - Arrête de bouder, Ryucchan ... Je le repoussais sans conviction, cachant un sourire et grognant sans force - Arrête de m'appeler comme ça, je ne suis plus un enfant. Son rire vif éclatant à mes oreilles, l'arme la plus puissante pour que je continue à garder ma mauvaise humeur plus longtemps. Son bras se resserrant autour de mon cou, alors qu'il ébouriffait mes cheveux avec tendresse - Tu seras toujours mon capricieux petit Ryucchan. Je roulais des yeux, lui collant un coup sans force contre le torse avant de secouer la tête et reprendre mon chemin. Une scène comme une autre, depuis que j'avais intégré le lycée. Une scène qui ne faisait qu'accentuer mes peurs, à l'idée de voir Kyosuke partir à l'université à la prochaine rentrée. J'allais me retrouver seul et je devais sans lui, je risquais probablement de me retrouver dans de sales draps rapidement.
Et mes prédictions se révélèrent plus qu'exact, une fois seul, j'enchaînais les problèmes au grand désagrément de mon père. Il n'aimait pas beaucoup que son fils unique attire l'attention sur lui. Oui, en dépit de son statut de criminel, mon père était encore un des rares à utiliser le code d'honneur des temps jadis, inspiré par les samouraïs. Le Ninkyōdō (la voie chevaleresque) : Tu n'offenseras pas les bons citoyens. Tu ne prendras pas la femme du voisin. Tu ne voleras pas l'organisation. Tu ne te drogueras pas. Tu devras obéissance et respect à ton supérieur. Tu accepteras de mourir pour le père ou de faire de la prison pour lui. Tu ne devras parler du groupe à quiconque. En prison tu ne diras rien. Il n'est pas permis de tuer un katagari (personne ne faisant pas partie de la pègre). Et je me retrouvais souvent cloîtré chez moi, sans aucune possibilité de sortie pour éviter de m'attirer encore plus d'ennuis, selon lui. Mais, je ne me calmais pas pour autant, n'ayant plus vraiment personne me servant de catalyseur.
Peut être que mon père l'avait compris, ou peut être qu'il avait décidé de cela depuis longtemps, mais pour mon dix-huitième anniversaire, il m'informa que j'allais devoir participer à un miai, un rendez-vous dans le but de me trouver une future femme. J'accueillis la nouvelle avec mon attitude habituelle. - Tant que je n'ai pas à être fidèle à la grue qui te conviendra. Le regard noir que je rencontrais ne me fit guère trembler et la claque violente s'abattant sur ma joue me déstabilisa à peine. - Surveille tes manières, fils. Un rire grimaçant de ma bouche, étant moi-même le fils d'une maîtresse, je ne pouvais que m'amusais de l'ironie de son attitude. Mais je savais que je n'aurais guère le dernier mot avec cet homme, alors je me contentais de tourner les talons et retourner dans ma chambre. Encore une fois, le choix m'était ôté des mains. La liberté, une utopie. Je ne laissais cependant pas le poids de tout cela me diminuait, mais sans Kyosuke à mes côtés pour alléger tout cela, je sombrais encore plus dans la noirceur qui avait élu résidence dans mon être. Je rencontrais ma future femme, quelques jours plus tard, une femme soumise, insipide et sans saveur. Qui ne protesta même pas, mon manque de savoir vivre. Mon père espérait-il vraiment me calmer avec ce genre de sainte nitouche ? Je ne pouvais que me moquer de son manque d'intuition pour une fois.
Le pire arriva alors que j'avais dépassé depuis peu mon vingtième anniversaire. Mon mariage n'avait pas encore été officialisé, j'avais réussi à convaincre mon père d'attendre la fin de mes études. Et je cumulais les aventures sans me souciait d'une pseudo fidélité. J'avais aussi pris du grade dans la famille et j'étais présent presque prêt à prendre la succession à la tête du groupe. Kyosuke revint de ses études, à cette époque. Je me souviens que je n'avais même plus la force ou l'ombre d'un sourire en réserve pour mon vieil ami. Je lui donnais le même traitement froid qu'aux restes de l'humanité que je côtoyais quotidiennement. Je pouvais lire la tristesse et la culpabilité au fond de son regard et je devinais aisément qu'il regrettait probablement d'avoir quitté mes côtés. Cependant, je ne pensais pas qu'il tenterait de se rattraper de manière si insensé. Je ne me rappelle plus avec exactitude la scène, seulement le bar enfumé, mes mots impolis à l'encontre de ses quelques chinois, des coups de feu, de la lame aiguisé se dirigeant vers moi et de mon ami s'interposant et recevant le coup fatal à ma place. Je me souviens du sang sur mes mains, alors que je prenais son corps contre le mien, sous le choc. La lumière de ses yeux s'éteignant, il était en train de mourir - Imbécile, pourquoi as-tu fais ça ? Les mots hurlaient avec la rage dû à ma tristesse, il venait de me sauver la vie. Mais sa vie n'était pas plus essentielle que la mienne. - Kyo-niisan. Ma voix se brisant, alors que les larmes coulaient le long de ma face depuis bien longtemps et se fut la dernière fois, où je me laissais aller à une telle démonstration de détresse. Ses doigts se serrant autour de mon poignet, avec un dernier élan de force, il murmura à bout de souffle un - Gomen, Ryucchan. Ses paupières flottant un instant avant de se fermer à jamais. La seule personne ayant de l'importance dans mon existence me quittant.
Je n'assistais pas aux funérailles de Kyosuke, occupé à arpenter les rues de Tokyo à la recherche de ses assassins. Je finis par les retrouver, et je ne laissais pas vraiment ma raison parler, une fois de plus. Je me précipitais, arborant rapidement du sang sur mes mains. Ma nature colérique transformé en véritable fureur sans limite, je les tuais sans l'ombre d'un remord, causant plus d'un problème dont je n'avais pas encore conscience. La vengeance irréfléchie me conduisant sur le chemin qui me conduit ici, aujourd'hui. Mes victimes n'étaient pas des victimes comme les autres, je l'appris par la suite, alors que je faisais face à mon père, son air sévère sur le visage, j'y voyais pour la première fois, une lueur de peur. Je venais de provoquer les foudres de la triade chinoise contre moi et contre mon clan entier. Mais malgré cela se fut probablement la seule fois que mon père ne me fit pas un seul reproche, comme ci, il comprenait la peine, la douleur inépuisable que représentait la mort de Kyosuke. Comme ci, ma vengeance était mon droit de naissance. Cependant, étant héritier, mon position était plus complexe, si mon père pouvait acheter le silence de la police sur mon crime, il ne pouvait pas me protéger contre les attentats si je restais sur les terres du Japon. Rapidement, le choix n'en fut une fois plus un. La fuite. Je n'étais pas lâche, et j'étais prêt à affronter les conséquences, mais mon père me rappela que j'avais des responsabilités, bien plus importante que mon orgueil. Il réuni rapidement de fortes sommes d'argent, les dispersant sur des comptes intraçables et mon errance à travers le monde commença. Je devais rester le moins possible stable, avoir le moins de contact possible avec les membres du clan. - Quand l'heure sera venu où tu pourras rentrer, je retrouverais ta trace, ne t'en fais pas. Maintenant pars.
Il y a quelques mois, j'ai atteri dans ce bled paumé du Maine, où je doute de voir venir quiconque me chercher. Et je ne devrais probablement pas rester longtemps, ou attirer l'attention sur moi, mais soudain l'idée me vient que j'ai peut être enfin ma chance d'écrire ma propre destinée. Tout le monde ignore tout de moi. Pour les gens du coin, je suis probablement un japonais excentrique, vivant quasiment comme un reclus dans sa maison.
p'tit lexique pour aider : - Gomen => Désolé - Oniisan => Grand frère - Kun = ajouté à un nom masculin il signifie qu'on l'apprécie. - Chan => Démonstration d'affection surtout envers une personne plus jeune ou une fille - Sensei => est employé avec n'importe qui ayant des connaissances supérieures aux nôtres (professeurs, maîtres d'arts martiaux, politiciens,...) - Sama => utilisée pour désigner les personnes que l'on pourrait appeler des maîtres. - Shôjo manga => manga destiné aux filles
welcome to our world. nice to meet you.
Ouh vu que c'est une présentation libre, je la verrais correctement plus tard, je crois bien. Je suis nulle à ce genre de truc, enfin à savoir, je m'appelle Aurore, j'ai connu le forum par un de vos membres, suite à une recherche xD mais en faite, j'y avais déjà vécu quelques temps, il y a fort fort longtemps avec la jolie Erica Durance. Bref, encore merci à Matys & Quinn, pour m'avoir rassurer sur le faite que mon personnage ne sera pas marginalisé. En tous les cas, je me souhaite bon courage à moi même pour ma fiche :P
Dernière édition par Ryūichirō Yokozawa le Mer 15 Aoû - 16:58, édité 9 fois
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 15:55
HAAAAAN, l'asiatiqueeeeeeeeeeee moi je trouve qu'il a trop la classe ce bonhomme là dis donc, même si je connais pas Bweeef, moi je me ferais un plaisir d'avoir un lien avec toi si ton histoire m'inspire un truc de fifouuuu héhé So, bienvenue, j'espère que tu te plairas ici Si tu as des questions, n'hésites pas
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 15:56
han le pseudo irréécrivable. (et surtout imprononçable ) j'aime bien en tous cas bienvenue ici. et puis ouais, elles ont eu raison, tout le monde a sa place ici, y'a pas de raison que tu sois marginalisé bon courage à toi même et à ta fiche, alors.
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 16:05
Merci à vous tous pour l'accueil
Et vouiiiii l'asiatique enfin le japonais pour être précis J'avoue que si on regarde pas les dramas ou on écoute pas de J-Pop, c'est genre l'inconnu au bataillon, mon mignon p'tit matsujun
Sutton, oui j'en conviens, vive le copié collé de pseudo, mais je suis aimable, je t'autorises à l’appeler Ryu et merci pour les encouragements, je vais tâcher de pas trop traîné pour ma fichette, j'ai déjà bien les idées et tout donc ca devrait aller
Heather, n'est-il pas trop kawaï enfin sans problème pour le lien o/
Bref, c'est décidé :
Faudra pas avoir peur d'avoir affaire à un héritier de Yakuza, j'en dirais pas plus la suite dans mon histoire ....
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 16:13
Je connais pas ton avatar mais il est cute je trouve. En tout cas ça fait plaisir de te voir inscrit. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 16:17
Merci Eesha ah ben à ce que je vois, y a quand même des gens qui connaisse sa p'tite tête à Jun
Et pour le pseudo, je te félicites mais en même temps, j'aurais pu faire plus simple en prénom japonais mais j'avoue j'ai un faible pour ce prénom <3 En même temps ton pseudo est fort original aussi
Quinn, merci bien à toi, ton p'tit message m'a bien aidé à me décidé à m'inscrire
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 16:55
Ah ah moi en général ma liste d'inconnu est souvent longue, je juges pas ( surtout niveau mannequins, j'y connais jamais grand chose )
Et pourquoi, tout de suite petit c'est pas de sa faute si il a pas mangé assez de soupe quand il était petit
Ben oui, tu crois quoi Non mais en faite, c'est que je me suis un peu planté dans le terme, mais comme il a pas vraiment de boulot en soi ... Cela me semblait le métier le plus approprié .... ou au final mettre directement son statut .... Well, we'll see
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 17:05
Ryūichirō Yokozawa a écrit:
Merci Eesha ah ben à ce que je vois, y a quand même des gens qui connaisse sa p'tite tête à Jun
Et pour le pseudo, je te félicites mais en même temps, j'aurais pu faire plus simple en prénom japonais mais j'avoue j'ai un faible pour ce prénom <3 En même temps ton pseudo est fort original aussi
OF COURSE QUE JE LE CONNAIS :3 Mdr, qui n'a pas regardé Hana Yori Dango une trentaine de fois dans sa vie ? (et tout un tas d'autres drama avec Jun qui sont irrésistible et dont tu tombes accrocs hyper vite !) ça me donne carrément envie de revoir tout une 31ème fois de plus :p !
T'inquiète, c'est la classe ton pseudo en plus ici on kiff les étrangers ici mon autre compte a pour avatar un acteur/mannequin Indien. J'peut te dire qu'ici, même si personne ne le connait, ils le kiffs tous (ou le déteste tous, va savoir)
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 17:15
mais mais... omg retenez moi avant que je lui saute dessus !! j'en ferais bien mon repas moi en tout cas, j'ai envie de dire que ton avatar est méga sexe ! mon dieu, je suis amoureuse aussi bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fichette ! en tout cas, ma petite bitch d'Ever va vouloir sauter sur ton petit Ryu *out*
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 17:21
Ryūichirō Yokozawa a écrit:
Ah ah moi en général ma liste d'inconnu est souvent longue, je juges pas ( surtout niveau mannequins, j'y connais jamais grand chose )
Et pourquoi, tout de suite petit c'est pas de sa faute si il a pas mangé assez de soupe quand il était petit
Ben oui, tu crois quoi Non mais en faite, c'est que je me suis un peu planté dans le terme, mais comme il a pas vraiment de boulot en soi ... Cela me semblait le métier le plus approprié .... ou au final mettre directement son statut .... Well, we'll see
non mais moi idem j'connais pas grand monde, et puis en plus faut que j'ajoute à ça ma longue liste de chansons inconnues mais que tout le monde chante tout le temps, parce que j'écoute pas la radio donc forcément, j'suis out là dessus aussi
j'lui en ferai d'la soupe moi. comme ça il sera grand et fort, comme pôpa et puis de toute façon, c'est pas la taille qui compte
non mais rentier c'est juste niquel là où il est hein. c'est juste que du coup pour lui la vie elle doit pas être bien difficile quoi
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 18:16
A. Eesha Johar a écrit:
OF COURSE QUE JE LE CONNAIS :3 Mdr, qui n'a pas regardé Hana Yori Dango une trentaine de fois dans sa vie ? (et tout un tas d'autres drama avec Jun qui sont irrésistible et dont tu tombes accrocs hyper vite !) ça me donne carrément envie de revoir tout une 31ème fois de plus :p !
T'inquiète, c'est la classe ton pseudo en plus ici on kiff les étrangers ici mon autre compte a pour avatar un acteur/mannequin Indien. J'peut te dire qu'ici, même si personne ne le connait, ils le kiffs tous (ou le déteste tous, va savoir)
Encore bienvenue on coco
J'avoue qu'HanaDan, c'est un classique dans le genre Comme tu dis, c'est dangereux pour les addictions, quoi que moi je l'ai connu avec Kimi Wa Pet
Oui, je vois ça, et ça fait zizir après avoir eu le droit à un traitement de glacier genre pôle nord sur un forum Bref, je regrette déjà pas mon inscription et j'irais voir ce fameux double compte * curiosité quand tu nous tiens *
Everleigh-Skye A. McQueen a écrit:
mais mais... omg retenez moi avant que je lui saute dessus !! j'en ferais bien mon repas moi en tout cas, j'ai envie de dire que ton avatar est méga sexe ! mon dieu, je suis amoureuse aussi bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fichette ! en tout cas, ma petite bitch d'Ever va vouloir sauter sur ton petit Ryu *out*
Merci bien pour ce bienvenue, mais fait gaffe à pas te faire mordre en lui sautant dessus, je lui ai pas encore mis son collier chien dangereux Je rigouuuuuuuuuuuuuules .... ou pas
Sutton-Rooney Keitel a écrit:
non mais moi idem j'connais pas grand monde, et puis en plus faut que j'ajoute à ça ma longue liste de chansons inconnues mais que tout le monde chante tout le temps, parce que j'écoute pas la radio donc forcément, j'suis out là dessus aussi
j'lui en ferai d'la soupe moi. comme ça il sera grand et fort, comme pôpa et puis de toute façon, c'est pas la taille qui compte
non mais rentier c'est juste niquel là où il est hein. c'est juste que du coup pour lui la vie elle doit pas être bien difficile quoi
Ah ah bienvenue au club, j'écoute rarement la radio aussi ... Non mais c'est bien, je me sens moins seule au monde des ignards Quoiqu'au final, le net, ça instruit aussi
Haaaaaaaaaaa de la sousoupe, je veux, je veux ... Mais comme tu dis, c'est pas la taille qui compte
Au contraire, ma chère, au contraire, elle est très dure sa vie ... Mais j'avoue, il a pas à se lever aux aurores pour aller se casser le dos au boulot, mais qui dit ne pas avoir de boulot, ne dit pas ne pas avoir d'activité très épuisante
Eirlys-Dawn A. Huxley a écrit:
Tu m'autorises à t'appeller Ryu aussi ?
En tout cas bienvenue et bonne chance pour la suite
Je sais pas, tu me donnes combien ? Non je blagues
En tous les cas, merci à toi aussi
Matys Di Conti a écrit:
RE BIENVENUE J'suis contente que tu sois revenue parmi nous en plus tu m'a trop intrigué, maintenant j'veux savoir ton histoire
Merci beaucoup, encore plus à toi de m'avoir convaincu de tenter ma chance
Et j'y bosses, j'y bosses à mon histoire, le mystère sera bientôt lever ... t'sais genre ... Je me donnes un style Non, mais là je suis entrain de mettre mes idées à plat, et je sens que ca va être beau au boulot, tout à l'heure, je vais réfléchir à mon histoire plutôt qu'à me concentrer
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 18:33
OUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIS UN COPAIN RINGAAAAARD non mais moi j'me sens trop out quand les gens sortent "putain la nouvelle chanson de machin elle déchire sa race"... et moi dans ma tête, j'suis là "non mais c'est qui déjà ce machin là ?" mais j'dis rien et j'me roule une clope dans mon coin plutôt que de me taper l'affiche tu vois jeracontemavie.com
toi tu vas me plaire... ... tu aimes la soupe et puis j'te cuisinerai des épinards pour que te poussent des tablettes de chocolat sur le torse, et que tu fasses fondre toutes les nanas d'un seul regard
oh mais même sans boulot il existe des activités bien épuisantes tu sais surtout qu'en gosse de riche, t'auras pas à chercher bien loin ( ) en tous cas, j'ai hâte de voir quel genre de dure vie tu vas lui donner moi
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 18:34
Ryūichirō Yokozawa a écrit:
J'avoue qu'HanaDan, c'est un classique dans le genre Comme tu dis, c'est dangereux pour les addictions, quoi que moi je l'ai connu avec Kimi Wa Pet
Oui, je vois ça, et ça fait zizir après avoir eu le droit à un traitement de glacier genre pôle nord sur un forum Bref, je regrette déjà pas mon inscription et j'irais voir ce fameux double compte * curiosité quand tu nous tiens *
Kimi wa Pet Ou l'un de mes dramas préféré, tellement j'me suis mit à regardé du Catch Ouais ouais !
Allez j'arrête le flood, oh que je suis mauvais ! Mais voici le double compte Ouais j'suis sex je sais :3
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 18:56
Ryūichirō Yokozawa a écrit:
Merci bien pour ce bienvenue, mais fait gaffe à pas te faire mordre en lui sautant dessus, je lui ai pas encore mis son collier chien dangereux Je rigouuuuuuuuuuuuuules .... ou pas
avec plaisir on verra qui mord en premier, t'inquiête, il sera pas le seul à sortir ses crocs, moi aussi j'en ai et j'ai des griffes et oué, la grande classe quoi
DOUBLE-COMPTE : Carlie. MESSAGES : 8680 ARRIVÉE : 07/09/2011 LOCALISATION : Dans le pays où on ne grandit jamais.
Sujet: Re: Il ait des sourires qui ne savent qu'avouer la tristesse du coeur. Dim 12 Aoû - 20:42
Whoo je crois que je vais vite raccourcir ton prénom Parce que je sais pas le prononcer ni l'écrire. Je suis une nouille N'empêche que ça gère. Il me fait penser à un membre des super Junior. Du coup j'ai "j'ai gagnééééé au loto" dans la tête. humhum Bienvenue à toi p'tit poisson.