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 Sunshine On A Cloudy Day. Pv Priya

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MessageSujet: Sunshine On A Cloudy Day. Pv Priya   Sunshine On A Cloudy Day. Pv Priya EmptySam 13 Oct - 12:01

I've got sunshine on a cloudy day. When it's cold outside I've got the month of May. I guess you'd say What can make me feel this way ? My girl Talkin' 'bout my girl I've got so much honey the bees envy me. I've got a sweeter song than the birds in the trees. I don't need no money, fortune, or fame. I've got all the riches baby.

L'odeur enivrante du nectar noir envahit ses narines, lui procurant une véritable sensation de bien être. Chassant une souffrance envahissante provoquée par un mauvais rêve. Supplice dominant son esprit de par sa complexité morbide, évoquant sans vergogne, un amour défunt. Illusion dont la réalité lui paraissait si frappante, se reflétant dans les goûtes de sueur de ce corps qui se déshydratait petit à petit. Ses prunelles s'étaient laissées tentées par une curiosité rongeante, le confortant dans l'intermédiaire entre le vrai et le faux. De longs cheveux lumineux, rivalisant avec l'éclat du soleil, une ingénue étoile parmi tant d'autres dont les étincelles avaient su ranimer ses yeux azurés. Sourire aveuglant, charmant de par sa pointe de malice le plus glacé des cœurs. Compagne sensuelle émanant de sa par son odeur, une passion sulfureuse et ardente. L'enveloppant dans des éternelles chimères, l'enfonçant un peu plus dans le gouffre. Cauchemar aux allures apocalyptiques creusant le plus profond de son être, lui rappelant avec férocité que tout est éphémère. Goût amer se répandent sur sa langue, le laissant perplexe et inquiet. Quittant son domicile avec l'étrange sensation d'avoir goûter ses lèvres une dernière fois.

Amour infâme, amour funeste, son cœur avait succomber à un battement de cils. Approche superficielle se révélant une vraie source d'intense ferveur. Combat contre une sentence prévue à l'avance. Luttant pour celle qui avait su tirer le meilleur de lui-même. Espoir se faisant oppressant, prières et croyances en vain. Cédant ainsi à sa condition de mortelle, prouvant une fois de plus que l'être humain n'est qu'une once même de l'Humanité. Filles de joie complétaient sa collection de poupée de porcelaine tandis que son prénom se dégageait en un subtil soupir de leurs délicieuses lèvres. Fontaines de jouvence dont il s'en était approprié, bon vivant cachant au plus profond de lui, un véritable mal être. Goûtant leur épiderme, oubliant leur saveur lorsqu'une nouvelle s'emparait de ses papilles. Libertin conscient de son pouvoir de séduction, en profitant et en faisant une arme. Mauvaises intentions n'étant pas de mise, le bon temps était sa seule et unique préoccupation. Oubliant ainsi une souffrance extrême. Évitant une douleur envahissante. Blessures profondes lui donnant envie de régurgiter son âme. Autrefois, il avait vécu ainsi. Malheureux, noyant son chagrin dans les plaisirs charnels. Confisquant tout ce que la vie proposait d'abominable. Regrets, remords, nostalgie, plusieurs sentiments avaient traversé l'esprit du jeune homme le laissant seul face à une impasse. Il attirait les femmes mais éveillait l'antipathie des hommes.

Ses pieds dansaient avec les fins grains de sable. Toucher somptueux lui apportant l'énergie nécessaire pour lui voler un léger sourire. Rictus déchirant ses lèvres alors que ses yeux bleus se fermaient, ne formant plus qu'une fine couche entre le réel et ses chimères. Rayons de soleil pénétrant son visage, éclaircissant ses cheveux blonds. Intensité déconcertante, ville représentant un infime point dans l'univers mais qui avait à elle seule, la capacité unique de le rendre serein. Mains masculines caressant un lit interminable lui offrant une autre perception du confort. S'allongeant, permettant à son corps de s’accommoder aux mouvements incessants de ce que la nature pouvait offrir de plus beau. Doux parfum exotique l'entourant d'un halo de lumière dont ses yeux s’empressèrent de se faire une place parmi les spectateurs.

« "La femme est une mer aux naufrages fatales." Qu'en pensez-vous Priya ? »

Se retournant légèrement, il aperçu le visage de la jeune femme. D'un geste de la main, il l'invita à prendre place auprès de lui. Présence féminine dont étrangement, il ne pouvait plus se passer.
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MessageSujet: Re: Sunshine On A Cloudy Day. Pv Priya   Sunshine On A Cloudy Day. Pv Priya EmptyDim 14 Oct - 1:09

Sunshine On A Cloudy Day. Pv Priya 11137104295079f061f3bd5wenn5904147
La voix de la mer parle à l’âme. Le contact de la mer est sensuel, et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte.




Sa longue chevelure brune détachée. Ses cheveux longs s'entremêlaient à cause du vent tandis qu'elle tentait désespérément de remettre quelques mèches rebelles en place. Priya marchait au bord de la plage d'Arrowsic, où l'eau, même glaciale, lui caressait délicatement les pieds. Une caresse tellement douce qu'elle en deviendrait presque une étreinte sensuelle. Comme on dit, la vue d'une belle mer est consolante. C'est ce que certains croient. Étrangement ils avaient bien raison d'y croire. Rien de mieux pour se remettre les idées en place, se sentir l'esprit apaisé qu'une petite balade au bord de la mer. L'air en plein visage, respirant cette fraîcheur capable de ranimer tout votre esprit. La belle brune était tranquillement en train de se trimbalait à lents pas, sans destination précise, quand son regard se posa sur James. Rencontre non récente mais, il n'en restait pas moins un inconnu. Un inconnu qui l'attirait, qui l'intriguait. Quand bien même elle ne savait pas grand-chose sur lui, le blondinet s'était tout de même invité dans l'esprit de la jeune indienne, malgré elle. Dans un rêve qui la troublait toujours autant, même aujourd'hui, même après plusieurs semaines. Allant vers lui sans vraiment patienter, comme une abeille attirée par le miel.

Elle n’eut pas besoin de parler que les yeux de James s’étaient ouverts. « "La femme est une mer aux naufrages fatales." Qu'en pensez-vous Priya ? ». Avait-il dit avant de se retourner vers la belle brune. Ses yeux partageaient bien des points avec cette mer vaste et étendue. Ils partageaient avec plus que cette couleur bleue accrocheuse dont Priya ne pouvait détourner le regard. Envoûtée. Comme ensorcelée par ce reflet de soleil, ses prunelles luisantes. Finissant par sourire, la brunette répondît à son invitation. Se posant à ses côtés sans rien dire encore, sans répondre à sa question aux traits philosophiques qui portaient un léger sens de romantisme, son regard se détourna du jeune homme et se posa sur ce bleu abondant qui leur faisait face. « Ce que j’en pense ? ». Ses lèvres s'étaient enfin séparées pour annoncer ces quelques mots, d'un air pensif. La force de cette citation demeurait dans le fait qu'on pouvait l'expliquer de diverses façons. Chacune de ces interprétations était différente et indépendante de l'autre. Priya venait d'avoir entre les mains une légère ouverture qui, si bien exploitée, lui permettrait d'en savoir plus sur cet homme qui l'intriguait tant, et ce sans le huer de questions déplacées ou de montrer réellement à quel point cette conversation était pour elle intéressante. « Ce n’est pas totalement faux même si nous ne pouvons l’appliquer à toutes les femmes. ». Ceci pouvait être correct, pour certaines femmes. Pas pour d’autres. Ça l’était pour celles déterminées. Celles que nous pouvons nommer des femmes fatales. Celles qui pourraient changer la vie d’un homme, le noyer de sentiments inexplicables, l’engloutir dans un tourbillon de sensations, sans que ce pauvre mâle ne puisse y résister, sans qu’il ne puisse y contester. C’est là où demeurait leur fatalité. Mais, pour certaines, c’était dur à concevoir. Certaines n’étaient que poupées. Des jouets utilisés vulgairement. Il leur arrivait d’avoir un certain impact sur certains hommes mais, souvent cet impact restait superficiel. Un impact qui peut être facilement dépassé et oublié dans les bras d’une autre femme. Donc non, pas toutes les femmes n’étaient capables de ça. De noyer quelqu’un dans leurs vagues, de le frapper de naufrages fatals. « Pour celles qui en sont capables, c’est là où demeure tout le délice. Ne pensez-vous pas ? », marqua-t-elle avant d’enchaîner. « Ça ne reste que mon humble avis mais, il est plus intéressant pour vous les hommes d'être frappés par un peu de difficultés avec ces femmes fatales que d'enchaîner facilement les conquêtes. Non ? ». Subtile. Sa question ne s'adressait guère à tous les hommes. Elle s'en fichait de tous les hommes. En cet instant précis lui seul l'intéressait, sa réponse seule l'intéressait réellement.


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