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 |  Sujet: Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready Jeu 30 Aoû - 5:54 | |
|  MACKENZIE ELIZABETH FISHER « smile. don't kill anyone. » NOM: Fisher. ⊰ PRÉNOM: Mackenzie Elizabeth. ⊰ ÂGE: 30 ans. ⊰ ORIGINES: Américaine. ⊰ MÉTIER/ÉTUDES: Assistante sociale. ⊰ STATUT CIVIL: En couple. ⊰ CRÉDITS: Athéna. ⊰ AVATAR: Evangeline Lilly.
welcome to our world.nice to meet you.
Hummm... plus simple quand il y a déjà des questions... Donc:
Mon pseudo, c'est Athéna (quoique à quelques endroits c'est Mafdet). Pour les intimes, mon prénom est Ariane. Je vis au Québec... j'adore lire, écrire, grapher, voir des films, suivre des séries télé, faire de la photographie (même si ça fait longtemps que je m'y suis pas adonnée), écouter de la musique... Ça fait longtemps que je connais le forum, j'ai toujours eu envie de m'inscrire, mais toute seule, c'était moins amusant. Maintenant que j'ai trouvé quelqu'un, c'est bien plus drôle, alors me voilà! Et mon personnage, bah il vient de mon imagination débordante (que je dois freiner parce que les idées arrivent toujours au galop!) et concernant les détails, ç'a été vu avec la personne qui incarnera mon Makan chéri!
Dernière édition par Mackenzie E. Fisher le Jeu 30 Aoû - 6:18, édité 2 fois |
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| | Sujet: Re: Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready Jeu 30 Aoû - 6:04 | |
| please, tell me your story.i’m listening. Cher Journal,
J’ai hâte que l’année scolaire finisse. Le temps est long depuis que Brad et sa famille ont déménagé à Miami. Au moins quand il était là, Lydia me fichait un peu la paix. Elle avait le béguin pour lui depuis des années et elle n’avait jamais compris qu’elle n’avait aucune chance parce que Brad, bah… il est gay! Bref, toujours est-il que lorsque Brad était là, elle me fouttait un peu la paix… mais maintenant qu’il est parti, elle s’en donne à cœur joie. Cette petite conne a décidé qu’elle allait me pourrir la vie et elle a commencé en beauté! Lundi, elle commençait par me piquer ma place dans l’autobus scolaire, mardi elle fout le bordel dans mon casier, mercredi c’était de mettre une tonne de sel dans ma soupe. Et aujourd’hui, elle m’a carrément prise dans un coin pour me menacer. Madame voudrait que je fasse ses devoirs pour augmenter sa moyenne. Évidemment, elle me propose de me laisser tranquille tant et aussi longtemps que je vais être gentille et faire ce qu’elle me demande – ordonne serait plus juste. Elle est tellement stupide… Comme si les professeurs n’allaient pas se rendre compte que ses notes augmentaient miraculeusement alors qu’elle était toujours incapable de donner des réponses à leurs questions en classe! Pfff! Ils ne sont pas tous très malins, mais ils ne sont pas stupides non plus. Faut pas les prendre pour des valises quand même!
Évidemment, j’ai refusé et l’autre imbécile, elle l’a mal pris. Pauvre petite, elle va devoir se contenter de couler son année. Ou trouver une autre pauvre cloche pour faire ses devoirs! C’est triste à dire, mais ça ne devrait pas être trop difficile. Elle aime faire régner la terreur et mener tout le monde à la baguette. Elle y excelle, mais moi, elle m’a jamais eue! En tout cas, chose est sûre, ça ne sera pas moi qui ferait ses quatre volontés! Bref! Je retourne à mes moutons: comme j’étais pour m’éloigner d’elle en faisant comme si je ne la voyais pas, il a fallu que la peste me tire les cheveux! C’est là que j’ai vu rouge. Je peux supporter bien des choses, mais qu’on me tire les cheveux et qu’on m’insulte, ça non, ça passe pas! C’est à ce moment-là que je lui ai mis un bon coup de poing sur le nez. Comme je le faisais régulièrement lorsqu’on était encore gamines. Moi si j’ai vieillit depuis, il faut croire que Lydia, elle ç’a pas été le cas!
Et bien-sûr, il fallait que Madame Cohen – la prof d’histoire – passe à ce moment-là! Évidemment, c’est moi qu’elle a vu frapper l’autre bécasse, alors c’est moi qui aie atterrit dans le bureau du directeur, moi qui aie dû supporter le sermon qu’il s’est senti obligé de me faire… et moi qui aie dû le regarder appeler mon père – prof à mon école – pour le faire venir parce que j’avais de «légers ennuis». Ouppss! La tête qu’il a faite quand il m’a vue dans le bureau. Depuis que je vis avec mes parents, mon père n’a jamais été très porté sur la discipline et ça, c’est sans doute dû aux circonstances entourant mon adoption, mais là, je sens qu’il regrette de ne pas avoir été plus sévère.
Là, c’est vrai que ça va mal tourner. Pour le moment, il m’a envoyée dans ma chambre en me disant qu’il était déçu et que me bagarrer avec les autres, ça ne réglait pas les conflits. Ç’a tout pris pour que je ne lui dise pas que c’était sans doute dans mon ADN! Qu’est-ce qu’il aurait pu répondre à ça, hein? Pour ce qu’on sait de mon père biologique et de ma droguée de génitrice, ça pouvait fort bien être vrai… mais je sais que ce n’est pas le genre d’arguments à donner à mon père dans des moments comme celui-là. Il va me dire que mes décisions ne dépendent pas de mon ADN, mais bien de moi, que mes réactions découlent de la façon dont j’ai été élevée. Des fois, c’est à croire que j’ai été élevée par les loups. Enfin… Maintenant, j’attends qu’il discute avec maman de ma punition. Je sens que je vais me faire retirer le droit de faire de la photo pour un moment. Et fini les soirées vidéo du week-end… Y’a pas à dire, cette petite conne de Lydia, elle va m’en faire baver encore longtemps! Au moins, son nez et les ecchymoses qu’elle aura sûrement seront ma récompense. J’ai presque hâte à demain pour voir combien il aura fallu de fond de teint pour cacher tout ça… et l’entendre expliquer pourquoi j’avais senti le besoin de la frapper! Finalement, ça vaut presque la punition que mes parents m’infligeront!
D’accord, je ne suis pas vraiment fière de m’être fait prendre, mais je ne regrette pas de l’avoir frappée. Ça, non, jamais! Lydia avait couru après! Je l’avais avertie que si elle continuait, elle aurait droit à un bon coup de poing. Et pourtant, ce n’est pas comme si elle ne savait pas que je pouvais la frapper! Elle y a eu droit à quelques reprises dans le passé! Faut dire que du plus loin don je me souvienne, elle a toujours cherché à me tyranniser. J’ai demandé à changer d’école, mais mon père ne voulait rien savoir et il me répondait inlassablement de ne pas m’occuper de Lydia, qu’elle finirait par me laisser tranquille quand elle verrait que je ne lui répondais plus… Bah oui! J’ai essayé! Mais ça ne fonctionne pas! La peste, elle revient tout le temps à la charge. Le seul moyen que j’ai trouvé pour avoir la paix, c’était de lui montrer que j’étais encore capable de lui donner un bon coup de poing. J’espère lui avoir cassé le nez à cette vipère! Elle l’aurait bien mérité!
- La terre appelle la lune. Vous me recevez? demanda Brad en claquant des doigts devant le visage de Mackenzie, parfaitement conscient qu’il interrompait ainsi le cours des rêveries de son amie.
- Hein? Quoi? Qu’est-ce qui se passe? répondit Mackenzie en sursautant. Pardon, je suis légèrement ailleurs, aujourd’hui. Tu comprends, avec l’histoire de la fillette battue qui a fait la une des journaux, j’ai du boulot par-dessus la tête. Il faut que j’interroge les proches, les voisins… Je suis vraiment débordée.
- J’ai bien vu ça, mais je pense que ce n’est pas tout ce qui t’encombre l’esprit, ma chérie! Tu ne m’as même pas entendu parler de ton rendez-vous avec Makan pour aller prendre un café alors que normalement, tu m’aurais déjà envoyé au Diable. s’esclaffa son ami avant de faire signe à la serveuse de venir prendre leurs commandes.
- Tu es déjà au courant? Bon sang! Ça s’est décidé hier! Il n’y a vraiment pas moyen de garder quelque chose pour soi dans cette ville! rouspéta la jeune femme avant d’attraper son verre d’eau pour en boire une longue gorgée.
Depuis qu’elle avait fait la connaissance de cet homme, Mackenzie avait l’impression de ne plus avoir toute sa tête. Elle faisait des idioties sans nom, elle était complètement folle. A vrai dire, elle s’était ridiculisée dès le moment où elle avait décidé d’essayer de l’impressionner à cette fête sur la plage. Déjà, elle avait failli figer sur place lorsque Brad les avait présentés. Encore heureux que la vie lui avait appris à ne pas trop montrer ses sentiments! Elle aurait eu l’air encore plus idiote, si c’était possible. Mackenzie s’était attendue à tomber sur un bel homme, mais beau comme celui-là, jamais! Brad n’avait pas menti. D’ailleurs, il lui avait dit que si Makan avait été gay, il aurait lui-même tenté sa chance… mais ça, c’était une autre histoire. Brad avait du goût en matière d’hommes, mais d’un autre côté, il tombait facilement amoureux et il finissait toujours par se faire faire mal. Enfin, c’était une autre histoire!
Mackenzie avait donc passé beaucoup de temps en compagnie de Makan. Au début, elle s’était attendue à ce que le bel hawaïen ne soit que beau, mais elle fut ravie de constater qu’en plus d’être beau, il était intelligent. Il était charmant, drôle, de bonne compagnie, aussi Mackenzie fut-elle heureuse de passer du temps avec lui à discuter… avant qu’il ne finisse par l’entrainer sur une planche de surf. Il fallait vraiment qu’elle n’ait pas toute sa tête! Certes, elle avait toujours eu envie d’essayer, mais la peur des requins l’avait fait repousser cette idée. Mais Makan avait fini par la convaincre de le laisser lui montrer à faire du surf… Ce fut long avant qu’elle soit capable de tenir debout toute seule, mais c’était tellement amusant! Et puis, sentir les bras musclés de cette belle montagne de muscles autour d’elle, c’était… woww! Voilà longtemps qu’un homme n’avait pas été aussi près d'elle et elle ne se sentait même pas mal à l’aise!
Après la séance de surf, une partie de volley ball fut organisée sur la plage et Mackenzie décida de se joindre à eux. Makan jouait dans l’autre équipe, ce qui n’était pas franchement juste si on pensait qu’il était bien près de mesurer deux mètres… et que le regard de la jeune femme était plus souvent posé sur lui – merci aux verres fumés qui cachaient ses yeux! – que sur le ballon. Mackenzie n’avait jamais été du type sportif. En tout cas, pas en ce qui avait trait aux sports d’équipe. Elle était vraiment trop compétitive et ne voulait pas perdre. C’était une maladie, mais elle essayait tout de-même de s’en guérir. Alors combinez cette soif maladive de toujours vouloir gagner et celle de souhaiter en mettre plein la vue à Makan… il était clair que Miss Catastrophe était de sortie! Il n’en fallut pas davantage pour qu’Mackenzie se retrouve allongée sur le sable… le haut de son maillot bien remplit. Génial! Évidemment, il avait fallut que le bel étalon s’approche d’elle en souriant et lui demande si ça allait. Pour essayer de sauver la face, Mackenzie s’était contentée de dire que c’était son orgueil qui en avait pris un coup. Plus tard par-contre, elle allait regretter d’avoir ouvert la bouche.
Lorsque le soleil s’était couché, un feu avait été allumé et ils avaient fait griller des saucisses et des guimauves. La bière coulait à flot bien-entendu. Les gens s’amusaient et Mackenzie était contente de voir que Brad s’était déjà arrangé avec certains de ses amis pour servir de chauffeurs à tout ce beau monde bien imbibé. Il était tard lorsque la jeune femme décréta qu’il était grand temps pour elle de songer à rentrer à la maison. Makan la raccompagna jusqu’à sa voiture…et sur une impulsion subite, Mackenzie l’embrassa… avant d’ouvrir vivement la portière de sa voiture et de démarrer pour partir avant que Makan puisse dire quoique ce soit. Parce que si l’expérience lui avait plu à elle, ça ne voulait pas dire qu’il partageait son opinion.
Les choses auraient pu en rester là si le hasard – une fillette maltraitée – n’avait pas bien fait les choses. Ironiquement parlant, bien-sûr. En effet, Mackenzie avait été appelée à l’hôpital pour prendre en charge une fillette battue par sa mère alcoolique et la placer temporairement dans un foyer. Les services sociaux ne pouvaient pas la renvoyer auprès de sa mère, c’était une évidence. Et aussi une enfant à qui Mac pourrait éviter une histoire sordide comme l’avait été la sienne. Cette histoire la bouleversait sérieusement, mais Mackenzie avait pris sur elle. Il ne fallait pas qu’elle pense à sa propre histoire, il fallait qu’elle se concentre sur cette gamine terrifiée. Après la paperasse de rigueur à l’hôpital, il avait fallut que la jeune femme s’entretienne un moment avec le médecin qui avait soignée sa jeune protégée… Quelle n’avait pas été sa surprise de voir qu’il s’agissait de Makan! Après la paperasse administrative, Mackenzie avait demandé à avoir un jeu complet de radiographies – sait-on jamais – de sa protégée. En effet, Mac était bien décidée à faire tout ce qu’elle pourrait pour qu’un juge retire la garde de l’enfant à sa mère et si les radios pouvaient l’aider, alors Mac n’hésiterait pas à s’en servir et à les confier au procureur. C’était pendant qu’elle attendait la petite que Makan était venu la rejoindre et lui avait tendu un café en lui disant qu’elle semblait avoir besoin d’un remontant. La jeune femme s’était contentée de le remercier. Il était inutile de lui dire qu’il avait raison, c’était sûrement une évidence. Après avoir bu leur café et discuté un petit moment, le beau médecin l’invita à prendre un café le week-end suivant, arguant qu’elle était partie si vite qu’il n’avait pas eu le temps de lui demander son numéro de téléphone…
… et ce fut le début d’une belle histoire d’amour.
- Bébé? Où est-ce que tu as mis la boîte avec la vaisselle de ma grand-mère? cria Mackenzie pour couvrir le son de la musique, espérant que son homme l’entendrait de leur chambre à l’étage où il était occupé à monter leur lit s’ils ne voulaient pas dormir sur le sol pour leur première nuit sous leur nouveau toit.
Eh oui! C’était fait! Après cinq ans, ils vivraient enfin ensembles. Si au début cette perspective avait effrayée Mackenzie, maintenant qu’ils étaient dans leur nouvelle maison – enfin, nouvelle pour Makan – la jeune femme commençait à se sentir mieux. Elle était de retour dans sa ville natale, elle venait d’acheter la maison familiale avec son homme, elle venait de décrocher une belle promotion au boulot… Bref, la vie était belle et Mackenzie comptait bien en profiter! … mais avant, il faudrait commencer par rendre la maison habitable! Et ils devaient faire vite et ne pas perdre de temps, parce qu’ils devaient tous deux prendre leurs nouvelles fonctions dans moins de trois jours. Alors autant dire qu’ils avaient du pain sur la planche!
Dans la salle à manger, Mackenzie commença à placer la belle vaisselle qui lui venait de son arrière-grand-mère dans le beau vaisselier qui était tout aussi vieux. Lorsque ses parents avaient décidé de vendre la maison et tout ce qu’elle contenait pour déménager à Hawaii afin de profiter de leur retraite, Mackenzie avait demandé à pouvoir garder quelques meubles et quelques souvenirs – ceux que ses parents n’apportaient pas avec eux. Le vaisselier en faisait partie. En fait, tout ce qui était dans la salle à manger devait rester, ses parents lui donnaient les meubles. Makan et elle avaient voulut les payer, mais les Fisher n’avaient rien voulut entendre, alors ils s’étaient pliés à leur volonté.
Maintenant, ils vivraient ensembles. C’était un grand pas dans leur relation et Mackenzie avait à cœur de ne rien faire capoter avec son caractère de cochon. Elle avait conscience de ne pas être toujours facile à vivre et que Makan était un saint pour parvenir à la supporter quand elle était mal lunée. Et elle ne l’en aimait que plus encore dans ces moments-là. D’ailleurs, il ne se passait pas une seule journée sans qu’Mackenzie ne remercie mentalement Brad d’avoir tant insisté pour les présenter l’un à l’autre. Il fallait le lui accorder, il avait eu du flair concernant ses deux amis. C’était grâce à lui si elle était heureuse avec son homme et qu’elle envisageait l’avenir sereinement.
… et au fond d’elle-même, elle savait que Makan était l’homme qui lui fallait. Elle espérait seulement être capable de le rendre aussi heureux qu’elle, elle l’était. Ce qui devait être le cas, car il avait quitté Miami et tout ce qui l’y rattachait pour venir avec elle jusqu’à Arrowsic et repartir à zéro. Il fallait qu’il l’aime pour faire tout ça! |
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Fernando Gautier-Perez
DOUBLE-COMPTE : jona & louis.
MESSAGES : 8067
ARRIVÉE : 07/03/2012
LOCALISATION : à l'hôpital.
| | Sujet: Re: Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready Ven 31 Aoû - 10:40 | |
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Merveilleux choix 
bienvenuuuuue 
ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vue! d'habitude c'est moi qui la joue 
je te comprends parfaitement 
