NOM: O'guns, je l'ai inventé. J'ai pas d'nom moi. J'suis personne. ⊰PRÉNOM: Absinthe ou Oli. Appelle moi Dieu ou Maître sinon, t'inquiètes, j'me reconnaîtrais. ⊰ÂGE: vingt et un, majorité gars. ⊰ORIGINES: tout a commencé dans l'vagin de ma mère je suppose. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: étudiant en branlette, vendeur dans un sex-shop. ⊰STATUT CIVIL: marié à une licorne à trois têtes, mais cette salope me trompe avec salamèche, bifflons-là. ⊰CRÉDITS: tumblr (ou le site qui m'empêche d'avoir une vie). ⊰AVATAR: Cole Mohr bébé.
j'suis quoi au juste ?.
[...]
« Hey baby, d'où est-ce... que tu viens ?" Elle me regarda et sourit, et regarda vers l'infini et dit : "Je viens de la terre du nouveau levant" puis je dis : "hey baby, où essayes-tu d'aller" alors elle dit : "je vais tourner, répandre partout la paix de l'esprit et tout un univers d'amour pour toi et les tiens..."
"Hey, girl j'aimerais t'accompagner. Oui, j'adorerais t'accompagner." "Tu voudrais venir avec moi ?" me demanda-t-elle "Oui, emmène-moi tout de suite"
"Hey baby, puis-je grimper dans ton univers un instant ?" "Bien sûr, dit-elle" "Vas-y, suis-moi pour une balade. Nous traverserons le soleil de Jupiter et voir tous tes semblables un à un Nous devons aider ton peuple à présent C'est ce que je suis venu faire ici"
Yeah yeah, "puis-je t'accompagner Puis je t'accompagner ? Puis-je t'accompagner ?" Yeah yeah "Je t'en prie emmène moi. »
-J. Hendrix
La vie est une infâme catin.
"Détends toi. Tout ira bien". J'sais ce qui m'attends. J'sais qui va s'passer. Je suis pas l'premier. Sûrement pas le dernier. Si j'me calme pas, il arrivera quoi ? Si je me mets à hurler, personne n'y fera attention. Tout le monde dira qu'il ne s'est rien passé. Rien entendu. Rien vu. Et ses mains vont toujours. Douces à m'en écœurer. Larmes rances. J'essaye de Partir. Je ne suis plus là. Ma tête est déconnecté de la réalité. Je suis dans une prairie. L'herbe est bleue, verte et rose. La douce chevelure des tombes. Y a que le vent sur ma peau. Y a plus ses lèvres, ni ses doigts. Y'a rien que le vent. Qui fait aller ma chevelure folle. Le ciel est blanc. Rempli d'étoiles multicolores. Elles dansent, virevoltent, se cambrent, s'éloignent, se rapprochent, disparaissent pour réapparaître plus brillantes des années lumières plus loin. Tout s'passe en accéléré. J'ai l'impression de vivre cent vies, en même temps. Jour, nuit. Nuit, jour. J'distingue plus rien. Mon monde est stone. Bam. Explosions interstellaires. Y a des bombes de lumières dans mon ciel. C'est beau. C'est magnifique. De la poussière d'étoiles dans les yeux. Regardez ça, c'est magique. Y a de plus en plus d'explosions. Onde de choc. Elles sont trop fortes. Elles rasent tout. Trou noir de couleur. Aspiré. Mon monde. Mes illusions. Mes étoiles. J'reste là. Au milieu de cette apocalypse de milles couleurs. Cette apocalypse de beauté, de lumière. Tout disparaît. Ça m'parait encore plus grand. Douces hallucinations. C'est presque à m'en faire oublier le bruit immonde de sa respiration. Je suis épuisé. Dépassé par tout ça. Écœurante routine. Faudrait que je dénonce. Faudrait que je hurle. Faudrait que je frappe. Faudrait que j'agisse, pas vrai ? Mais qui m'croira moi, délinquant juvénile. Mauvaise herbe. Rasons là. Elle est pas dans la norme. Ouais. Qui me croira ? Il entre en moi. C'est pareil à chaque fois. Détruit, disloqué. Souffrance. Je peux pas m'empêcher de faire couler des larmes rances. Bordel dépêche toi. J'y arrive plus. À tenir. À résister à tout ça. Fusil de chair entre les cuisses. Qui aurait un flingue ? Que je fasse couler son sang. Que j'arrête tout ça. Faut que je stoppe tout. Là je ne bouge pas. Je ne crie plus. Personne ne veut l'entendre dehors. J'ai compris. Pas besoin de me briser les cordes vocales à des appels au secours vains. J'dois subir. J'suis bon qu'à ça. Écrasez moi la tête contre un mur. Arrachez moi les ongles un à un. Crachez moi dessus. Écartez moi les membres à les faire craquer. Brûlez moi la peau et la chair. Baisez moi jusqu'à ce que j'en crève. Mais sortez moi de là. J'en peux plus. J'mérite pas ça. Libère-toi et laisse moi seul avec moi même. Laisse moi seul avec les larmes, les lames. Laisse moi passer ma souffrance sur mes avant-bras. Finissons-en avec tes gémissements d'orang-outan en rut. Bordel. Laisse moi croire en ta mort de manière éphémère. Pars. Va t-en. Gicle et casse toi. Crève. J'ai rendez vous avec le Diable. J'ai rendez-vous avec la Faucheuse. Je ne les observerais plus de loin cette fois. Barre-toi. Meurs. Crève. Souffre. Adieu. Casse toi. Je ne serais plus là Demain.
Vous savez ce qui est drôle dans le fait d'être mort ? C'est le fait de le rien sentir et de ne rien penser. Le fait de faire partie du monde. En n'étant rien. Quand on meurt, on devient Vent. On devient Air. On devient tout ce qui nous entoure sans y faire attention. Nous ne sommes rien dans la Mort. Nous sommes juste Tout. C'est flou ce que je dis. C'est brouillon et profondément bête. Mais c'est ça la Mort. Un état de non-existence en mouvement. Cette impression de ne rien sentir en souffrant. Mais ça on s'en rend compte que quand, comme moi, on revient à la vie. Parce que on a conscience d'être mort que vivant. Donc j'ai survécu. Je suis un foutu chanceux, comme disent les infirmières. À quelques secondes, j'y serais resté. Foutus secondes de merde. L'horloge du monde doit être cassé. Ma mort je l'avais programmé à l'heure près. Il n'y avait pas de possibilité d'erreurs. Elle était parfaite. Mélancolique et choquante comme il le fallait. J'avais même prévu les légendes idiotes qu'ils circuleraient dans le foyer après que j'en ai fini. Mais non. Tout a foiré. Et je me retrouve dans cette salle. Blanche et carré. Triste. Esseulé. Elle sent la mort. Qu'on essaye d'effacer à grand coup de détergents. Elle sent les larme et les fleurs. Le sang et le bonheur. Je suis allongé dans un lit qui a servi autrefois. Je ne suis rien de plus que le précédent. Un cadavre en sursis. Il ne me laisseront pas crever sans vouloir m'aider. C'est pas déontologique. C'est contre l'honneur. Ce n'est pas une tentative de suicide, c'est un appel à l'aide, disent les psychologues. Ils n'auraient pas pu échouer. J'étais placé dans un bon foyer pourtant. Je ne devais pas refaire ça. Je n'en avais pas droit. On a mis trop d'effort. On avait placé tant d'espoirs en moi. Meilleurs psychologues. Assistances sociales. Activités en plein-air. Amitié programmé. J'étais prototype. J'étais l'expérience. Nouveau programme de réinsertion pour jeunes à problèmes. C'est raté. C'est mort. C'est foutu. J'ai fais cramé des recherches et des millions en quelques mois. J'en serais presque fier. Il ont toujours pas compris là-haut. Y aura jamais réinsertion si on était exclu dès le départ. Y aura aucun changement si on était pourri à la naissance. Laissez moi. Électron libre. Cas désespéré. Grain d'poussière. Oubliez moi. Je n'ai pas d'issue de secours. La Vie est faite pour être raté les gars. Vous pouvez pas y remédier. Surtout ne vous fatiguez pas à soigner ma déchéance. Ne la stoppez plus. Je suis libre moi. J'ai plus aucun espoir. Moi je ferais rien pour aller mieux. Je resterai un mort vivant. Un cadavre ambulant. Un monstre de foire. Libre.
Ruelles sans âmes. Sensation froide du béton, sous mes baskets trouées. Dansant. Virevoltant. Entre les murs gris et les trottoirs noir de suie. J'ai la tête qui tourne, tourne. Tourne encore. Conscience qui explose. Pensées en bouillie. J'suis pas capable de foutre un pied devant l'autre. Je titube. Esprit embrumé par les vapeurs de la débauche. Tout tremble. Apocalypse avant l'heure. Véritable déchet humain. Juste bon à s'injecter tout ce qu'il trouve. Force cosmique qui circule dans mes veines. Boum. J'défonce tout sur mon passage. Je suis surpuissant. On ne peut pas m'atteindre. Je danse sur mes patins de cristal. Une mélodie affreuse dans la tête. Je ris. à m'en faire cracher les poumons. À m'en faire vomir les tripes. Bordel. Je vais vraiment crever de rire. J'arrive pas à freiner ça. Bad trip force dix. J'm'en vais pour la stratosphère. J'm'envole. J'ai des ailes de papier. J'en entends le battement là. J'le distingue. Tout près. Tout près. J'cotoie les étoiles, j'nique la voûte céleste. Je transperce le ciel. Mes ailes de papiers se brisent. Il y a du sang. Je retombe. Cric Crac Boum. La chute est brutale. Le sang m'accompagne. Formant un ruban vermeil autour de moi. Le papier se gorge de rouge. C'est magnifiquement triste. Ça se mélange aux larmes. Tâche écarlate sur le sol. Rouge sur gris. Ou gris sur rouge ? Je ne fais plus la différence. C'est l'illogique qui m'baise prodigieusement. J'ai les yeux rougis, bouffis. Des cernes violettes. L'arcade sourcilière rouge. Sang. Arc-en-ciel sur le visage. C'est presque risible. J'en connais un qui rit pas. C'est celui dont je serre la gorge en ce moment. Pas trop fort. Ne pas laisser de marques. Juste le laisser se vider les poumons. Papillons noirs qui virevoltent autour de lui. Il n'est pas mort. Je suis trop lâche pour ôter la vie. Mais il est pas beau à voir. Son visage presque plus tuméfié que le mien. Coup de pied dans les côtes. J'éprouve un plaisir sadique à le voir se tordre de douleur. À réclamer pitié. La pitié j'connais pas. J'en ai p'têtre eu un jour. Mais elle a du s'envoler. En même temps qu'le reste. En même que tout ce qu'y avait en moi. J'en sais rien. J'm'en fous. Je fais craquer mes phalanges. Le frappe au crâne. Imitation de poings américain. Il doit souffrir. Je sais même pas pourquoi j'fais ça. Il l'a pas mérité. Il n'a rien fait de mal au final. Mais j'avais besoin d'évacuer. La fureur, la peur. Personne ne me connaît. Personne ne sait ce que je suis entrain de faire. J'me transforme peu à peu à c'que j'déteste. Rebus de la merde de ce monde. Qui brûle et crame autour de nous. Chair grillée. Brûlée. Morte. Brisée. Lui aussi il pleure. C'est marrant. Moi j'pleure de rage. Lui de douleur sans doute. Faut qu'il apprenne que la vie nous blessera toujours. Faut qu'il apprenne que ce que je fais, des tas de gens le feront après moi. J'ai toujours besoin de détruire. Sinon je pète un câble. Et c'est moi qu'j'détruis au final. Sadique. Auto-destruction en boucle. Corps témoin de mes coups de folie. Cicatrice qui m'zèbre la peau. Mon corps famélique détruit. Ma peau en charpie. J'ai une santé mentale douteuse. Je suis un danger pour les autres. C'est pour ça que j'ai quitté la Bande. Mon asile psychologique. J'avais un droit d'séjour illimité. J'me suis bouté moi même hors de la populace. J'ai quitté l'ilot. J'ai quitté Archie. Tout commençait à s'barrer en couilles. Je pouvais pas rester à ses côtés. J'lui ferais du mal de toute façon. Il faut qu'j'l'oublie. Je suis pas fait pour Rester. Mes semelles ne sont pas d'acier. Il faut que je Parte pour exister. J'suis pas doué pour les relations. Elles me font peur. Je peux tout simplement pas m'attacher. J'en ai pas la capacité. J'ai pas envie d'essayer. Moi pour retrouver mon chemin j'égrène de p'tits bouts d'âme sur la route. Ou des morceaux de cœurs. Je suis le Petit Poucet des Temps Modernes. Mais moi j'sème des cailloux pour que ce soit les autres qui m'retrouvent. Parce que j'ai désespérément besoin d'aide. Et pas de maison. Pas de point d'arrêt. J'sais pas où et quand a commencé cette course contre moi même. J'en sais rien. Je fuis. Je veux qu'on me retrouve. Oxymore ambulant. Paradoxe à moi seul. En attendant. J'suppose que je dois vivre. Et ne plus regarder derrière moi. Cric crac boum. Game over ?
welcome to our world.
nice to meet you.
C'est un scénario que j'ai pris, le créateur est Archie Hoeper. Moi j'ai un prénom d'piment qui pique même pas. J'peux pas encore acheter dl'a vodka, c'est tout pourri ça. Ma passion c'est dormir. J'adore ça. C'est pas que j'fais rien de ma vie mais je ne peux pas. Ma passion pour ne rien foutre empiète sur tout. Mais j'fais du théâtre quand même. Même que c'est limite une secte. On doit s'rouler par terre à chaque séance et se transformer en arbre. t'appelles ça comment toi ? Mais il y a deux beaux gosses de la bite qui j'en suis sûre tomberont sous mon charme. J'y travaille, j'y travaille. Puis sinon je dessine (en maths) et je regarde des films (en maths aussi). J'adore les films badants à bader d'la mort à la Brokeback Mountain, parce que c'est coul de chialer. J'aime lire aussi, spécialement de la poésie. je suis virtuellement amoureuse de Rimbaud, et Timothéa est une salope d'avoir ri à la lecture d'un d'ses poèmes. Sérieux, pour qu'un mec m'écrive ça je donnerais un de mes reins. Et même deux. Je te dirais pas mon sexe. Mais j'ai des ovaires. Lindsey Wixson et moi on est mariés. Et puis bah euh j'aime les patates douces.
Dernière édition par "Oli" Absinthe O'guns le Sam 15 Sep - 1:19, édité 6 fois
TON PSEUDO IL CLAQUE SA REUM Et puis ta présentation de toi, elle est carrément débile, mais je t'aime déjà ! CIMERx1008562178533655487825²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²² :jem: Bienvenue mon sexy Oli.
j'aime ta présentation carrément débile. et puis Rimbaud graaave, j'tuerai aussi pour qu'un mâle m'écrive de tels trucs ! brokeback est un film qui tue et ouais, j'avoue que vu comme ça, le théâtre est une secte puis cole, ce pseudo et ce choix de scénar bienvenue parmi nous
Mais j'fais du théâtre quand même. Même que c'est limite une secte. On doit s'rouler par terre à chaque séance et se transformer en arbre. t'appelles ça comment toi ? Mais il y a deux beaux gosses de la bite qui j'en suis sûre tomberont sous mon charme.
ométumatuéla j'suis sure qu'ils tomberont sur ton charme, si tu veux des conseils (joooor la meuf )
COOOOOOOOOOOOOOOLE méga excellent choix d'ava, létropseskyyy et puis rapidos le ptit, excellent choix de scéna hâte de lire ta fiche et osef j'viendrai pourrir ta fiche de lien bienvenue parmi nous et si t'as la moindre question, viens m'harceler
Kanelys > Ahaha, ravi d'voir qu'elle plaît ! Merci !
Heaters > Ahaha ! Cole fait toujours cet effet là .
Graziella > T'inquiètes pas, moi aussi je rigole souvent sur des trucs nazes. J'ai pleuré de rire devant Hollywood Girls hier, c'est pour dire .
Braxton > Merci !
Harlow > Owh, ça fait plaisir :loni2: ! Merci beaucoup beaucoup ! Archie > :loni2: Mon créaaaaateeeeeeur **. Azi, j'suis pas aussi conne en vrai. Je le suis vingt fois plus. Bref. Je me grouille je me grouille, j'ai déjà écrit la moitié sur mes notes iPod (en maths aussi, héhé) et elle est posté !
Suitton > La débilité, y a que ça de vrai. Si j'avais vécu à l'époque de Rimbaud je l'aurais ken entre deux tilleuls verts de la promenade (poésie quand tu nous tiens). Mais la scène de la tente est bien trop courte quand même :/. Mes profs sont des hippies fumeurs qui inhalent de la ganja. C'est plutôt coul un cours avec des shootés. MERCIIII !
Rudy > Moi aussi . Et puis Adventure Time c'est un peu ma vie . Merci !
Aedan > Han une sœur marmotte ** ! Merci.
Matys > Tékaté, je gère. J'ai déjà tenté le suuuubtil décolleté/mini-jupe, Mais il ont toujours pas compris le ''sautez moi dans les coulisses'' dans mes yeux . Le pourrissage de fiches, c'est coul ! J'te réserve un lien bien au chaud (dans mon lit). J'prends nooooote !
ouaah tu m'as tué bordel, j'ai trouvé une coupine avec qui partagé ma passion : dormir, dormir c'est trop la vie pardi ! ouesh, jôtem déjà Rimbaud c'est aussi la vie tsé, et les films bandant ou tu peux bader dessus tranquilos, là c'est perfect ma poule sinon, j'ai envie de dire qu'en plus d'avoir un pseudo qui déglingue le string de sa maman, le choix du scénario, t'as pris le sublimissime et orgasmique COLE MOHR, juste pour ça j'te voue une culte d'une heure s'tu veux bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche puis moi aussi j'viendrais pourrir ta fiche parce que tu le vaux bien, loréal paris
Matys > Tékaté, je gère. J'ai déjà tenté le suuuubtil décolleté/mini-jupe, Mais il ont toujours pas compris le ''sautez moi dans les coulisses'' dans mes yeux . Le pourrissage de fiches, c'est coul ! J'te réserve un lien bien au chaud (dans mon lit). J'prends nooooote !
les garçons sont des aveugles tu sais ils ont du remarquer le décolleté mini jupe quand même avec ça c'est en mode affolé du zeub tékatéééé of les mecs sont pas très subtiles, faut leur faire un dessin toi et moi, coulisse, crac crac tu te l'écris sur le front "baise moi" en mode désespérée pardi ouais bon maggle. BREEEEF, ouais le pourrissage de fiche ceylavie uesh ouais, t'façon j'viendrai squatter ton lit t'a pas l'choix
Everleigh > Tout d'abord : OH FUCKING FREYA C'TROP MON AMUR KOUA J'AI GENRE QUARANTE CINQ MILLES AVATARS D'ELLE DANS MON DISQUE DUR ET PUTAIN C'QUELLE EST BONNE BORDEEEEEL. En plus quand tu dors tu peux faire pleins d'trucs ! Genre rêver. Ou te réveiller et manger une banane, si on est somnambule comme uame . Mais ouais Rimbaud l'est génial ce mec, il m'fascine. Les films d'amour gays c'est les mieux, parce que deux mecs qui s'embrassent c'est hot et puis c'est tout . Je veux bien, commence par me construire un autel en caramel, merci . Merci ! Azi, j'suis total ok.
Matys > Bon, c'était pas techniquement un décolleté. Mais des manches échancrés aux manches, en gros on voyait carrément la moitié d'mon soutif à dentelles roses. C'était quand même PUTAIN DE PAS SUBTIL. Ils sont pas malins les garçons hein. Mais j'suis sûre qu'ils sont maqués tout les deux ces putes . Mais j'peux toujours les embrasser dans la pièce (en réalité, y a aucune scène de baisers, mais j'ai insister ). Enfaite, j'avais prévu de faire d'Absinthe un gay pur et dur, je vais devoir changer d'avis. Parce que Rihanna merde.
Archie > Merci beaucoup beaucoup ! J'ai tenté d'faire aussi bien qu'toi, j'ai pas totalement réussi, mais j'y travaille . Je pense que je posterais la fin dès ce soir .
Matys > Bon, c'était pas techniquement un décolleté. Mais des manches échancrés aux manches, en gros on voyait carrément la moitié d'mon soutif à dentelles roses. C'était quand même PUTAIN DE PAS SUBTIL. Ils sont pas malins les garçons hein. Mais j'suis sûre qu'ils sont maqués tout les deux ces putes . Mais j'peux toujours les embrasser dans la pièce (en réalité, y a aucune scène de baisers, mais j'ai insister ). Enfaite, j'avais prévu de faire d'Absinthe un gay pur et dur, je vais devoir changer d'avis. Parce que Rihanna merde.
ué, beeeeuf on va dire que ça revient au même un soutif en dentelle rose, ça ils auraient dû le remarquer pire que ça, le temps qu'ils comprennent t'es pas foutue ça c'est subtile de faire des scènes de baiser, en plus ça doit être trop cooooul enfin faut qu'le partenaire soit un minimum plaisant. mais bon, puisqu'ils sont bgossss d'la life, no soucy, faut juste que y en ai une putain j'me perds total là, j'me comprends plus fais le gay s'tu veux, comme ça j'serais là à galérer pour le faire devenir bi la meuf qui t'harcelera sexuellement et qui te violera dans la cave. ----->
Mon dieu, déjà que je bavais sur Archie, voilà que je lis ta fiche. Et comment je fais moi pour faire quelque chose de convenable après ? Qui va me valider après ça ?
Archie > Fait attention ! T'électrocutes pas avant qu'on ai au moins une fois RP hein. J'ai fini, dis moi c'qu'en t'en pense .
Matys > Ouais, c'est même carrément plus mieux. J'suis doté de boobs du tonerre, c'est plutôt coul . Ils sont pas intelligents. Leurs phérémones de beaugossitude leurs bouffent le cerveau . Les partenaires sont très plaisant, ne t'en fais point. Et puis il faut que la scène soit parfaitement réussi. Donc il faut la répéter, beaucoup. Beaucoup très beaucoup. Héhé, j'aime bien ! C'est carrément kiffant en faite ouais !
La'teesha > RITARITARITARITA. PUTAIN MAIS JE DEVIENS BI POUR TOUA SERIEUX. JE DEVIENS TOUT CE QUE TU VEUX MÊME UNE VACHE, UNE LICORNE OU UN JESUS. BORDEL EPOUSE-MOI . Merci beaucoup ! Bon courage pour ta fiche à toi aussi alors !
Ethan > Owhn, c'est adorable ! Merci merci beaucoup .