Sujet: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Dim 23 Sep - 19:24
Travailler à plein temps ... fiou que c'est dur ! Commencer avec une, puis finir la soirée avec une autre, c'était plutôt un train quotidien fatiguant et ce n'est pas une question d'être bon ou non ... Parfois l'envie n'y est pas ; c'bon j'arrête ça devient bizarre.
Levé du matin banal, 13 h 30 de l'après-midi, heure parfaite pour prendre un bon petit déjeuner et aller saouler un peu sa belle princesse, qui devait à cette heure-ci se regarder dans le miroir, si ce n'est déjà fait. -je me demande si elle se crache au visage quand elle se regarde dans le miroir - pensa-t-il à moitié réveillé. Même encore endormi il pense à elle ... tellement il est maltraité. Aaron se frotta les yeux un peu durement pour se réveiller et se leva du lit, il parcourut toute la maison en cherchant de quoi manger. Il se lava le visage au-dessus de levier de la cuisine tranquillement, grande flemme d'aller à la salle de bain, c'était surtout pour saouler l'autre morpion. Rhéa était occupé à faire je ne sais quoi, il remarqua un peu trop tard, qu'il était tout nu, il ne s'était surement pas rhabillé, enfin il n'y avait pas d'autres raisons.
- T'aurais pas vu mon boxer bébé ?! lui demanda l'indien tout sourire. Bien sûr elle allait lui lancer une insulte toute préparée à la Rhéa, comme il les connait très bien, en lui rappelant surement sa profession, puis ils finiraient par se tirer les cheveux, se cracher dessus et retourner dormir, pour finir leur dispute le lendemain. Au fond c'était peut-être parce qu'ils se ressemblaient un peu-beaucoup, qu'ils ne s'aimaient pas vraiment, sans bien sûr mettre la vraie raison sur le plancher.
Jamais il ne se serait imaginé marier à ce morpion qui gratte les poils des fesses. Sa fortune avait été mise en jeu, autant lui pourrir la vie, il préférait son argent, même s'il ne comptait pas vivre ainsi éternellement, bague de mariage qui ornait son doigt, parce qu'il était obligé de la porter, ce n'était pas volontaire. Il mettait déjà en œuvre une petite stratégie pour divorcer, même si ce n'était pas pour demain, ou bien même pour les années à venir, mais il n'avait pas l'intention de dépendre de son père pour le restant de ses jours, son père ne lui filerait jamais son entreprise, il l'avait bien compris, il lui faisait seulement plaisir pour que son gentil fiston ne fasse pas de conneries, mais c'était mal connaitre Aaron...
Pour le moment, il vivait avec une hystérique qui se prenait pour une reine et qui nous pondait des crises à tout bout de champ, elle n'allait surement pas tarder à le remettre à sa place et à retourner se maquiller, pour aller je ne sais où, trémousser son popotin d'ailleurs au passage très joli, non ne vous inquiétez pas il est juste joli hin, il n'a pas dit qu'il voulait se la faire, qu'on soit bien d'accord. Elle était simplement mignonne, riche surtout riche, puis elle était indienne avant tout, c'était pas vraiment la parfaite indienne, le model à suivre, m'enfin il en ferait bien son 16 h 00 , haha non je rigole rêve Rhéa !
Dernière édition par Aaron Cooper le Ven 28 Sep - 22:57, édité 1 fois
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Ven 28 Sep - 19:12
Voilà. Une journée comme une autre. Un réveil comme un autre. C’est ce qui attendait Rhéa ce jour-là. Rien de plus banale. Rien d’excitant. Même si avoir changé d’endroit lui avait fait un semblant de bien, être loin des projecteurs, loin de la pression, ici où personne ou presque ne la connaissait ni elle, ni son cher… hum… mari. Elle se leva donc en râlant, comme tous les matins, en traitant ce crétin dont elle portait le nom de toutes les insultes imaginables. C’était là un rituel qu’elle faisait tous les matins, depuis six mois. Six misérables mois. Depuis que leur comédie du parfait couple heureux en ménage. L’insulter était pour la brune une façon de se défouller. Soit ça, soit aller lui éclater la tête contre un mur ou à coups de batte de baseball. Quoique, il le méritait. Il la détestait tout autant et ne faisait rien pour le cacher. Comment dire ? Ils étaient tellement faits l’un pour l’autre… Puis, six mois passés avec cette espèce d’handicapé de la vie sociale, elle s’y était un peu habituée.
Levée de bonne heure, Rhéa n’avait devant elle que quelques heures de tranquilité, avant le réveil de son cher et tendre et le début de leurs clashs infernaux, sans fin et sans pitié. Un bain, un petit déjeuner, c’était parfait. Avec un peu de chance, elle quitterait la maison avant même que la princesse ne se réveille. Oh oui qu’il l’était, une vraie petite princesse, pourrie gâtée, même que des fois, Aaron était plus casse-pieds que sa « femme ». Ils avaient tous les deux beaucoup de points communs à vrai dire, le plus fort et le plus puissant : ils se détestaient. C’est ainsi, en finissant son petit déjeuner, monsieur je suis en mode exhibitionniste aujourd’hui, venait de faire son entrée à la cuisine. « T'aurais pas vu mon boxer bébé ?! ». Ah qu’elle est bonne celle-là. Depuis quand s’occupait-elle de ses affaires ? Oui, depuis jamais. « Tiens tiens, madame la prostituée de service est enfin levée ? Bonjour princesse. », demanda-t-elle, comme-ci ça l’intéressait de savoir. La blague. « Je ne sais pas, tu l’as peut-être laisser en souvenir à la vielle mamie qui as loué ton cul hier soir. ». Franchement, avec son métier, et un endroit comme ici, c’est le mieux qu’il pouvait avoir. Les vieilles couguars dépravées, sans possession de viande fraîche.
« Faut faire attention à ton gagne-pain chéri, si tu continues à l’offrir à n’importe qui comme ça, bientôt il ne vaudra plus grand-chose au marché des prostituées. », il ne faisait que la cherchait, elle ne faisait qu’à jouer à son jeu. Puis de la réparti ce n’est pas ce qui manquait à la brunette, d’autant plus qu’elle ne refuserait jamais, oh grand jamais, une occasion de se moquer royalement d’Aaron, et de le rabaisser. Aller, il agira certainement comme si ça ne lui faisait ni chaud ni froid, tant pis, c’était tout de même assez drôle, et c’était un plaisir que Rhéa dégustait à chaque fois.
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Ven 28 Sep - 22:35
Comme il s’y attendait, madame était bien réveillée, assise à faire sa princesse, et attendre qu’une pauvre victime lui tombe dessus pour pouvoir lâcher toutes les saletés possibles qui puisse exister. Aaron en était une, selon elle, une victime qu’elle prenait tant plaisir à rabaisser, et à l’humilier en prenant pour exemple son travail. Le jeune indien, avait prit l’habitude avec le temps il fallait bien en faire une habitude. De son côté, Aaron ne se considérait pas comme une victime avec laquelle elle pouvait jouer comme elle voulait, en effet … il l’a cherchait tout autant qu’elle l’emmerdait. Personne n’était le boss et l’autre le soumis – du moins c’moi qui pense ça hin ! pas eux :D - . Eh oui au passage madame la prostituée était levée et elle allait très bien… tout commençait pour le moment très bien si je ne puis dire. C’était encore « cool », l’acharnement que le jeune couple mettrait à s’arracher les cheveux viendrait plus tard. Peut être pas aussi tard que ça mais vous verrez … ayez patience … bientôt ! Elle « s’intéressait » à lui pour le moment, tout simplement pour se foutre de lui … lui rappelait ainsi sa profession comme il s’y attendait, ce n’était pas une grande surprise venant de Rhéa. – Effectivement, ça peut être une possibilité, la voisine a enfin décidé de porter quelque chose qui lui remonterait les fesses … elle a le vagin trop flasque … tu devrais essayer tu sais … répondit Aaron, en lui lançant un sourire assez forcé. C’est vrai qu’il aimait les vieilles mamies, à la retraite, veuves et en plus de ça qui ont plus de la soixantaine, mais quel kiff ! Autant répondre avec humour comme elle le faisait tellement bien.
Il se mit à chercher dans les alentours, sur le canapé, entre les coussins … aucune trace de son joli boxer Spiderman. La rhé des fesses le connaissait surement très bien, ce genre de réflexion il s’en contre fichait royalement, il était passif, et s’emportait que très rarement avec enfin elle n’arrivait jamais à vraiment l’énerver… pour la simple raison que jusqu’à maintenant elle s’était arrêté aux insultes et aux coups, il n’y avait jamais eu pénétration dans sa vie privée, puis il imaginait bien qu’elle avait une vie, qu’Aaron n’était pas son rayon de soleil, ou sa source d’oxygène … bla bla bla … non il n’y pensait pas un seul mot. Ce sale gros rat était bien capable de faire éruption dans sa vie privée, et de foutre la merde, jusque là ça n’est jamais arrivé, mais ça ne lui poserait pas de problème sachant que cette jeune femme voyez vous, fou la merde sur son chemin pour pouvoir survivre, ou plus spécialement, vit pour pouvoir foutre les emmerdes. Ca marche dans les deux sens, elle restera éternellement Rhéa Raichand, la pauvre petite fille gâtée à papa qui à tellement bouffé de l’or qu’elle finira par en chier de la rouille !!
Aaron finit par daigner lui jeter un regard, en continuant à lui sourire, et lança un coup d’œil à son « gagne-pain ». – Tu trouves ? … il haussa les épaules mine de rien. – C’vrai il commence à devenir tout fripé tu ne trouves pas, la peau qui tombe… l’effet glacial après un rapport … puis l’odeur répugnante … ça vient surement de ça en y réfléchissant il n’y a évidemment aucune autre raison. Il releva son visage vers elle. –Fait gaffe mon sucre d’orge, tu risque d’attraper une MST, ou une de ces conneries … il lui fit un signe de la main en ajoutant avant même qu'elle ne réplique –Chu… chut … !! (à la KK !)
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Sam 6 Oct - 23:52
Il pouvait croire ce qu’il voulait. Il pouvait dire ce qu’il voulait. Aaron était une victime, comme il aime si bien traiter les autres souffre-douleurs de Rhéa. Au fond, il n’était pas distinct de toutes ces personnes. La seule différence c’est qu’il avait un peu de répartie. Rien de bien original ou intéressant, vu qu’il attaquait toujours la jeune femme soit sur des traits de son caractères qu’elle adorait, même si aux yeux de tous c’était des défauts. Soit il l’attaquait avec ce genre de propos complètement absurdes, sans preuve, et qui n’avaient tout simplement pas lieu d’être. – Effectivement, ça peut être une possibilité, la voisine a enfin décidé de porter quelque chose qui lui remonterait les fesses … elle a le vagin trop flasque … tu devrais essayer tu sais …. Par exemple, ce propos-ci. Aaron divaguait complètement. Il parlait avec une certitude qui pouvait troubler n’importe qui sauf sa chère femme. Elle, elle se contentait de lâcher un rire extrêmement moqueur. A l’entendre parler, on croirait qu’il connaissait tout de la partie intime de cette femme qui est censée, aux yeux de tous, partager sa vie. Mais, la réalité était bien autre chose. Monsieur se tapait tout le monde, sauf elle. Et l’entendre parler avec conviction de sa partie intime, la faisait honnêtement rire. Quel pauvre idiot !, « Ouuuh, ta maman ne t’as pas dit qu’avant d’insulter quelqu’un, tu devrais t’assurer de ne pas avoir le même défaut que lui ? Pas malin Aaron, pas malin du tout. Dire que j’ai osé espérer mieux de ta part. ». Elle savait très bien pourquoi il avait dit ceci, et elle s’en fichait royalement. Mais, lui était loin d’être un saint. « Le vagin flasque t’emmerde en passage, vu que ton zizi complètement usé et hors service ne vaut pas mieux. »
C’était ça leur quotidien. S’humilier sans arrêter, alors que tous les deux s’enfichaient pas mal de ce que l’un pensait de l’autre. Ceci dit, en ce moment c’était encore soft. D’habitude ça finissait souvent avec de la vaisselle cassée. Après avoir fait le tour des lieux, à la recherche de son précieux caleçon, Aaron revint finalement vers elle en continuer leur petite discussion. Elle avait fini son petit déjeuner, et avait tout simplement laissé la vaisselle là. –Fait gaffe mon sucre d’orge, tu risques d’attraper une MST, ou une de ces conneries …. Il était drôle. Très drôle, mais, avant qu’elle puisse répondre, il eut ce geste qu’elle détester tellement. L’index sur la bouche et le fameux « chuttt ». Ah qu’elle en avait horreur. Cependant, il pouvait toujours rêver. Ce n’est pas avec son minable doigt et le son de sa voix qu’il arrivera à la faire taire. « Ne t’inquiète pas pour moi, une de ces conneries, comme tu dis, ne me fait pas peur. De toutes les façons, j’ai connu pire. Toi. Tu es encore pire que toutes les MST réunies et je te supportes assez. Tu devrais en être fier, ma bichette en sucre ! »
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Sam 13 Oct - 18:51
Soyons gentil et donnons lui raison, au fond il n’y avait aucune autre manière pour qu’elle la ferme. Enfin si, il y avait d’autres façons de faire mais trop fatigantes. Du moins elle était fatigante. Rhéa tu es fatigante ! Elle avait de quoi répondre, vous savez la répartie et même qu’elle en avait de trop. Il n’était pas question d’être allé à l’école, ou d’être ultra cultivé, mais « act like a bitch !! » Et c’est ce qu’elle lui faisait, toute la sainte journée comme si c’était l’homme de sa vie elle passait son temps à lui parler (torturer), à lui dire des mots doux (l’insulter). En même temps elle était née ainsi, puis ses parents devaient être pareil … vu les vices de son père, il était persuadé que c’étaient eux qui avait monté le coup, BON ce n’est pas non plus un ange mais contrairement à elle, il s’intéresse aux gens, il est gentil, mignon, tendre (quand même pas), il a un cœur quoi ! Aaron accompagna le rire de biche -parce oui elle a un rire de biche – antilope- avec un rire de gogolien. Parce qu’elle rigolait ct’idiote ! Bon elle se foutait de sa gueule il était conscient. Et comme elle avait rien trouvé de mieux à dire, elle lança le sujet de « maman » bon, c’était une expression, mais je suppose qu’il n’y avait aucunement besoin d’expliquer pourquoi il ne fallait pas parler de sa mère, bon à part si elle voulait se manger des claques. –Ton paternel t’as jamais dit qu’il fallait donner son vagin qu’à son mari … ouais bon il en rigolait aussi … il s’imaginait pas avec elle … dans un lit … ou je ne sais où. –Ne va pas te faire une de ses idées, comme quoi je ne sais pas … j’ai envie … beurk … enfin me retrouver dans un lit avec toi … ou je ne sais pas où t’aime le faire … les toilettes, ou la cuisine … ce qui expliquerait ce relâchement du muscle ! putain mais qu’est-ce qu’il racontait. Fallait pas vraiment essayer de comprendre ce qu’il racontait.
Bien sur encore une fois son zizi ne valait rien. -Et moi qui te croyais plus « intelligente », je ne passe pas ma vie à baiser. Si c’est ce que tu veux savoir, sois pas jalouse hin … si tu avais été un peu moins fauché peut être que tu y aurais gouté aussi … elle comprendrait par elle-même, elle savait très bien de quoi il s’agissait. Eh ouais … c’était un gamin, jouer avec un enfant c’était comme parler à un mur, il en fait qu’à sa tête, il vous écoute ou pas que quand ça lui chante. Aaron lui fit le petit signe, et le son du « ferme ta gueule », cause toujours pour voir. Mais effectivement comme il s’attendait bien, ce n’était pas quelque chose qui allait réussir à la faire taie, bien qu’elle ne supportait pas ça, pas vraiment en faite, ce qui ne faisait que le réjouir. Il l’a laissa terminer … en la regardant tout en souriant jusqu’aux oreilles. –Eh mais tu sais quoi ? lui dit-il en lui lançant son sourire de charmeur –Ferme ta gueule pour voir … il lâcha un rire machiavélique. Il arrêta de sourire net et attrapa son boxer qu’il finit par trouver et se dirigea vers la cuisine en lui donnant gentiment un doigt. –Aller va te pouponner chérie, on sort !
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Dim 28 Oct - 21:07
Aaron était un idiot. Un pauvre idiot. Ni plus, ni moins. Il est vrai qu’il était friqué, et avait un certain look plus au moins potable, qui attirait les filles, mais, c’était tout. Il n’avait rien de plus et le voir agir comme un coq dans le poulailler était tout bonnement ridicule. En tout cas, ses réactions amusaient Rhéa. Lui, la traiter d’insultes ignobles du genre alors que, entre les deux, celui qui pourrait ressembler plus à une femme, c’était bien lui. Il avait peut-être des muscles mais, il vendait son corps pour celle qui payait le plus. Il est vrai qu’il le faisait pour agacer et faire chier son père mais, ceci est un détail que peu de gens savent. Du coup, il retombait machinalement dans la catégorie monsieur la pute de lux, chose qui à priori, pour un homme qui se dit homme viril, n’est pas très flateur. Soit. La belle brune s’enfichait pas mal au fond. Il avait beau parlé, si jamais ces paroles avait un effet sur elle, c’est tout simplement l’effet de la connerie. Elle savait à quel point il n’était pas créatif, pauvre bout de chou. –Ton paternel t’as jamais dit qu’il fallait donner son vagin qu’à son mari … . Oh, qu’il est mignon. « Et ton paternel ne t’as jamais dit que la prostitution masculine est inappropriée ? ». Puis rien qu’à l’idée de le faire avec lui… burk. C’est qu’il n’avait pas assez d’expérience le petit. La preuve c’est bien entendu, encore une fois, son job. Voici mes dames et messieurs la logique de Rhéa : Qui franchement irait payer un mec pour forniquer avec ? Certainement celles qui ont une expérience très limitée ou qui ne trouvent personne d’intéressant dans leur entourage. En gros, Aaron ne devait pas réellement être super doué. Il s’en tirait assez bien avec ses petites clientes. C’est tout. En tout cas, elle ne voyait pas le besoin de lui répondre sur la suite de sa remarque. Inutile. Totalement inutile.
-Et moi qui te croyais plus « intelligente », je ne passe pas ma vie à baiser. Si c’est ce que tu veux savoir, sois pas jalouse hin … si tu avais été un peu moins fauché peut être que tu y aurais gouté aussi … . Mais, non, monsieur avait toujours cette manie de surenchérir, comme s’il voulait désespérément prouvé que ses bijoux étaient les mieux. Pathétique. Un rire moqueur lui échappa. Là, elle ne pouvait pas se contenir tellement il était ridicule. « Tu sais, je préfère encore jeter tout mon argent par la fenêtre, littéralement, que de payer tes petits services. ». Et l’argent, elle en avait. De ses contrats. De son père. C’est bien pour tout garder qu’elle avait finalement accepté d’épouser cet attardé. Des fois, la brunette avait clairement l’impression d’avoir épouser un gosse. Eh bon dieu qu’elle en a horreur des gosses ! Aaron était encore pire. C’était un gamin avec une enveloppe corporelle de vingt-cinq ans. Donc, encore plus d’énergie à exploiter qu’un enfant naturel. Et des fois, elle avait tout simplement envie de lui claquer la tête contre un mur. Comme là par exemple. –Eh mais tu sais quoi ?. Lui et son sourire handicapé. Argh, mais, qu’il était détestable ! –Ferme ta gueule pour voir …. Lui et son rire de sorcière. Il méritait certainement plus qu’une claque, qu’elle lui fasse avaler une chaise serait meilleur ! –Aller va te pouponner chérie, on sort !. Ha, ha, ha. La bonne blague. Et il pensait quoi ? Qu’elle allait obéir à son petit ordre ? C’est beau de rêver. Elle allait plutôt lui casser le doigt ouais !
« Tu t’es pris pour qui là ? Un homme ? Non mais, laisse-moi rire. Depuis quand tu décides pour moi poussin doré ? N’importe quoi toi. », elle se leva finalement pour se servir un autre verre de jus d’orange avant de le fixer d’un regard menaçant. « Ou, tu as envie de sortir au grand jour pour éviter de te faire tabasser, comme toujours ? ». Là elle faisait une vague allusion à leurs engueulades et également à la vie qu’ils ont décidé de mener. Devant tout le monde, le plus beau couple du monde. Une fois chez eux, la porte fermé, c’est Bagdad reunited !
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Lun 5 Nov - 1:41
Si seulement Aaron pouvait se faire planter des seins sur le torse rien que pour satisfaire sa femme il le ferait. Pour lui montrait qu’elle avait toujours raison, qu’Aaron était une femme née avec une paire de couilles. Si seulement un jour il lui venait à l’esprit de lui donner réellement raison. Mais vous vous doutez bien qu’elle n’en avait pas besoin … que malgré toute preuve elle resterait sur son idée. Mais qui sait peut être que la poitrine planter et les couilles effacés elle finirait par changer d’avis sur lui-elle… C’est ce qui arrive souvent quand on se prend pour une diva … et qu’à part gravir les podiums on ne sait rien faire d’autre. Mais soit. Jouons au jeu de Rhéa. Rhéa alias la wonderwoman du sex. S’il vous plait !! Ne vous moquez pas d’elle !! Merci ! Il pensait vraiment poser un brevet pour en faire un sport olympique si ce n’est déjà fait. Regardez-moi c’te carrure, ce flaire de Yenne, ces griffes de tigresses !! J’ai nommé Rhéa Raichand Cooper. Celle qui reconnait de loin qui vous procure du plaisir ou pas. C’est une guerrière du lit, elle n’a pas de compassion pour les « nuls du lit », ça s’appelle la pitié du pieu. Alors ? Baisez-vous bien ou pas ? Rhéa vous jugera :D !! Levant les yeux au ciel en y pensant. –Peu importe Jaanu, tu as raison. Inutile de continuer à débattre sur qui était le diable et qui portait l’auréole.
-Bébé, mon amour … non ne dis pas ça je t’en supplie. Tu risques de me vexer… pfff !!! levant les yeux au ciel. Maiiis oui.. Bien sûr Rhéa, tout ce qui pouvait sortir de sa bouche sonnait faux. La jeune femme contestait toujours cette profonde attirance qu’il y avait entre eux … Ce … - … désir charnel qu’il y a entre nous … dit-il en continuant tout haut ce qu’il pensait, notez l’ironie s’il vous plait. Tous les deux rejetaient le fait qu’ils étaient physiquement compatibles. Aaron se l’avouait, mais l’avouer à Rhéa … pfff même pas en rêve. –Vas-y jettes moi tout cet argent par la fenêtre, mon lapin rose. Tu étais prête à tout pour y goûter … sauf à donner ton argent …. Very bad girl … Quelle radine grrr Jaanu !! Aaron soupira pour marquer une pause mais aussi son éternelle insatisfaction. –Mais peut être qu’un jour en mettant l’argent de côté, en oubliant l’argent, tu auras une folle envie … il supprima la distance qu’il y avait entre eux. –Une folle envie de me masser les pieds. Il retourna dans la cuisine pour attraper quelque chose à manger, oui figurez-vous que la voir là en face de lui, agrandissait son appétit. L’indien aimerait tant passer une journée tranquille, ce qui signifiait une journée sans sa femme. Une tranquille et calme journée sans elle. Mais que voulez-vous, elle continuait sans cesse à le ramener à la vérité en le calmant et en l’envoyant pleurer dans sa chambre. Non il ne pleure pas, ne vous excitez pas. En ouvrant la porte du frigidaire l’autre diable fit de même mais avec sa bouche … mignon, ADORABLE !! Il se secoua en boudant, limite il voulait pleurer. Ne voulait-elle donc pas le laisser vivre tranquillement, non rien que manger en paix. Est-ce possible Rhéa Raichand ? Il ne demandait rien de plus, juste qu’elle la ferme deux minutes. Ce serait charmant. (a)
Pensait-elle donc vraiment qu’il allait l’inviter à sortir ? Haha mais non chère et tendre Rhéa c’était une manière tendre et douce de t’envoyer valser voir ailleurs le boxer bob l’éponge d’Aaron. Mais bon puisqu’elle pensait vraiment qu’elle en valait le coup autant allait dans ce sens-là. –Mon amour on sait très bien qui porte la culotte ici … et c’est loin d’être moi. Dit-il en ajoutant un sourire idiot. –C’moi l’homme ici okay ?! elle voulait qu’il agit tel un vrai macho ce qu’il était loin d’être, notez bien ! Il ne donnait d’ordre à personne surtout pas à de jolies femmes. Rhéa en faisait partit même si parfois sa petite tête de diable méritait des claques. Elle devrait s’en mettre de temps à autre … Haha que de taquineries … que d’amour … -Oooohhh ouiiii !!! RHEA !! RAICHAND !! COOPER !! j’aime quand tu me fouette, que tu me griffes, que tu m’insultes. Ouuuhhh que de frissons !! Voilà sa manière à lui de lui répondre. Il jouait aux idiots et ça lui allait tellement bien, Rhéa lui lançait toujours des piques intelligemment vu que c’était tout ce qu’elle savait faire plus le fait de passer son temps à se maquiller. Lui aimait se comporter comme un enfant attardé du cul, en se faisant passer pour l’abruti du couple. Mais détrompez-vous, ça ne lui posait aucun problème. Après avoir enfilé son boxer il s’approcha vers elle. –Mmmmhhh ; yummy. Quel doux parfum d’excréments fraîchement pondus. Le beau sourire machiavélique dessiné sur le visage d’Aaron montrait à quel point il se fichait d’elle et de son odeur de parfum Chanel caca numéro quarante-cinq.
Sujet: Re: Parfois t'as pas envie de te claquer ? Rhéa R. Cooper Ven 23 Nov - 23:00
Spoiler:
c'est de la bouse, exactement comme l'odeur d'Aaron & i'm so sorry... faut dire que 3 médocs d'un coup, ça arrange pas les choses
Face à un phénomène comme Aaron -parce que oui, il était un vrai phénomène- il était plus sage de l’ignorer parfois. C’est ce qu’elle devrait faire. Même maintenant, car il n’était jamais trop tard, puis, il commençait sérieusement à l’irriter de bon matin, avec ses manies de petit gamin attardé. Un sourire hautain, un regard malicieux avaient maquillé le visage de la belle. Lui ? L’homme de la maison ? Bien qu’il le dise sur un ton d’humour montrant que lui-même ne se prenait guère au sérieux, il était drôle. Vraiment. –C’moi l’homme ici okay ?! . Ne pas le prendre au sérieux était le moyen convenable de s’exprimer dans des situations pareilles. « Mais, bien sur choupinet. Continues à te le répéter, un jour tu y croiras peut-être ! ». Moqueuse, et orgueilleuse, elle était décidée à ne pas se laisser faire par son petit numéro de gosse. Déjà, s’il y a bien un truc qu’elle prenait le moins au sérieux c’était les gosses, elle les détestait. Le peu de temps où elle en rencontrait au parc ou autre endroit publics, elle avait cette soudaine envie de les étrangler. Etrangement, l’indienne avait toujours cette même envie vis-à-vis de son cher époux… l’étrangler, et en finir. L’étouffer, une bonne fois pour toute. Hop ; fini la misère, et à elle la liberté. Ne vous méprenez pas. Rhéa a bel est bien une gueule d’ange mais, son esprit est tout aussi tordu que celui du diable.
Soit, il pouvait être réellement pathétique et finalement, s’il y a bien quelqu’un qui avait envie de sortir au grand jour et prendre l’air. Cette envie de sortir de là s’amplifié plus Aaron s’approchait d’elle. Il avait enfilé son boxer mais, comment dire, bien qu’il était beau, ça restait un homme qui négligeait bien parfois le côté hygiène. Et son haleine au réveil… oh mon dieu, autant aller sniffer une bouse de vache. –Mmmmhhh ; yummy. Quel doux parfum d’excréments fraîchement pondus. . Bien que le commentaire lui fût destiné, Rhéa avait là l’occasion de lui retourner ce très beau compliment bien comme il faut. « Pour une fois j’approuve ce que tu dis. », dit-elle en le repoussant, l’air totalement dégoutée, pour pouvoir respirer un peu d’oxygène. « Ton haleine est étouffante. T’as mangé un rat mort ou quoi ? ». Aaron, sal porc. « Des fois je me demande si tu n’as pas envie de te mettre une claque, comme ça mine de rien. Tu devrais y songer, ça t’aiderait vachement, au moins à te rappeler quelques petites règles concernant l’hygiène ! »