nom : Grimm Ҩ prénom : Skylar Ҩ âge : 24 ans.Ҩ origines Américaine (100 % pure souche) Ҩ statut civil : Célibataire Ҩ occupation : Elle bosse dans n'importe quoi, pour boucler les fins de moisҨ avatar : La sublime & talentueuse Emmy Rossum. Ҩ crédits : tumblr.

T'as vingt-quatre ans, et tu fais des boulots ici et là, sans avoir de but précis, de réelles ambitions. Peut-être parce que tu refuses de t'accrocher à une lueur d'espoir par peur d'être blessée, ou tu te dis que t'as pas envie de passer le reste de ton existence a toujours faire le même boulot, cloîtré dans un bureau ça ne te ressemble pas du tout. Toi, tu préfères faire les boulots que les gens t'offrent et même si c'est pas le plus prestigieux au moins grâce à ça, t'as un toit sur la tête et de quoi manger. Tu vis dans un petit appartement, c'est loin d'être la grande classe, mais avec le peu de moyens que t'as, tu as réussis à faire quelque chose de sympa avec ce que tu appelles ton repère. T'aurais pu devenir un médecin, ou encore une directrice des ventes si t'aurais voulu, c'est pas que t'es bête loin de là simplement que selon ta philosophie être sur un banc d'école à se fondre dans le moule c'est contre tes principes de "vivre et laissez vivre". Tu proviens d'une union peut-être chaotique ou encore hyper romantique comme dans les romans, en fait tu ne le sais pas trop puisque ta mère trouve toujours les excuses les plus extravagantes lorsque tu oses aborder le sujet de ton "géniteur". Tu t'entends bien avec elle, même si parfois tu te demandes qui est la mère et qui est la fille. Ta mère c'est le genre de femmes un peu frivole qui approche la cinquantaine, mais qui possède toujours son coeur d'adolescente. La preuve, elle retrouve toujours du réconfort dans les bras de mecs plus jeunes... Même qu'elle a déjà fait une partie de jambes en l'air avec un mec que tu fréquentais, un soir alors que t'étais en dehors de la ville. Mais bizarrement, tu ne lui en veux pas sans dire que ces agissements sont normaux, simplement que c'est comme ça. De toute façon, qui a déjà vraiment établi les critères sur la normalité hein? À part ça, tu as jamais quittée le Maine, tu y ai toujours demeurer, c'est comme si tu l'avais tatoué sur le coeur. C'est peut-être ça tu y es trop attaché pour le quitté définitivement. Le pire, c'est que t'as déjà tenter le coup de partir avec "l'homme de ta vie" sur son cheval blanc pour explorer de nouveaux horizons -bon en fait, c'était pas l'homme de ta vie, et il n'avait pas de cheval blanc, mais plutôt un vieux taco puant - Tu partais ailleurs dans ces moments là -parce que t'as tenté plusieurs fois le coup-, la tête pleine de rêves et d'espoir pour revenir à la case départ quelque mois après, le coeur en lambeaux et plus un sous en poche. Heureusement, ta mère t'accueillait toujours avec le sourire en te demandant s'il t'avait épousé et toi tu lui souriais en répondant que tu avais jouer le rôle de la mariée est en fuite. Tu as toujours grandit seule, sans petits frères ou petites soeurs, aucuns mioches à emmerder ou encore à se défouler dessus. Alors tu te contentes de passer ta rage dans un sac.

T'as décidé très jeune de prendre des cours de "self-defense" dans l'unique but de tabasser tout ceux qui oserait faire mal à ta mère, le seul membre de la famille que tu as réellement. Parfois, tu te promènes dans les rues ou encore dans le vieux port et tu aspires à ce qu'un grand manager de musique te recueil comme une pauvre fleur te prenant sous son aile et te propulse dans le monde du showbiz. Mais encore là, tu ne fais que rêver puisque la musique ça ne marche pas pour toi, le talent tu l'as dans les veines ça il n'y a pas de doutes, c'est simplement qu'il te manque la petite poussée pour prendre ton envol. Alors, tu restes là, à regarder les autres oiseaux partir en te disant qu'un bon jour se sera ton tour. Tu envies parfois tes copains, ceux sur qui tu peux véritablement compté, pour qui tu donnerais ta vie s'il le fallait. Tu ne parles pas de ce que tu ressens vraiment, sauf peut-être avec eux mais encore là ils ne savent pas tout de toi. T'es une femme secrète et fragile malgré ce que tu laisses transparaître à la face du monde. T'as des regrets, comme tout le monde mais ça non plus tu n'en parles pas n'y voyant pas l'intérêt. Ton plus gros regret est celui d'avoir avorté, deux fois plutôt qu'une. Mais de toute façon, tu ne connaissais pas les pères alors à quoi bon. Tout ce que tu veux, c'est vivre ta vie comme tu le sens, sans te poser de véritable questions après tout tu n'as que vingt-quatre ans et encore de belles années devant toi.