« You gave me a forever within the numbered days, and I’m grateful. »
Il parait que la vie n'est jamais aussi belle que dans tes rêves...
Je peux déjà vous dire deux ou trois choses sur moi, qui ne sont pas forcément importante, mais c'est toujours bien de le savoir, vous ne comprendrez que mieux ma personnalité. je suis végétarienne + je ne fume pas + en soirée, il arrive de me lâcher, mais dans le genre à fond + j'aime porter des couleurs vives + je suis sportive + je n'ai jamais travaillé de ma vie + j'ai tendance à me faire des films + je sourie très souvent + on dit que je suis exaspérante & naïve + apparemment je ne peux pas avoir d'enfants + je suis très tête en l'air + quand je ris, je finis toujours pas grogner + je n'ai jamais passé mon permis de conduire, ce qui ne m'empêche pas d'avoir une voiture + plus jeune je pensais être une sorcière + je tris toujours les smarties par couleur + je chante systématique quand je m'habille + j'imite à merveille Stitch + je suis mariée depuis trois ans + je ne porte que rarement des talons + je pleure toujours devant les films d'amour + je suis nulle avec les nouveaux téléphone portable + je suis un danger ambulant + j'ai un amant.
hakuna matata.
L'histoire de chacun commence avec une date, la mienne a commencée le 26 mai 1983. Je suis la petite dernière de la famille, avant moi il y avait mon frère et ma soeur, tout deux moyennement ravis d'avoir une petite soeur. Il faut dire que j'essayais toujours d'aller jouer avec eux, parce que leurs jeux semblaient bien plus amusants. Mais je me faisais toujours refouler, parce que j'étais la petite dernière, le boulet qu'ils ne voulaient pas ce traîner. Alors, je passais la plupart de mes après-midi avec ma mère. Une hippie dans l'âme (il suffit de voir mes prénoms pour comprendre), qui ne voulait pas que sa petite dernière reste seule, alors elle restait avec moi. À l'âge de sept ans, j'étais une pro du tricot, mais niveau social c'était franchement le vide. J'avais très peu d'amis pour la simple et bonnes raisons que j'étais considérée comme "bizarre" avec mes habits différents et mes prénoms rigolos. Oui, ma mère était ma meilleure amie et je dois bien avouer avec le recul que ça craignait un max pour moi. Enfin, arriva la douce délivrance du collège où je parvient à me faire des amis, ou du moins un petit groupe avec lequel je traînais tout le temps. J'étais la petite marrante du groupe, la bonne copine, mais étrangement pas celle avec qui on voulait sortir. Ça ne me dérangeait pas plus que cela, je me disais que mon prince charmant viendrait me sauver tôt ou tard et que je connaîtrais alors le baiser parfait... Oui, bon, ça ne c'est pas exactement passé de cette façon mon premier baiser. J'avais déjà quinze ans bien passé (plus proche des seize en réalité) et c'était avec le copain de ma meilleure amie. Un baiser dans une piscine, le jour de l'anniversaire de la meilleure amie en question. Pour la best friend forever on repassera, je sais. J'avais cependant passé le premier cap avec un garçon et j'ai franchement été dégoûtée. Il a fallu attendre encore plus d'un an, avant que je franchisse tous les caps avec mon copain de l'époque. L'amour fou, je pensais que ça durerait toute la vie, pour moi, c'était sûr il était l'amour de ma vie. Manque de chance, deux jours après avoir réussi à coucher avec moi, il m'a plaqué, mais le problème venait de lui et non de moi, dieu merci. Autant dire que mes relations avec les hommes ont toujours été dans ce genre-là, à croire que j'aime me faire du mal.
C'est à l'université que j'ai rencontrée un garçon formidable et fou amoureux de moi. Apparemment nous étions dans la même école étant plus jeune, mais je n'avais aucun souvenir de lui, ce qui était loin d'être son cas. Nous sommes sorti ensemble, assez rapidement, lui était déjà fou de moi depuis des années et je dois bien avouer que ce genre de déclarations ça booste l'égo. Il était l'homme parfait, toujours aux petits soins pour moi, à me couvrir de cadeau, à me déclarer sa flamme. Cela me changeait vraiment de mes précédentes relations et c'était vraiment reposant. Au bout de trois ans de relations il demanda ma main à mes parents qui ne voyaient aucune objection dans ce mariage. Il me fit donc sa demande, le soir de la Saint-Valentin (les cliché ont la vie dure), avec roses, bagues avec un diamant -à faire couler le Titanic une deuxième fois- et champagne. J'ai bien évidemment dis « oui », j'aurais été bête de dire non franchement. Et cerise sur le gâteau sa famille était riche, j'étais sûre ne manquer de rien à l'avenir. Bon je ne suis pas ce genre de femme qui ne cours qu'après l'argent, mais il faut reconnaître que c'est sécurisant de se dire qu'on en a. Les fiançailles ont duré cinq ans, ce n'était jamais le bon moment pour se marier. Enfin, pas pour moi, je n'avais que cela à faire préparer le mariage. N'ayant jamais su vraiment ce que je voulais faire dans la vie, je n'ai jamais rien fait. Comme faire du bénévolat, s'occuper de son fiancé et traîner sur Internet ne constitue pas un travail, j'ai profité de l'argent du dis fiancé. Cela dit, avec mes clubs (de lecture, tricot, jeunes femmes riches qui s'ennuient ect...), j'avais un emploi du temps bien chargé. Finalement, nous avons fini par nous marier il y a de cela trois ans, parce qu'il fallait bien sauter le pas à un moment ou un autre. Très vite je me suis lassée de cette vie sans intérêt, mais je la subissais ne connaissant rien d'autre dans la vie. Enfin ça c'était avant.
Un beau jour d'été, j'ai rencontré l'homme qui allait changer ma vie. Oui, je sais, j'étais une femme mariée -je le suis toujours- et ce n'est pas bien de tromper son mari. Mais voyez-vous, je suis tomber amoureuse pour la première fois de ma vie et je n'avais pas le droit de le laisser filer. C'était un homme, un vrai et avec lui j'ai découverts des choses que je ne pensais pas exister. L'amour, le vrai, la passion et les complications. Au début je culpabilisais, c'était mal, mais tellement bon au final. Cette liaison a commencé il y a neuf mois (le temps d'une grossesse, sauf que non, je ne peux apparemment pas avoir d'enfants) et c'est la chose la plus merveilleuse qui me soit arrivée dans ma vie. Le drame a eu lieu, il y a deux mois quand mon amant à du déménager pour se rapprocher de sa famille. Pas question de le quitter et pas question de quitter mon mari non plus (quand je vous disais que je devais aimer souffrir), j'ai donc persuadé mon mari de déménager. La campagne nous ferait du bien et bien évidemment, pour me faire plaisir il a accepté sans se poser de question. Je suis trop forte parfois. Seulement voilà, toute cette situation ça commence sérieusement à devenir problématique et à me peser. Je ne voudrais faire souffrir personne, mais plus le temps passe et plus il semble improbable que cela se produise. Je ne suis pas prête à en perdre l'un deux deux (même mon mari, on finit par s'attacher), même si je sais que cela ne va pas pouvoir durer éternellement. Je me dis qu'il faudrait que je prenne ma vie en main, travailler, me trouver un but dans la vie, tout ça, tout ça... Mais c'est quand même bien compliqué d'être une adulte.
Be yourself.
La présentation ne va pas changer, je suis toujours moi Fan de Nemo (d'où le pseudo sur le net, NEMOLICIOUS), 23 ans, Margaux pour les intimes, adore le rose & me faire des films. Petit changement de personnage, dû a la suppression d'Anton Donc bye bye Tessa & bonjour Jazz
Dernière édition par Jazz R. Heart le Jeu 18 Avr - 22:29, édité 9 fois
Sujet: Re: To infinity and beyond. Jeu 11 Avr - 8:56
AH MAIS JE CONNAIS CE PSEUDOOOOO. Re-bienvenue chez twaaa donc J'ai hâte de voir ton nouveau perso. en plus Zooey a été une des premières que j'ai joué en RP trop de souvenirs en mwa. :')
Sujet: Re: To infinity and beyond. Jeu 11 Avr - 15:33
Ah ? C'est possible & ça me choque que quelqu'un me connaisse (niveau nom j'entend), parce que bon le net est grand & tout & tout :loni2: En tout cas merci