Virgile (Lévi) Brolin

❝ citation de ton choix ❞

✗ nom : Brolin, mais le nom peut être modifié, je n'impose aucunement ce choix. ✗ prénom : Virgile, prénom à la limite de la bible démentiel. ✗ date de naissance : 22 octobre. ✗ âge : 33/34 ans. ✗ lieu de naissance : Austin. Texas. ✗ nationalité : Américaine.  ✗ orientation sexuelle : Adorablement hétérosexuel et séducteur. ✗ statut marital : Au choix. ✗ métier/études : Inspecteur dans la brigade anti-drogues. ✗ groupe : it doesn't metter.  ✗ avatar : Charlie Hunnam.  ✗ crédit : Tumblr.



Virgile est né et a passé une grande partie de son enfance à Austin, il a grandi dans une famille pro religieuse et purement républicaine, il ne s’est jamais réellement senti à sa place dans cette dernière et a toujours été traité comme étant le « mouton noir » de la famille. ✗ Virgile a toujours été un enfant provocateur qui détestait toute forme d’autorité, surtout à l’école et contrairement aux apparences il n’a pas toujours été un jeune homme au physique avantageux, bien loin de là ses années lycées se sont plutôt mal écoulés pour lui, le blond gringalet qui n’hésitait pas à faire chier son monde. ✗ Son choix d’entrer dans la police est lié à l’histoire que le liait avec Wayne, ce père tueur en série et ces deux pauvres filles malheureuses, cette enquête la beaucoup marqué à vif et puis son père le voyait devenir un jeune homme calme, rangé, le tenir loin de cette fille au père démoniaque. S’il n’est plus avec Wayne aujourd’hui, il n’en reste pas loin ce gosse qui aime le danger et l’aventure, prêt à tout pour rendre ses parents fous de rage.✗  Après plusieurs mois d’infiltration dans un réseau de trafiquants de drogues, il est aujourd’hui ici depuis quelques mois contre son grès, suite à une erreur policière impulsive sa punition fut d’être transférée ici et il le vit plutôt mal. ✗ Lorsque Wayne a eu des problèmes de drogues, il est venu la voir, mais n’a malheureusement pas réussi à lui parler, restant seul en bas de son appartement, sachant pertinemment que la jeune femme le mettrait dehors, il a donc passé quelques jours avec Avery, soutenant sa sœur spirituelle dans cette épreuve. ✗ Il a toujours pris des nouvelles de Wayne, même si la jeune femme n’était pas au courant, il contactait souvent sa petite sœur, Avery, et essayait de soutenir la jeune femme à distance. ✗Il a tabassé un journaliste qui harcelait les deux sœurs Bishop concernant l’affaire de leur géniteur, fort heureusement son supérieur fut conciliant.   ✗

LES RELATIONS

Wayne Bishop. (Sophia Bush) ✗ Ex-petite amie, nouvelle équipière, grand amour.


« Tu comprends ce que je te dis Wayne ? » Elle avait les cheveux humides, un t-shirt troué et un short déchiré qui lui allait parfaitement bien, elle le fusillait du regard, jetant la manette contre le sol d’un air décidé et pourtant tellement peu réaliste. « Je sais très bien que tes parents ne m’apprécient pas, autant que je porte dans mon cœur la façon dont ils te traitent…on dirait qu’ils te prennent pour un demeuré de première ! » Elle arracha la cigarette qu’il venait de coincer entre ses lèvres, cloisonnant cette dernière entre les siennes, bien plus rosée. Elle fronçait les sourcils, c’était ce qu’il aimait chez elle, cet air colérique qui ne la quittait presque jamais, souvent remplacé par un regard insondable. «  Tu crois que tu pourrais passer une petite soirée avec eux sans vouloir égorger ma mère ? » La petite brune s’esclaffa manquant de s’étouffer dans une bouffée de nicotine. « Tu rigoles ? C’est la pire ta mère ! » Hurlait-elle en cognant contre sa poitrine. Ce qui le fit rire, au-delà des défauts de Wayne dont une incapacité sociale et une peur étrange concernant l’engagement, elle était toujours d’une franchise innocente et déconcertante. « Viens là.  » Lui murmurait-il en l’attirant dans le creux de ses bras. Ce furent de doux instants, éphémères, de bonheur.

« Wayne…lèves-toi s’il te plait. » Sa carcasse d’homme qui grandissait de jour en jour se mouvait lentement dans la pénombre de la chambre de la jeune femme. Le grand blond s’élança jusqu’à sa fenêtre, tandis que la brune enlaça ses genoux un peu plus fermement, le menton totalement posé contre ces derniers, elle marmonna dans sa barbe : « Tu ne devrais pas, sinon ils grimpent jusqu’ici… » Les journalistes.  Ce n’était pas réellement le pire depuis l’arrestation. Non. Le pire était avant tout le regard de ceux qui l’avaient vu grandir. Des gens qui lui tournaient le dos, qui se poussaient dans la rue lorsqu’elle les frôlait. La main chaude de Virgile se posa sur son front. « Tu as de la fièvre. » Elle haussa les épaules, mourir aurait été un soulagement aux yeux de l’enfant déchu. « Parles moi Wayne » Le suppliait le jeune homme tout en dégageant de nombreuses mèches brunes, collantes et humides. Elle le toisa. Dans l’espoir qu’un mot de vienne détruire ce mutisme dans lequel elle s’était écroulé jour après jour. Avery était là, présente, elle tentait de garder la tête haute pour Wayne et pour sa mère. Pourtant, elle, l’aînée, celle qui l’avait toujours protégé n’y arrivait plus. Ses ongles s’enfoncèrent dans la peau de ses avant-bras. « Je vais dormir. » Murmurait-elle tout en s’écroulant contre son matelas. Elle ignorait le temps qu’avait pris Virgile auprès d’elle, sa main dans la sienne, silencieux avant que la porte ne vienne se refermer derrière son dos.

Elle marchait au rythme du vent chaud qui fouettait son visage. C’était ainsi depuis plusieurs mois, depuis les interviews, les interrogatoires et tout ce qu’englobait l’arrestation d’un assassin. Elle marchait tout simplement, mains enfoncées à l’intérieur de ses poches, vers une destination hasardeuse. Elle n’était ni heureuse, ni malheureuse, elle vivait simplement par procuration, Virgile ne cessait de lui répéter qu’elle n’avait pas à se punir pour les meurtres de son père, qu’elle n’était pas lui. Pourtant, elle se souvenait bien de la proximité qui l’avait lié à cet homme, de l’amour qu’elle avait pu voir dans son regard, de la façon dont elle avait toujours été une enfant sur le fil du rasoir face aux yeux inquiétés de sa mère. Elle s’était retrouvée devant chez lui, plantée sous un lampadaire à peine fonctionnel. Un haut le cœur la saisissait soudainement lorsqu’elle le vit, enlaçant une jeune fille, déposant ses lèvres dans le creux de son cou. Une rage soudaine s’emparait d’elle, sans même s’en rendre compte, elle s’était retrouvée à la hauteur du couple d’amant. « Sérieusement ? » Hurlait-elle d’une voix qu’elle s’était imaginée posée et calme, mais qui en réalité n’était qu’hystérie.  « Wayne ce n’est…laisses moi t’expliquer.  » Elle le gifla. Toisant la jeune innocente au passage d’un regard aussi sombre que ses cheveux couleur ténèbres. « Non tu sais quoi ? Restes avec elle, au moins son père ne découpe pas de jeunes filles ! » Il l’attrapa, tentant désespérément de la calmer, gêné des regards curieux qui se posait sur le trio. « Wayne… » Cette voix la fit faillir. « LACHE MOI PUTAIN ! » Et elle se sauva, dégageant la main qu’elle chérissant tant. Elle courrait, encore et encore à en avoir le souffle coupé. Traversant le vestibule de sa propre maison, elle tomba nez-à-nez avec Avery qui la toisa curieusement. Et elle s’effondra. Simplement.

Avery Bishop (Jessica Stroup) ✗ Petite sœur de cœur et ex belle-sœur


« Je suis ton amoureuse, hein ? » Avery avait des yeux d’une pureté déconcertante, tout juste plus jeune que lui de quelques années, il passa son bras autour de ses épaules, l’enlaçant amicalement. Le socle de leur relation avait toujours été ainsi, lui le protecteur, elle, la maladroite incapable de faire de mal à une mouche et pourtant assez casse-cou qu’il l’était. Elle n’était pas son amoureuse, elle était simplement une sœur de cœur, une petite fille qu’il adorait.

« Elle reste enfermée depuis son arrestation. » Avery avait grandis et avec son enfance s’était envolée une innocence. Virgile  posa sa main sur son épaule, au loin, il apercevait les journalistes aux traits tirés, tendus, prêts à mordre à la moindre occasion. Quel scoop serait-il mieux que celui de deux sœurs ignorantes concernant la folie de  leur père qui le poussait à  torturer et tuer des jeunes femmes innocentes. « Je vais aller la voir. » Lui répondit-il dans un fébrile sourire.

« Comment elle va ? » A l’autre bout du fil, un grésillement l’empêchait d’entendre tout ce que la jeune Avery disait, pourtant il avait réussi à comprendre un simple « Elle te maudit sur sept générations, mais tu la connais, tout va bien. » Il esquissa un large sourire. Wayne avait toujours voulu jouer à la fille solide qui allait bien malgré une mère sur le seuil de la dépression et un père tueur en série. Avery la connaissait, mais Virgile, lui, l’avait vu s’effondrer. « Et toi ? » Questionnait-il sur un ton qui se voulait nonchalant. « Hum…bien, toujours mieux que Wayne mais toujours pire que toi. » Elle riait aux éclats et la conversation dura encore quelques heures jusqu’au moment où Virgile raccrocha à contre cœur. Avery avait toujours été le ciment qui le tenait attacher à Wayne qu’elle le souhaitait ou pas.


PSEUDO (avatar) ✗ LIENS

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