Isaac Ethan Dunstan ☂ .......................................................................................................
☂ NOM(S):Dunstan. ☂ PRÉNOM(S):Isaac Ethan. ☂ AGE: Vingt et un ans. ☂ ORIGINE:Anglais. ☂ STATUT CIVIL:Célibataire. ☂ MÉTIER OU ÉTUDES: Peintre, le reste, c'est maman qui paye. ☂ GROUPE:filthy youth. ☂ AVATAR: Mikus Lasmanis.
JUST GONNA STAY HERE.
En une trentaine de lignes, vous devrez nous raconter la vie de votre personnage. Cette partie est assez libre puisqu'elle nous permet en même temps de mesurer votre niveau de rp. Vous avez la possibilité de le faire sous différentes formes, en y ajoutant des musiques et des images pour rendre le tout encore plus attrayant. Évidemment, nous donnons trente lignes, mais vous pouvez faire bien plus. Tout dépend de votre niveau d'inspiration. N'oubliez pas que plus nous en savons sur votre personnage, mieux nous parviendrons à le cerner dans son intégralité.
WALKING IN THE DARK.
Yu, j'aime pas parler de moi. On va la jouer simple : Raphaëlle, fille, 19 ans, toutes mes dents, région totalement paumée avec des vaches et des moutons tu vois, j'aime lire, le cinéma et la musique ( as everybody i guess ), les chaussures ( mon péché mignon lalala, d'ailleurs je m'en suis acheté des nouvelles il y a quelques jours chez Zara, les yeux de la tête mais absolument magnifiques ). J'aime pas... pas grand chose en fait. Les maths, rah les maths. Mon esprit se bloque totalement quand je vois des nombres. Bref voilà (aa)
Dernière édition par Isaac E. Dunstan le Lun 7 Mar - 13:51, édité 5 fois
Sujet: Re: ISAAC •• C'est la manie [100%] Sam 5 Mar - 23:16
JUST GONNA STAY HERE.
« Le sucre ! » J'entends un grognement provenant de l'étage, un mélange entre le Yéti qui n'est pas sortit de son antre froide depuis des mois, et le gentil hamster qui n'a plus de nourriture. Parce que niveau couinement, Lise il était pas mal dans son genre, surtout le matin quand je le réveille pour des conneries – il est treize heures, il vient d'ouvrir les yeux -. Enfin le sucre, j'en avais vraiment besoin, sinon ma tasse de café, je pouvais directement la vider dans l'évier, sans même tenter d'y tremper les lèvres. Donc je reste là, planté au milieu de la cuisine, avec ma tasse tout droit importée d'Angleterre dans une main, une clope fumante dans l'autre. « Le sucre. SUCRE PUTAIN ! SUCRE ! » J'aurais dû aller tirer ses couettes et les foutre par la fenêtre. On ne s'engueule pas souvent, mais toujours pour des conneries de ce genre. Combien maintenant ? Huit ans d'amitié, trois ans de collocation, et toujours infoutu de ranger les affaires à leur place. J'ai l'impression de tourner en rond, à danser sur une jambe et sur l'autre. Tu parles que mon café est déjà froid depuis le temps que j'hurle après mon meilleur ami. Meilleur ami mon cul, un meilleur ami, il sait où il range la boîte à sucre lui. « Va te faire foutre avec ton sucre ! Je suis diabétique. ». Ça c'est faux. C'est des foutues conneries. Il est toujours là à s'envoyer tout ce qui lui passe sous la main, sucré ou salé. Le fait est, qu'il ne veut pas bouger son cul à treize heures passées. Ce qu'il peut être con quand il s'y met. C'est par vague vous voyez, le matin, il atteint son pique, son maximum, et tout redescend au fur et à mesure que la journée commence. Je tente d'ouvrir un dernier placard, espérant vainement y trouver la petite boite rose et blanche remplie de morceaux de sucre. Nada, rien. Tout à l'heure, je vais la retrouver dans le micro onde ou le frigo, et quand je me retournerai, je verrais sa tronche hilare à me regarder hurler. Mais ça sera tout à l'heure, là, j'ai bien l'intention de le faire descendre jusqu'à la cuisine. Doucement pour ne pas en faire tomber une goutte, je pose la tasse dans l'évier, et me crame l'autre main avec la clope toujours allumée. Aujourd'hui, je le sent, ça va être un désastre. J'ai vite fait de grimper les escaliers quatre à quatre, direction la chambre de mon meilleur ami. On peut dire merci maman, pour cette magnifique petite maisonnette qu'on partage à deux. Quand j'avais atteint mes dix huit ans, que j'avais empoché avec la mention très bien mon diplôme de fin de lycée, elle m'avait laissé le choix entre : retourner vivre en Angleterre, une nouvelle voiture, ou un voyage d'un an dans le pays de mon choix. Ouais, ma maman – une ancienne actrice qui jouait maintenant dans les séries v -, elle était sacrément riche de part ses nombreux mariages ( divorces surtout ), et comme j'étais son seul enfant, elle me passait tout sans discuter. Le choix entre ces trois options avait été vite fait : je restais ici, elle me louait une maison avec un atelier annexe, et Lise restait aussi ici moyennement un loyer de rien du tout, pour marquer le coup. Elle avait râlé au début, puisqu'elle, elle repartait pour Londres où son nouveau mari l'attendait. Et maintenant tadam, trois années de cohabitation intenses. Moi, j'avais mon petit atelier, une cabane de jardinier qu'on avait retapé pour en faire mon havre, l'endroit privé dans lequel je pouvais peindre. L'art, c'était ce qui me parlait le plus. Pas que je sois très très doué, ça aurait été mentir, mais je me sentais mieux à dessiner des carrés noirs sur un fond blanc toute ma vie plutôt que de devoir apprendre le code pénal et le code civil par cœur. Suivre ma mère en faisait le singe derrière une caméra non plus. Donc peintre, cloitré dans sa cabane pour donner un petit côté torturé, qui pondait une ou deux toiles par mois, ça m'allait parfaitement. Dans le couloir, il n'y a aucun bruit, mis à part celui d'un léger ronflement. Me dit pas qu'il s'est déjà rendormi ? J'avance doucement, pour éviter de faire claquer le plancher, et pousse la porte de sa chambre de toute mes forces. Un jour, je vais la casser, les vis vont sauter et on se retrouvera bien con. Lise se réveille en sursaut et me déballe une salve d'insulte avant de se mettre à rire. Je m'approche du lit, me laisse tomber dessus, à côté de lui, et ramène la couverture jusqu'à moi, pour me blottir contre lui en lui soufflant que dans l'histoire, le connard, c'était celui qui avait perdu ma boîte à sucre. Au final, on ne c'était jamais vraiment engueulé, sauf pour elle. Ouais, c'était une fille qui était arrivée à nous séparer, et qui le faisait toujours avec brio. Bonnie. Je secoue la tête pour la chasser de mes pensées, au moins quelques minutes, et me retourne vers Lise, le visage endormi, une cigarette pendue aux lèvres. Je coince le filtre entre mon index et mon majeur pour lui faire gagner mes propre lèvres, aspirant une longue latte. Dire que j'avais pensé que ma vie serait foutue après mon déménagement. Remarque, je n'avais que treize ans, on pouvait pas déclarer que sa vie était fichue à cette âge là. Et je l'avais rencontré lui, Lise, mon meilleur ami, mon jumeau, qui m'avait prit sous son aile histoire que le système américain ne me monte pas trop à la tête. Brother blood, et jamais on ne se séparera. C'était sans compter Bonnie. Bonnie qui cassait notre duo, Bonnie, le sommet du triangle. Je tourne légèrement la tête, pour recracher ma fumée, et Lise finit enfin par se bouger. « Au fait, Is' ... » Je tourne les yeux vers lui pour le voir sortir, tout sourire, une boite rose et blanche de sous son lit. « C'est un coup du farfadet, je sais pas comment elle est arrivée là. » As long as i have you.
Dernière édition par Isaac E. Dunstan le Dim 6 Mar - 14:38, édité 10 fois
Sujet: Re: ISAAC •• C'est la manie [100%] Sam 5 Mar - 23:24
Merciii ♥♥♥
Et bien les deux correspondent totalement avec le personnage. C'est juste que je n'arrive vraiment pas à choisir x) Me faudrait juste un vote tout con (aa)
Sujet: Re: ISAAC •• C'est la manie [100%] Sam 5 Mar - 23:27
Je ne connaissais ni l'un ni l'autre mais après avoir vu les photos de Google, je dirais Boyd Holbrook en plus il ressemble au mec de maman, j'ai oublié l'avion Bienvenue :D
Sujet: Re: ISAAC •• C'est la manie [100%] Lun 7 Mar - 23:57
T'es une accro des chaussures et tu déteste les maths ? Marrions-nous sur le champ. Bon plus sérieusement, je bave devant ton avatar sublime et hum, bienvenue sur le forum, au plaisir de pouvoir RP avec toi.