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 On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.

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MessageSujet: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyJeu 12 Avr - 21:34


FERNANDO & TEDDY.
Wha­te­ver you do will be in­si­gni­fi­cant, but it is very im­por­tant that you do it. It's kind of fuck up, isn't it ? How all of a sudden, someone just wakes up and decides to never talk to you again. No reason. No explanation. No words said. They just leave you hanging like you have never meant anything to them, and what hurts the most is how they make it look so easy.© CJ.POMME'



C'était le jour J. Le grand jour. Non, il n'était pas question de mariage ou d'accouchement ou que sais-je. Teddy-Rose devait rencontrer le peintre, Fernando, qui allait la peindre alors qu'elle était dénudée. Elle n'avait pas cessé d'y penser, elle s'imaginait comment était son 'atelier', où elle allait être, dans quelle ambiance cela allait se passer et même, ce qui allait arriver par la suite. Elle s'était vêtue d'une robe rouge, recouverte par de la dentelle noire, sans oublier les sous-vêtements qui s'y accordaient parfaitement, ainsi que les collants déchirés et les doc martins. Oui, Teddy représentait la société de consommation à elle toute seule, ou presque. « Teddy-Rose, tu sors aujourd'hui ? » Qu'est-ce qu'elle détestait ce prénom, elle ne savait pas vraiment ce qui était passé par la tête de ses parents lorsqu'ils avaient choisit ce prénom. LSD, héro, dope, coke, crack, joint, shit, marie-jeanne, cannabis, beuh, extasy ? Surtout que les blagues fusaient dans son enfance, Teddy Bear, et à l'adolescence c'était devenu pire, carrément puéril et masculin. Teddy, comme Teddysponible, J'teddyrose, Teddy le mec. Elle n'y avait jamais fait attention. « Oui, je vais voir une amie pour un exposé. » La jeune fille descendit les escaliers et se retrouva face à sa mère qui faisait une tête du genre : are you fucking kidding me ? Elle lui fit un sourire. « Un problème, m'man ? » ; « Isìdora Teddy-Rose Forzwood, tu ne sortiras pas dans cette tenue pour aller je ne sais où. » Elle haussa un sourcil, pouffa et se dirigea vers la porte. « Regarde maman, je sors dans cette tenue pour aller tu ne sais où. » Puis, elle sortit. L'adolescente savait pertinemment qu'elle allait se faire disputer en rentrant, mais ça valait le coup. Fernando en valait le coup. Oui, elle en parlait comme si c'était son petit-ami alors qu'il était loin de l'être.

Au bout de cinq minutes de marche, elle se retrouva devant l'appartement de Fernando. Elle angoissait. Elle faisait largement dix-huit ans, voir vingt, elle n'avait aucune raison d'angoisser. Tout allait bien se passer, posée nue ce n'était pas grand chose. C'était comme.. si on était nue dans la salle de bain et que quelqu'un nous observait. Mauvaise image. Doucement, Teddy montait les escaliers, une par une, s'attardant sûr chacune d'entre elles. Puis, elle se posta devant la porte et attendit sur la palier pendant quinze minutes. Elle observait ce qui se trouvait dans le couloir, les numéros sur les portes, les encadrement de portes, les messages sûr les paillassons ainsi que les motifs présents sur le papier peint du couloir. Et c'est au bout de quinze minutes qu'elle toqua à la porte, attendant qu'il ouvre. Il finit par ouvrir. « Bonjour. » elle lui fit un sourire et entra dans son appartement, observant comment il vivait. C'était pas mal. Et, il était pas mal. « J'espère que je ne suis pas trop en retard, j'ai eu un petit inconvénient je .. » fantasmais sur toi. « .. ne trouvais plus mes clés. » Elle essayait de bien parler pour faire bonne impression. Elle retira sa veste, dévoilant ses épaules parfaitement blanches et lisses, ainsi que le haut de sa robe et se retourna vers lui, un sourire charmeur aux lèvres. « Bel appartement. » Allez, fout-moi sur le canapé.
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Fernando Gautier-Perez
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyVen 13 Avr - 20:09

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WE'RE YOUNG AND SEXY.

Enfin. Le jour que j’attends depuis si longtemps. Je me suis toujours interessé au corps, à ses courbes, ses détails, ses imperfections. Je n’ai jamais dessiné de nu. Jamais. Le nu, l’un des sujets les plus traité dans l’histoire de l’art. Le sujet auquel on ne peut pas échappé en tant qu’artiste. J’ai toujours voulu en faire, réaliser une série. Je ne suis pas quelqu’un qui aime dessiner d’après des photos. Je trouve que ça se sent dans la peinture, dans le dessin, qu’il n’y avait pas de support 3D.
J’aime peindre un paysage que j’ai devant mes yeux, j’aime peindre d’après mes souvenirs. Mais jamais d’après une photo, je me le suis promis. Un visage, ça va. Un corps, c’est quasiment impossible à reproduire d’après un souvenir.
J’ai longuement hésité avant de poser cette affiche sur le tableau d’affichage de la mairie. Longuement. J’avais certainement peur d’être jugé, qu’on me prenne pour un pervers. À Arrowsic, nombreuses sont les femmes au foyer qui n’ont rien d’autre à faire que ragoter et critiquer tout ce qui bouge. Certaines d’entre elles n’ont jamais vu autre chose que cette petite ville du Maine, ce qui fait qu’elles ont l’esprit plutôt fermé sur ce genre de choses.

Fnalement, j’ai decidé de me lancer quand même. Après tout, j’ai le droit de vivre ma vie comme je le veux. J’ai attendu une semaine, puis deux, puis trois. J’allais partir enlever l’affiche quand j’ai reçu son coup de téléphone. Une certaine fille nommée Teddy, original comme prénom, j’aime ça. Elle vient aujourd’hui et j’ai hâte.

J’ai décidé de ranger tout mon appartement afin de faire bonne impression. J’ai amenagé mon petit atelier qui se trouve à côté de ma chambre de manière à ce qu’on puisse y travailler tous les deux. Je suis content, mais je dois avouer que j’appréhende un peu. J’ai déjà eu des modèles, mais… tout habillés. Ce n’est pas exactement la même chose. Alors que je fais les cents pas dans le salon, quelqu’un toque à la porte. C’est elle. J’ouvre la porte. Je découvre une jeune femme très sexy, un peu provocante, mais qui semble être très sûre d’elle. C’est tout à fait ce qu’il me faut. Je dirais qu’elle a à peu près mon âge, ce qui me rassure un peu, je vais pouvoir la tutoyer sans que ça paraisse bizarre. On se salue, je décide de lui faire la bise pour la mettre à l’aise. « J’espère que je ne suis pas trop en retard, j’ai eu un petit inconvénient je… ne trouvais plus mes clés » Je lui souris. « Non, il n’y a pas de problème, j’ai tout mon temps de toute façon. » Je l’invite à entrer d’un geste de la main. Sans que je n’ai rien à lui dire, elle se met déjà à l’aise en enlevant son blouson en cuir. Elle porte une belle robe rouge qui met bien en valeur ses formes généreuses. « Bel appartement » me dit-elle avec un magnifique sourire. Cette fille me plait déjà. Belle, sensuelle, énergique et sûre d’elle, tout ce qu’il faut pour un modèle nu. Je suis déjà sûr que cette après-midi sera très enrichissante. « Merci, je peux te servir un truc à boire ? Viens, je te montre déjà mon atelier ! »

Je la mène vers la petite pièce au bout du couloir. Nous y entrons. La pièce est petite mais très lumineuse et plutôt chaleureuse. J’y ai mis de la couleur et de jolis meubles pour travailler. Il y a quelques uns de mes travaux en cours éparpillés dans les coins de la pièce. Pour aujourd’hui, j’ai choisi un fauteuil en velour bleu roi, ainsi qu’un tabouret pour réaliser divers poses. « Je pensais commencer par quelques croquis crayon afin d’avoir de quoi réaliser ma peinture par la suite. » Je souris, j’essaye d’être agréable, gentil, rassurant. Mais je dois avouer que je suis assez impressionné. Cette fille, elle doit avoir mon âge ou un peu moins, mais elle dégage quelque chose d’incroyable : une force, une confiance en elle qui me met un peu inconfortable.


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Dernière édition par Fernando Gautier-Perez le Mar 17 Avr - 20:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyVen 13 Avr - 21:45


FERNANDO & TEDDY.
Wha­te­ver you do will be in­si­gni­fi­cant, but it is very im­por­tant that you do it. It's kind of fuck up, isn't it ? How all of a sudden, someone just wakes up and decides to never talk to you again. No reason. No explanation. No words said. They just leave you hanging like you have never meant anything to them, and what hurts the most is how they make it look so easy.©️ CJ.POMME'



Sa mère n'avait cessé de lui répéter « même si tu n'as pas confiance en toi, fait croire aux autres que c'est le cas parce que s'ils s'aperçoivent que tu n'as pas confiance en toi, ils te tueront. » Oui, sa mère avait toujours eu le chic pour parler à sa fille, peut-être parce qu'elle était policière et son père avocat. Drôle de couple. Alors, elle s'était convaincue depuis son plus jeune âge qu'elle était sûre d'elle et qu'elle pouvait l'être, vu sa beauté. Son corps. Même ses mains étaient magnifiques. Comment douter de soi quand on est belle ? Teddy était loin d'être prétentieuse, elle savait juste ce qu'elle valait, qu'il elle était et ce à quoi elle aspirait. Education stricte de parents dans la justice. Elle ne savait pas dans quoi se lancer même si c'est vrai qu'elle avait un penchant pour le droit, bien qu'elle ne respecte jamais la loi. Pourtant, lorsqu'elle s'imaginait dans la justice elle se répétait : « je suis là pour faire respecter les règles aux autres, pas à moi. » et c'était une bonne excuse. C'était de plus en plus fréquent, les policiers ou les avocats qui faisaient respecter la loi mais qui ne la respectait pas eux-mêmes. Situation tragique. La société dérivait et Teddy en était l'exemple même. La technologie, la mode, l'évolution des mœurs, tout avait changé, entrainant la société au plus bas et c'était désespérant, mais ça, la jeune fille s'en fichait. Elle n'avait pas créée ce monde, elle n'avait pas choisit son époque, elle s'adaptait, s'intégrait. La jeunesse d'aujourd'hui pourrait être comparer à une arène remplie de lions et de lionnes, si tu es différent(e), tu es jugé(e) et attaqué(e). On te bouffe et laisse ta carcasse aux rapaces, pourris qu'ils sont. Ce serait comme mettre un musulman dans une école catholique. La comparaison était idiote mais réelle. Il fallait ressembler à tout le monde, se démarquer, être gay était encore mal vu, encore plus si on était bisexuel. Si on était de gauche ou de droite, si on était chrétien ou musulman. Être unique n'existait plus, tout le monde se pensait unique, mais si tout le monde se pense unique, plus personne ne l'est. Et c'est tellement futile que personne ne le remarque. Teddy l'avait compris bien assez tôt pour éviter de se rendre unique. Elle faisait comme toute bonne américaine : lire les magazines people, suivre la mode, avoir le dernier BB à la mode, etc .. même si elle y ajoutait toujours sa petite touche personnelle.

Et c'est ce qu'elle avait fait, tout au long de sa vie. Se faire passer pour quelqu'un qu'elle n'était pas et elle le refaisait aujourd'hui, pour charmer Fernando. Elle n'avait pas lésiné sur la tenue et la dentelle, elle était provocante. Dire qu'elle lui faisait du rentre dans le lard serait peu dire. Son appartement était vraiment génial, elle devrait peut-être songer à prendre le même, quelque part dans l'immeuble, même s'il est vrai qu'elle préférait les maisons. « Non, il n’y a pas de problème, j’ai tout mon temps de toute façon. » Elle sourit. Tant mieux. Avait-il prit son après-midi pour elle ? Enfin, pas vraiment pour elle, pour la pose. « Tant mieux, dans ce cas. » Puis il lui propose à voir mais avant, la visite de l'atelier. Alors, elle le suit, de près, le sourire aux lèvres, une énergie débordante se dégageant de son corps. Elle se sentait toujours comme ça en présence des hommes, comme s'ils dégageaient de l'énergie qu'elle absorbait et leur redonnait. Bizarre. L'atelier était beau, chaleureux et accueillant. Propice pour créer de jolis tableaux, de jolies peintures. Teddy aperçut quelques travaux du peintre éparpillés un peu partout et elle se pencha pour un prendre un. Elle l'observa quelques secondes, une lueur amusée dans les lieux. Il avait du talent. Génial. « Tu as du talent. C'est étonnant pour quelqu'un de ton âge. » Compliment. Mademoiselle Forzwood avait toujours été douée pour les compliments, elle s'intéressait assez à l'art et savez donc reconnaître du talent quand il y en avait. Oui, même à dix-sept ans on pouvait être cultivée et avoir de nombreuses connaissances en art. Il devait avoir la vingtaine et la plupart des peintres de nos jours avait la trentaine, voir la quarantaine. Ils commençaient tôt mais la renommée ne venait que bien plus tard. Elle reposa le croquis et parti caresser le fauteuil bleu qui allait sans doute servir à Teddy. Il était doux et beau. Elle sourit, une fois de plus. « Je pensais commencer par quelques croquis crayon afin d’avoir de quoi réaliser ma peinture par la suite. » Elle acquiesça d'un hochement de tête, replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille, bien que ses cheveux soient attachés en un chignon. Elle releva les yeux vers lui, se mordit la lèvre et détourna le regard. « Hum .. si la proposition de boire un truc tient toujours j'aimerais bien une bière, si tu as. » La bière. Elle en avait une sainte horreur mais si elle pouvait ne serait-ce avoir une goutte d'alcool, elle ne disait pas non. Non, elle n'était pas alcoolique, elle avait juste un goût prononcé pour tout ce qui pouvait ruiner sa vie. Alcool, tabac, drogue. Elle n'était pas une junkie alcoolique, elle profitait seulement. « Fernando, c'est ça ? » Elle venait d'y penser, aucun des deux n'avait fait les présentations. « Je m'appelle Teddy-Rose, même si je préfère Teddy. » Certes, ils connaissaient tout deux le prénom de l'autre mais autant aller plus loin dans les présentations. Si elle devait poser nue pour lui, il pouvait au moins de présenter. Plus elle le regardait, plus elle le trouvait sexy. Incroyablement sexy. Elle ne savait pas vraiment ce qu'il faisait dans la vie, à part la peinture, mais il avait la bonne carrure d'un étudiant en médecin, quelque chose comme ça. Comme William. A cette pensée, elle soupira et perdit son sourire. Reprends-toi, c'est pas le moment Ted.


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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptySam 14 Avr - 0:49

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WE'RE YOUNG AND SEXY.

C'est plus dur que je ne me l'étais imaginé. Comment m'y prendre ? Dois-je simplement lui dire « Bon tu t'dezappe ou quoi ? » ou alors je dois y aller doucement, comme l'un de ces vieux morceaux de musique classique qui démarre tout doucement et qui finit en force ? J'ai l'impression que je dois plus prendre ça comme un numéro de séduction. Là le résultat est le même: la mettre à poil, seul le but diffère. Je n'ai pas l'intention de me la faire. Juste de la dessiner. Et à mon avis, tout ce qui précède l'acte, c'est plus pour mettre à l'aise la personne qu'autre chose. J'ai la chance d'être un grand charmeur, je vais donc, comme très souvent, utiliser mes atouts. « Hum .. si la proposition de boire un truc tient toujours j'aimerais bien une bière, si tu as. » Ouais, bonne idée. Un peu d'alcool dans les veines ça va aider à la détente, pour tous les deux. Elle en a de la chance, j'ai un petit frigo dans l'atelier avec quelques bouteilles d'eau et quelques canettes de bière. J'en sors deux, je lui en tends une alors que je décapsule la mienne.

« Fernando, c'est ça ? Je m'appelle Teddy-Rose, même si je préfère Teddy. » ça, je le sais déjà. Je vois là une invitation à en dire plus sur moi. C'est vrai, c'est légitime. Je ne me fais pas plus prier. « Exact', je m'appelle Fernando ! J'ai 21 ans, je suis actuellement interne en médecine et je peins beaucoup à côté comme tu l'auras deviner. Je vis ici depuis deux ans et demi donc pardonnes moi si je te dis que je n'ai pas l'impression de t'avoir déjà croisé avant » dis-je en riant. « Et toi Teddy, tu fais quoi dans la vie ? Soit ditant passant, j'adore ton prénom, c'est très original ! » Et là, je dévoile toutes mes dents, je lui décroche mon plus beau sourire. Oui, c'est un peu sadique tout de même, je l'avoue. Faire du charme à une fille, sans arrière pensée derrière. Mais je crois que les choses sont assez clair, non ? Elle sait pourquoi elle est venue, elle sait pourquoi je suis là. Nous allons faire de l'art ensemble.

Je m'éloigne un peu d'elle et je me dirige vers une table où se trouve mon matériel. J'ai oublié de préparer mes pots de peinture, quel idiot. « Excuses moi, je dois juste préparer ma peinture, fais comme chez toi en attendant. » Très concentré, je mélange certains de mes pots de pigments à un liant cherchant à obtenir des couleurs un peu pastel. Ces temps-ci c'est mon kiffe. Ça peut paraître tout con, de mélanger des poudres de couleurs entre elles, puis à un liquide, mais en fait c'est un vrai travail de chimiste. Il faut beaucoup de précision et il ne faut pas se tromper. Le tableau peut avoir une allure totalement différente si je me trompe. Avec le temps, j'ai appris à doser correctement, mais ça n'a pas directement été évident. Le procédé me prend cinq bonnes minutes. Je prépare cinq pots, je travaillerai avec cinq couleurs aujourd'hui.

Je me retourne. Elle est nue. Heureusement que je n'ai pas un de mes pots à la main, sinon je l'aurai lâché à coup sur. J'essaye de masquer mon émotion, mais je pense qu'elle ma percé à jour. Elle est magnifique. « Il faut que je reste professionnel » C'est ce que je me répète aux moins sept fois dans ma tête. « Bon, puisque tu es prête, on peut commencer si tu le veux bien ? »


Dernière édition par Fernando Gautier-Perez le Mar 17 Avr - 20:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyLun 16 Avr - 21:47

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Dernière édition par I. Teddy-Rose Forzwood le Sam 21 Avr - 18:06, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyMar 17 Avr - 20:23

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WE'RE YOUNG AND SEXY.

Ca y est les présentations sont faites, c’est toujours ça de moins. « Interne ? Cela me fait penser à quelqu'un. Merci, pour le prénom. Mmh .. j'habite ici depuis un an et je ne suis pas souvent dehors ou à l'hôpital, donc je pense que c'est normal. J'ai vingt ans, je suis étudiante en droit, je vise un master. »

Ca me rassure de savoir qu’elle a mon âge. Un an de différence, ce n’est rien, c’est gérable, ça facilite les rapports. Grandement. Ca me plait également de savoir qu’elle ne vit à Arrowsic que depuis un an, elle est plutôt nouvelle dans cette ville un peu comme moi, même si je commence finalement à m’intégrer et à connaître de plus en plus de monde. Ce qui est rassurant, c’est qu’elle n’est pas comme tous les autres natif d’Arrowsic, à vouloir tout savoir de moi, de mon passé et de ma vie. Elle est une proie, comme moi. Etudiante en droit ? Ca lui va bien je trouve. « Assez impressionnant ! Peut-être qu’on s’est déjà croisé à la fac, j’y ai quand même quelques cours obligatoire. »

C’est là que je m’éloigne préparer mes pots de peinture. Je suis tellement concentré dans ce que je fais que je ne fais pas attention à Teddy. Je n’ai aucune idée du fait qu’elle est en train de se déshabiller, d’ôter le moindre tissu qui caressait sa peau jusqu’alors. Du coup, quand je me retourne, je la vois, en tenue d’eve. Je suis presque choqué parce que je ne m’attendais pas à ce que cela me fasse cet effet là. En fait, j’aime bien ça. Je n’ai pas assez de recul pour rester stoïque. Je pense que ça vient avec l’expérience, et moi, dans ce domaine, j’en ai pas. Je lui propose donc de commencer, pour briser le silence. Pour briser la gêne surtout. « Je mets sur le fauteuil ? Je m'assois, je m'adosse ? »

Je n’y avais pas trop réfléchis. Là, ça bouillonne dans mes méninges. Je réfléchis, je pense. « Ouais, on va commencer par quelques croquis sur fauteil, mets toi comme tu veux et je te dirais ce que j’en pense. » Elle suit mes directives. Elle s’assied et fait passer ses jambes sur l’acoudoir. « Oui, c’est parfait comme ça ! Mets ton bras derrière ta tête et essayes de ne plus bouger ». Sensuel à souhait, magnifique, magique. J’avoue que je bouillonne de partout, pas que de la tête. Je n’avais jamais pensé que ce serait si difficile. Tout compte fait, je ne sais pas si c’était une très bonne idée de faire ça avec une inconnue. Peut-être qu’avec une proche, une conquête, j’aurai été plus à l’aise ? Il n’est pas dans mon intention qu’il se passe quoi que ce soit avec Teddy. Je ne veux absolument pas qu’elle croit que je l’ai amenée ici juste pour ça. Que c’était mon idée dès le début. Loin de là.
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptySam 21 Avr - 18:07


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Si tes parents l'apprennent, tu imagines à quel point ils vont être déçus ? La ferme. Et tu as pensé aux conséquences que ça entraînerait pour Fernando ? Putain, la ferme. Je veux dire, il est sexy, beaucoup trop même mais tu dois résister à tes pulsions. Elle serra les poings. Putain mais ferme-la, tu comprends ? Mets-la en sourdine. Elle l'écoutait, lui souriait. Elle se faisait passer pour quelqu'un d'autre, quelqu'un qu'elle n'était pas, quelqu'un qu'elle rêvait d'être. Tu peux le chauffer tellement vite Teddy mais c'est vrai que c'est plus amusant quand on y va doucement, hein, Teddy. William adorait ça, lui aussi. Ferme-la toi aussi. Conscience, désir. L'opposition interminable. Une guerre, des milliers de combats internes. Ne lui dis pas cela, elle va encore se foutre dans la merde. Je t'ai pas parlé à toi, miss parfaite. Oh, fermez-la bande d'idiotes. Et c'était toujours comme ça, elle se parlait à elle même, à l'intérieur, même si des fois, elle parlait tout haut, ce qui était gênant et effrayant. Il a quelques cours obligatoire, t'entends ça Teddy ? S'il essaye de te chercher mais qu'il ne te trouve pas ? Tu feras quoi hein ? Ta gueule. Là, la jeune femme s'énervait.

Elle n'en pouvait plus. Elle voulait vivre sa vie comme elle l'entendait pourquoi fallait-il toujours avoir un certain âge pour avoir droit aux choses que l'on désire ? Pas de relations sexuelles avant seize ans, pas de relations sexuelles avec un adulte avant dix-huit ans, pas de bébé avant la vingtaine, c'est malsain, pas de mariage avant la vingtaine, tu as tes études à faire, pas de cigarettes avant dix-huit ans. Toujours l'âge, l'âge, se conformer aux règles et aux normes sociales introduites à la société depuis fort longtemps. La société évoluait, les mœurs aussi mais pourquoi les conservateurs s'entretuaient à nous foutre leur vieilles règles ? Le monde change. Ce n'est pas une raison pour avoir une relation sexuelle avec une personne majeure. Qui te dis qu'ils vont avoir une relation sexuelle ? Tu ne sais pas, tu ne prédis pas l'avenir. Le doute. Soit réaliste kogak, elle est à poil devant lui, c'est un mec, il va avoir la trique. Teddy toussa. Fermez-là. Oui, elle était nue devant lui, comme Eve l'était devant Adam. Ta métaphore tombe à l'eau la voix, il est habillé. Logique et perspicace, nous n'avions pas remarqué, tiens. Et les voix dans sa tête reprirent de plus bel, s'entrechoquant les unes aux autres comme dans le film Le Choc des Titans. Ted avait bien remarqué qu'elle lui faisait de l'effet, elle sentait la tension dans la pièce et la température monterait. Heureusement pour elle, elle s'était épilée de haut en bas, comme lui avait si gentiment conseillée la voix de la sagesse qu'on appellera Rudy, pour une raison inconnue.

Prenant place sur le fauteuil, elle passa sa jambe sur l'accoudoir et à la demande de Fernando, mit son bras derrière sa tête. Cette position lui rappelait étrangement celle de Rose dans Titanic, petit malin. Elle le regarda, un sourire en coin et le regard rempli d'une lueur étrange, elle se sentait belle. La façon dont il la regardait, dont il avait eu du mal à parler avant, elle le savait. Elle lui plaisait. Cette pensée augmenta la taille de son sourire et une question lui vint à l'esprit. « Tu vas en faire quoi du tableau, à la fin ? » Ne l'exposes pas, je t'en supplie. Oui, sinon tu vas le foutre dans la merde, madame fut-fut. Il y avait assez de lumière dans la pièce pour créer un jeu d'ombres impressionnant sur le corps de Teddy. Imagine il te fait plus grosse que tu ne l'es déjà. Oh la ferme, je suis pas grosse. Le Soleil brillait dans son dos et la réchauffait, même si ses fantasmes la réchauffait bien assez. Elle ne bougeait plus, l'observait bouger son crayon n'importe comment sur sa feuille, elle souriait, s'impatientait. Teddy voulait vraiment voir le rendu final.

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WE'RE YOUNG AND SEXY.

J’ai installé mon trépied, j’ai séléctionné une série de trois toile format A2 pour commencer. Je pense que ce sera tout pour aujourd’hui. Si ça c’est bien passé et que Teddy le veut bien, je lui demanderai peut-être de revenir. Elle est en place, moi aussi. Quelques mètres nous sépare mais nos yeux trahissent nos pensées. Je crois qu’il est trop évident pour elle que la voir nue ne me laisse pas indifférent, tout comme il est trop évident pour moi qu’elle est assez gênée par la situation. Cependant, je reste très professionnel. J’attrape mon crayon gris et je me mets à tracer quelque traits pour définir grossièrement les courbes du corps de Teddy. Lorsque j’ai terminé avec cela, je continue avec des traits beaucoup plus précis et des esquisses d’ombre. « Tu vas en faire quoi du tableau, à la fin ? »

Une question très pertinente, à laquelle je n’ai pas vraiment de réponse. « Je ne sais pas encore. J’avais ce projet depuis longtemps – faire un nu – mais je ne sais pas où ça va me mener. Si tu te demandes si je vais les exposer ou pas ? Je ne ferai rien sans ton accord. » je souris, je m’éfforce de la rassurer, car malgré son assurance, son visage trahit son inquiétude.

Je termine mon premier dessin. C’est réussi. J’ai impecatblement réussi à retranscrire la sensualité et le charme qui émane de la belle brune. Je suis plutôt fier. Je m’approche d’elle. « Tu peux bouger c’est bon, je te laisse voir le résultat » dis-je en lui tendant la toile. Elle semble aimer, en tout cas elle sourit. « J’avais prévu dans faire encore deux autres avec d’autres positions si ça te va ? » À la base, je souhaitais y mettre de la peinture, mais le résultat est vraiment bien, même si ce n’est que du crayon graphite. Peut-être qu’ajouter de la peinture changerait l’effet. Du coup, je me dis que je pourrais éventuellement en faire d’autres quand Teddy sera partie, me basant sur mes dessins de base. Ouais, je retiens l’idée.

Je regagne ma place, je lui indique la nouvelle position à adopter et je recommence l’expérience. De nouveau, il est très réussi. Je le lui montre et j’attaque enfin le dernier. Je lui laisse choisir la position dans laquelle elle veut que je la dessine. Je remarque qu’elle prend de plus en plus d’assurance au fur et à mesure de la scéance. Elle tente alors une postion plutôt osée, devant laquelle j’ai du mal à rester sérieux. Je la bouffe du regard. Je sens l’excitation monter en moi. Je sais très bien que je ne devrais pas, mais c’est plus fort que moi. Mon dessin est saccadé, j’ai du mal à me concentrer et à faire quelque chose de décent. Impossible, vu la position de la jeune fille. Parfois, au lieu de jeter de bref coup d’œil à Teddy avant de placer quelques traits, je reste bloquer sur son corps nu, trop plein d’envie pour garder toute ma tête. La pièce s’est grandement réchauffé. Teddy me fixe de son regard brûlant. Je ne sais pas comment je vais résister, merde. « Celui-là n’est pas trop réussi, mais je te le montre quand même ». Je m’approche doucement et pas trop près. La brune se redresse, attrape la toile, relève les yeux et me lance un regard qui veut tout dire.
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyMar 1 Mai - 21:16


FERNANDO & TEDDY.
Wha­te­ver you do will be in­si­gni­fi­cant, but it is very im­por­tant that you do it. It's kind of fuck up, isn't it ? How all of a sudden, someone just wakes up and decides to never talk to you again. No reason. No explanation. No words said. They just leave you hanging like you have never meant anything to them, and what hurts the most is how they make it look so easy.©️ CJ.POMME'


Lui révéler la vérité et s'enfuir. Ne plus jamais le revoir. Bien que cela s'annoncerait difficile puisqu'ils vivent dans la même petite ville. Et c'était dans ce genre de situation que Teddy détestait ses parents et se détestait elle-même. Elle se sentait monstrueuse, horrible et anormale. Anormale de désirer tant d'hommes qui étaient plus vieux qu'elle. Elle avait même eu une relation avec un homme d'une trentaine d'années. Quelle idée. Jamais elle n'avait parlé de ce "problème" à quiconque, même pas son journal intime et encore moins sa meilleure amie ou quelqu'un dans le genre. Elle avait trop honte pour ça. Oui, Teddy-Rose, avait honte d'avoir de tels désirs, de tels fantasmes qui devenaient obsessionnel, compulsifs, c'était son corps et uniquement son corps qui réclamait, encore et toujours plus. Son corps ne cessait d'avoir faim. La jeune femme cherchait le plaisir, l'extase. L'extase à travers de nombreux corps. Un tumulte de corps qui s'enchaînaient tous les uns plus vite que les autres. Deux corps l'un contre l'autre, dansant une danse sensuelle et intime qui menait aux porte du paradis lui-même, de l'extase et du plaisir pur. Vivre dans la luxure. Elle vivrait dans la luxure jusqu'à la fin de sa vie, suivre Épicure, son mentor vieux de plusieurs millénaires qui avait instauré ce climat de recherche du plaisir à tout instant, dans toute chose que la Terre puisse possédée. C'était une frénésie, elle était en transe lorsqu'elle avait ce qu'elle obtenait, elle se sentait comme une lionne qui aurait planté ses dents dans la jugulaire d'une gazelle. Malade ? Surement, c'est ce qu'elle se répétait. Elle se sentait malade, psychopathe sexuelle. Comme une chatte en chaleur qui miaulait pour avoir le plaisir de rencontrer un chat en rûte. Que de poésie qui lui passait par la tête, elle songeait à tous ces hommes, tous ces corps qu'elle avait eu le plaisir de goûté. A seulement dix-sept ans, Teddy avait plus de conquêtes que Don Juan lui-même. C'était alarmant, effrayant, abusif. Elle n'avait que dix-sept ans, elle n'était qu'une adolescente qui commençait tout juste sa vie, qui la croquait tout juste à pleine dents, elle avait perdue toute pureté et innocence, Dieu lui en voulait, jamais, ô grand jamais il ne lui accorderait le pardon. Comment pardonner une enfant dans la folie ? Comment pardonner une enfant qui n'a fais que suivre l'exemple de temps d'autres femmes ? Comment pardonner une enfant qui est née dans une société de luxure et de consommation avancée ? L’Amérique était le pays de la tentation, Teddy ressemblait à Ève, qui n'avait su résister à la tentation trop forte. Elle se haïssait tellement, qu'elle finissait par s'aimer. Elle était née ainsi et mourrait ainsi, emportée par la vieillesse, la fatigue d'une longue vie de coucheries à droite à gauche, toutes plus malsaines les unes que les autres.


Elle était nue face à lui, elle avait pris de nombreuses positions évocatrice pour l'homme, elle cherchait à le séduire, l’appâter, elle voulait qu'il tombe à ses pieds. Qu'il recouvre son corps de son désir et de son amour. L'amour de son modèle que tout artiste connaît. Elle espérait ainsi, qu'il soit le dernier. Mais cela serait trop beau, trop facile. La vie ne serait pas drôle si elle était si facile. Bien-sûr que non. Il lui montre ses croquis qui sont très réussis. Teddy voit alors son corps dessiné par un homme, un inconnu, qui la desire. Cela se voit dans les tracés, comment il accentue les coups de crayons sur ses hanches, sur sa poitrine bien soutenue et son joli cou fin qui en attire plus d'un. Son tour de taille prédomine, se balance, danse. Et il lui demande une autre position, alors elle en prend une autre, l'assurance la gagne, elle domine, elle appâte son désir et le mène à la baguette, le tentant toujours plus pour finalement le faire céder. Elle écarte les jambes, se penche et pose ses deux mains au bord du fauteuil, faisant ainsi tomber sa poitrine. Le visage penché, elle a le regard qui tue, le regard de braise qui s'amuse de l'appétit sexuel du jeune homme. Elle s'en amuse férocement, elle grogne de l'intérieur, l'excite. La température monte et finalement, il finit son dessin. Il lui tend. Elle le regarde, se mordant la lèvre. Elle veut parler, mais a bien trop peur de briser l'ambiance. Alors elle commet l'irréparable, ce qu'elle n'aurait jamais dû faire, ce dont elle a toujours rêver de faire. Ses lèvres se posent brusquement contre celles de Fernando et de ses bras, elle l'attira vers son corps, se collant à lui. Férocement. Elle attends, elle attends que lui aussi soit féroce.

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Fernando Gautier-Perez
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MessageSujet: Re: On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy.   On a qu'une seule vie à vivre, c'est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. | fernando&teddy. EmptyDim 6 Mai - 0:29

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Un hammam, voilà comment décrire l’atomsphère qui règne dans la pièce. Chaleur, sous entendu et excitation. Comment se retenir ? Comment ne pas succomber ? Je sens mon caleçon se serrer sous la pression qu’elle me procure. Je vais craquer. Et dire qu’elle n’était pas venue pour ça et dire que ce n’était pas mon idée première. J’allais peut-être devenir un pervers pour elle ? Croyait-elle que c’était une invitation à un plan cul ? Pas du tout et pourtant les choses qui se déroulent maintenant prouvent le contraire. Je suis naïf. Comment ai-je pu croire durant une seule seconde que je tiendrai le coup face à elle, que je resterai professionnel. Bon, il faut avouer qu’elle m’a provoquer. Elle le veut, elle me veut, ça se voit.

J’ai envie de lui sauter dessus. Elle cherche. Elle trouve. J’en peux plus. Elle est là, nue face à moi. Avec son regard équivoque. Je sens que les choses vont aller plus long. Je sens que c’est incontournable. Je me sens dérapper. Je la sens me sauter dessus. Tout s’accélère. Elle capture mes lèvres, elle les emprisonne. La c’est le moment où je suis sensé lui arracher ses vêtements. Or, elle n’en a pas. Je lui déchirerai bien la peau, mais elle doit rester entière pour ça. À défaut d’autre chose, j’arrache les miens. Je les déchire. Tant pis, j’en rachèterai d’autre. Je vais pas me lamenter pour quelques bouts de tissus déchirés vu la fougue et la bestialité du moment. Je rentre en transe. J’explose. Je pousse Teddy sur le canapé et je lui embrasse tout le corps. Ma respiration se fait haletante. J’ai du mal à reprendre mon souffle, c’est de la folie. Cette fille est une bête. Mon cerveau est embrouillé par mes pulsions animales. Elle joue avec moi, elle me rend dingue. J’en peux plus. J’ai envie d’elle, j’ai envie. Oh et puis sa langue, oh et puis ses baisers, oh et puis sa peau brûlante contre la mienne. Je pars, je pars dans un autre monde, dans le monde du plaisir.

Plus un mot ne sort de nos bouches, c’est inutile. En harmonie la plus totale, il suffit d’un regard, d’un geste. On se monte dessus, comme des bêtes, faisant monter la température d’un cran. Mon appartement est sur le point de brûler, d’exploser. Elle comme moi, ne pouvons nous empêcher de lâcher un petit gémissement de temps à autre. C’est tellement bon. L’emboîtement si parfait des corps. La nature qui a conçu les choses de manière si complémentaire. La nature voulait notre bonheur, notre plaisir. C’est dans des moments comme ça que je me dis que l’être humain fait bel et bien partie du règne animal. C’est bestial. Ce moment où toute résistance est tombée, où deux corps s’adonnent pleinement à une danse folle. Ce moment où Teddy se donne à moi et où je me donne à elle. Ce moment où on prend notre pied.

Et puis, à l’appogée du bonheur, le rythme diminue, les corps s’épuisent. Les sexes vibrent et lancent leur dernière note. La fin de la musique. La fin de la danse. La fin du spectacle. La fin d’une performance. En art, on parle de performance lorsque l’artiste réalise un acte artistique. C’est clairement ce qui s’est passé. Teddy et moi, aujourd’hui, on a fait de l’art.

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FERNANDO & TEDDY.
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Dire que l'ambiance était chaude aurait été un euphémisme. Elle était bouillante. La chaleur en était presque étouffante. Le désir des deux jeunes gens se sentaient dans cette petite pièce et chacun attendait le premier pas de l'autre. Ils étaient comme un lion et une lionne, s'observant face à face, prêts à se sauter dessus après que l'un ait lancé l'offensive. Comparaison comique étant donné l'habitude de Teddy a griffer les hommes avec qui elle avait des relations sexuelles. La jeune femme avait eu l'espoir d'avoir un contact physique avec Fernando, peut-être pas si intense, mais un contact suffisant pour réfréner l'appétit féroce de la jeune adolescente. Un jour, son avidité sexuelle la perdrait et elle en était bien consciente, c'était cela, le plus triste. Elle savait pertinemment qu'il n'avait pas eu l'intention de coucher avec elle, du moins, pas au premier regard. À vrai dire, Ted l'avait bien chauffé, elle avait tenté d'obtenir ce qu'elle désirait, et elle l'avait obtenu.


Et là, commence le spectacle. Un spectacle somptueux et à couper le souffle, littéralement. Son corps se projette contre celui du peintre et dans une envie bestiale, il arrache ses vêtements, et continue d'embrasser ses lèvres avec avidité. Toujours plus d'avidité. La danse sensuelle de leurs langue, les excitent tout deux et fais monter, toujours plus haut, leur température. Comme si leurs corps n'avait pas de limite pour chauffer, comme si, ils auraient pu monter jusqu'à soixante degré. On aurait pu cuire un œuf sur leurs corps, tellement ils bouillonnaient. Alors, il la pousse sur le canapé, et parcours son corps avec sa bouche, il l'embrasse sur la moindre parcelle de peau que possède Teddy. Elle en frétille, elle frémis. Elle en a rêvé tellement de fois. Oh là, ce n'est plus pareil. C'est réel. Et c'est bien plus idéal que ce qu'elle ne voulait. Jamais, ô grand jamais, elle n'avait eu de relation sexuelle si bestiale et intense. C'est ce qui manquait à son corps, à son appétit. C'était cela que son corps voulait, que l'animal en elle désirait plus que tout au monde. Fernando lui offrait, il commettait un acte qui engendrerait une bête encore plus féroce qu'auparavant. leurs corps se frottent, créant un grand sentiment d'envie, une envie atroce d'aller plus loin, plus profond. Au sens propre du terme. Voilà, il entre, accompagné d'un gémissent. Quel bonheur. Un soulagement intense rempli le corps de Teddy. Elle se sent libérée, soulagée d'un poids qui la pesait depuis trop longtemps. C'est trop bon pour son corps.


Ses mains s'accrochent à ses omoplates, ses jambes se resserrent autour de ses hanches et désirant toujours plus de sensation, elle se colle à lui, comme un koala se colle à son bambou. leurs bassins ondulent en parfaite harmonie, laissant échapper des gémissements, voir des grognements. Des grognements intérieur de bête qui viennent d'être déchainé. Jamais cela n'était arrivé à Teddy. Elle n'avait jamais ressenti cela. C'était comme si elle redécouvrait ce qu'était faire l'amour. Fernando venait de lui offrir une nouvelle image de cet acte qui semblait habituellement si calme et si intense. Là, rien n'était calme. C'était bruyant, féroce. Bestial. leurs corps s'emboîtaient, tels des Legos s'emboîtaient les uns sur les autres pour faire un bel immeuble. Puis, le rythme diminue. Les souffles saccadés se calment et redeviennent normaux. On n'entends plus les battements des deux cœurs à travers leurs poitrines. Voilà que la danse se termine. Et dans un dernier effort, un coup de rein met un terme à la danse qui fut si sensuelle et endiablée. Leur acte est digne d'une peinture, on aurait pu reproduire leurs deux corps sur une toile et montré aux yeux de tous l'emboîtement parfait qu'ils faisaient.

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Fernando Gautier-Perez
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WE'RE YOUNG AND SEXY.

Ça y est, je viens d'assouvir mes pulsions animales. Tel un boeuf enragé, je souffle. Fort, bruyamment. Avec le sourire aux lèvres. Avec une femme magnifique et monstrueusement sexy allongée sur moi. Je lui caresse les cheveux tendremenent, je lui embrasse même le front. Mais petit à petit, je reviens à moi, réalisant ce qui s'est réellement passé et les enjeux que cela représente. Je viens de coucher avec cette fille, Teddy. Teddy qui ne devait à la base qu'être mon modèle. Un modèle nu pour de la peinture. Juste ça. Pas plus. Pas moins. Un modèle et c'est tout. Le modèle, normalement, on le regarde, on l'admire à la limite, on en a envie au pire, mais on ne touche pas. C'est comme un tableau dans une galérie d'art. On touche avec les yeux. On aime, on apprécie, on peut même jouir des couleurs, des matières, des textures. Mais juste avec les yeux.

Si j'avais mis cette annonce, c'était bien pour ça, pour avoir un modèle, pas un plan cul. Sinon j'aurai aussi bien pu mettre « Salut, moi c'est Ferny, je cherche une meuf pour me vider. » Ça aurait été absolument charmant, mais au moins très direct. Et même, je n'ai pas besoin de ça, je sais que si j'étais à ce point là en manque j'ai quelques amies qui seraient ravies de m'aider. Enfin bref, je commence à me dire que c'était peut-être une erreur de succomber aux charmes de Teddy. Je commence à m'en vouloir parce que je ne veux pas cette image du mec qui se tape tout ce qui bouge, du mec incapable de résister quand on lui fait des avances. Parce que oui, maintenant que j'y repense, Teddy m'en faisait, et ça crève les yeux qu'elle voulait que ça se termine comme ça. Ce qui me ramène à mon annonce. Le message n'était pas assez clair ? Est-ce que les gens qui l'ont vu ont pensé que je me cherchais un plan cul. Putain non. Et puis pour elle, je suis quoi ? Le mec qu'elle voulait se taper ? Une roue de secours ? Un passe temps ? Ou juste quelqu'un avec qui l'alchimie s'est faite sur le moment ?

Machinalement, je continue de caresser les cheveux de la belle brune, perdu dans mes pensées. Je pense à Kai aussi. Et dès que je vois son visage dans mon esprit, mon coeur s'emballe, et mon regret s'intensifie. J'ai comme l'impression de l'avoir trahie. Et c'est idiot, puisqu'il n'y a absolument rien entre nous. Tout a fini avant même que cela n'ai eu une chance de commencer. Ça ne lui ferait même certainement ni chaud ni froid d'apprendre que j'ai couché avec une autre. En fait, c'est juste moi le problème, moi qui n'est pas capable de comprendre ce que je ressens pour cette belle rousse. C'est juste moi qui ai l'impression de m'être trahi, de m'être voilé la face. Merde.

Doucement, je me dégage de cette étreinte et j'attrape mes vêtements éparpillés un peu partout. Je me rhabille rapidement, sans un regard pour Teddy. Je fais les cents pas dans la pièce pendant qu'elle se rhabille elle aussi. Je me retourne, je la regarde. Elle est belle, elle semble tendre et pas méritante de toutes les pensées négatives qui fusent dans mon esprit. « Teddy... Je suis désolé je ne voulais pas que ça se passe comme ça. Mais, saches que j'ai vraiment adoré. » J'esquisse un faible sourire qui reste cependant très sincère. Je jette un coup d'oeil à ma montre, le temps passe vite et il me reste encore une multitude de choses à faire. « Je suis désolé, mais j'ai pas mal de courses à faire là, j'avais pas prévu que... Ça durerait aussi longtemps. » Je ris doucement, avant de la raccompagner vers la porte. Je lui tends un petite carte avec mes coordonnées. « Tiens, voilà mon numéro si tu as des questions sur les tableaux. » Les tableaux, bien sûr. Comme si c'était le plus important après ce qui venait de se passer entre nous. Mais bon, j'ai pas envie de lui dire non plus qu'elle peut m'appeler quand elle veut pour qu'on recommence, parce que je ne suis pas sûr d'en avoir envie. Il faut avant tout que je comprenne ce que je veux et ce qui se passe dans ma tête avec cette foutue rousse. Teddy dépose un petit baiser sur mes lèvres avant de passer la porte. Et c'est avec un petit clin d'oeil qu'elle s'en va, apparemment ayant l'air satisfaite de notre après-midi. Je ferme la porte, avec un soupir.
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