NOM(S):Toute ma vie de jeune gosses je me suis fais rappeler que ce nom signifiait tout. Car au fond c'était la base même de ma vie sur terre, c'était ce nom que portait mes ancêtres, et donc que mes parents aussi. C'était l'union de des tas de familles réunie qui m'avais mise sur cette terre. Riles pour moi est une marque de respect familiale que je dois porter avec fierté même s'il n'a pas toujours voulu signifier cela. Mon père en gros m'a donné cet irrépressible goût de pouvoir penser à mon futur avec ce même nom. C'est lui qui m'a donné ce nom et je ne le retirerai jamais de mon certificat de naissance, car après tout ça coûte cher. . PRÉNOM(S):Je vais pas m'éterniser sur mon prénom, ou plutôt mes, prénoms. Donc en gros je dois dire que le premier est étrange, Caliberon. Pas assez commun en Amérique du nord heureusement, ou malheureusement pour certain selon le point de vu. Malheureusement pour moi d'un côté car toute ma vie je me suis fais appeler par mon deuxième prénom d'origine qui très vite fut mon premier. Comme j'aurais aimé réellement être une de ces Samantha, voyez-vous. Mais bon pour le bien mentale de mes parents, et non le miens, ils ont décidés de m'appeler Meadows. Je dirais que d'origine on me disait que c'était un nom masculin, une sorte de transformation de Maxime. Mais moi je m'en fichais plus jeune. C'est en vieillissant et réalisant que ce stupide prénom à aucun sexe précis, sauf bien sûr masculin pour qui le veut bien, que j'aurais bien voulu le changer. De plus les gens qui me connaissent assez bien auront pas le culot de m'appeler Bones qui est en fait un surnom pour dire os. Je me cassais tous le temps un truc à cause de ma maladie, les gens disaient souvent '' oh mon dieu tu fais de l'anorexie ! ''. AGE: Il ne faut jamais révéler l'âge d'une femme, quoique je ne me calcule pas de ce statut encore, je suis loin, même très d'être assez intelligente pour ce statut. Je n'ai que vingt-deux ans après tout. Je me fis à mon passeport si vous voulez tout savoir bande de curieux. ORIGINE:Je viens de Arrowsic à vrai dire. Mais je n'ai pas toujours vécu là-bas étant partie toute jeune, enfin c'est une histoire assez compliqué. Mais je crois que cela fais de moi une jeune américaine. dure et croyante. En fait c'est impossible puisque je ne suis pas très bonne pour les religion, je suis sans religion, enfin baptisé mais pas pratiquante ni croyante bref. Mais là n'est pas la question j'imagine. STATUT CIVIL: J'ai plusieurs réponses à cette questions. Pour mes parents je vous dirais que je suis en couple et bientôt marié avec un dentiste plutôt riche de la ville. Ils ont toujours rêver de cela. Mais je suis loin d'être sur le point de me marier ou juste d'être fiancée. La deuxième serait pour mon estime personnelle, alors je ne suis ni mariée, ni fiancée ni en couple réel. On peut dire que je suis célibataire mais ce n'est pas la vrai réponse à cela. En réalité je me suis réellement marier en secret avec un méchant garçon. Mais ça personne ne le sait réellement donc je vais me taire. Et finalement la dernière serait pour mon frère, je dirais tout simplement et en gros, '' j'ai eu deux maris et trois enfants, et toi t'as foutue quoi de ta vie de merde ? '' ce qui est totalement faux bien sûr.. Donc je suis quoi hein ? Et bah je suis amoueuse tout simplement. MÉTIER OU ÉTUDES: étude en pédiatrie.GROUPE:filthy youth.AVATAR: mary-kate olsen.
WALKING IN THE DARK.
Allons-y pour le super discours super banal. Alors moi sur les forum je suis peacefully. Surnom que je compte garder pendant un moment d'ailleurs. J'ai seize petites années et ma date d'anniversaire je ne le dis jamais parce que je déteste me faire souhaiter joyeux anniversaire. Enfin bref, je suis ici grâce à Jem Célestine sur ce forum, si je peux dire ainsi parce que c'est un petit ange cette fille, hein ! Bref, je vous aimes beaucoup et je vais la terminer cette fiche-ci Jem je te le promet.. Et puis c'est celle là ma troisième! JE SAIS CALCULER MIRACLE.
Dernière édition par Meadows ''Bones'' Riles le Lun 28 Mar - 2:52, édité 4 fois
→ see it turning red like a bullet through the chest lay me down to rest
Un jour un vieux sage a dit que la vie est normalement joyeuse. Je réplique à celui-ci par une simple phrase qui veut tout dire - On vit et on crève. Depuis que j'ai quinze ans ma vie à changer, depuis que ma mère à abandonner la famille je souffre en silence. Je sais que ce n'est pas la meilleure des façons de vous raconter une histoire et que la moitié des gens aimeraient avoir le bout des anecdotes drôles. J'en ai des tas, je peux toutes leur dire et sûrement que je ne ferai. Mais seulement en ce moment je ne vois pas de raisons à parler de joie, de bonheur qu'il soit intérieur ou extérieur. Je vis cacher de tous depuis quelques temps. J'entends tous les moindres bruits et même celui d'une horloge. Tic tac, tic tac... L'heure passe sans cesse plus rapidement depuis un certain temps. C'est comme si je me retrouvais dans une sorte de galaxie ou de planète qui avait un fuseau horaire différent, c'est comme si tous les jours le seize heure moins quart était présent toute la journée dans mon esprit et une fois arrivé il me tétanisait sur place. Aucun mouvement ne pouvait alors se faire, que se sois dans mes jambes ou mes bras, ou même ma bouche. Mon souffle devenait court et pendant un petit moment s'arrêtait, il battait plus fort que jamais. Je pouvais presque sentir à quelle vitesse mon sang circulait, c'était plus vite qu'une fusée, qu'une voiture de course, c'était surtout beaucoup plus douloureux qu'un bras cassé ou qu'un accident de voiture. Les veines me chauffent et produisent une douleur profonde qui avec le temps déchire de plus en plus mes entrailles. C'est pire que tout au monde, pire que ce que j'aurais bien pu m'imaginer, pourquoi m'infliger une telle souffrance tous les jours ainsi, depuis quelques années, depuis tant d'années devrais-je dire... Je devrais à la place de souffrir faire le ménage de ma tête et de mon coeur, mais pourtant mon orgueil l'emporte haut la main. Je me vide lentement de toute gaieté, pour laisser un sentiment de froideur, de noirceur, de peur et de peine s'emparer de moi. Sans un mot, je dois le laisser venir à moi. Je sais très bien que la douleur que je ressens n'est que le début d'un combat, que la souffrance, deviendra tout doucement un martyr dont je voudrais me désemparée sans réussite. Ce martyr s'emparera de moi avec une tel confiance et un tel but affable, que je ne pourrai même plus m'aimer moi-même, je serai obligé d'admettre à ce moment que je suis vaincu. Ce tourment ne fait que commencer pourtant... j'aimerais tellement que toute cette souffrance ne dure pas.... Pourtant , elle envahit mon corps sans défense qui ne réclame qu'une pause. Je ne peux pas continuer à vivre ainsi, je dois reprendre le contrôle... c'est plus facile à dire qu'à faire pourtant. Je ne peux pas oublier, c'est plus fort que moi.
→ catepilar in the three how you wonder who you be can't go far but you can always dream.
C'est facile pour tout le monde dire qu'au fond dans la vie on sera être fort et vrai. En gros, comme j'avais dit plus haut, mon enfance c'est déroulé de manière unique. Tout avait commencé à mes douze ans, alors beaucoup d'autres choses ont eu le temps de ce passé entre temps. Déjà il faut savoir que ma mère est canadienne et qu'elle est archéologue. J'ai passé plusieurs moments avec elle, mais la plupart restaient unique. J'avais une très bonne complicité avec ma mère. Elle adorait me brosser longuement les cheveux avec sa main agile ou bien aller me border. « Ma princesse, aller au lit ! » Jeune de sept ans à ce même moment, je lui souriais en courant à toute vitesse dans ma chambre. Chaque soir, elle me racontait une légère histoire avant que je m'endorme paisiblement. « Maman.. » Elle allait pour partir et je m'étais toujours pas endormi. Comme une mère digne et fière elle revint me voir en souriant, se couchant à côté de moi. « Qu'est ce qu'il y a ? » Je soupirai. « Dis, tu vas jamais partir hein ? » Je savais très bien que dans sa tête, c'était une lourde question à répondre, mais je pense que sa réponse m'avait rassuré. « Pourquoi je partirais ? » Avec elle tout allait le plus merveilleusement bien et je ne pouvais pas demander de mieux. Un symbole d'idolâtre féminin se présentait devant moi. Ariane, ma mère, était une femme déterminée, assagit par l'âge, mais surtout intelligente par expérience. Pas très vielle comme pas très jeune, elle faisait bien ces petits talons de trente ans. La plupart du temps, c'était elle qui s'interposait entre moi et mon frère. « Aujourd'hui j'ai appris pleins de truc sur toi Bones. » Je le regardais avec ce visage inquiet doutant qu'il allait encore dire une connerie. « Maman t'as acheté un cerveau ? » C'est drôle à dire, mais ce qu'il m'a répondu est toujours resté dans ma tête. Je ne savais pas pourquoi mais c'était instinctif. Je lui donnais presque raison ! Vive la folie. « Bones... C'est comme dans Os. Tu sais le truc dur qui se casse toujours ? » Je me suis donc bien sûr mise à crier. Je n'avais que neuf ans et toutes mes dents, mais un peu soupe au lait. Toute cette petite famille que nous étions ne resta pas longtemps comme je l'ai dit. Quand j'eus onze ans ma mère et mon père n'allaient réellement plus ensemble et donc, ils décidèrent de se séparer. Je suis née au Brésil, là où mon père habite. Mais quand mes parents ont changé de maisons, nous étions au Brésil. Je déménageai donc par très loin, dans la même petite ville du Salvador. Ma mère partie avec mon frère vivre ailleurs aux États-Unis je crois bien. Mais on ne les revit plus jamais. Ma mère m'avait littéralement abandonné avec mon père, si violent envers moi dès que j'eus douze ans, comme s'il voulait se venger de moi. Je n'ai jamais réellement compris son petit jeu, mais en tout cas j'allais vivre le vrai enfer.
→ i get insecure from all the pain i'm so ashamed i am beautiful no matter what they say
Vous devez vous demander ce que devins cette petite fille de douze ans ? Et bien c'est très simple. Mes journées normal ce constituait à me cacher la plupart de mon temps afin de ne pas croiser le regard de mon père. Je savais très bien que s'il me voyait j'allais souffrir et pleurer toutes les larmes de mon corps. J'avais passé d'une petite fille énergique et tranquille à une sorte de timide et gêné par tout ce qui m'entourait. Je n'avais pas énormément d'amis à cette époque. Je ne voulais pas m'en faire par peur. À vrai dire c'est dans ces temps que je me rapprochai trop d'une fille et mon père nous fis déménager à Grand Prairie au Texas. Là-bas ce fut un peu facile de me faire une réputation, je voulais me penser forte et grande, mon père ne prenait pas trop le contrôle et ne faisait que de me frapper quand il en avait envie. Sauf que comme si je vivais dans un cauchemar irréaliste, il nous fit ensuite déménager pour l'Alaska. Endroit plutôt froid et isoler de tout sur terre. Je devrais encore une fois dire adieu à tout le monde pour un caprice de mon père. En ces temps-là tout devint alors différent. J'avais alors quinze ans. Une vraie adolescente en croissance. Mon père me battait maintenant sans aucune raison, que pour son petit plaisir. Personne ne le voyait réellement, comme s'ils étaient tous aveugle. Je souffrais dans mon coin sans vrai sauveur sans vrai confident. Je peux tout de suite vous dire que l'idée d'avoir un animal fut rejeté par mon père et ainsi mieux. Les déménagements se sont tellement fait fréquent que je ne saurais tous les dire. J'ai été dans au moins quatre écoles différentes dans toutes ma vie et ça c'est sans compter les deux autres endroits où nous avons déménagé pendant l'été. J'ai donc en tout fait six pays différents. Tout cela à cause de mon père. Je me souviens de l'Alaska, car tout devint violent à ce moment. Je me rappelle d'un moment. Il m'avait frappé, je ne sais plus trop comment, mais j'avais réussi à avoir un énorme bleu sur la jambe qui m'empêchait de bouger celle-ci. « Tu veux qu'on déménage encore ou quoi ? » Il me criait dessus. C'est alors qu'il me força à marcher droit. Je crois que je manquais une partie de mes cours à cause de blessure trop fréquente. Mais cette journée là, j'en avais les larmes aux yeux tellement j'avais mal. Je ne me fis pas prier deux fois le lendemain quand mon père me garda à la maison. Mais il déclencha une nouvelle colère noire sur moi. « Je suis désolé.. j'ai fait de mon possible. » Je m'en voulais vraiment alors que je n'aurais jamais dû. « Tu devrais faire plus attention ! » Il me regardait en me balançant une bouteille de désinfectant. « Tu veux que je fasse quoi avec ça ? » Je le regardai bizarrement. Un bleu ne se guérissait pas en claquant des doigts, je ne sais pas si il le savait. « Tu fais diminuer tes blessures, idiote. » Je ne comprenais toujours pas ce qu'il voulait dire. Je n'avais aucune blessure que l'on pouvait mettre de l'alcool dessus. « Mais j'ai aucune blessure que je peux soigner avec ça ! » Il me regarda et me frappa au niveau du visage. Et commença à me gueuler dessus. « Et bas là t'en as une. » Je pense que j'en ai assez dit sur lui comme cela.
→They say that the road ain’t no place to start a family right down the line it’s been you and me
Depuis le temps, j'ai voyagé à de nombreuses reprises et jusqu'à aujourd'hui je n'étais jamais resté vraiment stable à une même place. Jamais je n'aurais pensé que ce cauchemar prendrait fin. Bref, nous sommes donc allé à Arrowsic. Et je ne savais quoi dire où faire. Je restais discrète jusqu'à ce que ce mystérieux jeune homme arrive. Il était blond et semblait vraiment admirable. Il m'a demandé un coup de main en espagnol et c'est à partir de ce moment que je me suis rendu compte que j'étais réel. Bien sûr toutes sortes d'événements lui on fait douter de moi, je ne savais quoi lui répondre à ces nombreuses questions. Mais je sais que lui aussi me cachait quelque chose. Une journée j'avais entendu une conversation téléphonique avec quelqu'un et il parlait espagnol. J'arquai un sourcil, m'approcha de lui. « Tu parles drôlement bien dis donc ! » Il me sourie mal à l'aise. « C'est à cause de toi bien sûr. » Je fus idiote de le croire, je ne le crus pas. Il ne m'expliqua jamais, mais je l'espionnais. Je voulais savoir qui il était ! Et c'était bien certain que j'allais le trouver. On était de super bons amis depuis. Mais seulement à un moment il me vit dans un de mes pires états. J'avais un oeil noir à cause de mon père. Celui-ci vint une journée chez moi et vit mon père en train de me frapper. Tout ce déroula très vite et je me trouvai donc chez Lathan, ce gentil blond qui me protégeait dès lors avec une valise. J'allais donc habiter pendant un moment et rien ne pouvait me rendre plus joyeuse même si j'en voulais encore terriblement à ma mère d'être partie. C'est là que j'aimerais que mon frère débarque et en fout une à mon père. C'est ce qu'est donc ma vie.
Dernière édition par Meadows ''Bones'' Riles le Mar 29 Mar - 0:45, édité 5 fois
Sujet: Re: ☞ i'm gonna be your worst nigthmare. Dim 27 Mar - 23:37
C'est une membre fantôme qui s'est fait supprimer genre... trois fois. Mais bon, elle revient toujours. Tu finiras peut-être ta fiche cette fois, non ?
Sujet: Re: ☞ i'm gonna be your worst nigthmare. Lun 28 Mar - 9:10
Tout d'abord, BIENVENUE, une nouvelle fois.
Ta fiche est bien remplie. Cela dit, de nombreuses fautes d'étourderie pourraient être corrigées. Je te laisse faire cela & nous te validerons par la suite.
Sujet: Re: ☞ i'm gonna be your worst nigthmare. Lun 28 Mar - 23:46
Je l'ai remarquer à vrai dire, mais je n'aime pas Ashley. Et je t'ai déjà dis Jem, que je suis comme toi, j'aime pas qu'on dise mon prénom complet. . MAIS MERCIIII sinon je vous dis à tous réellement un gros merci. EDIT ; je crois que c'est bon.