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 Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)

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Ashton Jaime Clarke
Ashton Jaime Clarke
DOUBLE-COMPTE : KAI, la plus belle des rouquines et Astrée la plus zinzins des ados !
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ARRIVÉE : 21/05/2011


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MessageSujet: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyDim 22 Mai - 1:11

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Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage.


C’était une fin de dimanche après-midi comme les autres, les enfants finissaient leurs devoirs, les parents savouraient leurs dernières heures avant de subir les humeurs du patron pour une semaine encore et Ashton était assis sur son canapé sans même savoir où était son épouse. En clair, tout allait bien, dans le meilleur des mondes. Il aurait bien aimé savoir où était sa femme, passer du temps avec elle mais, ce matin il avait aperçu son regard pensif et dans ces cas-là, le beau brun se défilait automatiquement. Il ne voulait pas subir une nouvelle dispute à propos d’un sujet sur lequel il était incapable de changer d’avis. Il ne voulait pas de gosses, était-ce vraiment quelque chose de mal ? Il n’en savait rien, il ne savait plus. Enfin, s’il ignorait où se trouvait Vanina, il pouvait toujours avoir sa petite sœur à ses côtés parce que même s’il la voyait toute la semaine au lycée, ce n’était jamais suffisant. Puis, il ne faisait que l’apercevoir, il était rare qu’il reste avec elle, à cause des autres élèves, il ne voulait pas la mettre mal à l’aise ou quoique ce soit. Le jeune homme composa le numéro du fixe qu’il connaissait par cœur. « Maman ? » Il aurait mille fois préféré tomber directement sur Loan ou au pire des cas; sur son père. Non pas qu’il n’aimait pas sa mère mais, elle était du genre à lui tenir la jambe jusqu’au petit matin. « Ashton ? Comment tu vas mon chéri ? » Elle semblait si ravie que le jeune Clarke était déjà dépité à l’idée de l’écouter parler sans pouvoir avoir sa petite princesse au bout du fil. « Tout va bien mais, tu peux me passer le petit monstre, c’est urgent. » il usait de son talent d’acteur avec son ton pressé, comme s’il avait quelque chose de très important à dire à sa sœur alors qu’il voulait simplement se débarrasser de son adorable mère un peu trop affectueuse. « Elle n’est pas là… » Madame Clarke n’eut pas le temps de finir sa phrase que déjà les réflexes du grand frère étaient en éveil. « Elle est où ?! » Évidemment, il avait peur qu’elle soit chez un garçon. Oui, c’était bien la plus grande crainte du jeune homme, que sa petite sœur devienne…une femme. Rien que d’y penser il en avait la chaire de poule. « Eu… » Cette réponse plus qu’expressive eu le dont d’inquiété davantage Ashton. Au fond de lui, il savait qu’elle ne ferait pas quelque chose d’irréfléchi et surtout, il savait que même si elle était avec un garçon,il ne se passerait rien ce soir mais, c’était plus fort que lui. « Bon quand elle rentre, dis-lui de me rejoindre au parc, sur le terrain basket, c’est important. » Oui, maintenant c’était vraiment important parce qu’il voulait savoir où elle était un dimanche en début de soirée alors qu’elle avait cours de lendemain. Finalement, c’était peut-être mieux qu’il n’ait pas d’enfant vu la surprotection dont il faisait preuve envers Loan.

Peu de temps après, Ashton raccrocha afin de prendre la direction du terrain, le ballon à la main. C’est dingue comme sa ville natale lui avait manqué. Oui, il était revenu un nombre de fois impressionnant durant ces huit années où il avait vécu à Portland mais, c’était tellement différent. Arrowsic, c’était chez lui et il s’y sentait bien, il avait l’impression que les souvenirs heureux planaient autour de lui quand il marchait de long du trottoir. Il se revoyait en couche culotte avec un large sourire sur les lèvres. En fait, il savait simplement que c’était la seule ville dans laquelle il voulait vivre pour toujours, c’était le seul lieu où il pouvait envisagé de former un famille comportant plus de deux membres. À cette idée, le beau brun lança son ballon et marqua un panier. Bordel de merde, pourquoi les femmes voulaient-elles toujours ce que les hommes ne voulaient pas ? Pourquoi aimait-il autant une femme tout en étant incapable de la rendre heureuse ? Pourquoi préférait il être avec sa petite sœur qu’avec la femme qu’il avait épousé présentement ? Il y avait un trop plein de questions qui se bousculait dans sa tête si bien qu’il s’énerva sur le ballon en enchaînant les paniers. Habituellement, il jouait au basket pour repenser à ses années au lycée, au match qu’il jouait et aux sourires fiers de son petit trésor mais, ce soir, il n’y arrivait pas. Ses problèmes et son inquiétude dominaient largement son esprit et il n’était plus maître de quoique ce soit.

Le jeune Clarke souffla un grand coup afin de tenter tant bien que mal de se reprendre. Ça ne servait à rien de s’encombrer l’esprit avec des questions sans réponses et quand bien même il trouverait une réponse, il resterait un tas d’autres questions à régler. Il devait simplement se détendre et attendre son petit monstre, qui a coup sûr, lui redonnerait le sourire. Elle y arrivait toujours, rien que par sa présence et ce, même quand il lui avait prévu un interrogatoire. Oui, il n’en démordrait pas, il voulait savoir où il était mais, pour l’heure, il attendait patiemment qu’elle daigne à montrer le bout de son nez, la petite Clarke.
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyDim 22 Mai - 15:07

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I don't know if I like it, without you, without you, without you. Tell me how am I supposed to make it, without you, without you, without you. Look at me crying tonight, is this what its gon' be like? I try and act like I’m fine, but I will never be right, without you, without you, without you. Without you I don't know...


Quoi de mieux que de sortir un peu le week-end ? J’avais passé le week-end chez Dylan, ma meilleure amie. Elle et moi nous connaissions depuis toujours. Nos parents avaient été ensemble a la fac et donc nous avions pratiquement grandit ensemble. Elle avait été a la maternelle, en primaire, au collège et maintenant au lycée avec moi. Nous avions toujours été la l’une pour l’autre, elle était surement mon amie la plus fidèle. A vrai dire c’est elle qui m’avait aider a surmonter le départ de mon frère. J’avais neuf ans le jour ou il avait décidé de quitter la maison, et perdant mon plus gros repère, j’avais eu un de mal a m’en remettre, mais j’avais pu compter sur Dylan. Entre nous c’était simple, on se comprenait, on se ressemblait et on ne se jugeait pas. Et elle était bien la seule a me connaitre au point ou elle me connaissait. Enfin non il y avait aussi Ashton, mais avec lui c’était diffèrent, c’était mon grand frère. Ash avait toujours été la pour moi, a mes yeux il était… Mon héro, il l’avait toujours été. Je me souvenais que quand j’étais petite je passais mon temps a le suivre partout, a vouloir tout faire avec lui. Et il ne m’avait jamais repoussé a mon plus grand bonheur, il avait toujours dis ou et il me trimballait a tout ces matchs. Il avait d’ailleurs de nombreuse fois, préféré m’emmener manger une glace que d’allé fêter la victoire avec les autres de l’équipe et les belles pompoms girls. Je crois que je n’aurais jamais pu rêver mieux que lui comme frère. Je l’aimais plus que n’importe qui. Il était la personne la plus importante de toute ma famille. Mais les choses avaient quand même un peu changé depuis son retour, j’avais dix-sept ans maintenant et je n’étais plus l’enfant que j’étais dans il était partit. J’étais une adolescente et, il faut l’avouer, bien que je n’étais pas très compliqué je restais une ado. D’ailleurs en train de faire l’idiote avec ma meilleure amie et un ami je n’avais pas vu l’heure et je du partir rapidement de chez elle.

Arrivant chez moi, ma mère ne sembla pas remarquer mon retard, heureusement. Puis elle avait confiance en moi alors sur ce point la je pouvais en jouer un peu pour dépasser sur les horaires. Je me posa sur mon lit et me mit a jouer un peu de guitare. La musique c’était sacré chez moi. C’était ma thérapie, ma façon de me sentir bien. C’est pour ca que je m’étais mise a écrire des chansons, cela disait la plus part du temps ce que je ressentais. Je n’étais pas du genre a aimer parler de moi et de ce que je ressens, alors je me servais de la musique. En train de jouer, les yeux fermés je fus interrompu par ma mère qui entra dans ma chambre. « Maman ! Tu pourrais frapper avant d’entrer. » Je sais cette phrase fait vraiment typiquement adolescent, mais je détestais qu’on rentre dans ma chambre sans frapper a la porte. Ma chambre c’était mon endroit, ma tanière comme on dit. Je n’aimais pas vraiment que quelqu’un y rentre sans y être invitée. « Ton frère a appeler tout a l’heure, il voulait te parler. Il faut que tu le rejoigne au terrain de basket. » Sans attendre plus longtemps je posais ma guitare sur son socle et me levais. Enfila rapidement un sweat blanche a capuche et m’attacher les cheveux a la va-vite. Je pris la direction de la porte, pris mon skate, fermant la porte de ma chambre et dit a ma mère avant de claquer la porte. « Je rentre tout a l’heure, peut être pas pour manger. » . J’entendis ma mère râler sur le fait que j’avais claquer la porte. Je pris la direction du terrain, sur mon skate board. En arrivant je vis mon frère, il n’avait pas l’air en grande forme pour tout dire. Il avait l’air de ne pas avoir trop le moral. Je posais mon skate sur le bord du terrain et m’avançais vers lui sans bruit. Au dernier moment je sauta sur son dos. Eh oui j’étais resté une grande gamine je le sais bien. Je restais sur son dos un grand sourire aux lèvres. « Salut doudou ! » . J’avais toujours eu l’habitude de l’appeler ‘doudou’ ou ‘loulou’ depuis quelques temps. En attendant de lui trouver un autre surnom je l’appelais comme ca.
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyLun 23 Mai - 21:50

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Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage.


Ashton était toujours sur le terrain avec pour seul ami, son ballon. Il se battait toujours contre tout un tas de pensées assassines qui étaient visiblement plus fortes que lui. Son visage était bien loin d’être aussi souriant qu’à son habitude, il était fermé et la réflexion se faisait sentir. C’était étrange de voir que le jeune homme pouvait faire preuve d’autant de sérieux quand tous ses proches le qualifiaient de gamin. Puis, soudainement, il sentit un poids inexpliqué sur son dos ainsi que le rire agréable de sa petite princesse. Il attrapa cette dernière automatiquement et ce même s’il avait été pris par surprise. Elle restait tranquillement sur son dos alors qu’un doux sourire naissait enfin sur le visage du brunet. Il l’avait dit : la présence de ce petit monstre suffisait largement à le rendre heureux. De plus, il se plaisait à penser qu’elle était aussi gamine qu’il ne pouvait l’être. Ça devait être génétique ou un truc dans le genre, tous deux atteint du syndrome de Peter Pan. Oui, bon d’accord, il en rajoutait un peu là mais, tout de même, ils étaient deux grands gamins. « Salut doudou ! » Doudou ou Loulou, personne ne l’appelait comme ça hors mis Loan et personne d’autre qu’elle n’avait le droit. Primo parce qu’il trouvait ces surnoms ignobles et deuxièmement parce qu’ils appartenaient à Loan un point c’est tout. Enfin, il reposa sa petite sœur à terre avant de la prendre dans ses bras, sans lui demander son avis et surtout, en l’étouffant presque. C'était son bonjour à lui. « Il était où mon petit monstre, un dimanche soir alors qu’il a cours demain ? » Il affichait un grand sourire pour excuser sa curiosité mais, il n’en était pas moins sérieux, il n’en démordrait pas, il voulait sa réponse. Si elle lui disait qu’elle était avec un garçon… le pire était à craindre concernant le réaction d’Ashton.

La jolie blonde sous son aille, il regarda un peu partout autour de lui jusqu’à voir le skate de sa sœur. Bordel, elle était venue sur sa planche à roulette et il ne l’avait pas entendu arriver. Il fallait vraiment qu’il arrête de penser à sa femme, aux mômes et bien plus encore. Il devait se vider l’esprit et surtout, il espérait que sa petite sœur n’est pas remarquée sa bouille déconfite avant qu’elle ne lui montre son joli minois. Cependant, il n’osa pas lui poser la question, il préférait éviter le sujet dirons nous alors, il envoya la balle dans les mains de sa sœur qui n’eut aucun mal à la rattraper. Une petite partie de basket c’était l’occasion rêvée pour discuter en toute légèreté et surtout pour qu’il puisse embêter un peu son petit trésor. « T’as vu, je ne me suis pas mêlé de ta vie au lycée. » il afficha un sourire niais, il avait l’air incroyablement idiot. En fait, c’était le parfait gamin ravi d’avoir appris sa leçon par cœur et de la connaître encore. Mais, derrière ce sourire se cachait surtout le fait que cette situation était provisoire. Il ne pourrait pas rester éternellement à l’écart, il savait qu’il allait finir par s’emmêler, d’une façon ou d’une autre. Il pourrait passer par Dylan pour tenter de tout savoir mais, corrompre la meilleure amie de sa sœur était une tâche plus que délicate. Il faut dire que les folles se connaissaient depuis le bac à sable et qu’elles ne s’étaient jamais quittées. Même pour les séparer une semaine, c’était un véritable parcours du combattant. Non, pour s’immiscer dans la vie de sa frangine, il avait plutôt penser à la garde rapprocher, typique mais, efficace. Enfin, pour le moment, il n’avait pas de raisons de s’inquiéter… finalement, c’était peut-être ça qui était inquiétant…

Une légère brise de vent se fit sentir laissant deviner que d’ici quelques heures, la fraîcheur de la nuit se ferait sentir. Par réflexe Ashton retira avec délicatesse la mèche de cheveux qui gâchait le doux regard du petit monstre. Il la replaça derrière son oreille alors que sa queue de cheval fait à la va vite semblait se défaire totalement, comme si le skate et le vent avait anéanti cette coiffure. En fait, Loan pouvait semblait être une personne un peu inattentive à son look comme ça mais, Ashton, lui, ça le faisait sourire parce qu’il savait que la seule raison à cette coiffure était le fait qu’elle s’était empressée de le rejoindre. Il n’imaginait pas, il savait. « Au fait, au niveau musical, t’en ai où ? » Il ne comprenait pas toujours tout ce qu’il se passait, les concerts, les contrats enfin, il n’y comprenait rien de tout. Il savait simplement que la musique rendait la blondinette folle de bonheur, alors, à chaque bonne nouvelle, il était aussi fou qu’elle, même si la demoiselle devait passer pas mal de temps à lui expliquer ce que ça représentait. Néanmoins, le brunet n’en restait pas moins son premier fan et il assistait… à tout ce qu’il pouvait. Il était comme un dingue quand il la voyait un micro entre les doigts. Il aimait sa voix. Ce n’était pas uniquement parce que c’était sa sœur mais, belle et bien parce qu’elle avait une voix qui lui donnait des frissons. De plus, quand quelque chose ne lui plaisait pas, ou n’allait pas, il n’hésitait pas à lui dire, afin qu’elle progresse, qu’elle entende son avis. Le brunet n’était pas le genre de grand frère à dire des choses qu’il ne pensait pas. Il ne lui dirait jamais qu’elle était belle si elle ressemblait à un épouvantail, il ne lui cacherait jamais son mécontentement si sa tenue était trop courte. En somme, il était toujours le plus sincère possible à l’égard de la blondinette et ça n’avait jamais empêché l’amour immense qu’ils avaient l’un pour l’autre de s’exprimer.
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyMar 24 Mai - 15:45

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I don't know if I like it, without you, without you, without you. Tell me how am I supposed to make it, without you, without you, without you. Look at me crying tonight, is this what its gon' be like? I try and act like I’m fine, but I will never be right, without you, without you, without you. Without you I don't know...


Ashton avait toujours été assez protecteur avec moi, ca depuis ma naissance. Il ne fallait pas me chercher les noises sinon il débarquait. Quand j’étais petite c’était loin de me déranger bien au contraire, j’adorais ca. Mais maintenant je ne voulais pas que tout le monde croit que je ne savais pas me défendre toute seule, c’est pour cela que j’évitais les prises de têtes avec qui que ce soit, puis de toute façon je n’aimais pas ca. Puis il y a une autre choses dont personne n’avait la chance d’avoir. C’est que quand il allait mal, j’étais la seule a pouvoir le faire sourire, ou alors quand moi j’allais mal, il était le seul qui pouvait me faire sourire. Il avait toujours été la, j’avais toujours pu compter sur lui, même si je devais l’appelait au milieu de la nuit, a trois heures du matin. Puis je savais aussi que j’étais la seule a pouvoir lui donner tout genre de surnom débiles. Il ne les aimait pas, je le savais mais je m’en fichais et continuait de l’appeler comme ca, au fond j’étais une chieuse et il le savait. « Il était où mon petit monstre, un dimanche soir alors qu’il a cours demain ? » Je vous l’avez dis, genre protecteur. Il n’aimais d’ailleurs pas beaucoup savoir quand je trainer avec des garçons. Si je l’écoutais je devrais finir seule toute ma vie sans grandir aussi. Mais bon, c’est le rôle du grand frère pas vrai ? Eh bien Ashton le remplissait parfaitement bien pour le moment. « J’étais chez Dylan avec un ami monsieur l’inspecteur » . Ashton savait parfaitement que Dylan et moi étions… Folle dirons nous. Quand nous étions ensemble c’était délires sur délires et on avez d’ailleurs du mal a nous arrêter, mais quand l’une de nous allez mal, on savez qu’on pouvait compter sur l’autre, c’était comme ca.

J’avais très bien remarqué qu’Aston n’avait pas le moral, mais je ne comptais pas en parler maintenant. J’attendrais le bon moment pour lui en parler. Je savais qu’entre lui et sa femme, Vanina en ce moment ce n’était pas la forme. En réalité j’étais au courant de l’histoire du bébé mais j’attendais qu’Ashton veuille m’en parler pour aborder le sujet. Mais il ne semblait pas décider a m’en parler, ce qui au font me frustrée un peu il faut bien l’avouer. Ashton me lança alors le ballon que je rattrapais avec facilité. Ash m’avait appris a jouer au basket depuis que j’étais petite, je me débrouillais assez bien, mais je préférée la danse. C’était un domaine qui me plaisait plus. Le basket c’était juste pour avec mon frère, nous jouions de temps en temps, je ne respectais d’ailleurs pas toujours les règle. Mon frère repris la parole alors que je shootais. « T’as vu, je ne me suis pas mêlé de ta vie au lycée. ». Il est vrai que maintenant qu’Ashton était prof au lycée je m’étais attendu a ce qu’il vienne me voir de temps en temps, ou qu’il se mêle de mes affaires, mais j’étais bien contente qu’il ne le fasse pas. Je l’adorais, vraiment, il était très important pour moi, mais je détestais qu’il se mêle de mes affaires. Voyant son regard qui voulait dire quelque chose du genre ‘ca va changé ne t’en fais pas’ je m’approchais de lui. « C’est très bien comme ca alors surtout ne change rien. » . Je connaissais Ashton et je savais qu’il ne resterais pas a l’écart indéfiniment. Je me fichais que tout le monde au lycée sache que c’était mon frère, je me fichais qu’on me voit parler avec lui de temps en temps dans les couloirs, car je n’avais pas honte d’être proche de mon frère, mais je refusais qu’il se mêle de mes affaires au lycée. Je savais aussi qu’il serait capable d’allez parler a mes amis pour savoir des choses sur moi, sur ce qui se passait au lycée.

Ce que j’aimais aussi chez Ashton c’est qu’il avait toujours été la pour m’encourager, pour me pousser a réalisé mes rêves. Ils avaient toujours été la pour m’aider a progresser, me dire que ca n’allait pas et bien évidemment il se disait être mon plus grand fan, ce que mes parents rétorquait. Enfin je n’avais vraiment pas a me plaindre car j’avais une famille en or. Récemment j’avais reçu une lettre, d’une maison de disque. Il m’avait proposé un contrat pour enregistrer un disque. Quelques jours plus tard je les avaient rencontrés, y étant d’ailleurs allez avec mon père, qui s’y connaissait pas en musique. Et c’est ainsi que j’avais signé mon premier contrat. Depuis j’avais présenté mes chansons aux producteurs et j’avais d’ailleurs fini d’enregistrer mon album, et je devais avoir un concert bientôt. J’adorais vraiment ce que j’étais en train de devenir. Je voulais que ma carrière marche, je rêvais de ca depuis que j’étais gosse. Je me rappelais encore de moi chantant sous la douche. Et le j’allais chanté devant des centaines, peut être même des milliers de personnes. Le jour ou j’avais entendu mon premier single a la radio, je vous promet que ca m’avait fait un choc. « Au fait, au niveau musical, t’en ai où ? » Je savais que Ashton n’avait jamais rien compris a la musique. Chaque fois que je lui parlais de quelque chose il était totalement paumé. Cela me faisait rire, mais au moins il était la pour m’encourageait et c’est ce qui comptait le plus pour moi. « Eh ben j’ai fini d’enregistré mon album. Mon premier single est passé a la radio et… Ils ont adoraient ! Puis j’ai un concert de prévu pour voir comme le public va réagir a ma musique, voir comment je me débrouille et je t’avoue que je suis un peu stressée... » . J’espérais que Ashton et mes parents, ainsi que mes amis seraient la. J’avais surtout besoin que ma famille et ma meilleure amie soient la. Surtout que mes chansons étaient toujours très personnel et l’une d’elle, que j’avais écris avant de savoir qu’Ashton rentré a la maison, parlait de lui. Elle parlait du fait que je ne savait pas comment avancer sans lui. Je ne lui avais d’ailleurs jamais chantée. « D’ailleurs j’aurais une chanson a te faire écouter, elle n’est pas sur mon album. » . Je lui souris légèrement.

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Ashton Jaime Clarke
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyDim 29 Mai - 20:06

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Si Loan ne pouvait pas nier quelque chose concernant son grand frère c’était bien le fait qu’il soit beaucoup trop protecteur. En effet, depuis son plus jeune âge, la belle blonde avait connue un grand frère soucieux de tout, soucieux de rien, en fait, dès que ça la concernait, ses réactions étaient toujours excessives et injustifiées. En même temps, la jeune Clarke ne pouvait lui reprocher d’être ainsi parce que cette garde rapprochée était simplement liée au fait qu’Ashton Jaime Clarke tenait plus que tout à sa petite sœur et que ça ne changerait jamais. Loan ne pouvait s’en prendre qu’a l’amour qui les unissait parce que de toute façon, Ash’ ne changerait pas. « J’étais chez Dylan avec un ami monsieur l’inspecteur » Monsieur l’inspecteur, n’importe quoi. Bon d’accord, il l’avait bien cherché, ce petit surnom mais, si elle voulait éviter les questions comme ça… et bien la seule solution était de dire à Ashton ce qu’elle faisait jour et nuit, toutes les cinq minutes. Enfin, ce n’était pas le surnom qui avait arraché une grimace au jeune prof mais, plutôt le terme « un ami ». Non, ce n’était pas une mais bien un et là c’était une catastrophe. Qu’elle soit avec Dylan, ce n’était pas un problème - quoique, elles étaient tellement dingues toutes les deux qu’elles en devenaient dangereuses enfin soit.- Le vrai problème, c’était l’idée qu’elle soit avec un garçon, Dylan présente, ou non. « Un ami ? Je peux savoir qui c’est ? Il est au lycée ? Je le connais ? » Eh voilà, le grand frère insupportable avec sa série de questions était de retour. Pauvre Loan, elle allait devoir subir un interrogatoire sans possibilité de fuir. Surtout que l’aîné de la famille Clarke était déjà en train de s’imaginer le pire. Si cet « ami » était un mec comme Jay Walker par exemple ? Ou un autre trou du cul du même genre qui se croit supérieur à tout le monde et qui n’a d’intérêt que pour sa propre personne ? Il s'imaginait le pire, comme d'habitude.

La ballon passa dans les mains de la jeune demoiselle qui se tenait face à son frère alors que ce dernier lui faisait remarquer qu’il n’avait pas été insupportable au lycée. Évidemment, les choses finiraient par changer, d’ailleurs, le processus était déjà en route. Ashton s’assurait que le niveau scolaire de sa sœur ne diminue pas, qu’elle n’arrête pas de travailler. Il n’avait aucun mal à obtenir des informations de la part de ses collègues puisqu’ils le faisaient naturellement, sans même savoir si Ash’ avait envie d’entendre ce que les profs pensaient de sa petite sœur. Enfin, hors mis quelques bavardages dans certaines matières, Ashton n’avait rien à lui reprocher à la petite blondinette mais, il restait au aguets « C’est très bien comme ça alors surtout ne change rien. » Visiblement Loan avait le dont de lire dans les pensées de son frère. Comment avait-elle pu deviner que cette petite remarque ne faisait que l’informer d’un changement certain qui s’approchait de jour en jour ? Peut-être parce qu’elle le connaissait par cœur et qu’il était terriblement prévisible avec ses petites manies, mimiques. « J’ai pas dit que j’allais change quoique ce soit… » dit-il avec son air innocent. Quoi ? Il ne l’avait pas dit, il l’avait pensé , nuance.

Puis, le sujet tourna sur tout à fait autre chose, la musique. C’était LA passion de Loan, certes il y avait la danse mais, le chant c’était vraiment ce qui dirigeait sa vie et Ash’ savait qu’elle se donnait corps et âme pour réussir dans ce milieu infâme. Ashton, lui ne comprenait rien ou très peu mais, il pouvait se permettre de conseiller la belle demoiselle parce qu’il savait ce qui était bon pour elle et ce qui ne l’était pas. « Eh ben j’ai fini d’enregistrer mon album. Mon premier single est passé à la radio et… Ils ont adoraient ! Puis j’ai un concert de prévu pour voir comme le public va réagir à ma musique, voir comment je me débrouille et je t’avoue que je suis un peu stressée... » ça faisait beaucoup de choses pour une adolescente de dix-sept et si Ashton était très heureux pour elle mais, vraiment très heureux, le grand frère en lui n’aimait pas trop ça. Il ne voulait pas qu’elle se laisse submerger par cette vague musicale qui s’abattait sur elle, il refusait aussi qu’elle envisage d’arrêter les cours pour parcourir les scènes. Oui, Ashton était le genre de mec à penser que rien n’était tout noir ou tout blanc et quand ça concernait sa petite sœur, il était méfiant. Il fallait admettre que Loan était une demoiselle bien naïve et qu’il ne fallait pas être un fin manipulateur pour réussir à la faire dériver. Enfin, il préféra taire un minimum ses inquiétudes parce que malgré ça, il voulait que ça marche pour elle. « Pour le concert, tu m’as bien gardé une place d’honneur j’espère ? » évidemment qu’il avait l’intention d’être présent. Il était son premier fan et personne ne pouvait prétendre le contraire… parce qu’il avait raison point barre. N’empêche qu’il serait là pour l’aider à se détendre à évacuer le stress, ce qui n’était une chose facile. « D’ailleurs j’aurais une chanson à te faire écouter, elle n’est pas sur mon album. » Intrigué, oui Ashton l’était. Il observait le léger sourire de sa sœur avec un sourcil froncé. Il voulait l’entendre, au plus vite alors, c’est sans hésitation qu’il formula sa demande. « Je peux l’entendre, maintenant ? » Il attrapa le ballon avant de marquer un panier. Son regard se reposa sur sa frangine par la suite et il déposa une baiser sur sa chevelure blonde qu’il aimait tant.
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyLun 6 Juin - 17:59

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I don't know if I like it, without you, without you, without you. Tell me how am I supposed to make it, without you, without you, without you. Look at me crying tonight, is this what its gon' be like? I try and act like I’m fine, but I will never be right, without you, without you, without you. Without you I don't know...


Je connaissais assez mon frère pour savoir qu’il n’avait jamais aimé que je traine avec des garçons. Mon père n’avait jamais vraiment chercher a savoir lui, mais Ashton était toujours a vouloir savoir ce que je voulais faire, ou j’étais et avec qui. Des fois c’était un peu pénible, mais je ne disais rien. Je l’aimais trop pour me disputer avec lui, surtout que j’avais horreur des disputes, surtout avec lui. Ashton avait toujours été un peu comme un deuxième père pour moi, il c’était toujours comporter tout comme. Il ne voulais pas que je me trouve un petit ami, et c’était embêtant car il était un peu toujours a fourrer partout pour être sur que ce ne soit pas le cas. J’adorais mon frère mais a faire trop de policier il allait finir par m’entendre. Puis après tout j’étais grande, il fallait bien que je commence a me débrouiller toute seule, sans personne. J’avais toujours été très indépendante, mes parents ne savaient d’ailleurs pas souvent ou j’étais quand je décidé de déserter de la maison. Cela ne les déranger pas, car ils avaient confiance en moi et ils savaient que j’étais raisonnable. Mais si Ashton apprenait que je n’étais pas chez moi, je pouvais être sur que dans le demie heure qui suivait j’avais le droit a un appel et d’autres appel souvent. Il était comme ca. Pour l’embêter des fois je ne répondais pas au téléphone. « Un ami ? Je peux savoir qui c’est ? Il est au lycée ? Je le connais ? ». Je vous l’avez dis, protecteur. Un peu trop d’ailleurs. Mais ca ne me dérangeait pas pour le moment. Quand j’aurais un petit ami ca sera surement diffèrent. Je lui tirais la langue, levant les yeux au ciel avant de prendre la parole. « Oui c’était UN ami. Oui il est au lycée et non tu le connais pas, ou du moins pas que je sache. » . Mon frère n’avait pas fini si il devait me demander ca a chaque fois que je voyais un ami car Dylan et moi étions les deux seules filles de notre groupe d’amis. Tout le reste c’était des mecs. Bien sur Ashton avait enchainé en disant qu’au lycée il ne s’était pas encore mêler de ce qui ne le regardait pas. Encore heureux, car je ne tenais pas a ce qu’il se mêle de tout ce qui se passait autour de moi. Mais a son visage, cette expression que je connaissais si bien, je savais que cela allait changer. « J’ai pas dit que j’allais change quoique ce soit… ». Il était doué pour le mensonge, tout comme d’ailleurs. Enfin moi ca marchait avec certaines personnes, mais pas avec lui malheureusement. Je ne pouvais rien lui cacher. « Je connais cette expression qui veux dire ‘oh ne t’en fait pas je compte pas te laisser tranquille encore longtemps’. » .

Je lui adressais un nouveau tiré de langue. Puis pour changer de sujet Ashton me demanda ou j’en étais au niveau musique. Je dois dire que j’avais tout ce que j’avais toujours rêver d’avoir au niveau musique. Je venais de finir d’enregistrer mon premier CD après avoir signer un contrat avec une maison de disques. J’avais parfois l’impression de vivre un rêve éveillé. Bien sur personne ne savait pour ca pour le moment, a part ma famille et Dylan. Mais le seul problème c’est que la plus part des gens de mon lycée allait venir au concert qu’organiser la ville, ou j’étais censé y chanter des chansons. En regardant Ashton après lui avoir parler de tout ca je vis sur son visage qu’il était en conflit. Ou du moins une part de lui devait aimer ca et l’autre ne devait pas être d’accord. C’est ca d’être un grand frère trop protecteur. Mais il n’en dit rien. « Pour le concert, tu m’as bien gardé une place d’honneur j’espère ? ». Je ne pu m’empêcher de sourire. Il avait toujours été la pour me soutenir et jamais je n’aurais pu imaginer faire ce premier pas dans le monde de la musique sans qu’il soit la, avec moi. Il avait d’ailleurs été le premier a qui j’avais pensé faire venir pour ce concert. Mes premiers pas sur la scène des grands. « Bien sur que tu as une place ! Tu sais très bien que j’ai envie que tu sois la. » . Le regardant shooter au panier j’allais m’asseoir sur la petite table en bois ou était posé mon skate. M’asseyant je resté un moment silencieux avant de repenser a cette chanson que j’avais écrite en parlant de mon frère et que je ne lui avais jamais fais écouter. « Je peux l’entendre, maintenant ? ». Impatient, ca aussi Ashton l’était sur certains point. Tout comme moi d’ailleurs. Il déposait un baiser sur le dessus de ma tête alors que je pris la parole. « Je n’ai pas ma guitare, mais j’ai peut être la démo qu’on a enregistré sur mon portable. » . Je sortis mon portable et me mis a chercher. J’avais un peu peur de sa réaction de sa réaction il faut bien l’avouer. J’avais écris cela alors qu’il était encore loin et c’est ce que j’avais ressentis a ce moment la. J’espérais qu’il ne le prendrais pas mal c’est tout. « Je… Enfin je l’ai écrite avant que tu revienne, j’étais pas très bien ce jour la et tu me manquais beaucoup alors… Enfin j’espère qu’elle te plaira….» . Je lui adressais un sourire et lança la chanson.





IRL : Clique sur le mot chanson pour l'écouter =)
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Ashton Jaime Clarke
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyLun 13 Juin - 15:43

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Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage.


Les garçons, c’était bien le plus grand danger aux yeux d’Ashton pour sa petite sœur. Il ne voulait pas qu’elle finisse vieille fille mais, il ne voulait pas non plus qu’elle ait de relation avec eux. Il voulait qu’elle prenne son temps et qu’elle évite les connards, pour ça il était même capable de choisir les petits amis de sa sœur. Oui, il était un peu cinglé quand il s’agissait de sa blondinette préférée. « Oui c’était UN ami. Oui il est au lycée et non tu le connais pas, ou du moins pas que je sache. » Il n’aimait pas du tout ce qu’elle lui disait là. Il ne connaissait pas ce garçon ? Ça allait certainement très vite changer, un prénom et le tour était joué. Si c’était un mec comme Jay, il allait finir à l’hôpital…bon d’accord, peut-être pas mais, il n’approcherait plus Loan et Dylan de si près. Enfin, Dylan, elle faisait bien ce qu’elle voulait dans le fond mais, elle restait la meilleure amie de Loan, Ashton l’avait tout de même vu grandir et il n’aimerait pas qu’il lui arrive quelque chose. « Il s’appelle comment ? Jure-moi qu’il ne s’agit pas de Jay… » L’inquiétude voilà ce qui ressortait de cette conversation, comme à chaque fois. Ashton n’était pas près à offrir sa petite sœur à qui que ce soit, elle était une moitié de lui, elle était la plus importante, celle qu’elle ne laisserait jamais tomber, celle à qui il céderait tout. Il lui donnerait tout mais, il n’était pas près à la donner, elle. Il refusait de partager le cœur de sa petite sœur tout en sachant qu’un jour ou l’autre il n’aurait pas d’autres choix. Enfin, après tout ça, il était certain qu’Ashton allait appliquer la garde rapprochée même si Loan n’était pas d’accord. « Je connais cette expression qui veux dire ‘oh ne t’en fait pas je compte pas te laisser tranquille encore longtemps’. ». Le jeune homme leva les yeux au ciel avec un sourire angélique. Elle avait raison mais, il faisait comme si ce n’était pas le cas. « Tu me connais très mal Loan, enfin, comment tu peux penser ça ? » Tout ceci n’était que de l’humour, il n’arrivait même pas à garder son sérieux, il ne trouvait rien de mieux à faire que de coller un baiser sur la joue de sa sœur pour éviter d’éclater de rire devant sa connerie que même le plus crédule ne croirait pas.

Le monde de la musique était un univers bien particulier. Il fallait faire attention à ses fréquentations, ce n’était pas toujours rose. Ashton le savait et il avait bien l’intention de rester aux côtés de sa sœur, de surveiller un peu tout sans être trop près parce que de toute façon, ce n’était pas son univers et il ne comprenait vraiment pas grand-chose. Toujours est-il qu’il avait l’intention d’être présent pour la belle blonde, pour son premier concert. Comment pouvait-il manquer ça ? Il ne pouvait pas ce le permettre. « Bien sur que tu as une place ! Tu sais très bien que j’ai envie que tu sois la. » Il n’avait jamais douté qu’elle désirait qu’il soit là. De toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix. Mais, quelle raison pourrait pousser Loan à repousser son frère ? Ils étaient trop liés, trop attachés, trop complices pour que cela arrive. Ils avaient toujours été là l’un pour l’autre et ça ne changerait jamais. Un petit panier et le jeune homme rejoignait sa petite princesse sur la table, à peine plus loin. Le grand frère était assez impatient d’entendre la chanson dont elle lui avait parlé peu de temps auparavant. Il savait que sa sœur n’écrivait que ce qu’elle ressentait, que ses chansons étaient sensées. « Je n’ai pas ma guitare, mais j’ai peut être la démo qu’on a enregistré sur mon portable. » La belle blonde s’activa alors à chercher dans son portable. Ashton espérait vraiment qu’elle l’avait parce qu’il était vraiment curieux d’entendre cette chanson, en plus, il aimait vraiment entendre sa voix, l’entendre chanter. « Je… Enfin je l’ai écrite avant que tu revienne, j’étais pas très bien ce jour la et tu me manquais beaucoup alors… Enfin j’espère qu’elle te plaira….»Ashton serra sa petite sœur dans ses bras avant qu’elle mettre la chanson. Elle n’avait pas besoin de justifier ses sentiments, il pouvait tout entendre, tout écouter et il savait que son absence n’avait pas toujours été facile pour elle, tout comme pour lui d’ailleurs. Il avait souvent rêvé de revenir, de revoir sa petite sœur tous les jours, il avait souvent eu besoin de ses racines et les nombreux voyages n’y changeaient rien. Il ne se sentait pas chez à Portland, chez lui, c’était Arrowsic et même si ce n’était qu’un petit village paumé, ça ne changeait rien.

La chanson se lança et dès les premières paroles, dès le début de la mélodie, Ashton en avait des frissons. Premièrement parce que sa sœur avait une voix divine mais, la véritable raison était surtout le fait qu’il connaissait cette souffrance. Il avait combien l’absence pouvait tuer et faire souffrir, plus d’une fois, il s’en était voulu d’être parti et ce, même en ayant fait les choses correctement. Plus d’une fois il aurait voulu crier sa douleur, que quelqu’un prenne sa douleur pour le laisser respirer. Évidemment, il n’avait jamais rien laissé paraître devant les autres, il ne laissait personne connaître ses blessures mais, cette chanson le faisait très bien. Il avait ressenti la même chose que la blondinette. Pourtant, il n’en avait jamais parlé avec elle, du mal que ça pouvait faire, d’être loin d’elle. Ashton était un handicapé des sentiments et même si avec Loan, il s’en sortait un peu près correctement, ce n’était pas encore ça. Il passa son bras autour des épaules de sa petite sœur avant de la serrer plus fortement contre lui. « Elle est magnifique… vraiment. » Il n’en dit pas plus, parce qu’il n’avait pas les mots, pour la rassurer, pour lui dire qu’il était là maintenant, il n’arrivait pas à lui expliquer qu’il avait ressenti la même chose. Finalement, c’était le silence qui parlait pour lui. Loan était une moitié de lui et elle comprenait toujours que l’absence de mot chez son frère n’était pas forcément négatif, c’était même souvent l’inverse.
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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptyLun 13 Juin - 19:30

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Je savais très bien qu’Ashton n’aimait pas que je sorte avec des garçons. Je n’avais d’ailleurs jamais vraiment eu de petit ami. J’avais eu des aventures, des flirt pour une soirée, Ash n’était pas au courant, mais je n’avais jamais rien de plus. En réalité il y avait bien quelqu’un, un garçon, plus âgé, que j’avais rencontré il y a un an durant mais grande vacances. Mais il était plus âgé, il avait 22 ans maintenant et puis nous n’avions pas de nouvelle l’un de l’autre. Pendant cet été nous avions échangés des regards, des sourires discrets, mais il n’y avait rien eu de plus avant le dernier soir. Pendant les deux mois il était resté avec ses potes, surement parce que ca ne le faisait pas d’être vu avec une petit comme moi. A l’époque j’avais seize ans et lui en avait vingt et un. Je n’avais pas chercher a faire quoi que ce soit, mais le dernier soir, la veille de mon départ, nous nous étions rentrés dedans a la plage. Suite a ca nous avions parler pendant des heures, allongés l’un contre l’autre dans ce hamac devant l’hôtel. Ce soir la on aurait pu croire que nous nous connaissions depuis des années. Nous avions beaucoup rit. Puis il y avait eu ce moment magique… Le baiser. Nous nous étions embrassés avant de s’endormir l’un contre l’autre. Puis le lendemain j’avais du partir. Depuis je n’avais eu aucune nouvelle, tout comme lui n’en avait jamais eu. Mais pourtant en un an je ne l’avais pas oublié. J’essayais parce que je savais que je ne le reverrais jamais, mais je n’avais pas pu. Je fus sortie de mes pensées quand Ashton reprit la parole, j’espérais seulement qu’il n’avait pas vu que j’avais été pensive. « Il s’appelle comment ? Jure-moi qu’il ne s’agit pas de Jay… ». Jay ?! Surement pas non ! Jay était un gars abominable de mon lycée, un vrai crétin a mes yeux. Je ne l’aimais pas et lui ne m’aimait pas, comme ca m’allait très bien. Je ne pourrais jamais être amis avec lui. Faisant les gros yeux a mon frère je répondis : « Ca va pas ?! Ce mec est un crétin. Je risque pas de trainer avec lui. » . Je n’avais jamais beaucoup aimé Jay, d’ailleurs je faisais attention avec qui je trainais. J’avais du mal a faire confiance et ca Ashton le savait bien, tout comme mes véritables amis. J’étais peut être un peu naïve mais je ne faisais pas confiance a n’importe qui. Puis Ashton me fit comprendre qu’il allait se mêler de ma vie au lycée. Cette perceptive ne me plaisait pas, mais pas du tout. Je n’avais pas envie que tout le monde finisse par croire que j’avais ma garde rapproché si jamais j’avais un problème. « Tu me connais très mal Loan, enfin, comment tu peux penser ça ? ». Je pense plutôt qu’au contraire je le connaissais très bien et il le savait. Alors qu’il déposait un baiser sur ma joue pour s’éviter de rire je lui tirais la langue et pris la parole. « Je crois plutôt que je te connais très bien. » . Dis je avec une sourire, avant de me tourner vers lui plus sérieuse. «Sérieusement je veux pas que tu te mêle de ma vie au lycée Ash. Je suis assez grande pour savoir avec qui trainer et avec qui ne pas le faire. » .

Je savais que le monde de la musique, le monde dans ce business n’était pas facile. Je savais que si la célébrité marchait pour vous il fallait apprendre a faire attention a tout les gens, qu’il fallait se méfier de plein de chose. Mais comme je l’ai dis je ne fais pas confiance facilement alors ca devrait aller de ce coté. Puis j’aimais vraiment la musique, j’adorais faire ca. Les semaines passait en studio d’enregistrement avait été un vrai plaisir pour moi. Et puis mon producteur, ainsi que les gars du studio avaient été génial avec moi. Je m’étais tout de suite bien intégrer dans leurs équipe et on avait beaucoup rit. J’avais d’ailleurs emmener Dylan quelques fois avec moi au studio. Elle aussi avait un sacré talent. J’aimerais bien enregistrer une chansons avec elle un jour si jamais ca marche pour moi. Mais ce qui est le mieux dans tout ca c’est le fait de monter sur scène. Il me tardait vraiment d’avoir ma première expérience et de monter chanter sur scène. Même si j’étais un peu nerveuse a cette idée, je savais qu’une fois lancé ca serait absolument magique ! Comme on dit, le plus dur c’est de se lancer. Puis le sujet tourna vers une chanson que j’avais écrite et qui exprimer ce que j’avais ressentit les fois ou Ashton avait été loin alors que j’aurais aimé qu’il soit la. Cette chanson me tenait vraiment a cœur, je ne voulais pas blesser mon frère et j’espérais vraiment qu’il l’aimerait. Je posais ma tête sur son épaule, chantant doucement en même temps que le chansons passait. C’était une de mes plus personnelle. Certaines personnes ont des journaux intimes, moi j’ai mes chansons. Chacun son truc. Alors que la chanson se fini je rouvris les yeux et attendit que mon frère prit la parole. « Elle est magnifique… vraiment.… ». Je ne pu retenir un sourire. Cela me faisait chaud au cœur. Il me serra un peu plus contre lui et je passais mon bras autour de lui. Les remarques de mes proches avaient toujours étaient les plus importantes a mes yeux. Souriant légèrement je pris la parole. « Merci Ash’… Ca me touche beaucoup quelle te plaise. » . Je déposais un baiser sur sa joue, lui adressant encore un sourire. Je rangeais mon portable dans ma poche. Reposant ma tête contre son épaule je repensais a autre chose. Lui ne m’avait pas beaucoup parler de lui ces derniers temps. Je savais qu’entre lui et sa femme ca n’allait pas très bien, j’étais au courant qu’elle voulait un bébé et que lui n’en veuille pas. Mais je n’en parlais pas, je voulais que ce soit lui qui m’en parle. J’étais censé ne pas être au courant, alors je faisais comme si de rien n’était. Mais ayant vu, en arrivant au terrain, que quelque chose n’allait pas je me décidais a lui en parler. Je connaissais Ashton, je savais quand quelque chose le tracassait. Tournant la tête vers lui, j’hésitais et pris la parole. « Au fait tu m’as pas dis comment ca allait avec Apolline en ce moment. Tu m’avais l’air perturbé quand je suis arrivé tout a l’heure. Et pas la peine de dire qu’il n’y a rien, je ne te croirais pas. » . Je savais qu’il y avait quelque chose et même si je n’avais pas été au courant je l’aurais surement deviner.




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MessageSujet: Re: Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan)   Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage. (Loan) EmptySam 18 Juin - 15:44

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Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage.


Elle faisait les gros yeux, la belle Loan. L'hypothèse que ce mystérieux garçon se nomme Jay était donc définitivement tombée aux oubliettes et ça ne pouvait que ravir le grand frère qui affichait déjà un sourire rassuré, avant même d'avoir entendu la voix de sa petite soeur. « Ça va pas ?! Ce mec est un crétin. Je risque pas de traîner avec lui. » Là-dessus, ils étaient d'accord. Ashton fut plus que rassuré d'entendre ça, il était comme sur un petit nuage bien qu'il n'en démordrait pas, il voulait le nom de ce garçon. « Alors, comment il s'appelle ? » Un air angélique alors qu'il commençait vraiment à être agaçant avec ses questions mais, quand il voulait savoir quelque chose, il était capable de dépasser toutes les limites. Enfin, le pire était toujours lorsque que ça concernait la jolie blonde. Il en était de même pour la garde rapprochée au lycée, Ashton avait bien l'intention de surveiller sa soeur du plus près qu'il le pouvait même s'il était resté raisonnable et relativement à l'écart pour le moment. Elle pouvait bien tirer la langue devant ses âneries, le grand frère savait qu'elle n'était pas du tout d'accord avec ça mais, au fond, il ne lui demandait pas son avis. « Je crois plutôt que je te connais très bien. » Vraiment ? Non, ce n'était pas comme si elle avait toujours été celle qui la faisait sourire quand rien n'allait comme il le voulait. Ce n'était pas comme si c'était celle qu'il avait traîné partout où il allait, celle qu'il prenait avec lui les après-midi alors qu'il faisait mille conneries avec ses potes de l'époque. Oui, elle le connaissait par coeur et c'était bien pour cela qu'Ashton ne pouvait s'empêcher de rire, c'était complètement con, de prétendre le contraire. «Sérieusement je veux pas que tu te mêle de ma vie au lycée Ash. Je suis assez grande pour savoir avec qui traîner et avec qui ne pas le faire. » Il ronchonna, il n'aimait pas voir sa petite soeur aussi sérieuse. De toute façon, il le ferait, même du coin de l'oeil, il la surveillerait forcément et au moindre faux pas il interviendrait. C'était inscrit dans ses veines, c'était quelque chose qu'il ne pouvait -et ne voulait- pas contrôler.

Un sourire sur les lèvres de la belle blonde. Elle doutait tant que ça de sa chanson ? Son frère n'aurait jamais pu lui jeter la pierre, elle ne faisait que lui ouvrir son coeur et il préférait nettement la prendre dans ses bras que de lui crier dessus. Il serait plus qu'en tord d'agir comme un sauvageon. Et puis, ce n'était pas comme s'il ne savait pas ce qu'elle avait pu ressentir, loin de là. « Merci Ash'... Ça me touche beaucoup quelle te plaise. » Elle déposa un baiser sur sa joue avant qu'il n'embrasse le sommet de son crâne. Il était là maintenant et il n'y avait plus de raison pour que son coeur souffre encore de cette absence. Il était parti si longtemps loin d'elle et aujourd'hui, il refusait catégoriquement que ça se reproduise. Maintenant, il était là pour elle. « Au fait tu m'as pas dis comment ça allait avec Apolline en ce moment. Tu m'avais l'air perturbé quand je suis arrivé tout a l'heure. Et pas la peine de dire qu'il n'y a rien, je ne te croirais pas. » Ça c'était un changement de sujet auquel le brunet ne c'était nullement attendu. Automatiquement, il baissa les yeux, posant la tête entre ses deux mains, il agissait toujours ainsi quand un sujet ne lui plaisait pas, quand son coeur et sa raison n'avaient pas le même avis. Non, ça n'allait pas entre Apo et lui, ça se voyait sur son visage. Il n'était absolument pas étonné que ça soeur l'ait remarqué, comme il avait remarqué qu'elle était songeuse quand ils avaient parlé des garçons précédemment. Il n'était pas aveugle, il attendait simplement un moment propice pour lui en parler, tout comme elle. Enfin, toujours est- il que le sujet était dirigé sur lui à cet instant et qu'il ne savait pas par où commencer, il ne savait pas quoi dire. Il avait peur de ce que sa petite soeur pouvait penser de sa réaction parce que c'est vrai qu'il était borné, c'est vrai qu'il agissait comme un enfant, même Loan pourrait le dire. Le silence persistait parce qu'il ne voulait pas mentir à sa soeur, il voulait trouver les mots mais rien ne venait, du moins, rien de bien joli, qui explique son point de vue. Tant pis, à quoi bon vouloir être quelqu'un d'autre, il allait dire les choses à sa façon et peu importe s'il passait encore pour un gosse incapable de prendre ses responsabilités. « Elle veut un... bébé et moi, je n'en veux pas. Je ne vois pas l'intérêt de s'encombrer avec un truc baveux qui pleure, qui bave, un truc emmerdant quoi. On est encore jeune et j'ai d'autre chose à vivre que les pseudo joies de la paternité. Je ne me sens pas près et j'ai peur que ça change tout entre elle et moi. Mais, elle y tient vraiment et je sais que si je n'agis pas très rapidement, je vais la perdre. » Quand on entendait le jeune parler des bébés, on comprenait vite qu'il n'en avait pas envie pour le moment, même un chiot serait plus agréable qu'un gosse à ses yeux. Mais, voilà, cette fois Apolline n'avait nullement l'intention de céder et de laisser passer son désir de pouponner. « Et comment tu savais qu'il s'agissait d'Apo ? » C'est vrai, il avait peut-être une mine déconfite mais, il n'était pas écrit qu'il avait des problèmes conjugaux au beau milieu de son front.
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