Sujet: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Dim 8 Mai - 13:25
Etre psychologue était parfois un métier très dur, en même temps, j’adorais écouter les autres même si je ne les aidais pas vraiment. Je ne pouvais jamais donner de véritables solutions, juste des pistes. C’est alors que je terminais ma journée et comme une adolescente, je décidais de passer la journée avec l’un de mes amis les plus proches, mais les plus "amélioré" aussi. Jay était peut-être de six années mon cadet, mais c’était celui qui me faisait toujours le plus de bien, dans tout les sens du terme. Je sortais alors de mon cabinet privé pour déverrouiller ma voiture et m’installer à la place du conducteur. J’ouvrais la fenêtre et posais ma tête sur le siège en fermant les yeux. Quelle longue journée. Je démarrais enfin la voiture pour arriver au lycée de mon très cher Jay. Rare était les fois où il restait en cours jusqu’à la fin, mais je savais qu’aujourd’hui, il serait là. Ma fenêtre était toujours ouverte et j’allumais une cigarette en la savourant presque. J’en avais tant besoin après la journée que j’avais passée. Je vous raconterais bien l’histoire de cet homme qui reniflait sans arrêt son chat et qui pleurait lorsque celui-ci partait quelques jours. Mais ce serait faire une faute professionnelle. Croyez-moi, des fois je me demande si je ne suis pas psychiatre à la place de psychologue. Pourtant, je n’ai pas fais médecine. D’ailleurs, ce que je n’arrête pas de répéter à certains patients lorsqu’ils arrivent pour la première fois de mon cabinet en me demandant c’est quoi la différence entre un psychologue et un psychiatre c’est qu’un psychiatre a fait médecine, mais que s’ils voulaient un exemple concert : Vous tombez dans une fosse à purin…Un psychiatre vous lancera des bouquins de médecine pour vous faire comprendre comment vous êtes tombé dans cette fosse, qu’un psychologue vous proposera plusieurs solutions pour essayer de sortir, vous débarbouillera et après et seulement si vous le voulez, vous demandera si vous voulez savoir comment vous êtes tomber dans cette fosse. Moi je suis de ceux qui propose les solutions et qui débarbouille les gens.
Bref, la n’était pas la question. Je crachais la fumée de ma cigarette avant d’apercevoir Jay. Il parlait et je souris avant de klaxonner. Il se retourna et je lui souris d’un air charmeur tout en le regardant dire au revoir à ses potes et s’approcher de moi. « Tu crois que si tu m’embrasse je pourrais être poursuivie. Parce que j’ai très envie que tu m’embrasse là maintenant. » Je lui souris avant de me mordiller la lèvre. Comme ce gosse pouvait être irrésistible quand il le voulait.
Dernière édition par Nastasia C. Leroy le Dim 26 Juin - 15:11, édité 1 fois
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Mer 11 Mai - 22:55
and in my hour of darkness she is standing right in front of me.
Ce n’était qu’une journée de plus dans ma vie d’adolescent. Une journée de lassitude extrême. Cela ne changeait pas de d’habitude. Ma vie au lycée était tellement ennuyante, beaucoup plus qu’un enterrement. J’étais persuadé que je mourrais d’ennui dans ce vieux bâtiment à neurones. C’était une triste fin, je méritais mieux que ça. Enfin bon. A force de rester dans cette prison, j’avais fini par avoir de drôles de pensées. C’était la preuve que je commençais à devenir fou, tout ça à cause du lycée. Comme à mon habitude, j’avais cogné un garçon pour m’avoir bousculé, j’avais insulté une fille parce qu’elle n’arrêtait pas de me suivre, et j’avais regardé avec un air arrogant mon voisin de classe qui me demandait de travailler. Oui, ce n’était pas une vie palpitante que je menais. Elle était plutôt à mourir d’ennui. C’était donc pour cette raison que je souris quand la dernière sonnerie retentit dans toute la pièce. Enfin ! Ce n’était pas trop tôt. Mais alors que je m’apprêtais à sortir furtivement, un élève dont je ne connaissais même pas l’existence m’arrêta avant de dire : « Excuse-moi, Jay Walker, c’est ça ? » D’où il connaissait mon nom celui-là ? Je le trouvais déjà bizarre. « Ouais », balbutiais-je négligemment. « Comme tu as pu l’entendre, nous avons un exposé à faire pour lundi prochain. Il nous manque une personne, et comme tu n’es avec personne, je crois que tu vas devoir te mettre avec nous. Tu vas voir, on va bien s’amuser. » Je le regardais avec le plus de mépris possible. Mais pourquoi il m’embêtait celui-là ? Je devais déjà être sorti depuis deux minutes. D’ailleurs, il me présenta ses autres camarades, tous moches les uns les plus que les autres. En plus, ils avaient des lunettes, ce qui ne m’inspirait pas confiance. Je n’aimais pas les gens aux lunettes avec des pulls. Oui, parce qu’ils portaient tous des pulls affreux alors que le soleil éclatait dehors. Mon dieu, sur quelle bande étais-je tombé ? « Ouais, je suis bien obligé de toute façon. Bon vous m’excuserez hein, mais j’ai un bus à prendre. » Sur ces mots, je partis donc en direction de la sortie, sans doute ma porte préférée. Cependant, j’entendis quelques pas qui me suivaient. Intrigué, je me retournai. Oh mon dieu, ils étaient encore là, tout souriant. Mais que me voulait-il à la fin ? J’avoue qu’ils me faisaient assez peur. Voyant que je les dévisageais, celui qui semblait être le chef de ce groupe finit par m’adresser la parole, de nouveau. « Bon alors on pensait faire une première partie sur… » Je n’ai pas écouté la suite de ce qu’il a dit. Il parlait sans s’arrêter pendant cinq minutes. Cinq minutes, ça peut vous paraître insignifiant, mais là, je crois que c’était les cinq minutes les plus longues de ma vie. Finalement, on arriva à la sortie, et le moulin à paroles s’arrêta. Qu’est-ce que ça faisait du bien. Ma tête allait enfin pouvoir se reposer. Je mourrais d’envie de lui cogner un poing dans la tête, mais je dus me retenir, car un klaxon sauva cet être idiot et gênant. Je me tournais pour voir qui était à l’origine de ce klaxon. Une jolie femme était en train de me sourire tout en m’adressant des gestes. C’était Nastasia. Il n’y avait qu’elle pour me faire des surprises comme celles-là. Enfin bon, j’avoue que c’était une bonne surprise. Et j’étais content de la voir après une longue journée fatigante. J’adressais un signe d’au revoir à mes camarades que je venais de connaître, par pure politesse, avant de partir en direction de cette jolie blonde qui était venue juste pour moi. Ces paroles me firent sourire, et je m’approchais d’elle sans aucune gêne, collant mon nez au sien. Cela nous mettait dans une situation embarrassante, mais cela m’importait peu. J’aimais le danger, même si je ne considérais pas notre relation comme un danger. Je finis par coller mes lèvres aux siennes, et l’embrasser délicatement et furtivement. « Si tu es poursuivie, ne sois pas surprise. » Je lui adressai un sourire amusé, avant de monter dans la voiture. Elle ne semblait pas vouloir démarrer. Sans savoir pourquoi, je lui demandai : « Ça ne te gêne pas, j’espère, d’être ici avec moi ? » Je n’attendis pas sa réponse, car j’enchainais : « Parce que moi je suis très content que tu sois venu. T’es adorable. » Le lycée commençait à se vider, je pouvais voir mon professeur de philosophie qui quittait les portes de l’établissement. C’était probablement le dernier, car il ferma consciencieusement la grille. Le concierge allait sans doute passer pour fermer à clé. Les rues se vidaient aussi. Personne ne voulait traîner à côté du lycée, c’était un peu étrange. Tous se rendaient au parc, car c’était là où les adolescents de mon âge allaient quand ils avaient terminé les cours. Quant à moi, je n’avais pas besoin de ce rituel. Moi, j’avais ma Nastasia, et c’était vachement mieux qu’une bande d’amis. D’ailleurs, je la trouvais splendide. Ses courbes cachés par ses vêtements me donnaient envie de les arracher. Alors, je lui dis, avec un air amusé et excité : « Tu sais ce que j’ai envie de faire, là, maintenant, tout de suite ? » Je crois qu’elle avait compris le message. De toute façon, entre nous, ça a toujours été clair : on ne vivait que pour le sexe.
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Sam 14 Mai - 22:11
Comment un gamin comme Jay pouvait-il me fait fondre. Je me mordillais la lèvres alors qu'il s'approchait de moi, collant ensuite son nez contre le mien après mes premières paroles à son égard. « Tu crois que si tu m’embrasse je pourrais être poursuivie. Parce que j’ai très envie que tu m’embrasse là maintenant. » Son baiser fut bref mais tellement intense pour moi. Jay était vraiment une personne à qui je tenais énormément et son contact devenait presque indispensable. « Si tu es poursuivie, ne sois pas surprise. » . Il me regardait amusé. C'est vrai que je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même si j'étais poursuivie. après tout, c'était moi l'adulte dans cet histoire. C'était moi la fautive, lui l'innocent.
Il montait dans la voiture avant de demander si cela me gênait pas d'être ici, avec lui. Je haussais un sourcil comme pour chercher à savoir s'il se foutait de moi. Je ne le comprenais pas vraiment, pourquoi me demander ça. Il n'attendit pas ma réponse. « Parce que moi je suis très content que tu sois venu. T’es adorable. ». Je lui répondais alors en plaçant ma main dans sa nuque. « Tu penses vraiment que si ça me gênait..je serais ici, avec toi. ». Venir la chercher à la sortie de l'école c'était un choix, j'appréciais beaucoup trop Jay pour être gênée d'être avec lui. Mon pouce vient caresser sa nuque alors que je lui souriais pour tenter de le rassurer. « Tu sais ce que j’ai envie de faire, là, maintenant, tout de suite ? » . Je souris à nouveau avant de l'embrasser. Je n'en avais un peu rien à foutre que mon haleine sente encore le tabac. Je jetais d'ailleurs ma cigarette par la fenêtre avant de poser à nouveau mon regard sur Jay. « Question bête, tu as ce qu'il faut.».
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Dim 15 Mai - 15:33
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Je ne pouvais pas être plus heureux qu’à ce moment-là. J’avais passé une journée vraiment horrible, comme tous les jours d’ailleurs, et sa présence ne faisait que me réjouir. Je crois que ce qui me faisait vivre dans cette ville, c’était les filles, et surtout le sexe en fait. Eh bien, ça tombait bien, puisque que Nastasia était là pour ça. Nous n’avions aucune gêne à s’avouer que notre relation était purement sexuelle, pour ma part, ce n’était pas du tout un complexe. Dès le début, on savait ce qui nous attendait. On savait qu’on s’attirait, et qu’on aimait coucher ensemble. C’était clair comme de l’eau. Et j’avoue que j’aimais beaucoup ce genre de relations, car il n’y avait pas de prises de tête. Je veux dire, c’était tellement simple et agréable. C’était tout ce qu’il me fallait pour me détendre après une longue journée dans ce lycée. Et juste pour ça, je la remerciais d’être là. Elle était géniale, je le pensais vraiment. Il manquait des filles comme ça à Arrowsic. Je n’aimais pas beaucoup les filles sages et calmes, sauf Sharly. Quand je pensais à elle, je me sentais tout bizarre. J’avais oublié Nastasia. Elle était en train de passer devant la voiture. Sharly. Ma Sharly. Celle que j’aimais le plus au monde. Heureusement, elles ne nous avaient pas vues. J’avais tellement peur qu’elle m’en veuille ensuite. Je me mis à réfléchir. Je couchais avec beaucoup de filles à Arrowsic, je me demandais si Sharly le savait. En tout cas, je n’en avais pas envie. Je n’avais pas envie qu’elle voie cette facette-là de moi. Moi qui pensais que le lycée était fermé, je me trompais. Plusieurs élèves de ma classe vinrent passer devant la voiture, en me regardant étrangement, comme si c’était mal de trainer avec une fille. Ils étaient pathétiques. En fait, je crois qu’ils m’enviaient plus que tout. Mais bon, c’était leur problème. En même temps, il fallait avouer que Nastasia était vraiment très belle, et que n’importe quel mec censé aurait voulu la mettre dans son lit. Et moi, j’avais ce privilège. J’étais tellement content de la connaitre, je devais l’avouer. Mon regard désireux et excité, je lui répondis : « Bien sûr. » J’avais toujours ce qu’il fallait sur moi. Toujours. Vous penserez sûrement que c’est un peu prétentieux de ma part, mais au moins, je suis prêt à toutes les occasions qui se présentent. Alors, sans réfléchir, je l’embrassais, avec fougue. Je me fichais complètement de si quelqu’un nous voyait. J’avais envie d’elle, et c’était tout. Je brûlais déjà de désir. Cette fille était vraiment géniale. Je mourrais d’envie de la déshabiller sur place, et c’était ce qui allait arriver. C’était un baiser sensuel, comme je n’avais pas eu depuis longtemps. Cela m’avait manqué, je l’avoue. Nos langues s’entremêlaient, avec une fougue extrême. J’étais tellement excité, surtout à le faire en public en fait. Mais de toute façon, je m’en fichais. Par contre, ce n’était pas tellement pratique d’être dans le devant de la voiture. Les engins de la voiture nous empêchaient de bien se prendre entre les mains, alors d’un pas rapide, je me basculai sur la banquette arrière avant d’attirer Nastasia avec moi. Je continuais à l’embrasser, sans me lasser de ses lèvres et de ses baisers sensuels. Je lui enlevai sa veste, puis son t-shirt, laissant dévoiler sa poitrine généreuse qui me donnait envie. Diable, elle était tellement sensuelle.
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Ven 20 Mai - 21:53
Je continuais de caresser sa nuque en le regardant lorsque son regard se posa sur une jeune fille. Jay était vraiment hypnotisé par elle. Je portais mon regard vers elle, ne serait-ce que pour apercevoir de quoi elle avait l’air. Jay m’en avait vraiment oublié, ses yeux étaient fixés sur elle et j’avais l’impression de ressentir une pointe, comme une petite boule, une gêne, pourquoi la regarder elle, alors que j’étais venue, moi. Il avait l’esprit ailleurs et je savais, quelque part, qu’il pensait à elle, cette fille qu’on venait de voir. J’avais instinctivement arrêté de caresser la nuque de Jay, le regardant admirer le vide. « Elle te plait ? »…Tu l’aimes était surtout la question qui me brûlait les lèvres, mais j’avais réussi à la retenir. Je n’avais jamais vu Jay aimer… Il en était capable, je n’en doutais pas. Plusieurs élèves passèrent ensuite devant nous. Je souriais comme une conne. Conne, c’était le cas de le dire. J’avais envie que Jay ressente le mal aise que j’avais ressenti lorsqu’il avait admiré cette fille. Je me retournais alors vers lui après avoir, à mon tour, regarder un garçon plutôt pas mal. « Il est dans ta classe lui ? ». Je souriais comme une imbécile. « Si c'est le cas, il est vraiment...mais alors vraiment pas mal du tout. »Jalouse et provocatrice ? Peut-être, je n’en savais trop rien. Avec Jay, rien n’était vraiment délimiter. Une relation vague, on est ami mais on couche ensemble. On se plait, mais on ne se plait pas trop. C’était physique, mais il y avait un peu de sentiments. Mais des sentiments qui n’étaient pas vraiment défini. Attirance, amitié…amour peut-être un peu. Moi, la psychologue, je ne savais même pas mettre un doigt sur ça.
Il me répondait alors qu’il avait ce qu’il fallait. Bien entendu, il avait TOUJOURS ce qu’il fallait. Il m’embrassait et c’était une nouvelle fois l’explosion. Une éruption de chaleur dans mon ventre et aussi dans mon cœur. Mon rythme cardiaque était déjà bien irrégulier. Très vite, on se retrouvait sur le siège arrière alors que Jay m’enlevait ma veste et mon t-shirt tout en m’embrassant. Je soupirais tant le souffle me manquait. Comment était-ce possible qu’un gamin déclenche autant de choses en moi. Pourquoi surtout ?
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Ven 27 Mai - 22:39
and in my hour of darkness she is standing right in front of me.
La relation que j’entrainais avec Nastasia était assez spéciale à vrai dire. Elle n’était pas très bien définie, nous n’avions aucune limite. Parfois que je la considérais comme une amie, parfois comme un membre de ma famille, et souvent comme une fille avec qui j’aimais coucher. Rien n’était clair dans ma tête, et à vrai dire, je ne cherchais ni à définir notre relation, ni à la comprendre. Je profitais du moment présent, car c’était ainsi que je voyais la vie. Je préférais savourer la moindre once de bonheur plutôt que de me poser des centaines de questions inutiles. Je vivais au jour le jour, minute par minute, seconde par seconde. Et heureusement pour moi, cela n’avait pas l’air de déranger Nastasia. Elle pensait la même chose que moi, en tout cas, je le pensais. On se fichait totalement de ce qui nous entourait. On se fichait totalement des conséquences. On était ensembles, on partageait des bons moments, et c’était l’essentiel. Nous nous étions tus quand des élèves passèrent. C’est vrai que c’était une situation plutôt anormale, hors des règles, et que si on nous voyait, on risquait gros. Enfin, elle risquait beaucoup, pas moi. Je crois que je n’avais pas vraiment la conscience du danger qu’on prenait, et je m’en fichais. Et je crois qu’elle aussi. Finalement, elle ouvrit la bouche. Je souris discrètement. Elle aimait bien me taquiner, je le savais. Elle aimait bien faire comme si je ne l’intéressais pas, alors que c’était tout le contraire. Elle aimait jouer. Tant mieux, j’aimais jouer moi aussi. « Ouais, je crois. » Sa remarque me fit sourire. Elle n’était pas vraiment ordinaire, cette fille. « Tu veux que je t’arrange un coup avec lui, c’est ça ? » Je la regardais, plein de curiosité et d’amusement. « Parce que si c’est le cas, je ne le ferais pas. Et tu sais pourquoi ? Parce que tu es à moi. » J’étais assez possessif, je devais l’avouer. Mais Nastasia, je le connaissais depuis longtemps, elle était à moi depuis le jour où je l’avais rencontré, en Écosse. Tout semblait si loin. Et pourtant. Elle me rappelait l'Écosse. Elle me rappelait la fraicheur des printemps parfumés, la beauté des rues étroites, et la convivialité des habitants. Tout cela me manquait, je devais l’avouer. Mais pour rien au monde je ne serais revenu. Plus jamais. Je n’ai pas le droit, c’est tout. Cependant, je ne pouvais pas m’empêcher d’être nostalgique de l'Écosse, ma belle Écosse, et j’appréciais Nastasia aussi parce qu’elle me rappelait plein de souvenirs. D’ailleurs, je pouvais admirer sa poitrine généreuse sans aucune gêne et avec beaucoup de plaisir. Elle était vraiment superbe, il fallait l’avouer. Je finis par enlever mon t-shirt moi aussi, hardant de désir. On continua à s’embrasser pendant un moment, il n’y avait que l’harmonie de nos corps qui importait. Tout le reste ne comptait pas. Tout le reste n’était que bêtise par rapport au désir intense qu’on ressentait l’un pour l’autre. Tout en continuant à l’embrasser dans le bas-ventre, dans le cou, sur sa poitrine, je commençai à détacher les boutons de son pantalon qui allaient me mener à la voie du bonheur. Elle faisait de même. L’espace n’était certes pas très confortable, mais cela ne me dérangeait pas. Nous étions bien là. J’aurais pu continuer à l’embrasser pendant des heures. Et je voulais lui faire plaisir. Car elle me procurait beaucoup de bonheur. Alors j’enlevai son pantalon, ainsi que sa culotte, plein de fougue. Je la regardai avec un air brûlant, avant de me baisser et atteindre la zone menant à la rêverie et aux fantasmes. Et là, je l’entendis gémir.
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Dim 26 Juin - 15:10
Ce gamin était détestable. Pourtant, je ne pouvais lui résiter plus de quelques secondes. Jay était vraiment l'adolescent le plus cruel que je connaisse. Sans foi ni lois. Mais je l'aimais et ça, il ne fallait pas qu'il le sache. Après tout, pourquoi voudrait-il de moi, une femme psychologue de 22 ans. J'étais trop vieille pour lui, il était encore jeune et savait qu'il voulait s'amuser à point c'est tout. « Il est dans ta classe lui ? ». « Ouais, je crois. » « Si c'est le cas, il est vraiment...mais alors vraiment pas mal du tout. »« Tu veux que je t’arrange un coup avec lui, c’est ça ? Parce que si c’est le cas, je ne le ferais pas. Et tu sais pourquoi ? Parce que tu es à moi. » J'étais à lui. Savez-vous ce que ça fait d'entendre quelqu'un que vous aimez vous dire que vous lui appartenez? Cette simple phrase avait ravivé tout mes espoirs qu'un jour, il ressente la même chose que moi.
Hot! C'est ce que je pensais soudainement. Il faisait d'un coup beaucoup trop chaud dans cette voiture et Jay était lui aussi beaucoup trop chaud à cet instant. Il venait juste d'enlever son t-shirt et moi, je fondais sous son corps d'adolescent possessif, beau et très doué au pieu.
Alerte rouge-orange-turquoise-verte-jaune-tout ce que vous voulez(*), mais il fallait que je me ressaisisse. Cet idiot allait m'emmener au septième ciel, aux portes du paradis, pour en fin de compte, retomber brutalement sur terre en plein champs bouseux. C'était toujours ainsi avec Jay. On atteignait le sommet pour s'en prendre plein la gueule lorsqu'on retombait. C'était comme un trampoline, on avait l'impression de toucher le ciel et se perdre dans les nuages que déjà, on retombait sur terre.
Je gémissais sous ses caresses tout en m'accrochant au siège le plus proche. Ciel qu'il était divin. C'était certain à présent, j'étais plongé entre détestez cet être si attirant, et l'aimer de toute mes forces. Je soufflais déjà son prénom, s'il continuait ainsi, la séance câlin sera bien vite écourté. On ne m'avait plus toucher ainsi depuis quelques mois déjà et malgré mes nombreuses aventures avec Jay, c'était la première fois que je ressentais cette telle intensité qui me brulait le bas ventre et bien plus bas encore.
PS: C'est nul je sais excuse moi. Je reprends le rp doucement, mais surement (*) réplique de Mimoo, créatrice de la fanfiction Ce qu'on n'apprend pas dans l'Histoire de Poudlard
Sujet: Re: HOT c'est pas une honte à ce que je vienne te chercher . Jay Lun 11 Juil - 10:44
and in my hour of darkness she is standing right in front of me.
Son souffle parvenait discrètement à mes oreilles. Sa respiration était haletante et coupée. J’aimais entendre ce son provenant d’une femme, surtout quand je savais qu’il était déclenché par moi-même. Elle était belle, ainsi. Elle était à demi nue, et elle m’appartenait. Oui, elle m’appartenait. Si vous saviez comment c’était beau d’admettre ça ! Et j’adorais Nastasia, parce qu’elle se laissait faire, parce qu’elle m’aimait bien, parce qu’elle était un peu comme mon jouet vivant, ma poupée préférée. Et moi, je m’amusais, comme un petit fou. La voir gémir me faisait sourire discrètement. Sa peau se frottait délicatement à la mienne. Je la regardais, sans rien dire, heureux de voir que je lui procurais tant de plaisir. Elle était belle, oui elle était belle. Un cri aigu résonna dans la voiture, un cri sourd et agréable. Finalement, je remontais sur son bas ventre, sur sa poitrine pour revenir à ses douces lèvres. Elle était encore à bout de souffle. Et moi, j’adorais l’épuiser, la pousser, encore et encore. Je ne m’en lassais pas. Je ne m’en lasserais jamais. Doucement, je descendis mes mains pour dégrafer son soutien-gorge, sans trop de mal. J’avais déjà fait ça des millions de fois, mais à chaque fois, je ne pouvais m’empêcher d’admirer la vue qui s’offrait au moi. Elle avait un corps de déesse, c’était indéniable. Et ce corps m’appartenait. Entièrement. La voir ainsi provoquait en moi quelque chose d’assez étrange : une petite étincelle en fait. Je commençais à bruler de désir. J’avais envie d’être proche d’elle, comme nous l’avions toujours été, mais d’une autre manière. J’avais envie de sentir sa peau contre la mienne, son corps contre le mien. J’enlevai alors mon pantalon. Ses mains vinrent alors enlever le reste. Je souris. Je murmurais alors à ses oreilles : « Tu es belle, Nastasia. » avant de me rapprocher d’elle tout en l’embrassant. Et là, je ne pus m’empêcher d’émettre un petit cri, qui se mêla au sien. Nous étions en parfaite harmonie. Nous étions tous les deux ardents de désir. Ma respiration était haletante et saccadée, la sienne aussi. L’entendre me faisait incroyablement de bien. Qu’est-ce que j’aimais Nastasia ! Et je comptais bien profiter de ce moment, chaque seconde, chaque minute. Parce que ça me déstressait complètement, et ça me faisait tout oublier. Tout. Sa main était toujours accrochée sur le siège avant. Je ne tardais pas à joindre la mienne sur la sienne. Je continuais à l’embrasser, tout en remuant le bas ventre tantôt rapidement tantôt lentement. Je l’embrassais dans le cou, sur les lèvres. Ses yeux étaient fermés. Elle était tellement belle quand elle jouissait. Et moi, j’étais heureux. J’étais heureux pour tout le bien qu’elle me procurait. J’étais heureux pour tout le bien que je lui procurais. A ce moment-là, il y aurait bien pu avoir un accident, le monde aurait pu s’écrouler, sans même que je ne bouge d’un poil. Parce que j’étais trop bien avec elle. Trop bien.