ALMA CHARLIEWESTERFELD

« Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est pas leurs différences, c’est leur connerie. »

NOM(S): Westerfeld ❖ PRÉNOM(S): Alma Charlie ❖ AGE: 32 ans ❖ ORIGINE: Américaine ❖ STATUT CIVIL: Mère Célibataire ❖ MÉTIER OU ÉTUDES: Architecte ❖ GROUPE: Adult'd world ❖ AVATAR: Scarlett Johansson

Bonjour bonjour ! Alors j'aime cette partie parce qu'elle permet de renforcer notre narcissisme interieur et dieu que ça fait du bien de parler de nous et/ou de nous ! Donc, je m'appelle Barbara, je me dirige à vitesse un peu trop élevée à mon gout vers mes 20 ans et l'arrachage de mes dents de sagesse et ça, ça va pas faire du bien, je vous le dit ! Bref, je suis en fac de sport et j'aime le sport (incroyable !) et en ce moment j'en fais pas assez donc ça va pas du tout mais bon, c'est les VACANCES ! Sinon, qu'est-ce-que je peux vous raconter ? Ah oui, je fais de la danse, j'ai mon spectacle la semaine prochaine, ça va être bien mais c'est un peu la merde quand même on est que à moitié prête... Puis aujourd'hui, j'ai pris des coups de soleil et c'est moche !
Brefouille, ça suffit les bêtises même si j'espère en faire pleins pleins pleins avec vous ! :abbey:

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icon de marley smith.

“ Let’s never come here again because it would never be as much fun. ”

Le quai d'une gare peu paraître horriblement triste mais en général, ce sont les moments qui le précède qui restent gravé dans nos mémoires...
« Putain, j'y crois pas ! New-York Alma ! Tu me laisse pourrir ici et tu pars pour New-York ! Comment je fais sans toi franchement, les jours vont être longs... » « Je suis désolée Andie, mais la ville m'appelle, j'en peux plus d'Arrowsic. Y vivre pendant 18 ans, c'est déjà bien trop long. Mais tu viendras bientôt me voir, hein ?! Tu va me manquer ! » Sur le perron de la maison de sa meilleure amie, Alma était venue faire ses adieux. Elle savait que c'était le pire des moments. Ses parents étaient plutôt contents de se retrouver tout les deux, elle n'avait pas de frère ou soeur connue, pas de petit copain officiel bien qu'elle ait déjà trainée dans pas mal de lits aux alentours... Mais Andie allait sacrement lui manquer. La jeune blonde avait secrètement espéré que sa meilleure amie la suivrait dans cette aventure. Après tout, elles avaient toujours tout fait ensemble...enfin presque ! Alors, trouver un job ici ou à New-York, Andie aurait pu faire les deux. Alma quand à elle, elle avait été accepté dans une célèbre école d'architecture et si tout se passait bien, elle aurait son diplôme en poche d'ici 4 ans. Sa maison de rêve étant déjà construite dans sa tête et une chose est sûre, elle ne serait pas dans cette ville de cinglés ! C'est fou comme le destin se révèle pleins de changement... « On se voit bientôt Didie ! » Alma fit demi-tour sur l'allée de pierre et parti sans se retourner. Elle savait qu'elle n'aurait pas du venir. Andreas était comme sa soeur jumelle et en plus, elle détestait les adieux, vraiment !
Arrivée chez elle, Alma prit la direction de sa chambre sans même manifester son retour. Elle devait finir son sac au plus vite, son train partait tôt le lendemain matin. Après quelques heures, elle fut appeler à dîner. « Maman, tu pourras m'emmener à la gare pour 8h27 demain matin ? » « Tu te moques de moi là ? Je suis de service cette nuit, la lune est pleine il va y avoir encore des tonnes d'accouchement, je dormirais à 8h27... » « Papa ? » « Huum, quoi ? » « Non rien... » Bienvenue chez les Westerfeld ! La jeune fille finit rapidement son repas avant de débarrasser son assiette. « Bon, je dois finir de préparer mes affaires. Je reviendrais pour noël, je pense. » « D'accord. » On le comprend facilement, ce départ ne serait pas entouré de crise de larme... Mais ce froid familiale, c'est une autre histoire. Un peu trop longue et un peu trop compliqué qu'Alma ne racontera qu'après 4 ou 5 verres bien dosés...
Revenons sur le quai de la gare. Alors qu'elle s'apprêtait à monter dans son wagon, elle entendit une voix bien trop connue et un surnom bien trop moche « LALA ! Attends moi, je viens avec toi ! » « Didie ! » « J'ai réfléchis ! Au pire, je trouverais bien de quoi bosser là-bas. Puis avec toi, ça ira forcement, on est une équipe, pas vrai ? » « Et même pire que ça... » Avec ces deux-là, New-York n'aurait qu'à bien se tenir !

“ L’attachement, mène à la jalousie. À l’ombre de la convoitise, il grandit. ”

Quelques robes étaient posées sur le lit. Alma devait choisir l'une d'entre-elles pour la soirée de clôture de son école d'architecture. Depuis peu de jours, elle savait enfin qu'elle était architecte. Son diplôme en poche, elle projetait de passer de merveilleuses vacances à s'amuser et faire la fête avec Andie. Elles avaient été colocataire pendant 3 ans avant que son amie décide de s'installer avec son copain, un garçon qu'elle avait rencontré quelques temps après leur arrivée à New-York. Depuis une petite année, Alma était donc seule dans son appartement. Enfin...tout était relatif, son lit était tout de même assez régulièrement partagé. La jeune femme s'assit en poussant une faible exclamation de douleur et porta une main à son ventre. Depuis quelques temps, elle avait des douleurs assez répétées. Elle avait tout d'abord pensé au stress causé par les examens de fin d'école mais maintenant, tout cela était derrière elle et le fait que la douleur soit toujours là ne la mettait pas vraiment en confiance. Il fallait quand même qu'elle se décide à consulter ! Elle prendrait rapidement un rendez-vous mais pour l'instant, place à la fête !

Cela ne faisait que quelques jours qu'elle avait appris la nouvelle et déjà, son corps subissait d'innombrables changements. Son ventre s'arrondissait un peu plus à chaque minute. 6 mois... On venait de lui apprendre qu'elle était enceinte de SIX MOIS ! Comment un bébé avait-il pu commencer à se développer dans son ventre avec l'hygiène de vie qu'elle avait ? Mais surtout, où ? Elle n'était pas squelettique mais tout même, il fallait chercher pour trouver de la place... Le long de sa colonne vertébrale qu'on lui avait dit. Elle n'en avait encore parlé à personne... « Je suis là !! » « Andie ! Je...je...c'est horrible ! » Alma avait l'air dévastée. Elle tomba en pleure dans les bras de son amie a qui il fallut de nombreuses minutes pour réussir à la calmer et à lui faire cracher le morceau. « Je suis enceinte ! » Comme pour appuyer ses mots, elle enleva le poncho qu'elle portait, qu'Andreas puisse voir l'étendu du désastre par elle-même. « Et ça fait combien de temps ? » « Six mois mais... » « Et tu ne me le dit que maintenant ! » « Je le sais depuis 2 jours... » Son amie la regarda avec des yeux incrédules, elle ne croyait pas ce qu'elle venait d'entendre. « Ils ont parlé d déni de grossesse partiel ou je ne sais pas quoi... C'est, qu'est-ce-que je vais faire ? Je peux pas garder ce bébé, j'ai à peine de quoi vivre pour moi alors pour un bébé en plus ! Je ne compte pas prévenir mes parents, je ne les ai pas vu depuis 4 ans ! Je suis finie... » « Mais non, ne dit pas ça, on va trouver une solution je suis sûre. Pour commencer, il faut trouver qui est le père, tu crois pas ? » Alma y avait déjà pensé. Mais la chose était plus facile à dire qu'à faire ! Elle avait régulièrement eu des aventures sexuelles ces six derniers mois mais jamais avec le même homme. Dans son souvenir, elle s'était toujours protégée et prenait la pilule depuis de nombreuses années... Où était la faille ?

« On s'est déjà vu quelque part ? » « Je sais pas, tu as quel âge ? » « Vingt et un et toi ? » « Pareil ! » Il était plus jeune, elle en était sûre mais après tout, elle lui apporterait un peu de son expérience. Janvier 2000, fête du premier semestre avec Andie. Deux jeunes hommes étaient venus les accoster. Andie prenait un malin plaisir à faire tourner ses prétendants en bourrique jusqu'au dernier où elle rentrait retrouver son copain quand à Alma, elle choisissait le meilleure et l'entrainait jusqu'à chez elle s'il avait fait ses preuves... Celui-là, il était plutôt mignon bien qu'un peu maladroit et complètement dépassé par les techniques de drague actuelle. Mais tout de même, elle avait était séduite. « Tu veux venir chez moi ? Pour un dernier verre ? Mais pas deux, je suis crevée ! » C'était sa devise... Un verre et direct au pieux ! En arrivant chez elle, elle se rendit dans la salle de bain. La plaquette de pilule était posée, elle regarda la date et réalisé qu'elle venait d'oublier celle d'aujourd'hui... Et après ? La soirée avait été arrosée, un peu trop. Elle se rappelle d'un juron flou, un cachet qui tombe dans le lavabo et le reste d'un verre d'eau jeté au fond du lavabo... Puis ces quelques phrases. « Tu as un préservatif ? » « Non. » « C'est pas grave... » Elle prendrait la pilule du lendemain avait-elle pensé sur le coup...

Alma se réveilla dans un bond. Elle tenait l'explication ! La pilule était partie au fond du lavabo et pas au fond de sa gorge. Elle n'avait pas racheté de préservatif alors qu'il y en avait habituellement toujours chez elle, il n'en avait pas, la pilule du lendemain était passée à la trappe... Dans un éclair de lucidité, elle se jeta sur sa table de chevet, ouvrit le tiroir du haut et sortie tout ce qu'il y avait dedans jusqu'à retrouver ce petit bout de papier avec un numéro griffonné. Comment s'appelait-il déjà ? Elle ne savait plus... Alma n'avait qu'un seul souvenir, ses yeux bleus et ses cheveux blonds... Réfléchis, Alma, réfléchis ! Elle était sûre d'avoir fais une quelconque blague avec le patronyme du garçon, elle le faisait à chaque fois. Son visage était de plus en plus net dans son esprit et bientôt, ce fut la révélation : Félix Moorgate ! Celui-là, il sortait de loin...
Les jours qui suivirent, elle finit quelques recherches sur ce nom et trouva seulement une information essentielle qui lui fit rapidement ranger le numéro de téléphone à l'endroit où elle l'avait trouvé. Lieu de naissance : Arrowsic. Résidence actuelle : Arrowsic...
Jamais elle ne reprendrait contact avec quelqu'un de là-bas !

“ À la fin de la journée, ce que nous voulons vraiment, c’est être aux côtés de quelqu’un. Tout ce rituel, prendre de la distance, et faire semblant de ne pas se préoccuper des autres, c’est des conneries. ”

Ces vacances à la mer étaient plus que méritées. Sur la plage, Alma regardait sa fille âgée de 8 ans jouer dans les vagues, sauter, rire, crier... Et ce spectacle l'éblouissait et l'emplissait de joie. Parce que, malgré ce qu'elle avait pu penser au par avant, Carlie était ce qui lui était arrivée de mieux dans la vie. D'un geste de la main, elle la rappela vers elle. « Mademoiselle Carlie Moorgate, il est temps de rentrer, il nous reste les sacs à faire avant le dernier repas. Les vacances sont bientôt fines ma chérie. » La fillette affichait une mou boudeuse et pourtant, ses yeux souriait encore.
Alma avait tenue à ce que son enfant ait un peu de sa mère et un peu de son père dans son nom. C'est pour cette raison qu'elle avait laissé le patronyme « Moorgate » de cet illustre inconnu. Le prénom ? La petite fille aurait du s'appeler Charlie, comme le deuxième prénom de sa mère. Ils avaient oublié le h sur l'acte de naissance. Je vous laisse imaginer la crise de la jeune mère...
Les deux femmes se dirigeaient vers leur chambre d'hôtel, main dans la main. Si aujourd'hui tout semblait aller pour le mieux, les premiers mois n'avaient pas été aussi facile. Il y avait d'abord eu ses longues nuits sans sommeil, puis ces soucis d'argents, de nourrices, de restriction,... Alma avait fait comme elle avait pu finissant généralement la journée en se demandant comment trouver la force de se relever le lendemain. La force, elle la trouvait régulièrement dans le regard de l'enfant, dans la bonne humeur d'Andie et dans l'espoir de ce que serait sa vie ensuite. Mais souvent, elle en voulait à ce garçon, d'avoir laissé sa semence en elle, de lui avoir fait cet enfant dans le dos, de lui avoir volé sa jeunesse...

« Maman ? » « Oui ma puce ? » « Mon Papa à moi, il est où ? » « Je sais pas Carlie. Il est parti il y a bien longtemps... » « A cause de moi ? A l'école, ils disent que c'est à cause de moi... Et que tu ne serais pas malheureuse si je n'étais pas là. » Ce fut à cet instant qu'Alma compris que sa fille avait le droit à la vérité. Pour ce défendre contre ces menteurs. Parce que cet enfant était ce qui lui était arrivé de mieux dans sa vie. Grâce à elle, elle avait arrêté les sorties démesurées, les nuits à droite et à gauche, la cigarette,... Elle avait trouvé un emploi stable dans un cabinet d'architecte reconnue et serait bientôt chef de projet dans un nouveau bureau. Sans Carlie, que serait-elle devenue ? Surement pas grand chose... Sa vie serait réglée comme une horloge et ennuyeuse à mourir. Elle aurait surement un mari ou un compagnon de longue date. Ils vivraient ensemble et il ne voudrait pas quitter NYC alors que des projets d'avenir s'annonçaient pour elle dans une autre ville. Alors ils se quitteraient et elle se retrouverait seule. Rien que d'y penser, elle était mal à l'aise !

« Carlie, j'ai une grande nouvelle à t'annoncer ! » « Qu'est-ce-qu'il y a maman ? » « Nous allons déménager dans une nouvelle ville : Arrowsic. » Alma ne pu s'empêcher de prononcer ce nom avec une grimace. Lorsque ses supérieures lui avaient appris qu'elle partait pour diriger un nouveau projet dans une nouvelle structure de l'entreprise à Arrowsic, elle avait faillit mourir en s'étouffant ! Mais s'était la chance de sa vie, elle ne la laisserait pas passer pour si peu... Et puis, peut-être était-ce un signe du destin. Ce rapprochement soudain avec le père de son enfant, avec la ville de son enfance,... Et malgré les 14 années qui s'étaient passées, elle entendait déjà les commérages siffler à ses oreilles « Vous avez vu la cadette Westerfeld, c'est une fille-mère ! Pas étonnant vu le nombre de chambre qu'elle faisait ici ! » Et cette fois, Andie ne serait pas là pour la soutenir. Dieu que se serait dur de s'habituer à vivre là-bas après New-York et tout les services que la ville proposait. Alma était devenue une femme de la ville et l'appréhension de retourner là-bas augmentait un peu plus chaque jour.
Deux jours avant le départ, elle prit son courage à deux mains et se décida à appeler ses parents. Dire qu'ils furent surpris de l'entendre est un euphémisme... Elle leur appris son arrivée imminente, sa prochaine adresse et l'existence de sa fille. Ce jour-là, elle eut une longue discussion avec Carlie. Pour lui raconter, son enfance, ses parents presque tout.... Sauf ses petits secrets à elle, les petits secrets de famille, ces secrets qui laissent une plaie béante dans le fond du coeur, ce secret que personne ne saura jamais, celui qu'elle gardera rien que pour elle, pour toujours ! Et la présence de son père. Et lui parla de ce garçon qu'elle avait rencontré cette fameuse nuit de janvier 2000. Alma lui posa cette dernière question sans savoir si elle aurait à le regretter ou non. « Ma puce, si tu veux le voir et le connaître, je ne peux pas t'en empêcher. A présent, c'est ta décision et je t'accompagnerais quoi que tu décides. Je t'aimerais toujours autant, tu seras toujours ma petite Lili à moi ! » La petite fille se jeta au coup de sa mère en criant presque qu'elle voulait connaître son père. Alma retint son émotion dans les cheveux lisses de son enfant.

Quelques jours après son arrivée, son l'empressement de sa fille, elle se saisit du numéro griffonné sur un bout de papier il y a une décennie de cela. Elle était à son bureau, seule, face à la baie vitrée et les touches s'enfonçaient doucement sous ses doigts, comme si elle essayait de remonter le temps . La conversation fut courte est maladroite, le rendez-vous fut pris...
24h plus tard. Alma était dans un tout autre état d'esprit. Elle redoutait étrangement l'après-midi et pourtant, tout s'était passé pour le mieux. Pour tout avouer, elle ne se souvenait plus de ce garçon. Enfin si, elle se rappelait ses yeux bleus. C'était eux qui l'avaient envouté en premier lieu... Et pourtant, elle avait eu peur de celui en face de qui elle allait ce trouver. Mais pour l'instant, elle devait appeler Andie. « Tu devineras jamais ce que je viens de faire ! » « Racontes !! » « Hier, j'ai appelé le père de Carlie. » « Tu as QUOI ? » « Et on a passé l'après-midi tout les trois » « TOUTE une après-midi ! Mais c'est ENORME ! » « Oui, et pourtant, je n'ai pas vu le temps passer... » « Et alors, comment tu le trouve ? » « Au premier abord, je l'ai trouvé jeune... Et puis en fait il est juste bien. Enfin, j'ai quand même l'impression d'être un ancêtre à côté de lui » « N'importe quoi.. » « Il a 27 ans ! » « Ok, je te crois... » « Mais bon, il a de la conversation, il a l'air normal dans sa tête. Pas le cinglé fou qu'on s'est souvent imaginé toute les deux quoi ! » « Dommage, ça aurait été marrant. Faudrait que je le rencontre en tant que marraine pour être sûre qu'il soit digne de confiance quand même. » «Tu sais bien que u viens quand tu veux et sans prétexte aussi nul ! » La suite de la conversation n'est pas tellement intéressante et de toute façon, elle ne regarde personne !

Depuis ? La vie continue... Finalement, Arrowsic n'est pas si horrible. Elle apprend doucement a connaître Félix même si elle trouve la situation particulièrement bizarre. Carlie lui a déjà demander d'aller seule avec son père, Alma a refusé. Elle n'est pas encore prête a laisser son enfant seule avec cet inconnu même s'il a l'air très bien en apparence. Les histoires d'enlèvement lui font froid dans le dos... La jeune femme renoue petit à petit avec son passé, retrouvant des connaissances d'autre fois. Si elle laissait sa fierté de côté, Alma pourrait même avouer que la vie semble parfaite s'il ne manquait pas Andie... Enfin, c'est surtout histoire de se plaindre un peu...
Mais Alma se méfie. Parce qu'une vie aussi simple, ce n'est pas normal... Il risque de se passer quelque chose. D'important et de vraiment mauvais, elle le sent...