June ( Talyor ) Healey

« La foi en l'âme humaine échappe à la raison et défie les frêles certitudes de notre savoir. »

NOM(S): Healey ❖ PRÉNOM(S): June Taylor ❖ AGE: 21 (bientôt 22) ans ❖ ORIGINE: Américaine (Arizona) ❖ STATUT CIVIL: célibataire ❖ MÉTIER OU ÉTUDES: F.B.I. ❖
GROUPE: filthy youth. ❖ AVATAR: Shenae Grimes.

Je m'en rappellerais toute ma vie. C'était un jour de printemps, il faisait doux et je commençais à peine mes études pour faire partie du F.B.I.
Il faisait chaud pour un après-midi de cette saison, notre tuteur d'apprentissage nous avait amener sur le terrain. C'était une demeure qui prenait feu. Mais très vite, tout s'est accéléré. Je n'étais plus maître de mes faits et gestes. Mon cerveau, j'avais aussi du mal à me concentrer, comme si tout d'un coup, il y avait une panne et que tout c'était réglé en commande manuelle. J'ai cru d'un instant à l'autre que j'allais tomber dans les pommes. La raison pour laquelle je l'ai fait, est la suivante. Je réfléchissais le pour et le contre de mon futur acte, pouvais-je tomber bas si ce que je fais n'allait pas plaire aux chefs ? Allais-je retrouver un tuteur qui m'accepterait ? Aucune idée...
Mais à ce moment même, une femme hurla, d'un cri strident à percer les oreilles. Un pompier l'a retint. Je m'approchais de la femme en courant, alors qu'on devait faire une analyse sur papier.
-Il se passe quoi ? Quémandais-je au pompier.
-Mon fils, je vous en supplie, messieurs, sauver mon fils, pleurait-elle.
-Nous ne pouvons rien faire pour le moment, on a envoyé des équipes mais elles ne peuvent pas aller très loin, informa le combattant du feu.
Je pris la femme à part, toujours en pleure, je réussis à distinguer un air interrogatif sur son visage.

-Il ressemble à quoi votre enfant ?
-Davy est grand, peau matte, il est brun aux yeux acier, je vous en supplie aidez-moi !

Je lançais mon regard vers mon groupe qui n'avait pas l'impression d'avoir remarqué mon absence, sauf mon copain, qui me regardait du coin de l'oeil.
Il fallait que je le fasse, sinon il allait périr. Je fixais mon tuteur, bien trop occupé avec ses collèges pour nous surveiller. Et c'était à partir de ce moment, que mes jambes ont pris le contrôle de mon corps, même mon cerveau ne fonctionnait plus. Je partis, à toute vitesse vers l'immeuble en feu, je courais, courais, je ne me posais plus de questions du genre "Et qu'est-ce que tu vas faire si tu le trouves pas ?"
J'entrais dans le bâtiment dont la fumée rendait la vision déplorable. C'est à ce moment que j'ai compris que je m'étais peut-être précipité, j'allais avoir beaucoup de mal à le retrouver. Alors je me suis mise à courir un peu partout -en fait, surtout là où il n'y avait pas de feu. La maison était une demeure sublime, immense. Le sol était couvert de marbre, ce qui me permettait de me coucher quand les flammes étaient trop importantes. Il était impossible pour moi de le trouver, alors j'ai essayé de faire demi-tour, mais une voix me fit changer d'avis. C'était lui, ça ne pouvait être quelqu'un d'autre et c'est comme ça que je l'ai trouvé. Davy n'était pas comme je l'avais cru. Il avait un ou deux ans de plus que moi, il était étaler littéralement sur le sol et toussait. Je me mis à son niveau et lui parlait pour ne pas qu'il ferme les yeux. Il m'a souri gentiment mais du genre "Laisse tomber tu me sortiras jamais de là." Mais j'ai fait de mon mieux, il es sortit, pas moi.
Quand je me suis retrouvée dans un lit d'hôpital, Ethan -mon copain- m'a expliqué. J'avais réussi à sortir le gars, mais moi, j'étais tombée dans les pommes bien avant d'être sortie et je suis restée dans le coma une semaine. Mais c'est pas ça le plus important, le plus important c'est qu'il soit mort. Davy est mort. L'homme que je devais sauver est mort. Je m'en veux, toute ma vie je m'en voudrais. Depuis ce jour, j'ai tout perdu. Tout. A commencé par Ethan, soit disant il ne pouvait pas me voir dans cet état, mais surtout parce-qu'il aimait une amie qui bossait avec nous Milly, j'ai perdu mon travail, ce tuteur était con de toute façon, il ne m'apprenait rien et Davy, je ne peux même pas aller voir sa mère pour présenter mes excuses tellement je m'en veux. Aidez-moi s'il vous plait, je n'y arrive plus ...

Ses yeux me percèrent.

-Tu sais ce que j'aime chez toi ? C'est ton courage, t'a vivacité. Quand je t'ai vu prendre les devants cette journée, je l'avais trouvé cette personne qui manquait à mon équipe. Tu te distinguais des autres. Et je sais que t'es forte. Tu penses ne pas l'être mais détrompe-toi. Et pour Davy, je vois pas ce que tu aurais pu faire de plus. Mais en tout cas, ce que tu peux faire à présent, c'est allé voir sa mère et lui parler. Pleure, rigole, souris, pleure encore, mais va vider ton sac. Je ne pourrais pas t'aider plus que ça, tu le sais toi-même, expliqua Clift. Oh et puis, pour Ethan, ne t'en fais pas, ce n'est qu'un gamin. Dernière chose, demain, je t'attends à 8h précise dans mon bureau, pour pouvoir parler.

Mon nouveau chef se leva, paya la note puis partit, me laissant prendre du recul à ses conseils.
C'est ce que je fis de suite, je sortais du café et suis partis à la recherche d'un fleuriste.

Et voilà, ce moment que je fuyais depuis le début arrivait. Face à la porte, j'hésitais. Rentrais-je ou pas ? Je toquais. Quand la femme apparut, je maudis Clift, que faisais-je ici ? Elle eut un sourire, pas très joli faut avouer, mais venant du coeur. Je lui offris les fleurs, des Orchidées et elle m'invita à rentrer. Je ne voulais pas, mais je le fis. Sur le canapé, je faillis fondre en larmes. Des portraits du jeune homme étaient affichés un peu partout.

-C'était un bon garçon. La malchance est tombée sur lui, c'est pas très juste. Il ne fumait pas, se droguait pas, ne buvait pas. Le pire, c'est le fait qu'il ait mal choisit sa copine. Toutes tombaient à ses pieds, mais il fallait qu'il choisisse celle qui se moquerait de lui. J'aimerais vous remercier, vraiment, commença la femme.

-Je n'ai fait qu’aggraver son cas. Je ne dors plus, je m'en veux à un point inimaginable. J'aurais dû arriver plus tôt, je n'aurais jamais dû me poser tant de questions ! Je suis désolée..m'excusais-je.

-Non ma belle, vous l'avez sauvé. Vous avez sauvé mon fils. Je ne vous remercierais jamais autant. Vous auriez donné votre vie pour lui, personne que je connaisse, pas même les pompiers l'aurait fait. Il est décédé à l'hôpital, car étant jeune, il avait des problèmes respiratoires, hé bien, cela lui à coûter la vie, m'expliqua-t-elle.

Hum bon beh moi c'est Marie, j'uis hermaphrodite, chaque jour quand je me réveille c'est la surprise de qui je suis. J'ai 15ans, je suis une folle furieuse amoureuse de chevaux. J'aime bien écrire, j'ai des idées qui sautent un peu partout. J'habite à ... -T'a vraiment cru que j'allais te le dire ? x). J'aime beaucoup les musiques bien déprimantes, mais le POP/ROCK. Je suis une fan de vos smileys (a). J'aime le forum, il est vraiment bien pour moi, j'espère m'y intégrer facilement ... Et surtout, désolée pour mes textes médiocres, je ne dois pas avoir le don de l'écriture...

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