Sujet: Lorcan ϟ Come on Yankees, don't be jealous! Dim 12 Juin - 23:19
Lorcan Heathcliff Gray-Hudson
« C’est dans l'effort que l'on trouve la satisfaction et non dans la réussite. Un plein effort est une pleine victoire. » Ghandi
NOM(S):Gray-Hudson ❖ PRÉNOM(S):Lorcan Heathcliff ❖ AGE:24 ans ❖ ORIGINE:écossais ❖ STATUT CIVIL:célibataire ❖ MÉTIER OU ÉTUDES:écrivain et chroniqueur ❖ GROUPE:filthy youth ❖ AVATAR: Matt Smith
just the way you are
Oi ! Moi c’est Maxxie (: la seule et unique Maxxie ! Oui, personne ne me connait, heureusement pour vous, peut-être, parce que je suis un peu… bavarde. Et oui, je suis une fille, une vraie. Je crois. Oui, oui, après vérification je vous l’assure… J’ai vingt ans et j’ai RP durant presque la moitié de la vie . Enfin, ne vous en faite pas, je suis folle certes mais très gentille ♥ Je suis française, de région parisienne, et toujours inspirée pour RP lorsque je ne suis pas vraiment disponible… Donc je ne serais pas là tous les jours mais je passerais quand même. Selon mes parents je suis une étudiante professionnelle car je vais bientôt entamer ma troisième première année, et je me dis que j’aurais du commencer par lettres modernes… Mais quand on est jeune… (a) Je suis un peu obsessive : lorsque j’aime quelque chose, j’en parle souvent et en haut de la liste on trouve Doctor Who, McFly, James McAvoy et d’autres Britannicités bien passionnantes. Je ne sais pas trop trop quoi rajouter donc… Voilà The End…
bannières Tumblr & icon de marley smith.
Dernière édition par Lorcan H. Gray-Hudson le Dim 12 Juin - 23:23, édité 2 fois
Sujet: Re: Lorcan ϟ Come on Yankees, don't be jealous! Dim 12 Juin - 23:19
nothing's gonna change my world
Je suis tout ce qu’il y a de plus banal comme garçon : je suis né et j’ai grandi dans une ville paumé au milieu de nulle part, en Ecosse, j’ai eu un lézard, deux parents, un chien, une sœur, un frère. (classement par ordre de préférence) Je ne suis pas vraiment le héros d’un roman magnifique et passionnant. Ma vie n’a jamais été bien passionnante, je n’avais pas trop d’amis, enfant, les gens m’appelaient « le bizarre » parce que justement, j’adorais les reptiles et que, bien souvent, j’avais le nez dans des bouquins. J’avais de grandes lunettes noires atroces, c’n’est pas simple d’être miro comme une taupe. Ou myope comme certains disent… Je ne parlais pas vraiment comme eux et puis j’étais très solitaire : je détestais le sport, adorais les langues : d’ailleurs aujourd’hui, en plus de l’anglais, je parle français et russe. Ceux qui étaient sportifs font quoi de leur vie hein ? Oui bon, on ne peut pas dire que j’ai super bien réussi non plus. Retournons à nos moutons. Si, je jouais un peu au football mais c’était parce que l’on était obligé par nos enseignants, j’étais doué sans vraiment le vouloir. J’aimais être invisible, peut-être parce que Dorian, mon frère ainé était le plus beau, le plus intelligent et le plus aimé de nous deux. Je ne peux pas dire que je le détestais, mais je l’ai jalousé tellement de fois, tellement de fois où je me suis senti rabaissé, piétiné parce qu’on l’aimait et que moi je n’étais rien qu’une tâche dans le paysage. Lorsque j’ai grandi, je suis devenu la grande gigue chaussant du 45 et mesurant un mètre quatre vingt. Pour une fois que je dépassais de loin mon frère, je trouvais que cela relevait plus du handicap. Et cela ne fit que commencer, car lorsque j’eus quatorze ans, nous avons déménagés pour un autre bled, encore plus paumé que notre ville, mais aux USA cette fois, chez ces satanés Yankees. Mais heureusement, ma vie n’est pas restée aussi pourrie, alors que j’étais un gringalet mal-aimé et un britannique qui ne s’était encore jamais battu de sa petite vie, j’allais bientôt voir le cours de ma vie changer, et du bon côté.
Tout à changé lorsque j’ai eu dix sept ans : j’ai commencé à écrire pour un grand journal spécialisé dans le cinéma, une de mes grandes passions, et apparemment, ça m’a rendu… attractif ? Enfin ! Pas pour tout le monde, je suis resté un blaireau pour beaucoup mais après tout, maintenant que je me faisais du pognon, je m’en foutais. Je suis parti à Boston pour étudier et vivre loin de mon passé. Ce fut comme dans un rêve, j’ai commencé à écrire un ouvrage, j’ai rencontré une fille. Très vite, nous nous sommes installés ensemble. Mon bouquin fut publié et se vendit très très bien. J’avais énormément de succès, je suis même passé à la télé. D’ailleurs, je vous déconseille de parler de ça avec ma mère sinon vous êtes partit pour visionner toutes les émissions que j’ai fait, oui, elle a tout enregistré. Tu parles d’une fierté… Vous l’aurez compris, le vilain petit canard s’était mué en cygne apprécié et aimé. Ce que, d’un côté, j’avais toujours recherché. Jusqu’à ce jour précis où ma petite amie, Elza, lança d’un ton totalement détaché et un peu trop enjoué. « Lorcan, bébé, où est-ce que tu as mis le carton de vêtements d’hiver ? » Je levais les yeux de mon ordinateur, remontais d’un doigt les lunettes et répondis tout simplement « Au grenier… » Avant de recommencer à taper sur le clavier. « Je crois ». Et ce fut notre première dispute, mais malheureusement pas la dernière. Non, non, pas ces quelques mots mais lorsque la jeune femme monta sous les toits, à la recherche de ses fameux petits pulls, elle ne put s’empêcher d’ouvrir « Lorcan. Photos, etc. Fragile. Ne pas ouvrir ». Lorsqu’elle redescendit avec le carton, tout ce je trouvais à dire fut « Argf, c’est le ‘ne pas ouvrir’ hein… J’n’aurais pas du mettre ça. ». Et elle commença à crier, hurler. « Mais t’es qu’un putain de pédé ! » Je me contentais d’hausser les sourcils, et de froncer le nez, je le faisais souvent lorsque j’étais contrarié. « Attends… C’est ça qui te choque chez moi ? Mais tu le sais, non ? », « Non mais tu t’es tapé des mecs bordel de nom de Dieu ! Je croyais que tu m’avais dit ça pour me draguer !! » Je refermais mon ordinateur, et croisais les bras sur mon torse, c’était la première fois que je l’entendais jurer, et cela m’étonnais vraiment. Non mais franchement de quoi je me mêle ! « Elza, je suis avec toi là non ? » « QUI me dit que tu m’es fidèle hein ?! » Je ne pus m’empêcher de se gratter la tête, comme à chaque fois que je ne savais pas trop quoi dire. Honnêtement c’était un geste assez récurrent chez moi « Donc si on suit ton idée, lorsque tu me croyais hétéro, j’étais donc fidèle, et maintenant que tu sais que je… Bah que je ne suis pas à cent pour cent dans le droit chemin comme mon père disait, et bien, je ne le suis plus ? Chérie, c’est du n’importe quoi… » Et cela dura toute la soirée. N’ayant pas l’habitude de m’énerver, je restais assez calme, ce qui agaça d’autant plus ma compagne. Mais que pouvais-je dire ? Rien. Il n’y avait rien à dire. Cela dura encore deux mois puis elle me quitta. Bien sûr, si tout allait mal, c’est que c’était ma faute.
Maintenant que j’étais… Assez riche, disons-le. Et de nouveau célibataire, (malheureusement) je décidais de noyer mon chagrin dans les jeunes hommes. Tant qu’à faire… Et puis, même si peu de personnes savaient à quoi je ressemblais (oui, on voit rarement la tronche des auteurs, sauf si on regarde les émissions qui passent en plein milieu de la nuit avec plein d’écrivains qui avait une moyenne d’âge de vingt ans supérieur au mien ; je pouvais profiter de mon pognon pour offrir des verres à tire-larigot. Et puis, nous les britanniques, nous ne sommes pas considérés comme des alcoolos pour rien… Ce matin là, j’étais sorti tôt pour pouvoir marcher jusqu’au bureau de mon éditeur. Je sortais mon paquet de cigarettes, me tapait un coup sur la main pour en faire sortir une avant de la porter à mes lèvres. Une quinzaine de minutes plus tard, j’arrivais devant ce grand bâtiment, y entrais et prit les escaliers jusqu’au huitième étage, comme à chaque fois. Je détestais les ascenseurs. « J’aimerais un nouveau roman pour le début de l’année » demanda son patron. « Quoi ? déjà ? » Je me demandais de quoi ça pourrait parler, j’étais assez démoralisé mais d’un autre côté, qu’un écossais comme moi rencontre autant de succès chez les yankees, autant de succès qui amenait à ce que je sois plébiscité, à ce que l’on me demande d’écrire de nouveau, mais j’étais un petit peu en panne d’inspiration. Jusqu’à ce que, soudain, je me souvenais que j’écrivais bien mieux lorsque j’étais dans un endroit qui n’était pas commun, un endroit qui me rappelait ma vie d’avant, le Lorcan misérable qui n’avait pas d’ami. La mélancolie qui me prenait donnait tant d’inspiration. Après il y avait deux endroits qui correspondrait : l’Ecosse ou Arrowsic… Alors je me décidais de faire une chose bien compliquée : retourner dans mon bled paumé, retourner chez moi et sourire à mes parents. Retourner là où les Yankees nous considéraient toujours comme des étrangers bien que l’on soit arrivé dix ans auparavant. Si j’avais su que serait l’un des meilleurs choix de toute ma vie…
Dernière édition par Lorcan H. Gray-Hudson le Dim 12 Juin - 23:33, édité 1 fois
Sujet: Re: Lorcan ϟ Come on Yankees, don't be jealous! Dim 12 Juin - 23:41
-crie de groupie-GOSH :nate: :loni2: :chazi&abbey: MATT SMITH!!!! J'attendais ton arrivée!!!!! pulu pulu contente que tu sois là!! Mouahahahahahahahahahah je te sauterais bien dessus *lui saute dessus* je ne peux pas résister à un si bel homme :celestine: :cele&nate: :loni2: :chazi: :abbey: fufufufufufufufufufufuuffuufu j'arrête j'en ai oublié le BIENVENUE!!!!
Sujet: Re: Lorcan ϟ Come on Yankees, don't be jealous! Dim 12 Juin - 23:46
Meena en furie, ça fait peur. Enfin bref, je te valide, tout est bon, j'adore ta fiche, ton personnage, et ta musique. N'oublie pas d'aller recenser ton avatar et de voter pour nos top-sites si tu as le temps. (: Amuse-toi bien parmi nous. :abbey: