Je souris très contente de sa réponse. J'espèrais tellement tellement qu'il n'avais pas fait montré d'autre filles. Et c'était le cas. Je souris bêtement seule puis m'approcha de lui. Je mis mon dos contre son ventre et pris sa main.

Alors sa veux dire que je ne suis pas n'importe qui ?

Dis-je avec un large sourire. Je me retourna face à lui et mis mes mains dans son dos. Je plongea mes yeux dans les siens. Ils avaient quelque chose de spécial. Je ne saurais dire si c'était quelque chose qui s'allumaient dans ses yeux mais j'adore ça c'est sure.

Tu n'as pas répondu... ? Je ne suis pas n'importe qui ? Alors je suis qui ?

Demandais d'un ton très faible. Puis souris tout en gardant mes yeux dans les siens.

Je m'étais coller contre lui. Mon coeur battait la chamade. On aurait dit qu'il voulait sortir de là où il était mais j'avais particuliètement besoin de lui pour vivre. Puis il mis sa main sur mon ventre. Mon coeur se mis à battre plus fort encore. Si je ne mourrais pas ce soir d'une crise de coeur je ne sais pas de quoi j'allais mourir. Puis, il pencha sa tête vers moi et me regarda fixement dans les yeux. Puis il me dit qu'une chose était sure c'est qu'il n'aurait pas passer le journée avec moi et surtout qu'il ne m'aurait pas invité chez lui et que j'étais surement plus qu'une amie pour lui. Tout ça en une journée... J'étais sure que mon coeur allait me lâcher.

Je souris puis, il me demandais ce que lui était pour moi. Je gardais une main dans son dos et l'autre j'allais la poser sur sa main qui était sur ma hanche. Puis tout en souriant je lui répondis:

- Tu es surement la personne qui me fera mourir d'une crise de coeur. Je ne sais pas ce que tu lui a fait, mais il s'emballe à un simple toucher. Et là il voudrais bien sortir d'où il est cacher...

Je pris sa main et la mis sur mon coeur.

Je t'avais bien dit...

Je sentis mon coeur s'accellerer sous sa main. Il pencha sa tête vers moi. Il était de plus en plus près mais je ne reculais pas. Mon coeur s'emballant de plus en plus vite. Je ne savais pas qu'un coeur pouvait supporter cette vitesse. Puis, il déposa ses douces lèvres contre les miennes. Ce fut mon tout premier vrai baiser. Un baiser qui d'ailleurs m'impressionnait. rien d'auter au monde n'existait appart nous deux. Rien entre lui et moi. J'étais si emporter dans ce bref baiser que j'oubliais le reste du monde. C'était donc vrai tout ce qu'on disait dans les livres. Il s'arrêta en plein milieu et me regardais dans les yeux. Je déplaçais mes mains de son dos pour en mettre une dans ses cheveux et l'autre dans son coup et repris le baiser qu'il avait laisser en suspend.

Jamais je n'aurais crue ressentir une tel émotion. C'était plutôt fort et très intense. Moi sur la pointe des pieds et lui qui penchait la tête. Bon, je n'étais pas très grande mais rien n'empèchait le fait que c'était magique. Puis je reposa les talons au sol et décolla tout doucement mes lèvres de sur les sienne.

On doit dire quelque chose... ou ... jute.... rien dire ?

Je n'ai eu pas le temps de dire grand chose qu'il comprit tout de suite. Il me dit d'écouter au fond de moi. Côté émotion c'était le plus que mon coeur pourrait supporter aujourd'hui. Mais j'écoutais quand même ce que je me disais. Un peu comme si j'avais un ange et un démon chaque côté de ma tête qui en fait est le ça et le surmoi de ma personnalité... j'ai lue sa dans un livre de psychologie puis, je ferma les yeux un instant histoire de me ressaisir.

Steven proposa quand même le film. Ce qui était une bonne idée. Je souris et puis hocha simplement la tête.

Sa vas faire cliché mais t'aurais pas un grand t-shirt que je puisse retirer ma robe froide et humide ? Je dois avouer qu'elle n'est plus très confortable...

Dis-je un sourire en coin. C'était encore froid même si l'ambiance ici était tout le contraire. Je devais avouer que là sa me surpassait. Depuis quelques heures, ma vie à changer du tout pour le tout. Je m'étais lever et faisant la même routine tous les matins. Un peu comme un oiseau enfermer dans sa cage que l'ont auraient poser il y a bien des années, empèchant l'oiseau de grandir et de vivre sa vie. Comme si il n'avait pas le droit. Puis là arrive Steven qui la défait et me fait découvrir qui je suis et ce que je voudrais être. C'était probablement pour cette raison que je m'étais si attacher à cet homme.

Je sourie. Puis, il m'emmenait dans sa chambre, là où je pourrais choisir un chandail assez long pour cacher les marques laisser il y a plusieurs années. Je le suivait donc. Son lit n'était pas fait ce qui me fait sourire mais je ne passais pas de commentaire. Puis, il ouvrit son tiroir et laissa voir deux piles de chandail. J'en trouva un bien normale avec les manches longues, puis il me lança une paire de boxer pour que je puisse me changer. Puis j'attrapa le tout et me dirigea vers la salle de bain où j'enfila le tout. Je pris le colle dans mes mains et pris une grande respiration. J'aimais bien son odeur. Je la trouvais fraîche et rassurante.

Je resortais en disant

TADAM ! Je suis prète pour un film !

Puis je me dirigea vers le salon. Steven était assis sur le sofa et attendais que je m'en vienne. Je souris et me dirigea vers lui. Je m'installa confortablement sur le divans et m'accota sur lui. Je tira bien sur le t-shirt pour cacher les marques de blessures. Je ne voulais pas plus en dévoiler sur ce qui c'était passer que ce que j'avais fait. Je m'étais promis de ne plus jamais en parler et que c'était terminer. Rien de tout cela ne c'était passer.

Je me retourna vers Steven qui me regardais. Je souris à nouveau sans le lâcher des yeux. Je pris sa main et accotais ma tête sur son épaule.

Je m'étais coller contre Steven puis tira la couverture qu'il avait apporter vers moi et ses pieds, je lui tendis pour voir si il en voulait un peu. Je la déposa sur ses pieds puis je déposa ma tête sur son épaule.

Ho ! Pauvre toi ! Je ne t'aurais pas réveiller...

Je pris une grande respiration et commença à relaxer. Le stress du premier baiser étant descendu, j'étais très bien. Le film démarra et je ne peu m’empêcher de rire à la vue de son énorme nez. Je devais remercier le ciel de ne pas avoir un nez aussi immense que cela. Mais bien sur c'était un film ! Puis, les blagues et les exagérations s'enfillèrent tours à tours et je n'ai pas eu une minutes pour relâcher mes muscles abdominaux qui devraient être plutôt raquer demain !

Suite à la fatigue des jours sans sommeils je m'endormis. C'était plus fort que moi. La fatigue c'étaient trop installer et je n'étaient plus capable de lutter contre. Il faut avouer que j'étais particulièrement bien aussi.

Chaque nuit, depuis plus de 5 ans, je fais des cauchemars nuit après nuit. Je fais des cauchemars terrifiant. Nuit après nuit je le revois sur moi les griffes dans la peau, du tape sur la bouche pour m'empêcher de hurler. Chaque nuit je l'entends me dire de ne pas faire semblant que je l'aime.

Cette nuit ne fit pas exception. Je me débattais en commençant doucement et allant de plus en plus fort et puis je me réveillais de hurlant et en pleurant. Je me redressais et mis ma tête entre mes mains. Incapable de me consoler, je passa une main dans mes cheveux, remonta les genoux contre ma poitrine et d'une main les tenais puis de l'autre main je tentais d'essuyer les larmes qui coulaient mais au fur et à mesure que j'en essuyais une, une autre venait prendre sa place et une autre et une autre....

Je fesais le meme cauchemar a chaque nuit. Cetait pourquoi je navais jamais dormie chez quelqu'un d'autre. Juste le fait que je hurle et que je me tortille pour me debattre terrorisais mon pere. Il ne savait pas pourquoi et je ne lui disais pas. je me suis tourjours dit wue ai sa terrorisais mon pere sa devait forcement terroriser les gens qui ne me connaissaient a peine. Mais en bref, celui-ci ne mavais pas reveiller. Jetais quand meme dans mon cauchemar meme si jetais assis sur le sofa si on peu dire sa. Les bras autour de mes jambes recroueviller sur moi-meme. Je pleurais a chaude larmes et je criais. Puis je me suis calmer et je sentis une main dans mon dos se poser doucement comme si jetais un morceau de verre pres a casser dun instant a lautre. Je sursautais un instant et puis quqnd jentendis la douce voix endormie de steven je passais mes mains dans mon visage essayant de me reveiller. Puis inconsollable je macottais la tete sur son epaule.

Steven me demandais si javais fais un cauchemar. Cetait un cauchemar ou des souvenirs de venaient me hanter dans mon sommeil? Je ne savais pas la differences entre ces deux la et ne la saurais jamais. Je fis signe que oui pour ne pas trop quil me pause de question. Je ne voulais pas le tenir eveiller plus que sa. Deja que javais troubler son sommeil et que cetait notre premiere nuit ensemble... Sa ne donne pas une tres bonne impression. Mais javais quand meme besoin de sentir ses bras sutours de moi qui me rassurais et me montraient que ce que javais rever netait pas la realité !

Je sentis le besoin de mexcuser de lavoir reveiller comme sa et detre dans un tel etat.

- desoler...

Dis-je tout bas.

Je passais ma main dans mes cheveux. Ses bras autours de moi me fessait incroyablement de bien. Je me santais en sécurité. Je me permis quelques larmes puis me ressaisis. Je pris une grande respiration, regardant où j'étais. Je savais parfaitement où j'étais. J'étais un peu sous le choc, mais plus je prenais de grandes respirations, mieux j'allais. Puis, Steven me demandais si je voulais aller m'étendre sur le lit et que lui resterais sur le sofa si j'avais besoin.

J'essuya les larmes qui avaient terminé de couler sur mes joues et puis, je regardais Steven. J'étais sincèrement désoler de l'avoir réveiller comme ça. Il avait tenté de me rassurer en me disant que ce n'était vraiment pas grave et que je n'avais pas à être désoler. Puis, je laissa un petit sourire en coin. Il mis la couverture en boule au bout du divan et il se leva et pris doucement ma main dans la sienne. Je me leva.

- T'aurais un verre d'eau ? Je suis désoler tu sais... Je ne voulais pas te réveiller comme ça tu sais...

Je ne voulais pas qu'il rester un peu traumatiser de ça. J'avait quand même hurler en plein coeur de la nuit. C'est quelque chose que moi je suis habituer, mais j'ai presque toujours été seule alors, j'avais habituer personne d'autre à ça en faite...

Steven me dit que je n'avais vraiment pas à être désoler. Même si c'est ce que j'étais. Puis, il me dit que c'était mieux que nous nous soyons réveiller si non il se serait levée avec quelques courbatures. Puis, il proposa d'aller dormir dans le lit... ce qui risquait d'être plus confortable que le sofa.

Je souris puis me calmais. Le coeur de Steven n'était probablement pas le seul a battre à mille à l'heure. Je pris une grande respiration et senti mon coeur reprendre de la normale aussi. Je n'avais pas trop envie d'avoir à retourner seul à la maison. Quand il m'eu proposer de dormir dans le lit je souris. C'était probablement plus confortable que le divan. Puis, je souris et je pris la bouteille d'eau qu'il me donnait.
Puis, il proposa nerveusement d'aller me reconduire chez moi si c'était ce que je voulais.

- Non non, sincèrement le lit me va, et je dois avouer que je ne dormirais pas de la nuit suite au cauchemar seule chez moi... et je ne suis pas pour me prommener dans la rue en sous-vêtements !

Puis j'étouffa un petit rire. Je bailla un instant puis je laissa la fatigue m'emporter. Je déposais la bouteille sur le comptoir.

J'étais content qu'elle accepte, car je savais déjà que le lendemin on pourrait probablement passer la matinée ensemble, pour après je l'ignorais encore, mais je me disais qu'on verra bien en temps et lieu. Je la laissais boire encore quelques gorgée de la bouteille avant de la diriger vers ma chambre.

- Voilà tu pourras t'installer là, enfin tu peux prendre le côté que tu veux tout comme tu peux prendre toute la place c'est à ta guise.

Je fermai le rideau de ma chambre histoire que la lumière du jour ne vienne pas la réveiller tôt le matin et je rangeai quelques trucs qui trainait un peu, même si principalement c'était déjà très propres puisque je venait d'emmaner rien ne trainait vraiment à part quelques boîtes que je mis sur le côté.

- Il faut que tu te lève tôt demain matin ? Parce que sinon il y a un cadran à côté du lit que je peux régler si tu veux te lever à une heure précise.

Ma façon de savoir si elle avait prévu quelque chose le lendemin matin était assez subtile, puis de toute façon c'est vrai que s'il fallait qu'elle se lève tôt le lendemain elle aurait un réveil pour être certaine de ne pas passer tout droit. Je m'appuyai sur le cadre de la porte tout en attendant sa réponse.

Je le suivais. Je n'avais aucune idée d'où était sa chambre... malgré que je devais avoir une bonne idée. Il n'avait pas un appartement très très grand à s'y perdre pendant des heures. Mais c'est ce que j'aimais. Mon appartement à moi était un peu plus grand. J'avais deux chambres, une qui était mon bureau où je fessais des photos et en même temps mon travail à l'université et dans l'autre où je dors bien entendu. J'adorais décorer sans être trop compliquer. Dans ma chambre de photo et d'université, j'ai mis évidement plein de photo dan slesquels je vois des paysages où des gens de la ville et des plantes pour faire plus frai. Dans ma chambre c'est plutôt relaxant.. j'ai besoin que se le soit.

Il m'emmena avec lui et me demandais si j'avais quelque chose de prévu qui devait me faire lever tôt demain, puisqu'il pourrait me régler le cadran pour que je puisse me lever sans retard. Puis, je souris bêtement et lui donna une petite poussé et fini pas l'entrainer avec moi.

-Non petit malin je n'ai rien demain. Je tiens à te dire que je suis en littérature alors je les imagines toutes les façons de demander subtilement ! Je suis complètement libre et étouffant un baillement fatiguer !

Steven me dit que si il y avait quoi que se soit il était juste à côté. Mais normalement sa m'arrivait qu'une fois par nuit. Alors je devrais être bonne pour le restant de la nuit. Puis, tout en souriant je me blottis dans les couverture. Il ferma la lumière et je fermais les yeux. Je l'entendis de rediriger dans le salon. Je combattais légèrement le sommeil mais il l'emportait sur moi. Je replongea dans un profond sommeil et comme à la normale, je fis le restant de la nuit sans faire de mauvais rêve.

Au petit matin, ne sachant pas réellement il était quel heure, le soleil caressa ma joue. J'ouvris un oeil et souriais. Je passa une main dans mes cheveux toujours aussi frisée et alla rejoindre Steven dans le salon sans faire de bruit.

Il était endormit sur le canapé. Dans un position plutôt inconfortable. En tout cas, pour moi elle aurait été inconfortable. Je dois avouer que je sentis une vague de culpabilité m'envaïre. C'était en partie à cause de moi s'il devrait subir la journée avec des courbatures. Je passa une seconde fois la main dans mes cheveux puis, laissa un petit sourire se dessiner sur mes lèvres.