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| Sujet: It could be wrong, could be wrong. This is out of control Sam 15 Oct - 19:17 | |
| citation de ton choix BRIGHTSIDE, MUSE STONES ft. Cintia DickerNOM Brightside. ۱ PRÉNOM(S) Muse, Stones. ۱ ÂGE 19 ans. ۱ ORIGINE IRLANDAISE/AMERICAINE. ۱ STATUT CIVIL célibataire ۱ OCCUPATION étudiante en littérature/serveuse. ۱ GROUPE FILTHY YOUTH. ۱ AVATAR cintia dicker. ۱ CREDITS whyareyoumadatlaxbrah | tumblr.
feel the shine and cast the line À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin.² Vous savez, je ne crois pas en l’amour. Non, enfaite, je dégueule sur la facilité dans sentiments.³ C’est facile de dire qu’on aime et qu’on est heureux, c’est moins facile de l’être enfaite. Non, décidément, je ne crois pas en l’amour. Il faut dire que je ne me suis jamais vraiment sentie aimée. Je n’ai pas la prétention de dire que je suis belle. Mais c’est la vérité, je suis belle. J’ai tout pour moi physiquement. Un corps où les courbes sont généreuses, je suis mince, j’ai deux petites lèvres charnues et pulpeuses à souhait, les yeux d’un bleu très clairs et j’ai la particularité d’avoir des tâches de rousseur. Oui, je peux vraiment dire que je suis belle. Mais dans ma vie, la beauté ne m’a pas forcément donné des avantages.
« Tu sais ma chérie, ta maman elle est dans un lieu où elle ira beaucoup mieux ». Essayez donc de faire comprendre à un enfant de deux ans que sa mère est à l’hôpital pour grave maladie. Difficile n’est-ce pas. A deux ans, on ne comprend rien de toute façon, donc qu’est-ce que ça peut lui foutre de me dire que ma mère est à l’hôpital. En vérité, ce n’est que vers quatre ans que j’ai compris. Ma mère se rendait souvent à la clinique et ses traitements l’épuisaient beaucoup trop, la pression sociale aussi. Le médecin avait donc décidé de la garder. Elle n’était pas vieille ma mère, mais elle était malade et on l’enfermait comme une vieille mémé dans un hospice pour vieux. Sauf que l’hôpital était la solution. Selon le médecin, la société et la civilisation l’affaiblirait plus qu’elle ne l’était déjà. Ma mère était atteinte du cancer. « Ne t’inquiète pas ma chérie, maman va vite se rétablir ». Oui, j’en était sûre. Enfin, c’est ce que je laissais paraitre, car ma mère avait beau me dire que tout allait bien se passer, je voyais quand même, du haut de mes quatre ans, que ma maman n’allait pas bien du tout. Fichu cancer tout de même n’est-ce pas ? Pourtant, ça n’avait pas l’air d’affecter mon père. Non, au final il le prenait plutôt bien que ma mère soit allongée vingt-quatre heure sur vingt-quatre dans un hospice.
« Viens là ma cochonne ». Des rires aigus parcouraient déjà la pièce alors que la porte n’était pas encore ouverte. Je penchais la tête et la porte s’ouvrit. Mon père était là avec une minette, toute jeune toute vulgaire. J’avais cinq ans à l’époque. Oh vous savez, être choquée, non, je ne l’étais pas vraiment, je ne comprenais pas et puis, il faut dire que mon père n’a pas vraiment fait attention au faite que sa fille chérie était dans le salon. Il n’avait pas vraiment prit le temps de voir que sa chère et tendre progéniture n’arrivait pas à dormir parce que son papa n’était pas là. Non, il avait juste un le temps d’enlever la veste de cette pouf tout en lui fourrant très profondément sa langue dans sa gorge pour ensuite l’attraper vulgairement par les cuisses en se heurtant au mobilier. Ces rires aigus continuaient de résonner alors que je serrais Mr. Nameless dans mes petits bras. Je ne comprenais pas et je retournais dans ma chambre en m’installant sur mon petit lit, sous mes petites couvertures. A cinq ans, on serre très fort son nounours en espérant que tous les mauvais cauchemars s’en aille n’est-ce pas ? « T’aimes ça hein salope… » Et la fille criait, apparemment elle aimait ça, mais à cinq ans, on ne comprend pas ce qu’est le plaisir, le sexe, la passion et tout le tralala, moi, je me suis juste contentée de fermer les yeux et de boucher mes oreilles tout en essayant de ne pas étrangler Mr. Nameless. J’étais toujours assise sur mon lit, dans le noir, ça faisait presque une heure que mon père et cette minette faisaient du bruit comme ça. Ils hurlaient tout les deux et mon père était vulgaire. Des salopes, des je te baise comme une chienne, Oh Putain, bordel… tout y passait. Et ce n’était que le commencement. Parce que mon père, voyez vous, il ne s’est pas contenté d’une minette une fois de temps en temps. Vous rêvez de trop mes petits chéris. Mon père il a littéralement baisé une minette chaque soirs jusqu’à mes sept ans. Deux ans, c’est beaucoup n’est-ce pas? Deux ans, ce qui équivaut à deux fois trois cent soixante cinq jours…Oh, au total il a prit son pied presque sept cent trente fois. Mais ça…C’est son affaire, je n’avais rien à dire.
Mais mon histoire ne s’arrête pas la voyons. A sept ans, j’essayais déjà de me débrouiller par moi-même. Il fallait dire que mon père ne faisait pas grand-chose, boire, regarder la télévision et ramener des minettes avec qui il prend son pied. Si j’avais faim, j’essayais de manger ce que je trouvais dans le réfrigérateur. Quand le celui-ci était plein, bien évidemment. Ce jour-là j’avais enfilé ma petite veste, et avais pris mon petit parapluie. « Papa… » Mais il dormait sur le canapé. Enfin, il cuvait surtout puisqu’il sentait l’alcool à plein nez. « Papa…réveille toi je veux aller voir maman ». Mais impossible de le réveiller, ses grognements empestant l’alcool m’en avait dissuadé. J’avais donc pris son portefeuille sur la table, avait saisi 20 dollars et j’étais partie à l’hôpital, toute seule. Maman était toujours allongée dans son lit, elle était toute mince et toute blanche, elle avait vraiment l’air crevée. Elle arrivait à peine à garder les yeux ouverts. Quand je suis rentrée, j’eus quand même le contentement de voir un sourire se dessiner sur son visage. Je m’approchais d’elle et lui saisis la main en souriant timidement. « Où est papa ma chérie… », je baissais la tête « Il dort. » Ma mère haussait un sourcil et je haussais les épaules. « Tu es venue toute seule alors ? » Je hochais la tête et nous continuâmes à parler. Je lui racontais mes petites histoires même si elle avait les yeux fermés. J’entendis alors raisonner le moniteur, un son continu. Il venait de se déclencher. « Maman ? »…Mais elle ne répondait pas, et cette fichue boite qui faisait un son horrible. « MAMAN ?!? » Mais elle ne répondait toujours pas…Je la secouais légèrement « Maman répond… tu dors ? » Mais toujours pas de réponse. Je pleurais, jamais ma maman ne m’avait laissé parler sans répondre. Je parcourrais la pièce et en sortait pour trouver un médecin. Ça grouillait de blouse blanche. Je tirais la veste d’un homme avant qu’il ne se penche vers moi alors que mes yeux étaient remplis de larmes. « Ma maman se réveille plus… » Il haussa un sourcil en me demandant la chambre. Je lui montrais du doigt et il hurla à l’aide avant de me dire que je ferais mieux de ne pas rester là. Mais je ne voulais pas, au final, une infirmière du m’emmener de force dans le coin des enfants, elle voulait que je passe le temps avec elle. Mon père arriva bien plus tard, une heure, voir une heure et demi après qu’on l’ai appelé. Le médecin vint nous voir, il avait l’air sérieux et très triste. Mon père me regarda et il me tendit la main. Lorsque nous rentrâmes à la maison, je regardais mon père. « Et maman ? »..Il me regarda, et pour la première fois, je vis de la tristesse sous ses traits de pervers. « Elle est partie ma chérie…Un monsieur lui a offert de longues vacances aux caraïbes. Elle en avait besoin. » Je le regardais ne comprenant pas. D’un côté, je savais que ma mère était morte, mais je voulais croire en son histoire « Elle revient quand ? ». Il baissa la tête et je pu voir des larmes. « Je ne sais pas ma chérie…Je ne crois pas qu’elle va revenir ».
En vérité, ma mère n’est jamais revenue. C’était comme mon chat Moustache, mon papa m’avait dit qu’il était partit au camp des animaux, parce qu’il avait besoin de vacances et qu’il faisait le jeu du Limbo avec ses amis. Sauf que ma mère était loin de faire du Limbo avec ses amies. Ma vie ne s’est pas améliorée après ça. Alors que je lisais un livre sur la moquette du salon, mon père me hurla de dégager car il ne voyait plus la télévision. Il en était déjà à sa quatrième bière. Je soupirais avant de me lever mais mon père partit au quart de tour. « Pourquoi tu soupires comme ça ?!? Hein ! »..Je le regardais « Pour rien papa… » Mais ça ne lui suffit pas et la meilleure manière qu’il trouva à me répondre, c’est de me foutre une baffe. Je pleurais, il avait frappé fort, mais me voir pleurer l’énerva encore plus alors il recommença. Plus je lui disais d’arrêter, plus je pleurais, et plus mon père frappait fort. Je n’avais pas que mal physiquement. Mon père ne cessait de me dire « Enfant de satan ! C’est de ta faute si elle est partie ! Tu étais seule avec elle ! C’est de ta faute ! T’es qu’une petite conne ! ». Et ça continuait, au départ, c’était très peu fréquent, mais c’est devenu tout les jours. Mon professeur le remarqua et je fus presque directement prise en charge par une dame qui me posa beaucoup de questions. Au final, cette dame est venue chez moi, un jour et m’a dit de venir avec elle. Que mon papa n’avait plus le droit de m’avoir. « BANDE DE SALOPARD ! Rendez-moi ma fille ! Vous n’avez pas le droit. » Et la femme, qui en réalité est une assistance sociale, fut le déclenchement de sa colère. « Nous avons parfaitement le droit monsieur, lorsqu’on bat un enfant, il est normal qu’il vous soit retiré » Et mon père explosa, se tournant vers moi « Petite conne ! T’es vraiment incapable hein ! Enfant de satan, voilà ce que tu es, t’es qu’une petite pute ! Ça ne t'as pas suffit de tuer ta mère! Il a fallut que tu me gâche la vie!». Mais deux officiers qui étaient là pour aider l’assistante le bloquèrent pour ne pas qu’il m’approche. Je partais donc avec l’assistante dans ma nouvelle maison .
J’ai n’ai pas vraiment eu de chance. Non, ça on peut vraiment le dire. L’assistante sociale m’avait amené chez mon oncle. Il était marié, sans enfants, c’était parfait car ma tante avait l’air si gentille, si douce et attentionnée. Oui, mais mon oncle…Je ne savais pas vraiment à quoi je m’attendais. Au final, j’aurais préféré ne pas le savoir du tout.
« Clap, Clap, Clap ». Le bruit de ses mocassins italiens résonnait sur le planché du deuxième étage. Je serrais la couverture contre moi, je détestais cet endroit. La porte grinça et je me cachais sous les couvertures. « Schouu, Schouu, Schouu ». La moquette immobilisait le bruit de ses souliers mais je l’entendais toujours. Un main vint se poser sur le drap et remontait dangereusement, caressant très légèrement mes courbes, enfouie sous la couverture. Je tremblais comme une feuille. Je savais la suite de cette histoire et j’avais véritablement envie de l’écrire d’une autre façon. La couverture glissait alors que j’essayais de la retenir, me laissant découvrir le visage de l’homme le plus cruel du monde. Une larme coula sur ma joue et il s’approcha, embrassant ma peau là où les larmes ruisselaient. Je gémis de peur et il me regarda d’un air dur. « Shuuut, il faut que tu sois sage » Être sage, pour lui, ça équivalait à fermer ma gueule. Sa main glissa le long de mon flan tout en remontant le haut de mon pyjama. Je tremblais toujours et lorsque je gémis un non, à peine audible, il plaqua sa main sur ma bouche tout en plaquant son autre bras sur mon ventre. « Ta gueule petite conne..Tu vas voir, c’est bon ». C’est avec violence qu’il baissait alors mon short pour faire ce qu’il aimait le plus faire. Abuser d’une jeune fille comme moi. Je pleurais et plus je pleurais, plus il m’insultait, plus j’avais mal
J’avais fais mon sac discrètement, le plus d’affaires possibles, ce qui me tenait le plus à cœur en vérité. Je passais dans le salon devant mon oncle et ma tante avec un faux sourire. « Je vais dormir chez une copine, ses parents sont d’accords. » En vérité, il n’y avait aucune copine, j’en avais juste réellement marre que tout les soirs, mon oncle vienne prendre son pied alors que je pouvais rien faire, j’étais sa victime et j’en avais plus que marre. Je passais donc la porte du domicile et commençait à courir pour échapper à cette vie qui ne m’avait vraiment pas fais de cadeaux. Où allais-je aller ? Je n’en savais rien, qu’allais-je faire ? J’étais incapable de me projeter dans l’avenir, tout ce que je savais c’est qu’il me fallait un endroit pour me protéger de la pluie. J’avais finalement trouvé refuge près d’un magasin de pizza où un petit abri était installé pour les poubelles. Pas très classe je dois l’avouer. Il m’arrivait souvent de m’introduire discrètement dans le restaurant pour voler quelques ingrédients. Jusqu’au jour où je me suis fais surprendre. . Le chef m’avait vu prendre une malheureuse tomate. « Mama mia ! Ma qu’est-ce que tù fous ! Tù voles dans mon restaurantè ! Santa di dio ! Je suis maudit ! Fou le camp ! Dégage ! Et que je ne te revois plùs près de mon restaurantè ». Et je suis partie tout en faisant du stop.
Au final, je suis restée trois mois dans la rue. Enfin, trois mois, peut-être trois mois et demi. J’ai quand même eu de la chance à partir de là. Enfin, de la chance, j’ai plutôt été très naïve mais bon, au moins, ma vie s’arrangeait peu à peu. Enfaite, je faisais du stop sur une voie rapide lorsqu’une voiture s’arrêta. « Je peux te déposer ? »…C’était un jeune homme, dix-sept ans peut-être, moi, j’en avais toujours quatorze. « Bien entendu », « Où vas-tu ? », « N’importe où, loin de ce monde de malade, une ville calme et sereine. T’en connais une ? ». Il hocha la tête et je me retrouvais à Arrowsic. Lorsqu’il me laissa là, la pluie battait son plein et la voiture s’éloigna mais s’arrêta soudain, faisant marche arrière. « Tu as un endroit où dormir au moins ? ». Je secouais négativement la tête. J’étais littéralement à la rue. Il ouvrit à nouveau la portière. « Aller monte ». J’avais fini chez lui et ce mec avait pris pitié de moi. Il s’appelait Stan. Ce gars il est bien sympathique, il sait s’amuser, y’a pas à redire.
« Aller, d’un coup sec cocotte, après tu verras tu vas bien te sentir ». C’est alors que j’approchais mon visage de la table basse, bouchais une narine et sniffais de l’autre. J’avais déjà pas mal bu, mais la sensation que produisît la cocaïne sur moi après cette première ligne me fit un bien fou. J’aimais participer aux fêtes de Stan, il y avait toujours de quoi s’amuser. Alcool, beaux gosses, drogues. Et je n'avais que quinze ans. Je goutais aux plaisirs des soirées, des fêtes de l’alcool et des beaux garçons. Je vivais ma vie comme je le sentais.
« Ah…attend, pas ici ». Haletante, j’essayais tant bien que mal de diriger ce mec vers ma chambre. Mon cœur battait la chamade et mon bas ventre allait exploser. Je gémis lorsqu’il m’attrapa pour me coincer entre le mur et lui. J’étais déjà déshabillée à moitié et je le griffais tout le long de son dos. Je l’avais à peine rencontré ce soir, à une fête organisée par Stan. J’entourais mes jambes autour de ses jambes en me cambrant le plus possible pour qu’il accède à mon cou. Ce n’était pas le premier et c’était loin d’être le dernier avec qui j’allais passer une nuit. A seize ans, j’avais déjà un beau palmarès de gars avec qui j’avais déjà couché. Il teint le mur d’un bras tout en essayant de plaquer son corps contre le mien pendant qu’il défaisait sa ceinture. Après quelques minutes d’attende, nos deux corps s’harmonisait dans des mouvements saccadés.4 J’éprouvais son ardeur tout en poussant une symphonie de soupirs. 5 « PUTAIN MUSE TA GUEULE ! ». Ça avait le mérite d’être clair, mais j’étais loin de vouloir arrêter. Stan couchait bien avec des filles lorsque j’étais là, je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas faire pareil. « Fais..pas attention…continue ».
« Mais qu’est-ce que tu fais ? ». Je riais en essayant de me cacher le visage. C’était bien la première fois qu’un mec s’occupait de moi comme ça. Je l’avais rencontré la veille, comme à chaque fois, il adorait la photo et étudiait donc sa passion à l’université. Aujourd’hui, j’avais dix-neuf ans. Je riais toujours alors qu’il prenait des photos « Mais enfin arrête. », « Mais sous cette lumière t’es magnifique ». Ouais, que du blabla, car ce n’est que trois jours plus tard que je remarquais que je faisais le tour d’internet avec ses photos où j’étais en sous-vêtements.
Je suis une pétasse.6 C'est exactement ce que je suis. Je n'ai aucune attache, n'ai confiance en personne et surtout pas en l'amour. Je ne suis jamais tombée amoureuse et je ne crois pas que l'amour peut nous rendre heureux. Je n'ai jamais été heureuse. Le bonheur c'est pour les minables. J'ai pas eu la chance d'être riche et d'avoir une famille qui m'aimait. Mais je suis moi, je me fou de ce que les autres pensent. A présent je vis ma vie, que ça vous plaise ou non.
PSEUDO OU PRÉNOM Georgette. ۱ ÂGE 111 ans. ۱ COMMENT AS-TU OUVERT LA PORTE DE THUB ? oh vous savez, dans ma jeunesse, j'ai connu un forum. Il s’appelait, et s’appelle encore They Hide Under Beds. Oh c'était la belle époque, nous nous sommes mariés et nous avons eu beaucoup d'enfants. Malheureusement, la vie m'a arraché à lui et ça fait des années maintenant que je ne l'ai plus retrouvé, mais maintenant, il me semble qu'il est toujours vivant, alors je vais retrouvé tous mes enfants, ou au moins quelques uns. ۱ TU LA TROUVES COMMENT LA DÉCORATION CHEZ NOUS ? Oh pour mon vieil âge, c'est très jeune tout ça. C'est tendance comme vous vous le dites de nos jours vous les jeunes!. ۱ PARLE MAINTENANT OU TAIS-TOI À JAMAIS Oh et bien vous savez à mon âge, on a un peu la tremblotte mais j'aime bien taper sur cette étrange machine qui est l'ordinateur. C'est une drôle de chose n'est-ce pas? En tout cas, moi je vous aime bien jeune homme ou jeune femme. Vous m'avez l'air bien sympathique. ۱
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CREDITS ² Citation Hell - Lolita Pille - Edition © Grasset & Fasquelle - 2002 - Collection Livre de Poche ³ Citation Hell - Lolita Pille - Edition © Grasset & Fasquelle - 2002 - Collection Livre de Poche 4 Paroles modifiées de la chanson Les solos sous les draps - Mozart Opéra Rock (Claire Pérot, Maéva Méline, Solal) - Production Dove Attia, Albert Cohen, paroliers : Vincent Baguian, Dove Attia, William Rousseau, Rodrigue Janois 5 Paroles modifiées de la chanson Les solos sous les draps - Mozart Opéra Rock (Claire Pérot, Maéva Méline, Solal) - Production Dove Attia, Albert Cohen, paroliers : Vincent Baguian, Dove Attia, William Rousseau, Rodrigue Janois 6 Citation Hell - Lolita Pille - Edition © Grasset & Fasquelle - 2002 - Collection Livre de Poche |
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