Sujet: Tu peux pas voler mon soleil | Casiopea Dim 2 Oct - 5:24
Après un matin comme les autre, j'étais allé faire la lessive chez ma mère qui n'habite pas très loin. J'ai pris une petite collation et nous avons parler de tout et de rien. Elle m'a parler un peu des cas qu'elle avait à examiner et je lui ais parler de mes études. Mon père à commencer à travailler quand je suis déménager. Alors il n'étais pas là. Je suis donc monté à mon ancienne chambre. En fouillant dans ma bibliothèque à la recherche de mon papier à lettre préféré, je suis tombé sur un vieux livre que j'avais commencer à écrire. Je devais avoir à peine 15 ans. Je l'ai donc mis dans mon sac à main et j'ai agripper mes feuilles pour laisser un petit mot à mon père. J'ai donné deux bec à ma mère et je suis retourné à ma voiture pour retourné à mon appartement.
Celà dit, la température n'avait pas cesser de grimpé plus la journée avançais. J'ai donc décider d'attraper mon maillot de bain en passant devant chez moi, mon parasol ainsi que ma serviette de plage et je suis retourné sur la route en direction de la plage.
Une fois arrivé à destination, je me suis installé quand même loin des gens pour ne pas être déranger. Je suis un peu anti-sociable je l'avoue. Comme toujours j'avais mon appareil photo avec moi. Je l'ai sortie. Il y avait deux jeunes enfant qui fesaient des château de sable. Puis plus loin un jeune couple d'adolescent qui s'arrosaient. Puis quelqu'un se mis devant mon objectif. Je posa l'appareil dans mon sac et soupira.
Sujet: Re: Tu peux pas voler mon soleil | Casiopea Lun 3 Oct - 14:22
Vamos a la playa a mi me gusta bailar.
Après des jours et des jours de pluie, le soleil avait finalement faire acte de présence sur la petite ville qu'était Arrowsic et c'était, un grand sourire aux lèvres, que je m'étais levé ce matin avec l'envie d'aller à la plage, de profiter du soleil et de cette chaleur. La dernière où j'avais mis les pieds dans ce doux sable, Harry faisait toujours partie de ma vie ce qui remontait à bien loin. Seulement je n'avais plus aucun temps pour moi, le boulot me prenait tous mes heures et il en était de même pour mes fréquentations et mon père, plus rien pour moi et les seuls moments où je pouvais enfin être libre, je les passais à dormir. Après avoir prit un longue douche et m'être rapidement habillée, d'une petite robe d'été et d'un maillot, je m'étais finalement dirigé à l'extérieur, serviette et sac de plage en mains. J'étais déterminée à passer une magnifique journée, à ne penser qu'à moi et rien d'autre. Au diable les autres, au diable le boulot, c'était moi, moi et que moi. (...) Le soleil brulait ardemment contre ma nuque et je regrettai même l'espace d'un court instant d'avoir oublié l'écran solaire. J'allais sans doute avoir l'air d'un homard en fin de journée ou pire encore. La route entre mon appartement et la plage n'était pas des plus longues mais avec cette chaleur, j'avais l'impression que c'était beaucoup plus long, que je n'allais pas me rendre à destination. Décidément, il me fallait une voiture et au plus vite. La pluie, le soleil, la chaleur, j'allais bien finir par en crever à force de ne faire que de la marche. Je repensai au soir où je m'étais rendu au bar, en pleins ouragan et un sourire vint prendre place doucement au creux de mes lèvres. C'était tout à fait moi, marcher en plein ouragan pour aller s'abriter entre deux bouteilles d'alcool.
Étrangement et malgré la magnifique température qui s'offrait à nous, la plage semblait plutôt vide. Non pas morte mais peu peuplé pour un dimanche après-midi et je mis en faute le sommeil. La moitié de la ville avait du faire la fête la veille et maintenant, ils payaient pour leurs excès. Plantée comme un piquet, les pieds enfouis sous le sable, je tentais tant bien que mal de trouver le meilleur endroit. Ni trop près de l'eau, ni trop loin tout en restant un peu en l'écart des quelques familles qu'il y avaient, ne voulant pas supporter les cris d'enfants trop surexcités à l'idée de voir de l'eau et des coquillages. Le regard perdu à l'horizon, complètement dans la lune, je manque ne pas entendre le soupire derrière moi. Je me retournai doucement, agacée qu'on me soupire après. Cheveux bruns, un appareil en mains, la jeune femme de qui devait sans doute provenir le souffle me regardais d'un air dérangée. Sans doute m'étais inclue dans sa photo sans le vouloir. « Je suis désolé, j'ai gâché votre photo ? »
Sujet: Re: Tu peux pas voler mon soleil | Casiopea Lun 3 Oct - 21:03
J’avais soupirer mais je ne pensais pas qu’elle allait l’entendre. Je ne suis pas celle qui allait s’exprimer et pas du tout celle qui cherchait le trouble. J’étais justement assise plus loin des gens pour ne pas être déranger et je crois que je venais de l’être. Mais je ne voulais pas non plus l’empêcher d’être ici parce que la plage n’était réservée uniquement que pour moi. J’étais un peu gênée du fait qu’elle se soit retourné et qu’elle m’ait entendu. Je baisa la tête un instant et je la remontais.
Hum… et bien… En fait je prenais une photo du couple plus loin dans l’eau, mais je n’ai pas encore appuyer alors techniquement non… Mais maintenant je ne les voie plus…
Je vis ses sourcils se hausser et elle jeta une petit coup d’œil vers le jeune couple. Je fit un petit trou avec mon orteil dans le sable chaud. Elle retourna la tête vers moi et je me mordis la lèvre intérieur par signe de timidité.
Mais humm… La plage n’est pas que pour moi tu sais, mon nom n’est pas écrit nulle part. Je.. c’est sa.
Sujet: Re: Tu peux pas voler mon soleil | Casiopea Dim 6 Nov - 23:20
« vamos a la playa a mi me gusta bailar. »
« Hum… et bien… En fait je prenais une photo du couple plus loin dans l’eau, mais je n’ai pas encore appuyer alors techniquement non… Mais maintenant je ne les voie plus… » Je souris, quelque peu mal à l'aise avant de hocher la tête, heureuse de n'avoir au moins pas gâcher sa prise. Néanmoins, je me tassai légèrement sur le coté, lui laissant le champ libre pour photographier ce dont elle avait envie. « Bien voilà, maintenant vous pouvez les prendre en photo. » Je lui souris à nouveau avant de pencher quelque peu ma tête sur le coté, manie que j'avais chaque fois qu'un truc me trottait en tête. Son visage ne me disait rien et pourtant, je connaissais tous, ou presque les habitants qui vivaient ici depuis plus de deux ans, environ. Je m'apprêtai à lui poser la question, de nature peut-être trop curieuse, comme à mon habitude, mais elle me devançant. « Mais humm… La plage n’est pas que pour moi tu sais, mon nom n’est pas écrit nul part. Je.. c’est ça. » Je hochai à nouveau la tête, balayant la plage du regard. « Ça te dérange si je m'assois ? » Je devais sans doute la déranger, mais à bien y penser, je n'avais pas trop envie de me retrouver seule, de fixer la plage à ne rien foutre, sans la moindre compagnie. Chaque fois que je me retrouvais seule, je pensais et chaque fois que je pensais, il revenait hanter mon coeur, mes souvenirs. J'en avais simplement pas envie. « Je suis désolé de m'inviter de cette manière, ça semble un peu étrange à bien y penser. » Je ris légèrement, voulant détendre un peu l'atmosphère. Après tout, se faire aborder ainsi par une étrange, ça devait être sans aucun doutes bizarre. Et puis, peut-être avait-elle envie de prendre ses photos, tranquille dans son petit univers. À la voir faire aller son appareil, j'en déduis d'ailleurs qu'elle devait s'en être fait une passion, un hobbies ou peut-être même son boulot. Petite, il m'était déjà arrivé de m'imaginer devenir une grande photographe, ouvrir une galerie avec des portraits, mais mes espoirs avaient chuté lorsque j'avais réalisé à quel point j'étais merdique. À peine capable de tenir un appareil entre mes doigts, je m'étais tourné vers une toute sorte d'arts, soit l'écriture. J'entamai d'ailleurs ma première année à l'université, en littérature. Enfin bon, là n'était pas la question.