Sujet: (done) ৩ Les larmes sont le reflet de l'humanité. Ca fait bien longtemps que j'ai arrêté de pleurer. Lun 31 Oct - 11:15
Zachary Wellington
Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n'est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent.
no one can be two different people.
nom : Wellington. Ҩ prénom : Zachary Ҩ âge : vingt-cinq ans Ҩ origines américaine Ҩ statut civil : célibataire Ҩ occupation : Employé dans un garage Ҩ avatar : Jamie Dornan Ҩ crédits : wereallalright | tumblr.
leave your story behind and be the present.
Et voilà ou tu en es, toi. Tu contemples les ruines de ton existences, ce tas de poussière qui représente ta vie, tu voulais bâtir de grandes choses et les premières pierres que tu as posé sont celles de la déchéance. Tu n'as jamais eut une vie facile, non. Mais, tu ne t'en pleins pas, parce que ce serait perdre ton temps. Ah, le temps, tu cours après, il est passé trop vite. Personne n'était là pour t'apprendre à vivre, à être heureux. Car qu'on se le dise, malgré se qu'on raconte, on a besoin d'apprendre à vivre. T'en es la preuve toi, Zachary Wellington, le malaimé, le torturé, l'âme blessé et le cœur à vif. Tu vois rouge partout et tu souffres chaque jours, tu t'enfermes dans ta douleur et tente d'éloigner les gens de toi parce que ça fait moins mal, du moins c'est se que tu penses. Il y a tout ces gens, ceux que tu peux apprécier mais que tu détestes parce que tu veux qu'il te déteste. Ils y a ceux qui voudrait t'aider mais au final, tu les saignes tellement qu'ils lâchent l'affaire et te laisse baigner dans ton désespoir. Un désespéré, c'est bien ce que tu es. Ne dit-on pas que l'espoir fait vivre ? Pourquoi tu es encore là alors ? Tu te le demandes parfois. T'es un américain nomade qui n'a jamais eut de famille ni de réels amis. T'es un solitaire depuis la naissance et personne n'a jamais voulu de toi, c'est comme ça que tu vois les choses. Après tout, ta mère t'a bien abandonné quand tu étais gosse, ta famille d'accueil était loin d'être, comme elle l'aurait dût, accueillante et déjà, tant de douleur dans une vie d'enfant te font gagner en maturité, en dureté. Dix ans déjà et tu n'es plus que l'ombre de toi-même. Tu es l'âme errante, tapis dans le cœur d'un enfant dont le regard est noir comme le charbon et froid comme l'iceberg. C'est ça, tu es un iceberg et les autres sont le Titanic, ils essaient de venir à toi mais ils se heurtent à toi et sombre, car malgré toi, ceux qui t'apprécient trop sont embarqués dans ce monde sombre dans lequel tu as toujours vécu. Tu ne le voulais pas vraiment, eux non plus mais ça a toujours fonctionné comme ça. Tu aurais voulu les regarder, avoir l'air peiné et afficher une expression sincère pour ensuite leur murmurer que tu étais désolé. Le seul soucis, c'est que les remords, tu ne connais pas. Et tout ça, ça dure depuis des années, tu le sais et tu ne fais pour réellement y remédier, c'est ta nature désormais. Tu te souviens de ce gosse de dix ans, détruit par une enfance trop horrible qui a finalement décidé de partir, de fuir cette vie horrible sans penser qu'elle était bien pire au dehors. Rien n'était rassurant dans le fond, ni cette famille, ni les rues désertes et humides. Personne n'était là pour toi et tu demeurais stoïque, recroquevillé dans un coin, à tenter de trouver le sommeil sous la nuit noir. Puis, tu comprends que seul dans les rues, il faut quand même vivre alors tu te marches, sans but et tu te bats pour t'en sortir, tu vis seul, tu te débrouilles, tu voles et tu te bats. Si on devait de décrire, tu serais sans nul doute la mauvaise graine qui peuple les rues malfamés des quartiers rouges, ce genre de malfrat que personne n'apprécie mais dans le fond, tu n'es pas la réel fautif de ce changement. Ou peut-être que si, en vérité, tu ne cessais de te poser cette question, tu en avais bien le temps, tu étais toujours seul, alors tu ruminais, te demandant pourquoi toi tu étais là, un désespéré solitaire qui n'avait plus de vie alors que d'autres profitait de la protection parental et d'une vie épanouie. Coup du sort sans doute. L'humanité, en fait, n'était qu'une belle connerie, un piège tordu dans lequel nous étions tous happés mais, certains était rejeté du système, toi y compris, parce que oui, tu étais jeune mais déjà, tes larmes ne coulaient plus et l'humanité t'avait quitté, les sentiments tu ne les ressentait plus, sauf la colère. Oh la colère, elle t'habite toujours, elle te ronge l'esprit, te tord transperce le cœur et te tord les tripes.
Puis, tu ressens un semblant d'espoir, une infime chance de t'en sortir lorsque tu débarques à New York. Tu ne te souviens plus par quel mystère tu as pu réussir à dégoter ce job de photographe, toi le paumé qui vient de nul part et qui n'a personne. Tu sais seulement que tu remercies énormément Abbey pour ça et tu sais aussi que sans elle, tu aurais encore été à la rue, pendant cette période. Après tout, elle est la seule qui t'ait hébergé, qui t'ai laissé une chance de devenir quelqu'un et c'est sans doute la première personne a qui tu t'es fortement attaché bien que tu n'ai, à cet instant, jamais songé qu'elle puisse être plus que l'amie qu'elle était alors, pendant un court instant, tu as cru au bonheur, à l'espoir d'une vie meilleur et tu as pensé à devenir quelqu'un de bien. Puis, Abbey a changé, tu l'as vu se détruire comme toi tu avais été détruit. Tu la voyait devenir dépressive, tu l'entendais vomir chaque soir dans les toilettes en sachant très bien qu'elle faisait tout ça. Tu aurais pu l'aider, tu le sais, tu aurais pu tenter de l'aider à s'en sortir comme elle avait essayé pour toi. Mais, a contrario, tu as préféré prendre la fuite, ne voulant pas être un poids pour elle, elle n'avait pas besoin de toi, la cause perdu, sur son dos déjà fragile. Quand tu t'en vas, tes yeux s'ouvrent alors et tu comprends que ce départ n'était peut-être pas la meilleure chose, qu'Abbey et toi, vous aviez sans doute un avenir, ou tout du moins une possibilité d'avenir. C'est vrai, tu penses à elle tout le temps, elle en devient presque une obsession, mais de toute façon, tu juges qu'il est trop tard, tu es retombé, tu es redevenu ce pauvre type désespéré qui erre comme une âme en peine, tu bois, te drogues et te bats. Parfois, tu te demandes encore comment tu as pu t'en sortir vivant. Tu n'es pas vivant de toute façon, tu es mort, ton corps et là, mais ton humanité à disparu. Qui es-tu réellement Zachary Wellington ? Toi même tu n'as pas de réponse, sinon que tu es une loque. Puis tu trouves ta place, ou tout du moins un endroit ou tu on veut bien de toi, un gang. Mais, même si tu n'es rien, finalement peut-être qu'il te reste une once d'humanité, se train de vie te meurtrit encore plus, battre des gens, se n'est pas se que tu veux et bien que tu sois persuadé que tu ne vaux pas grand chose, tu vaux mieux que ça quand même. Ta route reprend et comme toujours, tu ne sais pas ou tu vas mais tu y vas, c'est déjà ça. Tes pas te guides sans raison à Arrowsic, tu es vides sans vie et violent. Tu as changé même si dans le fond, très fond il y a toujours le Zachary qui valait un peu mieux que ça mais tu le caches, parce qu'il a bien assez souffert celui là. Tu croises le chemin d'Abbey, c'est étrange parce que finalement, tu n'espérais plus, les espoirs que tu avais sont tous anéantis de toute façon. Et, si toi tu as changé, elle également, elle semble si frêle, à même de se briser tu en as même peur de la toucher, comme si se n'était qu'un mirage qui pouvait disparaître si tu l'approchais de trop prêt. Mais tu sais aussi que tu l'aimes et que même si tu ne l'as jamais dit, tu tentes de le lui faire comprendre, tu es cruel, tu es dur, violent et tu l'as brise un peu plus mais elle reste là, à tes côtés et dans le fond, çà te donne un infime espoir, l'espoir d'être quelqu'un d'un peu mieux. Pourtant, tu loin d'être sur d'y arriver, même si voudrait réussir, au moins pour elle.
reveal yourself.
Bonjour/Bonsoir, ici Kenza ou Broke.away, a votre convenance, j'ai dix-neuf ans, bientôt vingt et je le vis bien. Je sais pas pourquoi je me suis inscrite sur THUB aujourd'hui et pas avant, vu que je l'ai dans mes favoris depuis perpette, je crois que j'hésitais pas mal a tenter ce scénario, faut dire qu'il est assez particulier m'enfin, je tente, on verra *.* J'aime beaucoup le design du forum (et la version verte, c'est la mieux, si si) Zachary est donc un scénario, celui d'Abbey.
Dernière édition par Zachary Wellington le Mar 1 Nov - 14:11, édité 3 fois
Sujet: Re: (done) ৩ Les larmes sont le reflet de l'humanité. Ca fait bien longtemps que j'ai arrêté de pleurer. Lun 31 Oct - 11:45
BIENVENUUUUUUUUU(...)UUUUUE. Je te remercie à nouveau d'avoir pris mon scénario, je suis TRÈS contente. Le titre est juste parfait. Oui c'est vrai que, comme tu le dis le scénario n'est pas forcément évident, mais merci de tenter. Bon courage pour ta fiche en tout cas, j'ai vraiment hâte de la lire. Oh, et tu auras sûrement un lien avec Raphaël, je t'expliquerais quand il ramènera ses fesses. Enfin pour l'instant c'est pas tellement notre histoire. En tout cas merci mille fois, pour te remercier tu peux faire tout ce que tu veux de moi.
Sujet: Re: (done) ৩ Les larmes sont le reflet de l'humanité. Ca fait bien longtemps que j'ai arrêté de pleurer. Lun 31 Oct - 12:15
Ahhhhhhhhhhhh un zacccccccccch super giga mega bienvenue alors toi tu as choisis un scénario du tonnerre. En plus qu'est ce qu'il est sexy le Dornam (il fait quand même un beau shérif dans once upon the time) et un super mannequin brefg je l'adore. Donc bienvenue a toi, bonne chance pour ta fifiche, inutile de dire que tu as fais une heureuse et j'espère que tu seras le bon zac en tout cas bonne chance
Sujet: Re: (done) ৩ Les larmes sont le reflet de l'humanité. Ca fait bien longtemps que j'ai arrêté de pleurer. Lun 31 Oct - 12:17
Zaaaaaach ! Tu étais très attendu, tu sais ? Elle nous a soulé la Abbey Tu as choisi un très bon scénario, en espérant que tu sois le bon Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Sujet: Re: (done) ৩ Les larmes sont le reflet de l'humanité. Ca fait bien longtemps que j'ai arrêté de pleurer. Lun 31 Oct - 21:12
En vrai tu dis ça mais en fait tu kifferais trop qu'il ne soit pas là pour avoir mon corps de déesse, AVOUE. (si tu nies je sors l'historique des conversations msn )